Une semaine s’etait passée depuis mon histoire avec belle-maman dans la cuisine.
J’y repensais tous les jours, et j’allais souvent me branler aux toiletttes, même au boulot, tellement cela avait été intense.
Mais je me disais avec le recul qu’il ne se passerait plus rien, que c’était juste une fois comme ça. Jusqu’au vendredi suivant…
J’étais devant la télé, fatigué par ma journée de boulot et le temps passé dans les bouchons sur la route du retour, la tête perdue dans mes pensées, ma compagne à mes cotés. Lorsque son téléphone sonna:
– Oui ? Bonjour maman. Oui, ça va merci. Oui, il est là. attends je te le passe.
elle me tendit son portable en me disant:
– C’est ma mère, elle a un service à te demander.
Je ne l’avais pas vu depuis une semaine, alors le fait de l’entendre au téléphone me procura des frissons:
– Allo ?
– Oui c’est moi. ça va ?
– oui très bien merci !
– Dis, j’ai service à te demander. Demain matin, j’ai un rendez-vous à 1h d’ici, mais ma voiture est au garage pour la révision. Tu pourrais m’emmener et me ramener après ?
– Je suis dispo pour la journée, dites moi à quelle heure je dois venir.
– Viens pour 9h, s’il te plait. Merci beaucoup !
– De rien, à demain !
Elle avait fait comme si rien ne s’était passé. J’étais un peu déçu, mais qui sait, on en parlerai peut-être dans la voiture. Je mis ma compagne au courant:
– dommage que je bosse demain, je serais venu avec vous, me répondit-elle.
– oui je me doute, dis-je tout en pensant le contraire.
Je faisais le point rapidement: 1h de trajet aller, 1h pour le retour, plus le temps que durerait le rdv, et il y avait des chances qu’on mange ensemble. En pensant au temps que j’allais passer seul avec elle, je sentis l’adrénaline monter ( et ma queue, par la même occasion ).
Le lendemain matin, étant prêt de bonne heure, je décidais d’aller chez belle-maman avec une demi-heure d’avance. Je sonnais à la porte. Elle m’ouvrit, un peu surprise de me voir sitôt. Elle portait une robe de nuit (je sais pas si ça s’appelle comme ça: un genre de t-shirt qui descendait juste au dessus du genou, mais assez sérré, pas comme un vieux t-shirt.) Elle me fit la bise avec un grand sourire. a travers sa tenue, je vis qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, car ses tétons ressortaient assez fort ( comme je l’avais déja remarqué lors de mes nombreux regards sur elle, notamment en vacances). En la suivant dans le salon, comme d’habitude, je matais son cul magnifique en me disant » dire qu’il y a une semaine, je l’ai enculé sur son canapé… » et la je me rendis compte qu’elle ne portait pas de culotte non plus, car j’arrivais à distinguer clairement le creux de ses fesses !!! Je commencais à bander, et cela ne s’arrangea pas lorsqu’en entrant dans la cuisine, je vis le tabouret sur lequel je l’avais prise, sa jupe remontée et sa magnifique poitrine à l’air. Elle me proposa un café, et nous commencâmes à discuter:
– Alors, ça a été ta semaine ?
– Oui, oui, un peu fatiguant à cause de la route, mais ça va.
Je n’arrivais pas à engager la conversation, trop occupé à repenser aux évenements du weekend précédent. Elle faisait comme si rien n’avait eu lieu, et cela me perturbait.
– Je pensais pas que tu arriverai si tôt, je n’ai pas eu le temps de me préparer. J’en ai pas pour longtemps.
– Pas de soucis, j’ai tout mon temps.
en faisant demi-tour, elle fit tomber un stylo qui traînait, et au lieu de s’accroupir, elle se pencha en avant, mettant son cul bien en valeur, et sa robe de nuit remonta jusqu’au bas de ses fesses. La vue était très excitante, et je me disais déja que le temps qu’elle se prépare, j’irai me branler dans les toilettes pour me calmer. Elle passa dans le vestibule et commença à monter les escaliers. Elle grimpa trois marches, fit une pause, redescendit et revint vers moi, toujours assis. Elle me regarda droit dans les yeux:
– En fait, je t’ai un peu menti au téléphone. je t’ai dit de venir pour 9h, alors que mon rdv n’est qu’à 15h
– Pourquoi ? dis-je avec une lueur d’espoir dans les yeux.
– Je voulais te voir, qu’on soit seuls tous les deux. Je pensai que tu profiterais de l’occasion, car j’ai fait exprès de rester dans cette tenue, vu qu’elle met mes seins en valeur.
J’en restais là comme deux ronds de flans.
– Mais apparemment, ça ne te fait pas d’effet. pourtant après ce qui s’est passé…
J’avalais ma salive, et repris le dessus sur mon émotion:
– Bien sûr que vous me faites de l’effet ! j’ai vu tout de suite en arrivant que vous etiez nue sous votre chemise de nuit. Mais je ne pensais pas que c’etait pour moi !
– Et pourtant, si. Je n’arrête pas de penser au moment où tu m’as prise sur le canapé. Je n’avais jamais joui aussi fort !
Tout en me disant ça, elle s’etait rapprochée de moi. Mon cerveau était en ébullition, et ma bite était tellement raide que j’aurais pu casser un mur avec. Elle posa sa main sur mon entrejambe et me dit droit dans les yeux:
– j’ai envie de toi…
– Moi aussi, belle-maman…
J’ai alors remonté sa chemise de nuit jusqu’au creu de ses reins, et j’ai attrapé son cul, je le tripotai avec mes doigts, puis j’écartai ses fesses, ce qui la fit gémir. Je décidai de lui faire quelque chose que je n’avais pas eu le temps de faire la première fois. Je la saisis par la taille et la fit assoir sur l’ilot central, avec sa chemise de nuit toujours remontée. J’ecartai ses cuisses, puis ses grandes lèvres. Sa chatte sentait très fort la cyprine, ça devait faire longtemps qu’elle était excitée. Je me mis à lécher avec application son clito, en allant de haut en bas, puis en faisant des cercles, ce qui eu pour effet de lui faire pousser un véritable râle de plaisir. je descendis ma langue à l’entrée de son vagin, elle était littéralement trempée. Je me régalais de sa mouille, et quand j’enfonçais ma langue dans son trou, elle se cambrait de plaisir. Je me retirais juste avant qu’elle ne jouisse, histoire de faire durer le plaisir. Je me redressais et l’embrassait langoureusement, sa langue cherchant la mienne, pleine de sa cyprine. Ce baiser me mit en émoi au plus profond de mon être, je n’avais jamais ressenti ça…
En même temps, je lui glissai 2 doigts dans la chatte et me mit à faire des va-et-vient. je sentais son minou se contracter et elle me dit en gémissant:
– Oh oui c’est bon ! Tu va me faire jouir !
Son orgasme ne tarda pas à arriver, car elle se mit à crier en mettant sa tête en arrière, et je sentis de la cyprine couler sur ma main. ce n’etait pas comme la giclée de la dernière fois, mais ça s’annonçait prometteur pour la suite. elle me regarda et me dit:
– Viens on monte dans la chambre, ce sera plus confortable.
Je la suivis dans l’escalier. elle n’avait pas rabaissé sa chemise de nuit et j’en profitai pour regarder son cul, et je vis que de la mouille commençait à couler entre ses cuisses. Arrivé dans la chambre, elle se déshabilla et me demanda de faire de même. Elle me fit allonger sur le lit, elle se positionna à 4 pattes entre mes jambes, et enfourna ma queue dans sa bouche. Je m’etais déja fait sucé pas mal de fois, par des femmes différentes, mais je crois que c’était la meilleure pipe que j’ai jamais eu. Je sentis que j’allais envoyer la sauce:
– Belle-maman, je vais jouir…
Au lieu de s’arrêter, elle intensifia ses mouvements et aspira plus fort encore. Mes couilles se contractèrent et j’éjaculai si fort que j’eus l’impression que mes tympans aller exploser. Belle-maman manqua de s’étouffer avec mon jus, mais elle l’avala entièrement.
Elle se retourna, toujours à 4 pattes, pour me présenter son cul:
– J’en ai pas fini avec toi…
Sa chatte brillait tellement elle était mouillée. Je me remis à bander fort, alors que d’habitude, ça n’arrive jamais après que j’ai joui. Je me redressai, me rapprochai d’elle et sans prévenir, j’enfonçai ma bite dans sa chatte trempée. Je me mis à faire des grands mouvements, prenant mon pied comme pas possible. Belle-maman ne gémissait plus, elle criait.
– Oh, plus fort ! vas-y ! défonce moi !
J’accélérai encore, et l’orgasme vint la cueillir au bout de quelques secondes. Elle se raidit, ma queue ressortit et ma belle-mère se mis sur le coté, submergé par le plaisir. Ne lui laissant aucun répit, je l’allongeai sur le dos, les jambes en l’air et bien écartées, et je repris mon pilonnage en règle. Elle n’arrêtait de crier que pour reprendre son souffle. Belle-maman était à ma merci. Elle était à la fois si belle et si salope dans son regard, alors j’intensifiai mes assauts pour la faire jouir encore et encore et encore. Elle n’en pouvait plus, moi non plus, donc je décidai de finir en apothéose. Je sortis ma bite de sa chatte, elle était tellement bien ouverte que j’aurai pu mettre mon poing. je placai mon gland à l’entré de sa petite rondelle:
– Je vais vous enculer, belle-maman, comme la dernière fois.
Elle hocha la tête. Elle ferma les yeux lorsque j’introduisis mon gland, mais les ouvrit en grand dès que ma bite fut entièrement dans son cul. J’y allais tout doucement, puis voyant l’effet produit, j’ y allais de plus en plus fort:
– Oh mon dieu, c’est trop bon ! Encore, encore !! je vais jouiiiiirr ! hurla-t-elle. Et comme je me doutai, sa chatte se contracta et se mit à gicler à grands jets, m’aspergeant littéralement. Son anus se contracta également sur ma bite. c’était si chaud et etroit qui je ne mis pas longtemps a cracher un flot de sperme dans ses entrailles.Je venais d’avoir le meilleur orgasme de ma vie. Ses jambes tremblaient de son orgasme, et au bout de 5 ou 6 jets de mouille, elle s’arrêta enfin. Je m’allongeai à ses cotés, elle se blottit contre moi en me disant:
– J’ai jamais autant pris mon pied de toute ma vie. Tu es incroyable !
– Vous aussi, Belle-maman, vous êtes incroyable. et si jolie aussi…
– Oh…
elle m’embrassa, et nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre, mon torse trempée de mouille, et son cul qui laissait couler mon jus de couilles. La journée n’était pas finie…
A suivre…
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