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La naissance d’un libertin partie 1

La naissance d’un libertin partie 1



Ceci est mon histoire, pas une histoire fantasmée, pas une histoire où la réalité est arrangée, c’est la brute, la vraie…

18 ans mon Bac en poche, je rentre à l’Université, j’ai travaillé tout l’été pour me payer une voiture afin de pouvoir y aller et me payer les bouquins pour y arriver. Issu d’une famille plus que modeste, j’ai la rage de réussir, l’intelligence pour y arriver, j’ai pas eu de chambre à la cité U et mes parents ne peuvent pas me payer un appart, donc je dors dans ma voiture sur le parking, bosse à la BU et me lave dans les vestiaires du stade ou de la salle de muscu de la Fac. Dur d’y arriver dans ces conditions, je suis crevé, brillant en TD mais quand arrivent les partiels, j’ai loupé mon semestre pour 4 miséreux points… Mon président de jury est assez déçu de mes résultats et me convoque pensant que mon état lamentable est lié à une vie nocturne d’étudiant de bonne famille, si je ne rentre pas dans les détails sur ma condition il comprend bien que ma fatigue n’est pas liée à la fête et me laisse repartir en essayant de me motiver…

Quelques jours après, alors que je dors, j’entends taper à la vitre de ma voiture, c’est lui… surpris de me trouver ainsi à 6h30 du matin, il me paie un petit déjeuner, puis m’explique que ses enfants sont partis de la maison, qu’ils sont seuls avec sa femme dans une grande maison et que si je veux ils me logeront gratuitement le temps qu’il faudra.

Bien que fier, si j’ai hésité, j’ai rapidement accepté l’invitation, et me voilà arrivé dans une somptueuse maison des Arceaux. La maitresse de maison est terriblement bandante, il faut le dire, ce qui ne gâche rien… Grande, pulpeuse, un visage magnifique, 45 ans mais je suis sous le charme… Mais pas touche sous peine de redormir dans ma voiture…

Soucis, elle voit qu’elle me plait et en joue énormément, donc je l’évite au max et encore plus quand mon prof n’est pas là… Sauf qu’un matin alors que je prends mon petit déjeuner, elle rentre dans la cuisine en nuisette totalement transparente, à la vue de ses deux énormes seins et de son sexe totalement lisse, je me retrouve à bander en caleçon devant ma propriétaire… Mort de honte, je file dans ma chambre, m’habille et me casse à la Fac, je passe une journée affreuse à m’imaginer la baiser dans tous les sens mais aussi la boule au ventre de rentrer le soir et de me refoutre à bander en présence de mon prof et de me faire virer de la maison… Tellement que je ne rentrerai pas ce soir là, honteux et inquiet…

Le lendemain, Yves mon prof est venu me trouver pour me réprimender et me demander de prévenir à présent lorsque je prévoyais de ne pas rentrer, il m’explique que lui et sa femme s’était inquiété, j’ai prétexté une petite amie et me suis excusé.

Retour chez eux et retour de ses petits jeux, tantôt elle rentre nue dans la salle de bains pendant que je me douche, tantôt elle se masturbe dans sa chambre en faisant exprès de crier si fort que je ne peux que l’entendre… Bref je suis pris entre mon envie de la sauter sauvagement au risque de me faire virer et le confort du gîte et du couvert… Ce petit jeu dura pas plus d’une semaine, un matin elle m’expliqua que Yves était au courant que je lui plaisais et que çà ne le gênait pas qu’on couche ensemble, au contraire… Si j’étais d’accord bien entendu… 30 secondes plus tard je la prenais sur la table de la cuisine, mes mains tenant fermement ses grosses fesses… Quelle chatte, charnue, des lèvres énormes et un clito qui ferait palir d’envie certains micropénis… Si je n’ai pas tenu plus de 5 min avant de me répendre en elle, je n’en ai pas pour autant débandé et c’est ainsi que j’eu droit à ma première vraie pipe, pas une pipe du bout de la langue pour faire plaisir… Une vraie grosse pipe, goulue, saliveuse, du gland aux bourses, une pipe de gourmande agenouillée devant son mâle jambes écartées pour se branler en même temps, bref une révélation pour moi qui avant Leila n’avait connu que des ados, tout aussi empruntées que moi à qui je faisais « l’amour » à qui je léchais la chatte avec gourmandise, quand même, mais sans attendre leurs spasmes, leur jouissance… Là elle me couvrait les pieds de cyprine et de foutre à chaque contraction de son périnée, elle me comprimait les bourses de sa main libre, aspirait ma queue au fond de sa gorge, la léchais pour ensuite la gober à nouveau… je n’osais la tenir par la tête pour m’enfoncer encore plus en elle, comme j’avais vu dans les pornos, je la laissais faire et Dieu qu’elle faisait bien… Au point d’exploser je voulus me retirer mais sentant ma fin venir, elle saisit mes fesses avec ses 2 mains, enfonçant ma queue au plus profond de sa gorge et me fit me rependre dans celle-ci… J’avais baisé Leila pour la première fois et c’était loin d’être la dernière…

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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