Dernier jour
Après avoir pris connaissance de son message et surtout des pièces jointes en photos, une bonne douche, et un petit déjeuner nous avons rendez-vous pour le programme de la journée :
Compétions ludiques, tir à la corde, fléchettes, tir à l’arc et autres ………….et surtout ne pas rater le barbecue du soir qui se déroulera en contre bas de notre bâtiment dans une annexe servant de repli en cas de mauvais temps et reconvertie en salle de loisir avec tables et bancs.
Les rôles sont distribués dont le mien qui consiste avec quelques volontaires à organiser la soirée et réceptionner les denrées du traiteur pendant que le reste de la bande retourne aux compétions.
Je profite de cette journée, surtout entre filles, pour me détendre et chasser ce sentiment de salope qui trotte dans ma tête.
17 heures tout le monde est de retour et Louis le directeur fait quelques mises au point pour la soirée essentiellement basées sur la propreté vu notre départ le lendemain matin en laissant le site propre pour nos successeurs et l’interdiction d’alcool.
De retour des douches nous nous retrouvons pour accueillir nos hôtes. Les filles comme moi d’ailleurs en jeans et la plupart des garçons en bermudas.
Je vois Hervé faire la moue en voyant ma tenue mais elle est de circonstance vu mon rôle et l’évènement.
18 heures un concert de klaxon annonce une prochaine arrivée de voitures. Effectivement plusieurs véhicules se garent sur le parking. Vu la proximité les plus âgés filles comme garçons ont pris leurs véhicules pour faire le taxi.
Le début de soirée se passe à merveille la plupart des gars se font un plaisir de servir les filles quant à moi je me retrouve avec nos collègues espagnols. La barrière de la langue est un léger handicap mais vu l’ambiance tout se passe bien. Certains couples se forment au fur et à mesure et c’est si beau de les voir s’échanger des adresses je pense.
La nuit commence à tomber, un membre de l’équipe met de la musique à l’aide d’une enceinte pour IPHONE et nos jeunes se trémoussent sur cette musique disco sur la terrasse du bâtiment. Les gars viennent nous chercher ma collègue espagnole et moi-même pour y participer. Nous nous prêtons au jeu tandis que nos homologues masculins ont un peu de mal à se dérider.
Paul notre conducteur est le premier à partir afin d’être dispo demain matin pour nous ramener à la maison.
Vers 23 heures Louis raccompagne les animateurs à leurs véhicules en les remerciant de leurs participations à la soirée. Le groupe se disloque pour ne rester que le noyau dur des fêtards. Je m’apprête à laisser les derniers jeunes entre eux quand Hervé me ratt**** :
« Tu ne vas pas partir comme cela »
« Si je vais vous laisser continuer à faire la fête entre vous »
« Non tu ne rentres pas encore » d’un ton autoritaire
« Pourquoi » lui rétorquais-je
« Car Carlos le beau brun à qui j’ai montré cette après-midi ton cul enculé veut te baiser ce soir et je lui ai dit que tu étais une bonne salope d’animatrice, alors tu l’as ferme et tu reviens »
Je n’en reviens pas de son audace mais je lui demande un temps de réflexion qui est interrompu par une sorte de farandole au rythme de la musique autour de moi pour m’inviter à revenir. Je me retrouve sur la piste de danse improvisé à continuer à faire la fête avec eux. Nous ne sommes plus très nombreux, deux ou trois couples sur l’herbe à se câliner, Hervé bien entendu avec ses inséparables, le fameux Carlos effectivement beau mec et je suppose trois de ses amis venus dans sa voiture.
Soudain le silence, plus de musique et un décompte en espagnol est lancé pour arriver à un puis zéro. Ils enlèvent leurs chemises ou polos en me demandant d’en faire autant. Ce que je refuse catégoriquement. Je demande à Herve le pourquoi ce décompte et en souriant il me répond :
« Il est minuit et pour palier à l’absence de mer ou piscine pour faire un bain de minuit il est demandé à tous de se mettre à l’aise en retirant le haut. »
Devant mon refus de retirer ma chemise par manque de soutien-gorge je me fais huer de plus belle à l’entende de l’excuse. Ils proposent le jeans en contrepartie et s’il faut un bermuda me sera prêté.
Je retourne m’asseoir sur une table, indécise oui c’est la stricte vérité pendant que la sono diffuse à nouveau des rythmes endiablés pour le plus grand bonheur des derniers fêtards.
Au bout d’un certain temps que je ne saurais définir j’ai Carlos debout devant moi, et sans le moindre mot il s’approche doucement de moi, me pousse délicatement en arrière, écarte doucement mes cuisses pour se tenir au plus près de moi, pétrifiée les jambes dans le vide je n’oppose aucune résistance à être couchée sur le dos les jambes ballantes. Je ferme les yeux pendant que délicatement, il déboutonne mon jeans sans protestation de ma part, me le retire avec douceur. Il me relève doucement et me tenant par la taille m’invite à le rejoindre danser. Je vois le sourire ironique d’Hervé savourant sa victoire de m’offrir ainsi dévêtue à ses amis espagnols. Pour lui c’est un gage d’autorité sur moi :
« Je suis fier de ma petite salope» dit-il en me croisant
La musique s’arrête à nouveau et Carlos ses mains sur mes fesses dénudées tente de vouloir m’embrasser. Il me sert très fort me rendant encore plus petite face à cet athlète au corps de joueur de rugby. Je sens sa queue vibrer à hauteur de mon nombril, ma chatte s’humidifie, j’accepte sa langue dans ma bouche pendant qu’une de ses mains frotte mon vagin par-dessus le tissus de ma culotte trempée. Voilà je suis redevenu moi, me faisant branler sous le regard des derniers noctambules au milieu desquels je vois Hervé avec son téléphone prenant des photos encore et encore.
A présent je me retrouve assise au milieu du groupe et les mains caressent mon corps, mes seins, ma chatte, puis couchée on me retire ma culotte trempée pour laisser place à une langue salivant ma cyprine dégoulinant sur mes cuisses. Chacun veut une part de mon corps, j’accepte, je suis docile au moment où la première bite cherche ma bouche que j’ouvre naturellement pour la sucer. Je suis devenue un pantin, la chatte bouffée, mon cul doigté, les bites et autres couilles dans ma bouche.
On m’immobilise à chacun de mes orgasmes, à présent les bites se succèdent dans ma bouche, immobilisée, la tête en arrière chacun veut l’enfoncer au plus loin dans ma gorge, je joui de nombreuses fois avant que des jets de sperme n’arrosent mon corps.
Un cercle s’est formé devant moi, moi à genoux, deux belles queues à hauteur de mon visage, je passe ma main sur mon ventre gluant pour me caresser mon clito car je veux jouir au moment que la semence sera lâchée. Sous les hourras et autres prises de photos un jet de foutre s’écrase sur ma figure. Je suis vannée, vidée mais que c’est bon de nettoyer ces bites avec ma langue.
Le corps meurtri, je fonce dans les toilettes en récupérant mon pantalon au passage pour essuyer foutre qui commence déjà à sécher sur ma peau. Je m’éclipse par la porte de secours et je me dirige rapidement vers ma chambre sans en faire part aux autres. Demain sera un autre jour vu la fin de semaine et de mon intérim.
Réveil
La nuit fut courte et agitée par des rêves érotiques confirmés par des photos de la veille sur mon téléphone. Il est temps de se lever vu les préparatifs du départ. Petit déjeuner, valise et sacs à l’entrée, nettoyage des locaux.
Et Hervé me direz-vous ?
Je sens une pointe de jalousie de sa part, je pense qu’il n’a pas évalué les conséquences de son envie de m’offrir ainsi et qu’en contrepartie moi j’ai aimé. L’heure du départ a sonné, je me retrouve à coté de Louis dans le car qui d’un air ironique :
« Alors cette petite semaine ? »
Je ne sais pas trop penser de sa question mais ;
« Oui j’espère que notre collaboration n’était pas une déception pour toi »
« Non au contraire les jeunes ont apprécié ta présence, certains plus que d’autres je crois » ? Avec un sourire.
Je me cale dans mon siège pour un petit somme comme la plupart des occupants du car.
En arrivant à destination les bisous et bises se succèdent pour des adieux ou des aux revoir pour certains. Au moment de la bise d’Hervé il me passe simultanément un papier que je m’empresse de ranger.
Agnès est également présente pour m’accueillir, je lui parle brièvement vu ses obligations et nous nous donnons RV le WE.
Le texte du papier restera un secret entre un dominateur en devenir et sa chose durant ce court séjour.
Conclusion : je suis désolée si certains ou certaines attendaient plus de sexe dans mes récits mais je ne fais que relater des faits réels et non des faits sous forme de fantasmes. Les photos de la soirée ne sont pas parfaites vu le manque d’éclairage.
Mot de passe de la galerie escapade fin : que me passe Hervé en me faisant la bise ?
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