Ma tante prit une douche dans la salle de bain attenante à la suite parentale que je partageais avec ma mère. Elle y resta un moment. Ma mère lui apporta une serviette lorsqu’elle eut fini.
– Tu sais, ça ne me dérange pas que tu fasses ça avec mon fils. C’est un beau garçon, même si la différence d’age est importante entre vous, je comprends qu’il puisse t’attirer. Après, je ne m’attendais pas à ça de toi.
Ma tante attrappa la serviette que ma mère lui tendait.
– Mais tu ne comprends pas que je n’ai pas le choix… Il menace de tout dévoiler à mon mari…
– Mais que me racontes tu là ?
Tandis que j’écoutais la conversation, je me mis dans l’entrebaillement de la porte. C’était vraiment excitant de voir ma mère, seins nus et en maillot, à coté de sa sœur completement nue.
– Qu’est ce que tu dis Aurélia ?
– Je… non, rien… marmonna t-elle en baissant un peu les yeux.
Je fis un demi sourire, et continuais de regarder les deux femmes.
– C’est laquelle de vous deux qui a les plus gros seins ? Ils sont un peu pareils non ? Aurélia peut etre que les tiens sont un peu plus généreux ?
Ma mère se mit à coté de sa sœur.
– Oui ils sont presque pareils. vraiment jolis en tout cas.
Je m’approchais des deux femmes, et je posa ma main sur la poitrine d’Aurélia, qui tressaillit légèrement.
– Ils sont tellement doux, j’adore…
Je baissais mes yeux vers son bas ventre.
– Et ta toison… j’adore ça aussi, les petites chattes poilues. Ca m’excite…
Je jetais un œil à ma mère, qu’Aurélia remarqua. Ma mère eut un demi sourire à son tour.
– Et bien je ne te montrerai certainement pas, je suis ta mère n’oublie pas.
Ma mère regarda sa sœur, puis l’installa devant le miroir, et sortit le seche cheveux.
– J’ai envi de te coiffer et m’occuper de tes cheveux, tu sais comme quand on était ados. Je te faisais des nattes à l’époque. J’aimerai bien essayer de te faire un chignon, ça te tente ?
Ma tante fit un sourire et un acquiescement de la tête. Ma mère brancha le seche cheveux, tandis que je continuais de sucer les seins d’Aurélia. Ma main descendit vers sa chatte, et je glissais deux doigts en elle. Elle poussa un petit soupire, tandis que je commençait la doigter, en prenant bien soin de rentrer et sortir completement mes doigts de chatte à chaque fois, et en allant plutôt vite.
– ohhh bon sang, murmura t-elle.
– qu’est ce qu’il y a ?, dis donc, ca a l’air de te plaire, tu es trempée…
De la mouille coulait dans l’entrecuisse d’Aurélia et mes doigts faisaient un bruit mouillé intense. Ma mère passait sa brosse dans les cheveux de sa sœur, tout en la complimentant :
– ils sont vraiment superbes, tu utilises quoi comme shampooing ?
Je limais à présent ma tante avec quatre doigts qui allaient profondément en elle, et ma main était trempée par sa mouille. Elle se cambra subitement et ne put retenir un orgasme. Elle posa sa main sur la mienne, sa chatte devenant trop sensible.
– oh mon Dieu faut que je fasse pipi, vite…
Ma mère lui montra les toilettes dans la pièce, juste à coté de la baignoire.
– heu… pas devant vous ?
– ça va, fit ma mère, on est sœurs… et tu as vu tout ce que tu fais avec mon fils…
Aurélia alla vers les toilettes, ouvrit le couvercle et s’assit. Ayant constaté son mal à l’aise, je m’étais approché, et me pencha un peu pour observer. Un jet important sortit de sa chatte, et elle pissa avec envie. Je la regardais faire, et elle baissait les yeux. Elle ne s’arrêtait pas de pisser, ce qui me fit bander. Je baissa mon caleçon, passa ma main rapidement dans son jet de pisse, et impregna ma queue de pisse chaude. Ca me fit bander très fort d’avoir la pisse de ma tante sur ma queue. Je m’approchais d’elle, et présentait ma queue devant son visage. Je me branlais devant sa bouche.
– Allez suce…
Ma tante fit une petite grimace, terminait de pisser, prit un peu le bout de mon gland en bouche, fit une grimace plus importante. Je décidais de lui enfoncer ma queue dans la bouche, en la prenant par la tête, passant ma main dans ses cheveux.
– Désolé maman pour la coiffure…
– C’est pas grave, j’ai à peine commencé.
Je baisais la bouche de ma tante à lui défigurer le visage. Ma queue tapait à l’interieur de ses joues, ou alors tapait au fond de sa bouche, glissant un peu dans sa gorge. Ma mère se passait de la creme anti-age sur le visage sans trop nous regarder, comme si nous n’étions pas là. Je sortis ma queue de la bouche d’Aurélia, la prit par la main, et la ramena devant le miroir, à coté de ma mère. Je la fis se pencher en avant, elle s’accouda contre le lavabo. Je lui écartais les fesses et attrappa la creme anti-age de ma mère. J’en pris une grosse noisette sur le bout du doigt, et en tartina le cul de ma tante, sur l’exterieur mais également à l’interieur de son anus.
– Ce n’est pas vraiment fait pour ça, rétorqua ma mère, et puis n’en mets pas trop, ça coute cher.
En tout cas, ce fut incroyablement efficace. Ma queue entra dans le cul d’Aurélia avec facilité. Il faut dire que je l’avais enculé il y a moins d’une heure déjà, mais la crème facilitait également la pénétration.
– Et bien, on ne vous arrête plus, commenta encore ma mère. Je ne pensais pas que tu appréciais ça… Ca ne fait pas mal ?
– Branle toi fort la chatte pendant que je t’encule, et tiens, on va faire une petite variante.
Je saisis mon téléphone, affichais une photo du fils d’Aurélia, et posa le téléphone juste devant elle.
– Voilà, regarde le bien en te branlant la chatte, et pendant que je te défonce le cul.
J’enculais ma tante avec force, je me jetais littéralement dans son cul, que je démontais à chaque coup, et elle se masturbait fort.
– Elle ne regarde pas vraiment la photo, nota ma mère. C’est dommage, car il est vraiment beau ton fils.
J’attrappais la tete de ma tante et l’orienta bien face au téléphone.
– Regarde le bien…
Ma mère se pencha un peu vers sa sœur et lui murmura :
– Tu sais, depuis que ton fils est grand, il est vraiment très attirant. Il doit avoir pas mal de conquêtes… L’autre soir quand vous etes venu à la maison, je me suis masturbée en me couchant en pensant à lui.
– Ohhhhhhh….
Aurélia était étonnée et avait joui avec force, sans rien contrôler. Elle venait d’enlever sa main de sa chatte, et des gouttes de mouille coulaient sur le sol. Je l’enculais encore pendant cinq minutes sans dire un mot. Ma mère lui caressait le visage, lui disait qu’elle avait de la chance d’avoir un fils si beau.
Je sortais ma queue brutalement, et força Aurélia à se mettre à genoux. Ma mère s’agenouilla aussi, recommençant à déméler les cheveux de sa sœur et la félicitant sur la qualité de sa peau.
Je lachais trois jets de sperme puissants , qui giclèrent sur les deux femmes, aspergeant leurs visages, leurs épaules, leurs seins.
Aurélia fut stupéfaite de me voir éjaculer sur ma mère.
– C’est de ma faute, j’avais qu’à pas me mettre là, fit-elle.
– Mon dieu, mais ton fils t’a éjaculé dessus !
– Tu sais, tu viens de jouir en te masturbant devant une photo de ton fils… Alors tu n’es pas bien placée pour ce genre de remarque… D’autant que regarde par terre… c’est une mare de mouille. Tu as dégouliné comme une folle quand tu as joui.
Cela était tout nouveau. Elle n’avait rien controlé. Ca ne lui était jamais arrivé auparavant.
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