C’est notre dernière journée de boulot. Il est 17h50, 10 minutes nous séparent des vacances. Tout le bureau est détendu. Ce soir, on fête le départ de Jeremy, un collègue qui a trouve du travail dans une autre boîte sur Lille. Dans 10min, tout ce joli monde se retrouvera autour d’une bonne bière bien méritée.
Une fois arrivés au bar, la première commande tombe. Les langues se délient et l’ambiance commence à se réchauffer. Nous sommes tous surveillants d’un lycée de près de 2000 élèves. Certains de mes collègues ont eu des aventures entre eux mais aucune des nanas n’avait trouver grâce à mes yeux.
Quelques minutes après notre arrivée, des collègues profs ont décidés eux aussi de fêter les vacances dans ce bar. Parmi eux se trouve Celine. Professeur de Français, passionné de littérature et de culture en général. Mon passif de musicien fait que nous nous sommes croisés quelques fois pendant des concerts où je jouais. Sans grande discussion, nous avions échangés quelques politesses sans jamais pousser la connaissance de l’autre.
Céline a remarqué notre groupe. Elle emporte avec elle son verre et viens s’assoir de notre côté de la table. La jolie brune approche les 40 ans, 10 de plus que moi, mais elle conserve un visage enfantin. Des tâches de rousseur viennent illuminer son teint plutôt clair. Elle mesure environ 1m70, a la taille fine, de jolis yeux vert et elle apporte un soin particulier à sa garde robe, fournie en petit top décolletés et petite jupe droite.
Ce soir elle est perchée sur une paire d’escarpins. Elle porte une combinaison noire ouverte au milieu de sa petite poitrine qu’elle a rehaussée d’un soutien gorge « push up ». Après quelques banalités, je propose de se retrouver autour du billard, idée qu’elle accepte instantanément.
Le spectacle qui m’est offert est ravissant. A chaque tour, la belle se penche sans vergogne sur le billard et laisse apparaître ses seins.
Sous la lumière tamisée de la pièce je devine qu’elle porte un string. Cette petite pièce de tissu a le don de me rendre fou. Le « V » dessiné par la forme du string pointe en direction de son entrejambe. Des pensées érotiques commencent à m’envahir doucement. L’idée que la petite professeure, mariée, rangée expose son intimité sans gêne le fait imaginer des situations salaces.
Sans m’en rendre compte, mon sexe commence à se gorger de sang et mes pensées deviennent de plus en plus vilaines.
La partie terminée, nous nous sommes écartons du brouhaha de la soirée pour allumer une cigarette à l’extérieur du bar.
Jamais nous n’avions autant discuté. L’alcool aidant, les sujets se dévergondent au fur et à mesure que la clope se consume. Les histoires de coucheries entre surveillants l’intéresse beaucoup.
– « Et entre profs est ce que ça baise aussi ? » lançait-je
– « Plutôt oui, les repas de fin d’années sont souvent le théâtre de scènes cocasses »
– « J’aimerai être une petite souris pour voir comment vous êtes dans ce genre de soirée. »
– « Ah mais moi je suis sage. Je suis mariée avec deux enfants alors je ne suis que spectatrice »
– « Je sens une pointe de regret dans ta voix je me trompe? »
– « Non non c’est pas pour moi tout ça »
–
Si j’avais du parlé à ce moment, elle aurait pu elle, entendre beaucoup de regrets dans ma voix. Nous finissons nos cigarettes et rentrons dans le bar. Je lui propose un second verre, qu’elle accepta. La discussion continue de tourner sur les ragots de notre lycée. Elle me lance alors :
– « Et toi avec laquelle de tes collègues as tu couché ? »
– « Aucune malheureusement »
– « Déçu ? »
– « Un peu oui pour être honnête, mais je leur fait peur »
– « Ah bon? Pourquoi ça ? »
– « Je leur ai confié mon attirance pour la domination »
Un long silence déchira alors la pièce. Le visage de Céline vira au rouge écarlate.
– « Ah oui effectivement ça fait peur »
– « Pourquoi peur? Je ne prend pas de plaisir a voir mes partenaires souffrir tu sais. Je prend du plaisir quand elles m’obéissent. »
– « Donc tu n’aimes pas les rebelles? »
J’esquisse un sourire
– « Si si au contraire. J’adore les rebelles qui finissent par obéir. »
Son visage continue de rougir et je pu sentir un certain malaise. Je stoppe alors la conversation.
– « J’en ai trop dit, je suis désolé »
– « Ne le sois pas. Je ne suis pas gênée. Disons que je suis curieuse »
– « Curieuse de ? »
– « Du traitement que tu réserves au femmes »
Je dois avouer que ses paroles me blessent un peu.
– « tu sais, mon but n’est pas de me satisfaire et de m’en aller. J’essaye de les faire lâcher prise, j’essaye de leur faire accepter que pour 20-30-40min elles ont le droit d’être qui elles veulent. Aussi perverse et dévergondée qu’elles le souhaitent. »
Sans vraiment le vouloir j’avais réussi faire tomber ses barrières. Je pouvais sentir qu’elle était en train d’imaginer certaines scènes comme j’avais pu le faire quelques minutes auparavant et cela m’excitait énormément. Je me souvenais alors qu’elle m’avait donné son numéro personnel lors d’une sortie que nous avions encadré. Je décidais alors de tenter ma chance. Je pris mon téléphone et commença alors à lui écrire un message.
« Si ta curiosité est trop forte, tape 5 fois à la porte des toilettes »
Je me levais alors et pris la direction des toilettes. Au bout de deux minutes j’entendis alors quelqu’un frapper à la porte. Après avoir ouvert le loquet, je laissais Céline entrer dans cette petite pièce exiguë qui ne pouvait contenir que deux personnes. Sans attendre une parole, je glissais ma main sous le tissu de son décolleté pour saisir fermement son sein. De mon autre main je descendais alors jusqu’à son entrejambe ou j’ai pu constater que les mots crus, les histoires de sexe et peut être les images coquines qui ont défilé dans sa tête depuis tout à l’heure l’avait particulièrement fait mouiller. Son petit string noir en dentelle devenait un obstacle pour mes doigts même si le contact avec la dentelle fut agréable. Je la plaque alors contre la porte et lui chuchote à l’oreille :
– « Tu veux savoir à quelle point tu es une bonne petite chienne obéissante?
– « Pourquoi pas »
A ces mots je mis une grande fessée à ma partenaire ce qui provoqua nombre de gémissements de plaisir.
– « Pas de pourquoi pas. La réponse doit etre « oui maître » ou « non maître » c’est compris ? »
– « Oui maître »
– « Très bien. Alors je répète, tu veux savoir à quel point tu es une petite chienne obéissante ? »
– « Oui maître »
– « Alors enlève cette combinaison, garde ton string mais montre moi tes seins.
La belle s’exécuta. Sa combinaison tombait maintenant sur ses escarpins et sa poitrine était à l’air libre.
– « caresse toi! » ordonnait je.
La belle attrapa ses deux seins pour commencer a les pétrir. Tantôt elle pinçait ses tétons tantôt elle les titillait. Je faisais alors disparaître la combinaison de notre champ de vision. Céline se tenait face à moi en string et continuait de se caresser.
– « Tourne toi que je puisse matter ton Cul. »
Encore une fois la belle s’exécuta. Elle posa son visage contre le mur, attrapa ses fesses pour bien les écarter.
– « Comme ça maître ? »
– « C’est très bien ma petite chienne, tu m’as bien donné envie de te bouffer le cul!
Sans sommations, je mettais le string de Céline sur le côté pour plonger ma langue dans son cul.
Ma bouche fouille son intimité , la lèche, la mord, la suce et l’embrasse. J’entends la voix de ma belle exprimer son plaisir.
– « Putain oui, c’est la première fois qu’on me bouffe le cul »
– « C’est la première fois que tu te laisses bouffer le cul »
Je continuai alors à assouplir les tissus de sa rondelle grâce à des coups de langues puissants et précis. Au bout de quelques minutes, j’att**** Céline par les cheveux et la dispose à genoux. Tout en déballant mon sexe devant son visage je lui lance :
– « se faire bouffer le cul c’est être une petite salope. Maintenant je vais te donner l’occasion de prouver que tu es une grosse salope. »
Mon gland apparaît alors mais disparaît instantanément dans la bouche de Céline. Elle pompe ma queue à pleine bouche, l’enfonçant au plus profond de sa gorge en léchant vigoureusement mes couilles. Je lui baise littéralement la bouche. J’enfonce mon sexe dans tous les axes de sa bouche, plaquant mon gland à l’intérieur de ses joues. La belle se déchaînait avec son jouet. Après de longues minutes à profiter de sa bouche je décide de la relever et la plaque a nouveau face au mur. J’écarte un peu son fessier et approche mon gland de sa rondelle.
– « tu as réussi le premier test. On peut dire que t’es une grosse salope. Maintenant tu vas être ma pute. J’ai décidé de baiser ton cul et pas ta chatte. Tu vas jouir par derrière »
– « Maître !!! Je ne pense pas être prête. »
Je me lis moi même à genoux pour cracher ma salive sur son cul et en me relevant inséra mon gland dans son anus.
– « rectification : tu vas être ma sale pute »
Je lançais donc mes reins d’avant en arrière pour remplir au fur et à mesure le cul de ma belle prof. Une main att**** fermement ses seins et une autre s’est glissé sur son clitoris inondé. Comme prévu la belle atteigna son premier orgasme anal sous les coups de ma queue.
Sans ménagement je l’assoies sur la cuvette des toilettes.
– « tu es très très bandante tu sais. Maintenant je pense que tu as mérité ton salaire. »
Je commençais alors à me masturber en la fixant dans les yeux. Comprenant que son comportement pouvait accélérer ma jouissance, la belle commenca à me provoquer. D’abord en se caressant elle même le clito puis en enfonçant 4 doigts alternativement dans sa petite chatte et dans son cul. La belle se pénètre sans retenues pendant que je sens monter l’orgasme. J’att**** ses cheveux et dépose sur visage de longues giclées de mon nectar qui tombe maintenant sur sa poitrine et descende jusqu’à son bas ventre. J’étale alors mon sperme sur ses seins, jouant avec ses tétons, lui faisant lécher les doigts.
Je finis par lui enfiler de nouveau sa combinaison sans prendre le soin d’éponger le sperme de son corps. Elle se contenta de se laver les mains et repartis en salle couverte de sperme sous ses vêtements.
Nous avons lancé ce soir la une série de soirée complètement folles ou ma belle prof de Français a repoussé ses limites.
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