Plaisir matinal
Je m’éveiller tôt le lendemain matin, les oiseaux commençaient a chanter et j’avais une sacré envie de pisser. Suzanne a demie coucher sur moi, m’écrasait de tout son poids, ses énorme seins aplatis sur mon torse était en sueur et son genoux droit pesait sur ma vessie. On c’étaient endormit nue après avoir baiser jusqu’a tard dans la nuit. La suspension de notre petite roulotte avait du en prendre un coup. Notre séance sur le ponceau nous avaient passablement éxiter. Mais la, il fallait que je me lève avant de bander, pisser quant on est dur ces pas évidant. Je réussit a me dégager sans la réveiller et sortit, l’air frais du matin fini de me réveiller. Je m’installer près d’un grand sapin jambe écarter et commencer a pisser sur des aiguilles de pin rougit en repensant a la cycliste d’hier. Je savais que ma blonde dormirait au moins jusqu’a neuf heure et il n’était que sept heures du matin. J’avais amplement le temps de prendre un café, de manger quelque chose et de partir en excursion avec ma caméra pour débusquer cette jolie rousse et peut être jaser avec si elle était réveiller et seul ou juste l’observer en cachette. Je verrai bien!
Je pissait encore quand j’entendis des rires de femmes provenant du chemin. Je ne pouvait rien voir depuis l’endroit ou je me trouvait, cacher par de gros buissons. Puis des bruits de pas qui se rapprochaient, des bribes de conversation, deux femmes qui discutaient et riait encore. Je reconnue aussitôt la voix de la rousse et sa me donna la chaire de poule et m’excita terriblement, d’être la, si prêt en train de pisser et nue, mais, étrangement, je me rendit conte que je connaissais aussi l’autre voix. Une voix un peut plus profonde, plus sensuelle un peut érailler elle aussi. Je la connaissait très bien même mais sans pouvoir l’associer a qui que ce soit et sa m’intriguait.
Je pissait toujours bruyamment au moment ou elle passèrent tout prêt. Elle ne pouvait pas ne pas l’entendre et il y eu un petit silence puis encore des rires qui se répercutaient au loin dans les bois tandis quelle s’éloignaient. Ma bitte enflait dans ma mains. Vive le camping me dis-je tout sourire en sentant une petite brise fraîche provenant de la rivière me caresser les fesses.
Je fini enfin de vider ma vessie bander dur cette fois et me la secouer.
En prenant un café et déjeunant a la petite table de notre roulotte, je ne cessait de me demander qui pouvait bien être l’autre femme dont je connaissait si bien la voix. J’avais beau me creuser la tête, rien a faire et pourtant…
Toc toc toc!
Je sursauter comme un gamin surprit en train de voler dans la caisse paroissiale. Perdu dans mes pensées je n’avais entendue personne s’approcher. On frappait doucement a la porte de peur sans doute de nous réveiller. Suzanne grogna et se retourna sur le dos de travers dans le lit, jambes écarter bras en croix faisant rouler ses énorme seins en ronflant doucement. Si j’ouvrais, la personne qui était la aurait une vue splendide sur sa vulve au grande lèvres brune surmonter d’une belle toison noire et comme elle dormait sur les couvertures j’avais rien pour la cacher. Je pencher la tête pour regarder par la fenêtre et aperçut ma belle cycliste. Mon cœur fit un bon tout comme ma bite, ses long cheveux roux était remonter en chignon, elle était pieds nue, en pantalon de camouflage ample style armée et en minuscule camisole verte sans soutien-gorge. Un seins magnifique en forme de poire, tout blanc, au petit mamelon brun-rose gonfler et dur en sortait d’ailleurs. Je déglutit bruyamment en voyant ce beau spectacle matinal, sentant mon scrotum se contracter sur la chaise. La rousse pencha la tête vie son seins a l’air et le repoussa nonchalamment sous la camisole avant de frapper a nouveau. Cette vision réveilla mes bas instincts évidemment!
Tant pis pour Suzanne, me dis-je en me levant surexciter. Ma bite qui avait gonfler dur en un temps record heurta fortement le dessous de la table m’arrachant une grimace.
J’allai a la fenêtre de la porte avec ma bite qui tanguait, écarter les petits stores verticaux et lui fit signe d’attendre une minutes.
Je ramasser mes short jeans par terre et les enfiler y poussant tant bien que mal ma queue douloureuse tellement elle était dure contre mon ventre et me zippant prudemment pour éviter de m’arracher un peut de peau. Mon gland dépassai, je chercher mon t-shirt et le trouver dans un coin sous l’énorme soutien-gorge noir de Suzanne et j’ouvris, nerveux, conscient que malgré mon t-shirt mon érection était bien visible ce qui me fit bander encore plus dure.
-Bonjour! Dit-elle avec un sourire désarmant plissant ses jolie yeux d’un brun-vert étincelant. Je voulait pas vous réveiller!
-Mais non, je prenais un café!
Comme il y avait trois marches son visage était a hauteur de mon entre-jambe et elle vit ma bosse et sourit, moi j’avais une vue imprenable dans sa camisole, sa gorge était couverte de taches de rousseur magnifique. Elle rougie un peut et ses mamelons commencèrent a pointer.
-Désoler fi-je, c’est le matin!
-J’ai été marier 3 fois, vous en faite pas pour sa, je sais ce que c’est…
Mais je m’aperçus quelle n’était pas dupe de mon petit mensonge.
Et la elle tourna les yeux et vit Suzanne qui ronflait toujours. Heureusement pensai-je, car affaler comme elle était de travers dans le lit bras en croix, bouche entrouverte, elle avait l’air d’une morte, comme si je venait de l’étrangler. La rousse plissa les yeux encore une fois un peut confuse le sourire au lèvres et baissa le ton comme si on était a la bibliothèque en me fixant. Ses joues étaient plus rouge et ses mamelons plus dure.
-J’ai oublier d’amener du sucre et moi et ma nièce on aurais besoins d’un coup de main, si sa vous dérange pas? On arrive pas a décrocher la roulotte du 4×4.
-Pas de problème, fi-je parlant tout bas moi aussi tout en prenant la tasse quelle me tendait, nos doigts se touchèrent et sa me donna un petit choc érotique.
Elle s’éloigna pour attendre mains dans les poches. Les pantalons de camouflage lui faisait un Crist de beau cul. De dos comme sa elle avait l’air d’avoir 30 ou 40 ans. Je remplie la tasse de sucre plus exciter que jamais et mit mes running en me disant que non seulement j’aurais pas a la chercher mais qu’en plus j’allais pouvoir me rincer l’oeil a volonté, surtout avec cette petite camisole et sans soutien-gorge et aussi, j’allais enfin savoir a qui appartenait cette voix qui m’était si familière.
Je refermer la porte doucement et la rejoignit, mon bandage diminuait un peut. Elle paraissait grande parce qu’elle était mince mais en réalité elle était aussi petite que ma blonde et tout aussi bandante dans son genre. Cette femme la devait être une vrai bombe plus jeune.
-Merci, je vous le rendrai, dit-elle en prenant la tasse, on vas en ville après le dîner a l’épicerie, si vous avez besoins de quelque chose vous gêner pas!
-Ok! Fi-je simplement sous le charme de cette belle sorcière rousse. Une vrai rousse a voir la blancheur de sa peau et les taches de rousseurs sur ses bras et sa gorge. C’était le genre de femme dont il était difficile de deviner l’age, le genre qui vieillit bien et semble rester jeune. J’avais une tante comme ça sur laquelle je bandait plus jeune, une jolie petite brune au yeux bleu, encore aujourd’hui a 70 ans elle restait baisable a mort.
Elle me sourit tandis qu’on allait rejoindre le chemin en marchant cote a cote. Je m’efforçais de ne pas trop regarder ses seins lourds très bas, blanc comme de la neige, qui ballottaient et débordait pas mal de l’étroite camisole et dont les mamelons pointait toujours. Visiblement elle n’avait pas trop de pudeur a se montrer comme ça a un inconnu même a son age. Elle devait être encore fier de sa poitrine si non elle aurais enfiler un soutien-gorge avant de venir a notre roulotte. Ou bien elle le fait exprès pour t’exciter, me dit une petite voix. Mais j’y croyait pas trop! Je n’ai rien d’un tombeur, au contraire. Et pis elle ne pouvait pas savoir que ses moi qui lui répondrais.
Mais elle, c’était une sacré belle femme et elle le savait. Il y as 40.000 ans elle aurais appartenu au chef du clan ces certain et moi, grand mince et timide, j’aurais du me contenter de la regarder comme maintenant. Il émanait d’elle une impression d’assurance et de désinvolture étrange. Un espèce de magnétisme a****l, si elle vivait seul, elle devait se faire aborder constamment, même a son age. Elle paraissait pédante en la voyant marcher tête haute comme maintenant mais visiblement c’était pas le cas. Elle avait de la classe, du charisme, de l’assurance, probablement une femme de médecin ou de politicien. En tout cas elle en avait le genre et je vis quelle portait un petit anneaux au doigt. Du coin de l’oeil je regardai encore ses seins qui se balançait, menaçant de sortir de la camisole en salivant. Sa me troublait terriblement et ça m’empêchait de débander, c’était même tout le contraire et marcher comme sa c’était pas très confortable.
-Vous camper dans le coin ou vous avez un chalet? Demandai-je pour essayer de faire baisser la tension dans mes shorts.
-On campe moi et ma nièce, elle est arriver ce matin, ses une amie qui ma parler de cette endroit. C’est magnifique, calme, reposant. Je déteste les campings bondé, les endroits plein de monde et vous, vous venez souvent?
-Première fois, ces ma copine qui venait ici quant elle était jeune avec ses parent. Nous aussi on aime la tranquillité, la nature sauvage.
-Elle est Amérindienne on dirais a voir ses traits?
-Métis, sa mère l’était mais son père était québécois.
-Elle est très jolie et on peut dire que j’ai vue votre dame sous toute les coutures! Fit-elle rieuse.
-Oui, Affirmai-je en riant, sa on peut le dire, désoler j’avais rien pour la couvrir ce matin.
-Of! Fit-elle avec un geste désinvolte de la main. J’avais déjà tout vue hier! Et pis ces beau de voir de belles personnes nue. Vous aussi! Sé mignon les jambes sans poil toute lisse comme sa, ces la première fois que je voit un homme qui se rase les jambes! C’est très sexy!
-Merci, j’aime pas le poil.
-J’ai bien vue sa hier également, y en as nulle part d’ailleur! Fit-elle les yeux petit, luisant et rieurs.
-Je suis vraiment désoler pour sa aussi, on se croyait vraiment seul dans le coin!
-Ah seigneur, ses rien, j’en et vue d’autre a mon age. Vous en faite pas pour sa! Ses très excitant de le faire a l’extérieur sa mes arriver souvent, pas assez même! Mais votre dame a des seins très généreux a doit avoir des maux de dos la pauvre?
-Non pas du tout!
-En tout cas, j’en avait jamais vue d’aussi gros. Vous êtes gâter vous!
-Wais! Fi-je en sueur et bandant encore plus, comme si c’était possible.
Elle rit en me regardant drôlement et dit en pointant la bosse sous mon t-shirt du doigt.
-Y aurais pas un peut de moi la dedans par hasard?
Timide comme je suis, je me sentit prit en défaut et je rougie un peut.
-Ben.. Un peut! Avouai-je en déglutissant. Elle rit encore si belle en me jetant un de ses petit regard malicieux.
-Ah, ben, fit-elle d’un ton en jouer, ces flatteur a 67 ans de savoir qu’on provoque encore des réactions comme ça chez un bel homme, plus jeune en plus, un peut timide et avec d’aussi belle jambes.
-67 ans, fi-je vraiment surprit mais je mentit un peut en rajoutant, je vous donnais, 45, 50 maximum!
-Merci, c’est très gentil! Mais ces vrai que je suis assez bien conserver, on est comme ça dans famille. Ma mère est rester très belle fort longtemps, elle était mannequin dans sa jeunesse.
-Et vous, mannequin aussi?
Elle sourit encore. Visiblement elle était très consciente de l’effet quelle me faisait et j’avais trop chaud tout a coup.
-Moi, seigneur non! Trop petite, mes jambes son trop courte, mais j’aurais bien aimer a une certaine époque. J’ai quand même poser pour quelque peintres dans la vingtaine, même la trentaines. J’ai un faible pour les artiste!
La je flipper en lui disant.
-J’en suis un, enfin, je croix, en tout cas ses ce qu’on dit!
Elle me regarda plus intensément, les yeux plus brillant.
-C’est vrai? Je m’en doutait un peut, vous avec le style, vos petit running blanc et noir sa trompe pas, votre regard surtout. Vous faites quoi?
Je regarder mes running en riant et lui expliquer ce que je faisait sur internet, elle me fit promette de lui laisser l’adresse de mon site elle voulait voir sa.
On discuta un long moment du dur métier d’artiste puis je lui demander soudain inquiet.
-Au fait, j’espère que votre nièce a pas 10 ans, je voudrais pas eh.. Me pointer comme ça… Dis-je en regardant ma bosse.
La elle rit de bon cœur et dit.
-Vous inquiétez pas pour ça, sa fait longtemps qu’a pu dix ans la grande! Mais sa doit pas être évident de marcher avec une érection pareil?
Elle avait demander sa sur un ton anodin comme si on parlait de tarte au pomme et juste l’entendre dire le mots érection avec sa si belle bouche et son air si noble me fit déglutir et me donna le frissons.
-Pas vraiment. Vous devez me prendre pour un obséder, je suis désoler!
-Pas du tout. Fit-elle avec aplomb. Vous inquiétez pas! Seigneur sé plutôt emballant de savoir que ses moi qui suis la cause de sa, enfin, en partis. Pis je fait rien pour vous aider, je me promène sans soutien-gorge en petite camisole et je pense que j’ai encore une belle poitrine. Mais sa fait tellement du bien d’enlever ses maudites brassières la. En vacance j’en profite. Stresser pas, chut pas le genre a crier au meurtre parce que je voit un gars bander dans son pantalon, surtout si y bande pour moi!
Doux Jésus, j’en avait les jambes molle de l’entendre. C’était pas le genre de femme qu’on pouvait imaginer sacrer ou entendre dire, bander, érection, ou sucer un gars. Pourtant elle devait le faire comme les autres. Ç’en était que plus excitant. Une bouffé de chaleur me remonta au visage. J’ai toujours été un grand naïf très intimider par les belles femmes et on me changeras pas a mon age.
-Ma blonde aussi en profite en vacance, on fait beaucoup de naturisme depuis quelques années, mais seul, dans des coins isoler comme ici. Des marches en forêt, se baigner, on se sent libre alors ses possible que vous nous aperceviez encore les fesses même si on vas essayer d’être plus discret maintenant qu’on sait qu’on as des voisins.
-Faut pas vous en priver pour moi seigneur, gêner vous pas! J’ai jamais oser le faire mais j’y et pensé souvent, je veut dire les balades nue en forêt, me baigner nue oui par contre, sa m’arrive. Mais un femme seul sa me stresse un peut dans le bois en tenue d’Eve, on sait jamais sur quelle genre de malade on peut tomber, pis les camps de naturisme a mon age non merci avec mes seins qui tombe pis le reste. Si j’avais encore 20 ans peut être, mais la non!
-Ben, répondis-je rapidement sautant sur l’occasion, demain ma blonde veut qu’on aille au chute Éloise, ces a une heures de marche environ, si sa vous tente j’y en parlerais. C’est un endroit secret que son père avait découvert. Il y emmenait la famille quand elle était jeune, y as personne qui vas la bas parce qui il n’y as pas de sentier pour s’y rendre. On vas pic niquer et se baigner.
-Ses cute comme non les chute Éloise.
-C’était le nom de sa mère!
-Ces charmant! Je sais pas, ses un peut gênant a mon age de se balader nue… Toute tombe. Mais ma nièce seras pas la de la journée demain je me demandais justement ce que j’allais faire. Rester étendue a me faire bronzé toute la journée ses pas mon genre, moi faut que sa bouge même en vacance. Je vais y penser, venez prendre un verre de vin ce soir autour du feux avec votre dame ou une bière si sa vous tente, on en reparleras.
-Ok. Mais je peut vous dire qui a bien des femmes de 40 ans qui doivent vous enviez. Vous êtes magnifique. Affirmai-je un peut nerveux.
-Et bien, pour un homme timide vous savez parler au femme vous! Un artiste un vrai, sa se voit.
La je rougi encore, je suis comme ça.
-Pis y rougit en plus… Cé cute!
On marcha encore un moment en silence. Le soleil commençait a chauffé sérieusement, la forêt était silencieuse et sombre. On entendait plus d’oiseaux, même pas un écureuil comme si toute vie avait déserter la planète. Le calme absolue. Je nous imaginais marché nue avec elle demain, se baigner et peut- être plus. Moi et Suzanne on est un couple assez ouvert côté sexe…
Je soupirer tout bas, ma maudite bite refusait de désenfler évidemment.
Soudain elle stoppa, je m’arrêter aussi, curieux en la regardant, elle souleva la tête et me fixa droit dans les yeux un moment. Je me sentit fondre.
-Moi ces Pierrette, dit-elle en me tendant une main frêle mais énergique que je serrai.
-Paul.
-Très heureuse Paul!
Le simple fait de lui serrer la main me donna la chaire de poule.
Elle me fixait toujours tandis qu’on se lâchait les mains, je la trouvait si désirable que mon coeur en cognait et que j’en avait un noeud dans l’estomac et elle sembla prendre une décision. Elle me tendit la tasse de sucre en disant tout bonnement.
-N’en renverser surtout pas, je vais vous soulager si sa ne vous ennuie pas?
Éberluer je la vit se mettre a genoux devant moi, lever la tête et me regarder en rajoutant.
-Je voudrait pas vous crée d’ennuies avec votre Dame Paul mais je pense qu’une bonne pipe vous ferait du bien!
Je déglutit croyant rêver les yeux agrandit.
-A devrait pas ce lever trop tôt ce matin Pierrette , sa devrait aller et puis elle et moi on est pas jaloux! Et vous? Demandai-je en pointant son anneaux au doigts quelle regarda.
-Mon mari! Extrêmement jaloux, mais mort et enterré depuis 10 ans vous inquiétez pas Paul. Alors sa vous tente?
-Oh oui!
-Good, fit-elle toute joyeuse en me déboutonnant, ses doigts frôlèrent mon gland, sa m’électrisa et fit pulser ma bite. Elle baissa ma fermeture éclair et descendit mes short au genoux. Ma queue bien droite et sans prépuce lui bondit sous le nez. Pierrette plissa les yeux visiblement exciter.
Elle l’agrippa, ses doigts mince en faisaient le tour tout juste puis elle me branla lentement pressant mes couilles basse et sans poil de l’autre main en disant.
-Ses un beau pénis sa et les couilles, seigneur ses si doux sans poil. Sa fait longtemps que j’ai pas fait une pipe a un homme Paul, j’ai jamais été une bonne suceuse mais je vais faire de mon mieux. Faudras juste m’avertir avant de jouir ok!
Jésus Marie Joseph, j’étais au anges en la regardant faire les yeux petit. Je planait en serrant mes petites fesses de plaisir, déjà. J’aurais tout donner pour avoir ma caméra.
-Ok! Fi-je la voix enrouer en écartant les pieds le plus que je pouvait.
-Pas de prépuce en plus, j’aime mieux sa. On vous la enlever a la naissance?
-Ouis, fi-je en grimaçant, on le proposait au mère a l’époque, pour l’hygiène.
-Je savait pas, pis les cuisses, fit-elle en lâchant mes couilles pour me les caresser, ah que ces doux, j’aime ça!
-Good! Lâchai-je dans un souffle tandis quelle reprenait mes testicules.
Sa la fit rire, puis redevenant sérieuse elle amena mon gland a sa bouche grande ouverte langue sortit, une toute petite langue pointu et l’avala gardant les yeux baisser. Elle commença a donner de la tête lentement en salivant énormément. Elle me suça juste le bout de la bite en me crossant doucement a poing fermer. Un lent mouvement de vas et vient fantastique. Moi d’une main je caressait sa chevelure épaisse et de l’autre je tenait la maudite tasse de sucre que je ne pouvait plus poser par terre. Mes fesses se contractaient, mon anus pulsait, mes genoux tremblaient et mes orteils se repliaient déjà dans mes running tellement c’était bon de se faire sucer par une femme comme elle et de 67 ans en plus. Je suis certain que bien des hommes quelle avait côtoyer avait du en rêver.
J’y croyait toujours pas et pourtant je sentait bien mon gland sensible glisser sur sa petite langue pointue et humide quelle agitait parfois m’arrachant des grimaces. Je voyait bien ses lèvres mince luisante de salive arrondit autour de ma hampe et je sentait bien aussi sa petite main qui me pompait heurtant mon ventre et ses lèvres. Se faire sucer par une femme comme elle c’était sacrément excitant, trop pour que je puisse me retenir longtemps. Sous le coup de l’excitation j’essayais de pousser ma bite plus profondément dans sa bouche en serrant les fesses mais son poing m’en empêchait. C’était un peut frustrant, mais je comprit quelle n’en avait pas envie et je n’insistai pas. J’essayais de me concentrer pour que sa dure le plus longtemps possible mais se faire sucer juste le gland comme sa ça agasse en tabarnouche et mon coeur cognait de plus en plus sans parlé de l’autre main malaxant mes couilles.
Je vit que le même seins que tout a l’heure était encore sortit de sa camisole et se balançait mollement comme l’autre. Ses mamelons étaient gonfler et dure et elle devait mouiller dans ses petite culotte. J’aurais tout donner pour la baiser d’aplomb, la, sur la route, étendu sur elle ou en levrette, elle devait avoir une Crist de beau cul. Mais pour l’instant la pipe me suffisais amplement, c’était même au delà de mes espérances et je priait pour qu’on entende pas de voiture arriver, dents serrer et en sueur.
Il me semblait tout a coup que je sentais plus l’odeur de la forêt, un mélange de pin, d’humus, et de terre noir. J’entendais même un ruisseaux qui cascadait au loin et surtout des bruits de succion provenant de la bouche arrondis de Pierrette qui laissait s’écouler de la salive rendant sa petite main bien glissante.
Sa pipe matinal m’électrisait et m’arrachait des petite plaintes. J’étais au paradis!
Mais c’était trop pour moi si tôt le matin et j’étais bander depuis trop longtemps. Mes couilles rentrèrent, mon scrotum durcit, ma queue devint plus grosse, plus sensible, le gland surtout et je sentit l’orgasme arriver. Je serrer ses cheveux plus fort en disant…
-Attention Pierrette, je viens. Ouf…
Elle stoppa la tête, mais garda mon gland dans sa bouche et me crossa plus fort et plus vite sans lâcher mes couilles… Des gouttes de liquide séminal ou de sperme sortait déjà de mon gland et tombait sur sa langue. J’étais tendue comme la corde d’un arc et je gémissait plus fort.
-Pierrette, l’averti-je a nouveau la voix chevrotante, sa viens…
Elle continua, je comprit alors quelle se préparait a tout avaler. J’allais de surprise en surprise avec cette vieille dame très digne. Sa redoubla mon excitation, mais sa petite main ne serrait pas assez pour me faire jouir. Sa restait juste sur le bord et j’en pouvait plus.
-Serre plus Pierrette…
Elle le fit compressant ma hampe, cette fois sa y était.
-Oui.. Comme sa sé bon…Ahhh…
Mes genoux flageolaient, j’étais sur le point d’exploser, les gros muscles a l’intérieur de mes cuisses se contractaient et je tanguait d’avant en arrière en sentant l’orgasme enfin monter. Encore la, le timide que je suis n’aurais jamais crue qu’une femme comme elle puisse avaler, surtout le sperme d’un inconnue.
La tasse de sucre pencha dangereusement quand le sperme grimpa dans mon urètre, je la redresser en rallant, crisper, dents serre, geignant de plaisir, orteils retroussé en explosant enfin dans sa bouche contre son palais et droit dans sa gorge.
Elle sursauta et gémit par le nez tandis que mon premier jets de sperme, le plus puissant, jaillissait. Elle avala aussitôt compressant mon gland contre son palais narine dilatée.
-Ahhh… Fi-je tétaniser par le plaisir les yeux fou en fixant sa bouche, autant électriser par mon orgasme que par le fait que cette femme la avalait mon sperme.
J’en perdit le souffle et mon coeur sembla s’arrêter, sa petite main bien serrer stoppa et elle se contenta de me laisser jouir. Sous le coup du plaisir je me pencher vers l’avant en me frappant les genoux et faillit renverser le sucre encore une fois, mais je m’en foutait complètement en déchargeant encore et encore comme si j’avais pas éjaculer depuis des mois. Elle avalait a chaque giclée et sa accentuait mon plaisir. J’allais cette fois renverser la tasse trop concentrer sur mon plaisir quant une main de femme l’agrippa juste a temps et me l’enleva. Je crue que c’était Pierrette. Aussitôt ma main libre se referma dans sa chevelure avec l’autre et je me mit a pousser ma bite le plus loin possible dans sa bouche pour me finir. Je ressentais un plaisir puissant a tenir la tête de cette femme la et de pousser ma bite entre ses lèvres. Son poing était si serrer que ces a peine si ma queue bougeait mais ce fut suffisant.
Puis je réaliser quelle me serrait toujours les couilles, donc que quelqu’un d’autre m’avait prit la tasse.
Mon coeur s’arrêta de battre cette fois croyant que c’était Suzanne, je tournai la tête en lâchant une autre jets de sperme avaler aussitôt et je figer de surprise en voyant une grande femme mince et séxé, pieds nue, au longue jambes musclées, en short jeans, haut de bikini noir et qui riait a gorge déployer les yeux quasiment fermer tête en arrière. Je voyait tout ces plombages. C’était la nièce sans aucun doute, le lien de parenté était trop visible sur son visage magnifique même déformer par son rire. Je comprit tout de suite pourquoi j’avait crue reconnaître cette voix la ce matin. C’était une lectrice de nouvelles, l’une des plus connu de la province et certainement la plus bandante. Une grande femme de ma taille et de mon age au long cheveux blond-roux, mince, ventre plat, tout en jambe. Elle avait un beau visage ovale au joue creuse, au lèvres pulpeuse avec de grand yeux étirer en demie lune presque toujours a moitié fermer, surtout quant elle riait comme maintenant. Une bombe sur laquelle fantasmait la plus part des hommes censé. Y comprit moi, comme bien d’autre j’avais triper sur elle terriblement a une certaine époque. Elle avait le plus beau sourire de la colonie artistique, tout le monde s’accordait la dessus.
Et elle était la, juste a côté et me regardait décharger dans la bouche de sa tante. J’hallucinais.
Elle riait toujours de bon coeur les yeux plein d’eau, comme je l’avait vue faire si souvent a la télé en nous regardant l’un et l’autre. Une fille un peut garçon manquer bandante a mort avec de jolie dents de lapin. J’avais une grosses collection de photo d’elle dans mon ordinateur. Elle avait été mannequin a l’adolescence, elle avait tout pour ça, puis journaliste et maintenant lectrice de nouvelle. A 50 ans, elle restait encore une des femmes les plus séxé du Québec et qui posait souvent dans des magazines féminin. Il y avait beaucoup de vidéos d’elle sur le net en robe séxé dans des gala, ou de ses décolleter plongeant quand parfois elle participait a des jeux téléviser.
J’aurais jamais rue la rencontrer un jour et encore moins dans cette situation, les culotte a terre et sa la faisait rire en plus. Sa décupla mon plaisir.
-Wais! Fit-elle avec cette voix un peut enrouer si typique que j’avais entendue si souvent a la télé. Pendant que je niaise comme une dinde a attendre les secours, ma tante fait une pipe a un bel homme. Ah ben! Belle fesses en plus et regardez moué sé belle cuisses la toute lisse, wow! Est bonne celle la! Vous savez me dit-elle en me fixant, ma vieille tante est pas la meilleur de la famille pour faire une pipe!
Jésus-Crist, la lectrice de nouvelle si sérieuse venait de me dire sa.
Un peut dépasser je regarder la tante qui n’avait même pas lever les yeux comme si on était toujours seul sauf pour lâcher mes couilles et faire un doigt d’honneur a sa nièce qui pouffa de rire encore une fois a n’en pleurer. Puis elle me regarda et s’approcha en me fixant droit dans les yeux, mon coeur bondit.
-Salut, dit-elle en me tendant la main arborant un large sourire, mois ces Marie!
Elle savait très bien que je l’avait reconnue et sa semblait l’amuser terriblement.
-Je sais! Fi-je en tremblant et en suant a grosse goutte, lâchant les cheveux de sa tante pour lui serrer la main au paroxysme de l’orgasme, sa m’électrifia littéralement.
-Je sais, ses un beau prénom sa messieux! Fit-elle amuser prenant un petit air coquin en penchant la tête s’amusant a mes dépend. Je la trouvait plus belle qu’a la télé, sans maquillage, au naturelle comme ça et ses yeux… Ouf….
-Paul, fi-je a bout de souffle et chancelant.
-Très heureuse Paul, vous êtes entrain de conclure on dirait! Fit-elle les yeux rieur en me lâchant la main. Des yeux brun-vert splendide comme sa tante.
-Oui! Grommelai-je niaiseusement en ravalant ma salive.
-Et ben, en tout cas sa l’air le fun! Chut arriver juste a temps pour sauver le sucre! Dit-elle moqueuse en soulevant la tasse comme si c’était un trophé. On vas pouvoir se faire un bon café ma tante sa vas changer le gôut.
La elle rit de plus belle et moi aussi. C’était une des rare fille que je trouvait drôle a la télé. Elle avait un bon sens de la répartit quand elle passait en entrevue et un bon sens de l’humour.
-J’en revient pas! Rajouta-elle en s’essuyant les yeux et se reculant un peut comme pour avoir une meilleure vue d’ensemble. Ma tante! Vous avez pas honte?
Elle resta la a regarder, une jambe droite, l’autre tourner vers l’extérieur, un bras croiser sous ses seins que je trouver plus gros que ce que j’imaginait, tenant la tasse comme si elle posait pour une pub de café et semblait s’amuser follement.
La tante recommença a me pomper en agitant la langue autour de mon gland ultra sensible. Sa me ramena a la réalité comme un coup de fouet sur les fesses. J’avais fini de décharger mais du sperme coulait encore un peut. Du bout de la langue elle le cueillait en touchant ma petite fente au sommets du gland m’arrachant une grimace. Ces vraiment sensible cet endroit la quand on vient d’éjaculer!
-On mord pas ma tante ses pas fin ça! Se moqua la vedette.
Je rit encore en la fixant. Elle me regarda intensément un moment, son sourire diminua, je vit quelle comprenait a quelle point la voir la, a nous regarder m’excitait et je comprit que sa l’excitait elle aussi, ses mamelons pointait sous le tissus noir du bikini que je ne put m’empêcher de regarder franchement ce qui ne sembla pas la déranger. Populaire comme elle l’était elle avait du s’habituer a ce faire regarder de la sorte j’imagine et puis elle savait fort bien a quelle point elle faisait fantasmer les hommes N’empêche que sa me gêna et je détourner les yeux.
C’était hallucinant comme situation et je regarder a nouveau la bouche de Pierrette. Du sperme débordait de ses lèvres, elle n’avait pas pu tout avaler et sa coulait sur son menton tombant sur son seins a l’air et sa camisole.
Je fini de jouir sans y croire, le souffle court, cette fois je rêvait c’était certain. Pierrette me suçait toujours les joues rouge en jetant un coup d’oeil a sa nièce qui lui fit un clin d’oeil. Mon gland devenue trop sensible me faisait presque mal.
-Sa vas Pierrette, ouf.. Sa vas…, merci! Fi-je en grimaçant.
Elle recula la tête, laissa sortir mon gland de sa bouche et me lâcha la hampe et les couilles pour s’asseoir sur ses fesses, essouffler elle aussi en disant, pendant que du sperme épais pendouillait de son menton en s’étirant.
-Seigneur, fit-elle, pour un petit messieux sa sort en tabarouette.
L’animatrice rit de plus belle prenant un petit air de découragement superbe.
Je me la prit exciter de m’éxibé ainsi devant elle et me la secouer tandis que Pierrette s’essuyait la bouche du dos de la main et se relevait, sa nièce lui tendit la main et l’aida. J’en revenait pas d’être la, bite a l’air bander dur a me la secouer sa devant ces deux femmes, la lectrice de nouvelle surtout qui rougit un peut en regardant sans détour ma bite droite et encore bander dure qui laissait s’écouler un peut de sperme gluant qui tombait en s’étirant sur la terre battue. Je prit mon temps pour bien me la presser.
Et elle me demanda avec un de ses fameux sourire.
-A suce bien ma tante Paul?
-Super bien! Lâchai-je dans un souffle, toujours éxiter en remontant mes short y replaçant ma bite difficilement encore une fois.
Elle me regardait me démener amuser, les yeux brillant.
-Tabarouette, cé beau sé cuisses raser de même j’en revient pas, sa doit être doux! Toué gars devrait faire sa hein ma tante!
Je me contenter de sourire en sentant mon coeur reprendre un rythme plus normal. Juste a pensé que cette femme la avait vue ma bite, ça m’aiderais pas a débander avant un bout. J’étais encore pogner comme avant, bander dure sous mes short mais soulager.
-C’était pas sa le coup de main dont j’avait besoin Paul.
-Oups! Fit-je en souriant et reprenant mon souffle.
-Arrête Marie! Fit sa tante très digne malgré la situation en replaçant sa chevelure avec son seins toujours a l’air avec du sperme dessus, l’autre a demie sortit. Le pauvre Paul aussi avant besoins d’un coup de main.
-J’ai ben vue sa! Bon si on allait arranger la roulotte, pis rentre dont tes boulles ma tante?
-Seigneur! Fit Pierrette en replaçant son seins sous sa camisole. Viens pas me dire que cé la première fois que tu voué lé seins d’une autre Marie?
-Non, mais ceux de ma tante oui pis avec du sperme dessus! Pis t’en as encore sur le menton.
Elle souleva sa camisole dévoilant sa poitrine au complet et s’essuya le visage avec et la replaça.
-La sa vas?
-Oui ma tante pis merci pour le chaud!
-Comme sa je suis pas la meilleur suceuse de la famille hein!
-Non! Fit l’autre amuser.
-Cé toué je suppose!
-Peut-être! Fit sa nièce en rougissant.
-Ben montre y dont sa, y pourras se faire sa propre idée ma grande, regarde y est encore prêt le pauvre.
-Ben la, wo! Pauvre lui, laisse le reprendre son souffle ma tante. Fit-elle en riant et me jetant un coup d’oeil torve.
Je savait quelle me niaisait mais les entendre parler de sa aussi franchement me galvanisa.
-Pis sa risquerait de le tuer par cette chaleur la. Mais je peut tu juste…
La elle s’approcha en se penchant et me flatta la cuisse. Jésus-Crist, ma bite pulsa.
Elle se redressa en disant.
-Ou… Sé doux doux… Tabaroutte, j’aime sa! Bon on y vas fit-elle les joues encore plus rouge.
Je flottait littéralement a marcher avec cette bombe sexuelle sur laquelle j’avais tant flipper juste a coté de moi et cette dame rousse si bandante qui venait de me sucer. La vie est belle parfois.
-Pas un mot a tu sé qui Marie! Dit Pierrette avec autorité.
-Ben voyons, tu pense que je vais l’appeler et lui dire; Salut, tu sait quoi, j’ai vue ma tante sucer un gars en camping.
La elle rire de plus belle.
-Ma tante, tu me décourage!
-Seigneur, comme si t’aurais jamais sucer un bel inconnue toi!
-Oui mais a t’on âge!
-Cé mieux avec l’expérience hein Paul.
-Les deux sont agréable. Répondis-je tout sourire, sa les fit rire encore. Et pis votre tante est superbe c’est de famille on dirait.
-Ohhh! Firent t-elle toute les deux.
-Yé fin lui ma tante!
-Yé pas juste fin, y goûte bon!
La elle éclatèrent de rire a en pleurer sa se répercutait au loin dans les bois et moi aussi.
Puis je débander finalement, une vrai délivrance ensuite on prit une entré qui menait a la rivière. Y avait une petite tente placer sous un arbre a coté d’une petite auto noir et un gros 4×4 gris avec une petite roulotte a deux roue comme la mienne jaune canarie.
L’animatrice s’essuya encore les yeux en disant.
-Seigneur j’ai mal au ventre…. bon, ces la première fois que je loue une roulotte Paul pis j’arrive pas a la détaché du camion. J’ai pourtant faite ce que le vendeur ma dit mais y as rien a faire.
-Ok! Fi-je. Vous êtes de filles hein! Je leur sourit en allant vérifier la boule a l’arrière du 4×4.
-Wais, la y et moins fin hein ma tante?
-Wais pas mal moins! Je vais aller me brosser les dents pis me laver, fait du café Marie.
Seul avec la belle grande rouquine je passer par dessus la barre qui reliait la roulotte au 4×4 et m’accroupit face a elle pour examiner l’attache de la roulotte en essayant de ne pas trop regarder ses longue cuisses musclé que j’avais juste sous les yeux. La poignée était lever, la pine et la chaîne de sécurité enlever. La barre de soutien descendu. Je me redresser et forcer mais rien a faire, sa coinçait.
-Sé bizarre hein! Fit-elle en se grattant le ventre plat et musclé faisant remuer ses seins. J’avais lue quelle faisait beaucoup d’exercice et suivait des régimes et sa paraissait. A part un peut de gras sous les avant bras elle était ferme de partout.
-Wais… Cé pas supposer faire sa!
Elle me fixa intensément et dit.
-Je vous intimide hein!
-Un peut! Fi-je en rougissant.
-Chut une fille ben ordinaire Paul! Ces ma tante qui vous a sauter dessus hein!
Je déglutit.
-Wais!
Elle rit en disant.
-Ça, sa m’étonne pas. Mais je suis pas mal connue alors se serait gentil de pas dire a tout le monde que je vous est surprit, et même regarder entrain de….
-Mais non pas de problème!
-Merci! En tout cas, sa vous as surprit de me voir!
-Sa ses sur!
Encore un rire les yeux presque fermer. Elle était craquante a mort.
-Je peut rentrer dans roulotte une seconde me débarrasser du sucre et faire le café?
-Oui oui, pas de problème!
-Vous en voulez un?
-Oui, lait et un sucre merci!
Je l’entendit grimper dans la roulotte en réfléchissant. C’était impossible que sa reste coincer sur la boule comme sa… Et soudain j’allumé. Le vendeur m’avait parler d’une deuxième sécurité sur certain nouveau modèle, il me l’avait même montrer. Je glisser la main sous la barre de métal de la roulotte, trouver un petit levier et tirer. Sa se détacha tout d’un coup et la roulotte bascula sur le cul. Je me reculer vivement pour ne pas être heurter par la barre. A l’intérieur il y eu un cris et des bruits de dégringolade de bagage et de vaisselle pis un Tabarnak retentissant. Elle n’avait pas descendue les pattes a l’arrière pour soutenir la roulotte et moi trop occuper a regarder des belles jambes j’avais pas vérifier. La belle lectrice de nouvelles devait se trouver a l’arrière quand sa c’était détacher.
Pierrette arriva en courant de la rivière les yeux arrondit, le visage plein d’eau, une serviette a la main.
-Et ben, vous avez réussit on dirais! Dit-elle en s’essuyant le visage.
-Un peut trop je pense.
-Marie est ou? Pas en dessous j’espère, fit-elle catastropher.
-Non non, est dans roulotte!
-Dedans!
Je fit oui de la tête.
On entendit sacré encore et des choses qui revolaient.
Pierrette rit en me regardant.
-Est pas morte en tout cas! Marie, sa vas, té pas blessé ma grande?
Il y eu un long silence et puis.
-Juste dans mon orgueil Calis! Vas y avoir un Crist de bon ménage a faire, j’avais pas fait la vaisselle en plus, j’en et partout!
-Sa ça m’étonne pas, fit Pierrette en me regardant amuser, est pas forte sur le ménage pis est mal engueuler la tabarnouche. Partout de quoi ma grande? Cria Pierrette qui s’amusait follement tandis que j’inspectais l’arrière de la roulotte. Rien n’était briser, surtout pas la grosses bonbonne de propane, sa me soulagea et le vélo de montagne non plus attacher la.
-Du crist de spag. Sa m’apprendra a manger Italien le matin. Pouvez vous la redresser?
On essaya mais rien a faire.
-Té trop pesante ma chérie! Hurla Pierrette en me faisant un clin d’oeil.
On riait tout les deux quant on entendit.
-Tabarnak! OK! Je sort!
J’en revenait pas de l’entendre sacré comme ça. Évidemment c’était tout le contraire de l’image quelle projetait a la télé de femme sérieuse et bien éduquer.
-Bon, qu’est-ce que mon chum a encore fait comme gaffe. Entendit-je en reconnaissant aussitôt la voix se ma blonde.
On se retourna tout les deux, Suzanne arrivait en short et t-shirt, ses petite lunette ovale sur son nez et regardait la roulotte tout sourire.
-Moi rien! Protestai-je.
-Wais, y me semble fit-elle rieuse a s’arrêtant devant moi. C’est ton genre de gaffe sa.
La porte s’ouvrit et claqua contre la roulotte, on vit deux mains s’accrocher au cadre, puis une tête. Marie avait des reste de bouffe sur le visage et dans les cheveux et riait.
-Té sur que sa vas? Demanda sa tante tandis qu’on l’aidait a descendre. Suzanne la regarda avec un drôle de sourire sans paraître surprise de découvrir qui c’était. Pourtant elle la voyait souvent a la télé, on regardait les nouvelles régulièrement.
-Wais wais, sa vas, peut-être un bosse et une coupe de bleu! Fit-elle en extirpant des spaghettis collant de ses cheveux et de son haut de bikini. Elle avait de la sauce rouge et des miettes de pain sur les épaule et du jaune d’oeuf sur une cuisse mélanger a du sucre.
-Jésus-Crist! Fit-elle en secouant ses cheveux. J’avait oublier de descendre les pattes a l’arrière cé sa? Me demanda t-elle en riant.
-Wais! Fi-je en regardant Suzanne l’air de dire.. Tu vois, pour une fois cé pas moi!
-J’étais a l’arrière pis tout d’un coup, oups, sa basculer, j’ai r’voler contre le lit pis tout ce qui était sa table pis le comptoir mes tomber dessus en plus de mes bagages pis un paquet d’affaires. Y as qua moi que sa arrive sa!
-Oh non, assura Suzanne, a lui, sa y arrive tout le temps dé affaires de même.
-Cé Suzanne, ma blonde, Pierrette et…
-Marie Lemieux, je sais, on vous écoute régulièrement.
-Salut. Bon chut du pour une bonne douche, on peut la replacer droite la maudite roulotte avant!
-Aidez moi les filles, ordonnai-je, allez peser sur la barre en avant pour la redescendre moi je vas placer les pattes a l’arrière.
Sa nous prit deux minutes et on avait rien briser, puis j’expliqué la double sécurité a la bombe rousse qui me remercia malgré tout avant de filer sous la douche et on rentra au camp. Je flottait toujours en repensant a ma pipe. Suzanne avait ses petites aventures aussi de son côté, alors, je ne me sentait pas trop coupable mais j’étais pas sur de vouloir y raconter.
-Faut que je monte a Sept-île, me dit-elle en marchant, juste deux ou trois jours, ma soeur a encore fait une rechute, son chum la lâcher.
-Tu veut que j’aille avec toué!
-Pas besoins, reste ici, repose toué pis profite ans…
La elle me regarda drôlement avant de sortir notre mini caméra d’entre ses seins. Cé pas la place qui manquait pour cacher des choses dans ce coin la.
-Tu vas être contant mon homme, j’ai tout filmer!
-Filmer quoi? La roulotte?
-Ben non idiot! Le téléphone ma réveiller au moment ou je t’ai vue partir avec la cycliste. J’ai parler a ma soeur puis me suis habiller pour te rejoindre et t’avertir et j’ai amener la caméra au cas ou je verrais un ours ou un orignal et…
-Et! Fi-je le coeur battant, me doutant de la suite
– Sa avait l’air le fun mon homme, a suce ben la vieille Dame?
-Eh! Oui. Pas mal! Ta tout filmer? Demandai-je éxiter comme un enfant devant des cadeaux de noël a l’idée de revoir sa.
-Et oui! Je me suis approcher dans le bois en silence et j’ai rien manquer du spectacle.
La elle rit.
-Quoi! C’était si drôle que sa!
-Attend de voir la face que ta faite quand la vedette est arriver. Je t’ai jamais vue aussi surprit!
-Ben y avait de quoi!
-Ouais, j’ai été surprise aussi! Je sais a quelle point tu bande sur elle, faut dire qu’est pas mal même beurrer de spag…. Je pense pas que je vais te manquer trop trop mon homme.
-Je m’habitue pas a sortir avec une fille qui est pas jalouse, mon ex l’était tellement.
-Tu lé pas trop trop non plus. Tu te rappelle le gars au Nouveau-Brunswick.
-Wais! Fi-je en l’enlaçant. Celui la y est dure a oublier!
On rit tout les deux puis on figea devant un ours noir assis en plein milieux du chemin et qui se frottait les fesses dans le sable jambes écarter et qui nous fixait en baillant. Un gros mâle a voir son engin.
Suzanne tlaqua fort dans ses mains en lui hurlant de partir et il fila la queue entre les jambes dans les bois. J’étais en sueur, les ours me terrifie.
-Jésus-crist, vas falloir être prudent.
-Pof, fit-elle, y on plus peur de nous que nous d’eux.
-Wais, si tu fait peur a un ours, j’ai intérêt a filer doux.
-Wais, fit-elle malicieuse, et surtout de filmer en mon absences mon homme. Comprit?
-Wais….
Le coeur léger je l’accompagner a l’auto, y mit son bagage puis l’embraser et la regarder partir. Puis je rentrer dans la roulotte avec la caméra en souriant.
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