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Denise, sa rencontre avec Sam

Denise, sa rencontre avec Sam



Résumé des épisodes précédents : « La découverte tardive du bonheur » et « La découverte du triolisme »

Je m’appelle Denise et j’ai soixante-neuf ans. Je suis une vraie rousse, 1,60 m, très mince, mal mariée à un homme qui ne m’a pas touchée depuis trente ans. Après quatre enfants, j’avais oublié les joies d’être désirée par un homme.

Ceci est un hommage à mon gendre, qui m’a fait découvrir ce que c’est qu’être une femme et pas seulement une mère. J’avais à l’époque quarante-quatre ans et je ne savais pas ce que c’était de faire l’Amour avec un grand A.

Il m’a fait devenir accro à l’amour et aussi à sa queue, même si parfois j’avais l’impression d’être une marionnette au bout d’une ficelle. Je crois qu’il m’a tout fait. Il m’a fait découvrir la pluralité sexuelle et l’amour avec un grand Black : Sam.

Il a donc fallu que j’attende d’avoir quarante-quatre ans pour me faire prendre par deux hommes. C’est vraiment un pied inégalable.

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En partant, Sam a pris discrètement mon numéro de téléphone portable, et il a souri lorsque mon gendre m’a dit que j’avais l’air fatigué. La semaine d’après, j’ai reçu un SMS de Sam avec une heure de rendez-vous et un lieu. Mes jambes se sont mises à trembler. Qu’est-ce que j’allais faire ?

Je vais sûrement accepter, par contre je changerai le lieu et l’heure pour lui fixer un autre rendez-vous. Ce Black avec un si gros sexe… C’est un beau mec, avec un style différent des Blancs, mais sa grosse queue m’a fait mouiller, jouir. Sam, pas mal de sa personne, très musclé, rasé de près, pas de cheveux, célibataire, couvert de bijoux en or très ostentatoires ! Enfin pas de prétexte, j’en ai envie.

Après plusieurs jours de réflexion, je réponds au SMS de Sam. Je veux bien le revoir, mais pas pour baiser en dehors de mon amant (mon gendre). Il me répond aussitôt qu’il m’invite à boire un verre et que, si je veux, on ira dans son magasin de vêtements car il a reçu sa nouvelle collection. Il me dit aussi : « J’espère que vous porterez la même tenue qu’avec Sébastien, une belle robe et pas de sous-vêtements ».

J’arrive sur le vieux port à Marseille, je le rejoins en terrasse du café ; il est avec un copain, Jacques. Je leur fais la bise et je regarde Sam en fronçant les sourcils en montrant son copain.

— Il boit un coup avec nous et il y va.

Je m’assois à côté de Sam, son ami est en face de nous. Après une courte discussion, Sam me pose la main sur le genou, ma jupe ample lui facilite la tâche. Tout en discutant, sa main remonte et arrive à ma cuisse. Je lui chuchote à l’oreille que l’on n’est pas là pour ça mais pour boire un coup et voir des vêtements. Il me sourit, met son pied entre les miens et tire sur mon genou.

À ce moment-là, le serveur arrive pour prendre la commande et regarde mon abricot entièrement lisse et nu ! Je rougis et balbutie « Un petit noir… » quand il me demande ce que je désire. Sam éclate de rire et me dit :

— Un, voire deux grands Noirs, OK. Mais pour le petit noir, on n’a pas ça en rayon.

Puis il commande trois whiskies-glace. Le serveur part préparer la commande, et Sam en profite pour glisser sa main entre mes cuisses. Son copain en face de moi n’en loupe pas une miette. Je crois que même les gens autour de nous ont remarqué son manège. J’essaie de serrer les cuisses, mais un doigt est déjà dans mon minou trempé et un autre s’occupe de mon clito. J’ai de plus en plus chaud et je suis écarlate. Mon Dieu, que je suis folle !

Devant tout le monde, Sam m’embrasse à pleine bouche ; sa langue a pris possession de ma bouche. Mon Dieu, je fonds de plaisir ! Que du bonheur !

Sa main droite dans mon entrejambe, ma jupe à mi-cuisses, il s’emploie de sa main droite à baisser mon bustier et dévoiler un peu plus mes seins.

Le serveur revient nous apporter les boissons ; il en profite pour reluquer mon entrejambe que Sam vient d’écarter un peu plus. Il rougit lui aussi. Je vois que mon décolleté est presque indécent : s’il tire encore dessus, je vais avoir les seins à l’air.

À ce moment-là, sortant de je ne sais où, arrive ma seconde fille – la plus jeune, dix-neuf ans, du haut de ses talons hauts avec une mini-jupe à ras-les-fesses et un décolleté ravageur – qui vient me dire bonjour. Juste le temps de serrer les jambes, elle me sourit en me demandant ce que je fais là.

— Et toi, je lui demande, tu ne devrais pas être à Aix en cours ?

Elle me répond que son prof est absent et qu’elle est descendue sur Marseille avec une copine pour voir les magasins. Elle me fait la bise. Je lui présente le copain de Sam ; elle se penche pour l’embrasser, et l’on peut voir son string et ses fesses, pas gênée ! Puis elle embrasse Sam à pleine bouche et me dit :

— Tu devrais les inviter à la maison pour mon anniversaire, ils sont mignons.

Elle regarde la main de Sam coincée entre mes jambes serrées et me sourit. Elle regarde l’entrejambe gonflé de Sam et me dit :

— Prends du bon temps, tu en as besoin ; et tu verras, Sam est très doux. Ça restera entre nous. Bye-bye.

Sur ce, Sam me dit :

— Elle n’a pas froid aux yeux, ta fille.

Il ajoute :

— Se taper les trois femmes de la maison, c’est vraiment le pied ! Tu sais que tes filles sont comme toi ? Ce sont de vraies bonnes suceuses. On boit le whisky cul sec et on y va, on va au magasin.

À l’arrivée dans son magasin, une des vendeuses me reçoit avec un magnifique sourire. Sam est en discussion avec une cliente. Je commence à regarder les robes ; il y a vraiment de jolis vêtements. La vendeuse s’approche et me propose d’essayer des robes et des jupes. J’acquiesce volontiers. Elle sélectionne avec moi quelques modèles et me les apporte dans la cabine d’essayage.

Une cabine spacieuse avec des miroirs sur les trois côtés, on peut se regarder sous toutes les coutures. Je me déshabille ; je suis entièrement nue et désirable, comme mon amant aime que je sois. La vendeuse entre à ce moment-là avec une mini-jupe et un petit haut. Elle me complimente sur mes formes et mon ventre plat et me dit qu’il a choisi ça pour moi. Elle est mignonne, cette vendeuse ; même taille que moi, aussi mince, belle Black.

Cette tenue ressemble en tout point à ce que porte la vendeuse. Elle me dit que le haut se porte avec rien car il a un soutien intégré ; elle soulève le sien et me montre sa poitrine, bien plus grosse que la mienne, avec un sourire troublant. Elle me propose de m’aider à mettre le haut tout en me caressant la poitrine avec le dos de sa main. Mes deux bouts réagissent au quart de tour et pointent vers le désir.

— Vous êtes sensible, me dit-elle avec son sourire plein de dents et de malice.

Je lui souris, j’enfile son petit haut et mets la mini-jupe, vraiment mini : j’ai l’impression d’être nue dans cette jupe. La vendeuse me complimente ; elle fait bien son job, elle me dit que je fais jeune femme… Il ne faut pas exagérer !

— Je vous l’emballe ou vous la gardez sur vous ? me demande-t-elle.

À ce moment-là, j’entends la voix de Sam qui dit :

— Elle va la garder le temps de prendre un café avec moi.

Je le vois qui m’admire tel un tableau dans une galerie. Je lui dis que je suis habillée un peu léger pour sortir ; il me répond qu’on va le prendre dans son bureau, à l’étage. Et voilà le piège qui se referme…

Il dit à la vendeuse d’emballer les vêtements et qu’il m’offre le tout. Je n’ai pas eu le temps de dire ouf que l’ensemble des vêtements est dans les bras de la vendeuse, la jupe et mon bustier. Elle s’en va vers la caisse et Sam me demande de le suivre. On monte à l’étage. Je ne suis pas forcément rassurée ; j’ai l’air de m’être fait piéger comme une débutante. Quelle conne !

Le bureau est spacieux ; un canapé en cuir d’un côté, une table avec quatre chaises de l’autre, le bureau avec deux fauteuils en face. Présidentiel, ce bureau. Très vite il se colle contre moi, ses mains englobant mes seins et les pétrissant, sa bouche dans mon cou, chuchotant :

— Ne bouge pas, j’ai envie de toi depuis longtemps ! Tu es belle !

Je ne bouge pas, surprise par l’attaque.

Je sens son sexe gonfler à force de se frotter sur mes fesses ; je le repousse.

Il m’invite à m’asseoir dans le canapé, très profond celui-ci. Mes jambes, mêmes serrées, laissent apparaître mon pubis rasé avec cette mini si mini. Il me fait remarquer que le rasage de la chatte est une habitude à Sébastien et à lui pour toutes les femmes qu’ils se prêtent. Il me sert un café et vient s’asseoir à mes côtés.

Je lui réitère le fait que je ne coucherai pas avec lui sans mon amant. Il commence une séance de compliments sur mon corps, ma douceur, mon savoir-faire ; il m’excite. Il me demande ce que j’ai pensé de son sexe. Il attend ma réponse. Je lui dis que je n’avais jamais vu de sexe aussi gros, aussi long ni aussi noir, mais que je ne céderai pas. Le téléphone sonne, il va à son bureau. Il est en face de moi et me dévisage ; il passe sa langue sur ses lèvres, me détaille de haut en bas. Un grand trouble s’empare de moi ; mes deux bouts de seins se mettent à pointer et, avec un tissu aussi fin, on ne voit que ça. Il me sourit, penche la tête et fixe mes deux bouts. Avec ses doigts, il me fait signe d’écarter les jambes. Je lui dis non, de la tête. Il met la main autour d’une bouteille d’eau qui est devant lui et commence à monter et descendre comme une masturbation. Je mouille… Ce coup de fil est interminable ; il lèche ses lèvres, il me provoque.

Enfin il raccroche, il enlève sa chemise qu’il a déboutonnée pendant son coup de fil, et lorsqu’il se lève son pantalon tombe sur ses chevilles. Il ne porte rien en dessous et son sexe est droit comme un i. Il me dit :

— Si tu es dans le même état que moi, tu ne vas pas me laisser comme ça.

Il s’approche et se met devant moi. Son énorme sexe noir est devant mon visage, mon entrejambe est trempé. Il commence à se trémousser en me demandant de profiter de son sexe : un sexe de Black, ça n’a rien à voir avec les autres. Il m’hypnotise, il me dit que ce sera notre secret et qu’il sera mon amant et que je ne pourrai plus m’en passer.

C’est vrai que ce sexe me fait envie… J’envoie la main et je commence à le caresser de haut en bas. Il se rapproche et n’est plus qu’à quelques centimètres de mon visage. Je le masturbe lentement, il gémit. Mon autre main s’empare de ses bourses rasées et les soupèse. J’approche ma bouche et je le gobe, je le pompe. Sa queue est très grosse, et j’ai du mal à la faire entrer en entier. Elle est si longue, si épaisse… Elle a un goût si différent ; c’est bon ! Je cède à mon plaisir, je ne pense qu’à cette queue qui va me prendre. Je l’astique en la pompant, je lui titille son frein avec ma langue. Il m’enlève mon haut et me demande de retirer ma jupe. Je délaisse sa queue, je me lève et j’obéis. Je fais descendre la jupe pendant qu’il me caresse les seins et me pince les bouts. Je suis nue et, debout devant lui, je m’empare de sa queue et l’astique. Il m’embrasse, sa langue me pénètre la bouche, il met sa main sur ma tête et me dit :

— À genoux et suce-moi la queue.

J’obtempère à son désir et me mets à genoux. Tenant sa queue d’une main, je la prends en bouche et je recommence à le sucer, à le pomper. Ma deuxième main vient caresser ses bourses. Il me complimente en disant que suis une reine de la pipe. Il met sa main sur mon épaule et me demande de me masturber pour me préparer à être prise. J’exécute sa demande avec plaisir, je caresse mon bouton avec frénésie. Je suis excitée comme une folle. J’accélère tellement le mouvement que je me fais jouir alors que je lui pompe la queue. Il me demande de me lever et de me pencher devant le bureau ; il enfile un préservatif et s’approche de moi pour m’enfiler en levrette. Sa queue est si grosse que j’ai l’impression d’être empalée. Il me prend longuement ; c’est si bon ! Il me caresse les seins et me tient la croupe d’une main ; ses va-et-vient viennent à bout de nous deux, et nous jouissons ensemble.

J’ai les jambes qui tremblent, ma jouissance coule entre mes jambes. Il me tape les fesses et me félicite. Il m’assoit sur le canapé et m’embrasse à pleine bouche en me caressant l’entrejambe. Il est infatigable.

À ce moment-là, la vendeuse entre dans le bureau ; je suis gênée. Sam lui demande de venir nettoyer mon entrecuisse. Elle s’approche, enlève son haut et sa jupe, s’accroupit face à moi et commence à me lécher les chevilles, puis remonte peu à peu. Sa langue parcourt l’intérieur de mes cuisses, elle remonte et arrive à ma grotte où sa langue s’insinue ; c’est un vrai bonheur ! Sa langue vient me titiller le clito puis elle me l’aspire. Elle va me faire jouir, à ce rythme-là ! Elle me lèche avec une extrême douceur. Mon Dieu, que c’est bon ! Elle me lèche tellement bien que je jouis sous ses coups de langue si doux si précis. Je me sens tellement bien. Ça dure longtemps, c’est si agréable…

Sam a repris de la vigueur ; il demande à sa vendeuse de venir sur sa queue. Elle monte sur lui et attaque un va-et-vient à vive allure. Elle jouit en poussant un cri qui résonne dans mes oreilles. Sam me demande de lui nettoyer la queue pendant que sa vendeuse va me préparer l’anus. Je me penche, et ma langue parcourt cette longue tige. La vendeuse me lèche l’anus et me pénètre avec un doigt, puis deux. Elle accélère ses va-et-vient et dit à Sam que je suis prête. Il me demande de me lever ; la vendeuse s’assoit dans le canapé et me demande de lui rendre ce plaisir qu’elle m’a donné.

Pour la première fois de ma vie je me suis fait lécher par une femme, et maintenant c’est moi qui le fais. J’avoue que l’extrême douceur d’une femme ne sera jamais égalée par un homme. Alors que je lèche la vendeuse, Sam s’est mis derrière moi. Il passe sa main dans ma raie culière, active ses doigts autour de mon petit trou qu’il pénètre et agrandit. Il s’installe ensuite derrière moi et entreprend de faire glisser son gland à travers mon sphincter. Il s’enfonce doucement, et j’avoue que mon anus se dilate sans douleur. Il me dit que je lui appartiens, que je ne pourrai plus me passer de sa queue et que les queues blanches me paraîtront fades par rapport à son bâton noir. Il prend possession de mon petit cul jusqu’au bout, ou presque. Il me ramone en me disant que j’ai un beau petit cul, et bientôt je pince mes lèvres pour ne pas crier mon plaisir qui monte. Il att**** mes hanches dans ses mains et donne de grands coups de reins, ses cuisses claquant sur mes fesses et ses couilles battant sur mon con encore turgescent depuis tout à l’heure. J’agite de plus en plus vite mon bassin et mes reins. Je crie :

— Oui, vas-y, tape fort, à fond !

Nous jouissons tour à tour, la vendeuse, moi puis Sam, qui semble me traverser le corps lors de son éjaculation.

Après une longue pause, enlacée dans ses bras, sur le canapé, Sam me raconte ses frasques avec mon gendre et mes filles qui sont folles, comme moi, de sa queue. Il me raconte comment elles le supplient devant ses collègues de les prendre ; elles cèdent à tous ses caprices, et ils sont nombreux !

Tout à coup la porte s’ouvre ; je suis nue sur le canapé. Sam éclate de rire, je fais volte-face et j’essaie de me couvrir. Un employé, au doux prénom de Désiré, me fixe ; on dirait que ses yeux vont sortir de sa tête.

— T’es un salaud, je ne veux que toi !
— Tu feras ce que je veux, sinon on ne se verra plus ! C’est mon cousin ; il est jeune et n’a pas encore eu de Blanche.
— Je m’en fous, fais-le partir !
— OK, il n’est là que pour se rincer l’œil. Il voulait voir une vraie femme, blanche, à poil. Il n’en a jamais vue en vrai. Enlève tes mains et il s’en va.

Je me redresse et pose nue devant ce jeune aux yeux exorbités.

Sam me demande si ça m’a plu et si je reviendrai. Je lui souris en lui disant que je venais de prendre la plus grande jouissance qu’on ne m’ait jamais donnée. Mais qu’on ne peut être sûr de rien.

Je me rhabille en vitesse ; il m’embrasse encore une fois, et je sors avec mes courses, sous le regard et le sourire à pleines dents du cousin.

Je repars repue, conquise, et avec plein d’habits. J’avoue que cette queue noire m’hypnotise au point que je pense sans arrêt à elle. Sam est un amant performant et avec autant d’imagination que mon gendre. Cela va être difficile de faire un choix entre les deux.

En rentrant, je trouve ma fille cadette de retour de ses emplettes à Marseille. Elle me dit :

— Si tu veux, on en parle. Tu sais, j’adore la queue de Sam ; mais ce salaud, il ne pense qu’à baiser tout ce qui bouge, sinon je me serais mise avec lui depuis longtemps.

Je lui demande si elle couche aussi avec mon gendre ; elle me répond que c’est lui qui l’a déflorée, avec l’accord de sa sœur.

Mon gendre est de retour de son travail. Je me fais chatte, imprégnée encore des odeurs de cet accouplement torride ; je sens dans mon ventre la chaleur de la pine de Sam et de sa liqueur. Ce soir, je vais baiser avec mon gendre sans lui dire qu’il peut être content de moi : j’ai fait ce qu’il voulait. Je crois que je suis bien décidée à profiter encore de Sam, seule ou avec mon gendre…

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