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Anne et Amy

Anne et Amy



Je lui donne rendez-vous pour 18 heures, vendredi, derrière chez elle, je lui dis de m’attendre, obéissante en fixant de près, le mur de la maison à l’abris des regards. Elle sait qu’elle n’a pas respectée notre entente et est prète à faire pénitence.

Au volant d’une Hyundai rouge, je me rend chez elle comme convenu mais je prends quelques minutes de retard en l’observant secrètement. histoire de l’aider à se préparer…

Portant des gants, Emy s’approche d’elle, sans dire mot, et lui prends doucement le poignet pour la diriger vers l’auto. Anne portait déja un foulard sur les yeux et un chapeau tombant légèrement sur son visage pour ne pas attirer les regards comme je lui avais ordonné. Elle pénêtre dans l’auto et attache presque naturellement sa ceinture de chast..sécurité.

Trois petits tours en rond et puis une ballade de presque 35 minutes, qui semble avoir duré une heure, chaque minute qui s’ajoute donnant l’impression de durer 10 minutes de plus, sans oublier les 3 arrêts prévus afin d’exaspérer notre victime. Tout le voyage se fait dans le silence complet. Anne sait qu’elle doit respecter les directives car sinon elle devra encore un service, elle préfère lorsque c’est elle qui les applique.

Au premier arrêt, Emy s’approche tout près de Anne afin de l’ennivrer de son parfum qui avait déja été repéré par celle-ci. Emy caresse du dos de la main le bras en remontant jusqu’a la nuque et serre tendrement l’arriere de la tête à la base des cheveux, en massant légèrement le coup d’Anne qui frissonne à l’intérieur en partant du ventre et qui essaie de ne pas laisser transparaître l’excitation qu’elle sent monter en elle. De l’autre main, Emy décroise la jambe d’Anne tout en remontant subtilement la jupe pour palper l’intérieur de la cuisse… A la douceur du contact de la peau et la respiration de Emy, elle devine qu’il s’agit d’une femme. Ayant noté les soubresots, Emy appuie sa main sur le ventre d’Anne dont la peau est tendu comme celle d’un tambour, Anne appuie ses lèvres l’une contre l’autre, ce qui exite Emy, qui sait qu’elle ne doit pas succomber trop tôt à l’apaisement de sa soif pour sa victime. Emy reprend le volant, et continue le trajet.

Emy fait maintenant un second arrêt, elle reste sans mouvement en silence pendant 3 minutes et reprend le chemin.
au troisième arrêt, Emy dit: « Je vais t’enlever le bandeau, n’ouvres pas les yeux et Attends l’ordre d’ouvrir les yeux », et elle sort de l’auto. Anne n’a pas reconnu la voix, elle ne sait pas si Pierre participera à l’action. La portière s’ouvre à nouveau, l’auto repart encore mais deux minutes plus tard s’immobilise… Le klaxon retentit, Anne, instinctivement ouvre les yeux, à coté d’elle Pierre la regarde avec un grand sourire et lui dit au même moment où un homme sort de la maison: « Tu n’as pas obéit, tu as ouvert les yeux tu me dois un autre service… Avant qu’elle ne puisse parler l’ami les rejoints et leurs dit: « Je suis content que vous ayez accepté notre invitation pour la soirée… »

Tout au long de la soirée, Anne se demanda qui était la femme dans l’auto puisqu’elle ne reconnaissait pas le parfum de la compagne d’Alain. Le désir inasouvi se faisait ressentir par Anne qui avait eu de longs moments de conditionnement pour demeurer sur sa faim…

Ce soir là, je m’approchai de toi sur le sofas, tu sentis que j’étais d’humeur pour des petits jeux… Je t’ai dirigé vers la chambre à coucher. Allongée sur le lit, j’ai commencé à embrasser le creux de ta main, pour continuer doucement sur ton poignet en remontant sur ton avant-bras, ce qui ne te laissa pas indifférente mais je t’ai regardé et t’ai demandé de te détendre, tu devrais apprécier… en continuant d’embrasser l’intérieur de ton bras, je le remontai vers la tête du lit auquel j’y attachai ton poignet à l’aide d’une paire de menottes… Tes yeux commencèrent à briller d’un éclat émeraude… Délicatement, je fis le même petit manège pour ton bras gauche que j’attachai de l’autre coté. Tu portais une blouse blanche sans manches car c’était humide et terriblement chaud… Je sortis de la pièce sans rien dire, je semblais m’occuper dans la maison, alors tu en profitas pour essayer de te libérer… A mon retour, dans la chambre tu étais toujours ligotée, tu avais ton sourire assuré, mais tes liens tenaient bien, tu te savais à ma mercie.

Alors ma saloppe, t’as envie de te faire mettre n’est-ce pas? tes yeux clignèrent à peine pour acquiesser que oui. Je commencai à te masser les seins directement, ta poitrine se gonfla pour être plus facilement pétrie, tu sortis légèrement la langue pour effleurer le contour de tes lèvres légèrement pulpeuses pour faire monter mon désir. Je fis apparaitre la bouteille d’eau et sel de mer pour te faire bronzer que j’avais placée au frigidaire… Un petit nuage de pluie glacée s’abatti sur ton corps qui s’agittait par soubre sauts violents, tes jambes s’appuyaient sur tes seins trempés qui apparaissaient parfaitement au travers de ta blouse, afin de les protêger, je fus aussi obligé de te baillonner afin d’aténuer tes puissants cris… Je m’approchai ensuite et commencai à embrasser ton cou et ta poitrine… J’avais bu un chocolat chaud, mes baisers étaient réellement brûlant de passion, Tu pouvais sentir la chaleur de ma bouche qui réchauffait ton corps, tes yeux étaient maintenant fermés pour mieux apprécier les émotions qui montaient en toi, tu était déja bien excitée, ta chatte toute trempée brulante dénudée de poils. Je m’insérai entre tes jambes que j’avais également attachées, pour te masturber avec ma langue qui était maintenant froide après t’avoir léché… j’étais passé du sucré au salé… Je trouvai ton clitoris de la langue pour y travailler délicieusement… ton bassin se déhanchait lentement, tes mouvements commencèrent à devenir plus saccadés, j’arrivais bientôt à mon plaisir…

Je m’approchai et j’enfoncai mon pénis à l’intérieur de toi, tes yeux étaient devenus incertains, A l’entrée de mon pénis, malgré toi, tes yeux fermèrent et tu ressentis ma passion pour toi te transperser l’ame, dans le feu du moment plein d’émotions arrivèrent en même temps , tu n’avais qu’à jouir au point où tu ressentis ton nez et jusqu’au bout de tes doigts devenir comme engourdi, tu frisonna anormalement, je te détachai, tu n’avais pas la force de parler, tu semblais flotter les yeux à moitié ouverts… Bien que défoulée, ta langue semblait encore vouloir gouter mes joues et mon front salés…

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