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un soucis financier (3)

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Je ne me le rappelais plus, mais ce week end nous devions aller chez mes beaux parents. C’était vraiment la corvée du samedi, on devait faire ce rituel au moins une fois par mois, et là j’en avais encore moins envi que d’habitude.
Ma femme et moi nous sommes préparés de bonne heure, car il y avait environ une heure et demi de route pour aller jusque chez eux, et une fois arrivés là bas, toujours le meme accueil, ma femme prise dans les bras de son père et de sa mere, puis s’assoir autour d’une table et parler de l’actualité, de la pluie et du beau temps… je ne cessais de regarder ma montre, et le temps ne passait pas.
Mon petit bonheur fut de voir arriver Amalia une demi-heure après nous, je n’étais pas certain qu’elle vienne, car ces derniers temps ses contacts avec son père avaient été houleux. Il avait refusé de l’aider financièrement, lui disant qu’il était temps qu’elle trouve des solutions elle-même. Bref… Ses parents l’enlacèrent, puis elle fit la bise à ma femme, puis à moi.
– On va faire un feu de cheminée, fit le père, comme ça nous mangerons bien au chaud dans le salon. Ama, tu peux aller remonter un peu de bois sec s’il te plait.
Amalia se leva, et je me précipitais pour l’accompagner.
– Je vais t’aider.
Nous descendîmes quelques marches, pour aller à l’exterieur dans la buanderie où du bois sec était mis en reserve. Apres avoir refermé la porte derrière moi, je fis :
– tu as mis quoi comme culotte aujourd’hui ?
– tu sais bien…
– montre moi, c’est pour verifier.
Amalia déboutonna son pantalon et montra furtivement sa culotte. Elle portait la petite culotte Lise Charmel dans laquelle j’avais ejaculé cette semaine. Je l’avais appelé peu après mon départ, l’autre jour, en lui demandant de porter cette culotte, sans la laver, jusqu’à ce que je lui dise d’en changer.
– fais mieux voir…
Je lui tirai le pantalon vers le bas et examinait la culotte d’Amalia. Il y avait des traces de foutre séché un peu partout sur le devant, ça m’excita tellement que je ne pus m’empêcher de plonger ma main dedans, et de carresser sa chatte.
– alors, il était content ton banquier ? regarde comme je bande, tu pourrais être encore un peu plus reconnaissante avec moi…
Je lui fis signe de se mettre à genoux, et je sortis ma queue de mon pantalon. Je fis frotter mon gland contre son visage, pour finalement le présenter devant sa bouche. Elle l’ouvrit docilement et je plongeais ma queue à l’interieur. Je la laissa faire, elle me pompa doucement, c’était assez bon d’ailleurs, car elle sucait tout en utilisant par moments sa langue contre mon gland, en prenant bien ma queue au fond d’elle.
– vous etes là les enfants, vous avez besoin d’aide ?
C’était le père d’Amalia qui tapait à la porte, nous ne l’avions pas entendu descendre les escaliers. Amalia sortit ma queue de sa bouche, un peu paniquée à l’idée qu’il puisse entrer.
– On arrive, je montre un truc à Amalia, on est là de suite.
J’attrappais la tête d’Amalia et plongea ma queue dans sa bouche. Je me mis à donner de violents coups de queue dans sa bouche, plongeant ma queue jusqu’à sa gorge.
– bon d’accord, fit le père derrière la porte, je vais à la cave pour prendre une bouteille, tu preferes du rouge ou du rosé ?
Je continuais de baiser la bouche d’Amalia de toutes mes forces. Sa bouche n’était plus qu’un trou qui accueillait ma queue, et je sentais l’éjaculation qui montait.
– peut etre du rouge, vous ne pensez pas ?
– oui, Solange (ma belle mère) a prévu de la viande. Ce sera très bien.
Je retournais Amalia et la fit se pencher en avant. Je me mis en position derriere elle et je lui baissa sa culotte. Je glissa ma queue dans sa chatte, à fond, pour cracher mon jet de sperme. Je cracha trois bonnes rasades, je n’avais rien fait avec ma femme ces derniers jours, et j’avais les couilles bien pleines. Je sortis d’elle, et elle remonta doucement sa culotte. Je savourais l’idée que mon sperme était en elle, et irait couler dans sa culotte durant la journée. Elle en serait toute pégueuse à la fin de la journée.
– tiens, prends ces buches là bas, moi je vais monter le petit bois, j’ai un peu mal au dos.
Amalia s’executa, aller ramasser les buches au fond de la pièce. En la regardant de dos, je trouvais son cul splendide. Et avec ses seins généreux, quelle fille superbe. Je ne comprenais pas trop pourquoi elle n’avait pas de mec. Dans tous les cas, cela faisait bien mon affaire dans l’immédiat.
Au final, la journée ne fut pas si désagréable que ça.

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