Récit d’un amis photographe
Le soir, je soupe seul au son de la musique. En pensant à cette jolie Karine.
Je me sers un verre de vin, retire mes vêtements et me glisse dans le jacuzzi. Les puissants jets me massent le dos et des bulles remontent entre mes jambes, chatouillant mon sexe. Tel un pacha, je déguste le vin en imaginant être accompagné de mes filles. Martine, complice ; Suzie qui est partie; Julia et Karine, deux nouvelles inconnues qui vont prendre beaucoup de place pour un temps dans ma vie.
Toutes sont belles dans leurs différences. Ma queue s’est dressée malgré moi en les imaginant nue.
Martine blonde aux seins de taille moyenne et bonne suceuse.
Suzie grosse poitrine qui sait l’utiliser et je suis certain prête pour du BDSM soft.
Claudia la rouquine frondeuse au petit seins sexy.
Julia aux cheveux noir geais eet très attirante.
Et enfin, la copine de Suzie fragile gamine mais qui semble avoir du caractère.
Je sors de l’eau avec la gaule. Je vais me coucher et m’endors dans une sorte de torpeur bienfaisante peuplé de ces filles nues.
Le lendemain matin, j’accueille Martine à la porte. Elle est souriante et enjouée à la pensée de débuter ce shooting pour cet important contrat. Elle me fait la bise et me répète :
« Tu ne peux pas savoir comme je suis contente et excitée que tu m’ai choisie. »
Je lui parle alors de Julia.
« Tu sais ma chérie, tu ne sera pas seule. Julia la collaboratrice du client sera présente et agira comme observatrice puis comme mannequin. »
Ca ne semble pas la troubler , bien au contraire.
« On va lui montrer comment faire ce boulot! »
Elle est vêtue d’une robe rouge moulante et la relève aguichante. Je regarde sans gêne son corps généreux. Elle observe mon manège puis, souriante, me dit :
« Je fréquente quelqu’un maintenant. Ce n’est pas sérieux encore, rien d’officiel, tu vois, mais bon… Je voulais que tu saches.»
Je la regarde dans les yeux et lui réponds :
« Du moment que ça perturbe pas notre travail, je suis très content pour toi. »
« Mais ça ne veut pas dire que je n’ai pas aimé baiser avec toi ! »
Je l’arrête d’un geste.
« Évidemment. Pas de problèmes. »
Je souris, elle semble rassurée. Un court moment passe, puis on sonne à la porte. C’est la maquilleuse que j’ai engagé. Une professionnelle avec qui je fais parfois affaire, elle connaît mes goûts, mes méthodes. Je l’invite à descendre avec Martine pour se préparer.
Une voiture arrive à bonne vitesse et s’arrête pile devant la maison. Julia en sort et marche d’un pas vif vers la porte, levant les yeux vers ma grande maison blanche. Je ne peux m’empêcher de l’admirer. Elle porte une jupe rouge légère, vraiment courte, qui révèle des jambes dont elle est manifestement fière. Elle est chaussée de talons vertigineux. Sa démarche est très assurée mais aussi très sensuelle.
J’ouvre la porte avant qu’elle ne sonne. Elle sourit en me voyant.
« Je n’étais pas sûre d’être au bon endroit! Ca paye la photo ! Vous êtes plein de surprises, monsieur !» Me lance-t-elle en éclatant de rire. Je la guide vers le studio. Le maquillage de Martine est presque terminé. Je fait les présentations. Martine semble devenir plus tendue en voyant Julia devant elle. J’espère qu’il n’y aura pas de compétition entre mes deux filles. Je fais découvrir mon studio à la styliste, expliquant les fonctions des différents accessoires. Nous jetons un œil aux vêtements qui seront utilisés pour cette séance. D’emblée, Martine demande comme pour briser la glace :
« Pourrions-nous commencer par la lingerie ? »
« Oui si vous voulez jeune fille. » Répond Julia d’un ton dédaigneux en prenant place sur une chaise, en retrait. J’admire à la dérobée ses jambes découvertes tès haut.
J’entends Martine qui s’approche. Alors que je lève les yeux, elle me demande d’une voix chaude, provocante devant Julia :
« Ça te rappelle quelque chose, mon lapin?
Je la fixe un instant. Elle a choisi un ensemble très luxueux et très érotique porté sur elle.
Je déglutis, les images de notre dernière soirée me remontent en mémoire et je sens que je bande.
Stop! Qu’est-ce que je fais? Je sors de ma rêverie. Je ne pourrai jamais travailler dans cet état d’esprit. Ramassant mon appareil, je me ressaisi. Martine se place sous les projecteurs. Nous essayons quelques poses érotique. Mais l’idée est de fleurter à la frontière entre érotisme et porno. J’aimerais aller plus loin, laisser parler ma créativité et créer des photos plus chaudes avec Martine. Mon modèle semble vouloir atteindre de nouveaux sommets de professionnalisme. Elle est attentive, concentrée. Porté aussi gracieusement avec les promesses de charmes suggérés mais jamais révélés. C’est rapidement dans la boîte.
Pendant que Martine se change, je jette un œil du côté de Julia. Pendant qu’elle me regarde en souriant du coin des lèvres, je capture quelques images.
« Vous faites quoi? »Demande-t-elle, un peu hésitante.
« Je travaille Madame. Ici, vous représentez peut-être mon client, mais vous êtes aussi un model et c’est moi qui décide comment on doit travailler OK ? »
Elle ne dit rien surprise par mon ton ferme et j’ajoute une source de lumière venant d’en haut, pour mieux découper son visage. À ma demande, elle peaufine la pose. D’où je suis, je devine sa culotte. Je prends une photo, pour moi, sachant que jamais je ne l’utiliserai publiquement. Je me déplace un peu, le point de vue devient plus excitant et je capture l’image que j’avais imaginé.
Je montre le résultat à ma modèle hautaine, mais néanmoins débutante. Elle est ravie. Le premier test est encourageant. Martine est revenue vers nous. Elle porte une nuisette noire, les seins supportés par de la dentelle de même couleur, émergeant du satin comme deux gouttes gonflées venant se nouer derrière le cou. De la dentelle décore aussi le bas du morceau, qui se termine haut sur la cuisse.
Elle jette un regard vers Julia et lance sûre d’elle :
« Juste un peu de dentelles et les hommes tombent à nos pieds! »
J’entends le rire cristallin de Julia derrière moi. Sans répondre, je place des éclairages assez directs devant elle. Je lui demande d’écarter les jambes et de tirer le tissu vers le bas de ses mains pour couvrir son intimité. Elle s’exécute.
Ostensiblement, me fixant d’un regard plein de promesses, j’ai eu le temps d’entrevoir son sexe nu sous la nuisette. Je replace ses mains, ajuste les bretelles, ramène ses cheveux épars sur ses épaules.
« Tête penchée, et refais-moi ta fameuse grimace! »
Click! Succès immédiat.
« Je crois que c’est bon. Met-toi à quatre pattes ! »
Elle s’exécute, faisant pointer ses sein. Le vêtement épouse parfaitement le galbe de sa poitrine qui repose dans la dentelle et ses fesses sont en valeurs.
Je regarde l’image un instant par le viseur de mon appareil. Sans reculer les yeux, je lance :
« Martine, tu ne bouges pas ! Julia, pourriez-vous approcher et placer ses cheveux uniquement sur l’épaule droite? »
Surprise, cette dernière s’approche lentement. Martine, docile, ne bouge pas d’un poil. Doucement, Julia lisse et ajuste les cheveux de Martine. Le contraste entre les deux femmes, leurs positions et leur habillement, crée une image puissante, porteuse. Je mitraille, me régale du regard mi-ingénu, mi-arrogant de Martine qui fixe Julia. Tout en mitraillant, j’ordonne à Martine :
« À genoux et retire le haut. Passe un bras sur tes seins, pour les cacher. Je veux que tu me présente le soutien – gorge en glissant un doigt dans une bretelle et en le laissant pendre. Tourne la tête vers moi sans bouger ton corps. »
Lentement, délibérément, elle s’exécute. Le dos apparaît, nu. Elle retire les bretelles, les bonnets. Elle ajuste son bras sur ses seins, faisant à ma demande dépasser sa main sur son flanc. Elle att**** le soutien-gorge avec sa main libre et le soulève, tournant la tête vers moi.
Mes joues rougissent, le sang afflue dans mon bas-ventre. Je viens de transformer l’ensemble le plus sage du lot en une invitation au plaisir. Derrière moi, Julia murmure :
« Tu es un géni ! »
Je suis flatté mais l’image n’est pas encore parfaite. Je m’approche de Martine qui me fixe avec intensité. Doucement, je flatte sa chatte pour que son visage exprime le plaisir. Julia est choquée mais ne dit rien transportée par cette ambiance érotique. Toucher sa peau ainsi, me trouble énormément. Martine se laisse faire et ne bouge pas, docile sous ma main. Je me recule, change la position de mes spots, puis je prends des photos en rafale. J’ai rapidement ce que je veux. Martine descend du divan et libérant ses seins sans aucune pudeur, elle se dirige vers moi pour voir le résultat.
Alors que Martine passe derrière le paravent pour enfiler la tenue suivant, Julia me regarde amusée et me chuchote :
« Est-ce que tous les modèles sont comme ça? »
« Non. Mais avec Martine, nous avons,,,,,comment dire,,,,des relations privilégiée. »
Julia me regarde avec un air interrogateur et sans un mot, d’un signe de la tête je lui fait comprendre qu’elle a bien saisie notre relation.
La séance se poursuit pendant plus d’une heure. Martine garde son attitude provocante, me donnant l’occasion de saisir des clichés parfaitement dans l’esprit de ce que je veux réaliser. Nuisettes, culottes, soutiens-gorge défilent devant mes yeux. Le satin succède à la dentelle, au coton et à la soie. Finalement, d’un commun accord, nous mettons un terme à la session.
Pendant que Martine se rhabille, je range mon équipement. Julia prend des notes sur son téléphone. En remontant, elle lance à Martine:
« Je comprends mieux la complexité de votre travail maintenant, surtout avec un photographe aussi entreprenant. Vous êtes très compétente, j’ai beaucoup appris de vous. »
Martine est surprise et ravie. Mon modèle nous quitte rapidement pour att****r son autobus. Julia me fixe un instant du regard. Je lui avais demandé de rester pour discuter à chaud de cette première session. Je brise le silence:
« Je vous offre un verre? »
« Volontiers. »
« J’ai du Chianti, Shiraz et Bordeaux décantés, et du Chardonay au frais. »
« Ma parole, mais vous avez une vraie cave à vin! »
« En quelques sortes… Vous voulez voir ? Suivez-moi. »
En fait, ma cave à vin, je l’ai transformé en donjon et j’ai bien l’intention de voir la réaction de Julia en découvrant l’ambiance de cette cave. Arrivés dans l’antre, je fixe Julia qui parcourt, les lèvres entrouvertes, la déco de cette salle. Mais pour ne pas être déstabilisée, elle va vers les casier à vin en disant :
« Puisqu’il faut choisir, Chianti je crois. »
Je sors deux coupes et verse le vin. Dans cette ambiance de donjon, la délicatesse de cette femme qui hume le bouquet du vin est très sensuelle. Elle lève les yeux vers moi et observe la salle.
« Pourquoi vous me fixez comme ça? »
« C’est rare de voir quelqu’un prendre autant de plaisir à déguster un verre de vin. Surtout dans ces lieux particulier. Savez-vous que vous êtes la premiére à mettre les pieds ici. Je n’ai pas encore eu l’occasion de tester cette salle. »
Je laisse flotter son esprit un instant puis demande :
« En tant qu’employeur, comment avez-vous aimé cette première expérience. »
« J’ai beaucoup aimé vous voir travailler. Votre style cadre parfaitement avec l’image que nous voulons projeter pour cette campagne. Même si vos méthodes pour obtenir une expression glamour de votre model est assez particulière ; comme cet endroit d’ailleurs. J’ai hâte de voir le résultat final des photos d’aujourd’hui mais je n’ai aucune crainte. Pleinement satisfaite! »
« Et comme future modèle? »
Elle marque une pause et la voix rauque, elle avoue :
« Je crois que ça ne sera pas aussi facile qu’avec Martine. Elle a beaucoup d’expérience et elle n’hésite pas à se mettre en valeur, à s’afficher, se dévoiler. Et elle a une belle complicité avec vous. »
« C’est vrai, mais je m’attends surtout à photographier des vêtements avec vous, pas de la lingerie. »
« Je ne suis pas assez jolie pour vendre des sous-vêtements? »
Je bredouille :
« Bien sûr que non! Vous êtes très belle, superbe même! J’avais simplement pensé que de vous dénuder et être sur des affiches dans votre lieu de travail, tous les jours. Pourrait vous gêner ! »
Elle rit doucement, me répliquant ;
« Je vous taquinais. Vous avez entièrement raison. Merci du compliment, quand même! »
Elle me fixe par-dessus sa coupe, elle me dit :
« Cela dit, ça aide quand votre modèle a des sentiments sensuel pour vous. »
« Oui serte ! Vous voudriez inaugurer mes nouveaux locaux ? »
Julia lève la coupe à ses lèvres, ne parvenant pas à cacher son sourire malicieux. Malgré moi, je réalise combien cette image serait efficace pour mon contrat actuel. « Et bien je ne sais pas si j’oserais mais dans cette salle avec la nouvelle collection pour adulte, pourquoi pas ! »
« Seriez-vous d’accord pour qu’on tente de faire un shooting ici ensemble? »
« Vous êtes sérieux? »
« Parfaitement. Je commence à avoir une bonne idée de la trame que je veux suivre avec vous. »
Julia semble mijoter sa réponse. Elle regarde l’heure, puis vide son verre d’un trait avant de lancer un :
« D’accord, on y va! »
Ajouter un commentaire