Il est peut-être temps de me présenter un peu avant de raconter une histoire qu’il m’est arrivé il y a quelques années.
Je m’appelle Sarah, Brune, ni particulièrement grande ni petite. Malgré de jolis yeux bleu la plupart des hommes, et certaines femmes d’ailleurs, préfèrent largement plonger les yeux dans mon décolleté. Il faut dire que ma poitrine est assez grosse, un bonnet F bien rempli malgré un corps plutôt fin.
A l’époque de cette histoire j’avais 22 ans. J’étais encore étudiante. Je n’étais pas exactement parmi les premières de ma promo mais loin d’être la dernière non plus. Le genre qui ne se fait pas remarquée par ses notes ou la qualité de son travail dans un sens comme dans l’autre et cela me convenait très bien.
Malgré de nombreux prétendants et quelques prétendantes j’étais célibataires depuis quelques mois, pas particulièrement active sexuellement, préférant la compagnie de mes copines à celles des personnes intéressées uniquement par mon corps. Malgré tout je m’habillais toujours assez court et sexy car j’aimais bien flirter avec quelques beaux spécimens. On pourrait dire que j’étais une allumeuse et à l’époque, uniquement ça.
Un soir de weekend, en sortie dans un bar, habillée de ma courte jupe en jean et d’un débardeur rouge largement décolleté et de mes talons, je me suis retrouvée à flirter avec un jeune homme d’environ mon âge, mignon sans être un grand canon mais qui me faisait particulièrement rire.
La soirée passait sans que ses multiples tentatives n’aboutissent et lorsque je commençais à sentir la fatigue aux environs de minuit je décidais de prendre congé et de m’éclipser. Je rejoignis donc mes copines pour leur dire que je m’en allais. Marie, comme à son habitude, avait déjà été embarquée par un ou deux inconnus. Quant aux deux autres elles semblaient essayer de se faire toucher les amygdales par les langues d’un maximum d’hommes. Je pris donc la direction de la sortie et , une fois dehors, de celle de ma voiture garée non loin.
Une fois arrivé devant, je sortis mes clés et c’est à ce moment-là que je sentis une main s’emparer brutalement de l’un de mes seins et je me sentis tirée et plaquée contre quelqu’un.
« Ou tu crois aller comme ça petite salope ? Tu m’as allumé toute la soirée et tu penses t’en tirer en te barrant en douce comme ça ? »
Incapable de parler à cause de la surprise et de la peur je ne répondis rien mais essayais de me débattre sans succès. Malgré sa carrure peu impressionnante il disposait d’une force largement supérieure à la mienne et je ne pouvais pas faire un mouvement.
Il me traina un peu plus loin, à l’entrée d’une ruelle descendante, sous un lampadaire pour m’y plaquer dos au mur. Je sentis sa main sur ma gorge et sa langue s’enfoncer de force dans ma bouche alors que son autre main se dirigeais sous ma jupe, tellement courte qu’il n’eut aucun mal à poser ses doigts sur mon string.
« Mais c’est qu’elle est déjà humide, ça te plait d’allumer les mecs pas vrais ? et Bien ce soit tu vas devenir ce à quoi tu ressembles : Une chienne en chaleur et tu vas immédiatement commencer par me bouffer la queue ! »
Il me prit par les cheveux et me força à me mettre à genoux. Médusée je vis sortir un sexe impressionnant d’une vingtaine de centimètre. J’étais à genoux, devant lui, en pleine rue, n’importe qui pouvais passer et je ne pouvais rien faire.
Il commença par me tapoter le visage avec son membre déjà dur. Il le faisait glisser sur mon visage et vint finalement le placer à l’horizontal au bord de mes lèvres que je maintenais fermées.
« Ouvre sale pute ! ouvre ta bouche tout de suite ou bien… »
Sa main descendit immédiatement vers ma poitrine pour me donner une gifle qui claqua dans le silence de la nuit, m’arrachant un cri autant de douleur que de plaisir, ce que je ne comprenais pas moi-même sur le moment.
Dès que ma bouche s’ouvrit sur mon cri je sentis son imposante queue s’engouffrer dans ma bouche. Loin de se contenter de me prendre la bouche de force il se mit à aller le plus profond possible. J’avais des hauts le cœur dès qu’il s’enfonçait trop mais il n’en avait rien à faire et continuer sa progression. Arrivé au trois quart il ressorti, la queue pleine de bave pour me taper le visage avec et s’essuyer dessus.
« Tu es une belle pute et tu vas apprendre rapidement à me la gober sans poser de question »
La situation était horrible, je sentais les larmes couler mais je sentais également que je mouillais de plus en plus et je me détestais d’être excitée à ce point par ce qu’il me faisait subir.
Il reprit ma bouche et commença de longs mouvement de vas et vient, s’enfonçant toujours un peu plus dans ma bouche
« Serre les lèvres salope, serre les bien, tu vas devenir une véritable suçeuse, ta bouche est faite pour ça »
Ne sentant pas mes lèvres se resserrer il remit une baffe sur ma poitrine et j’obéis immédiatement, les serrant autour de son gros sexe qui me ravageait la bouche.
Il ne lui fallut pas longtemps pour se mettre pousser des grognements et à ce que je sente sa queue grossir un peu plus. Il sortit de ma bouche et répandit de longues trainées blanches sur mon visage en criant.
Une fois son engin rangé dans son pantalon je me relevais, le visage couvert de sperme, dégoulinant jusque dans mon décolleté et voulut repartir en titubant pour enfin rentrer chez moi mais il m’attrapa par les cheveux et nous me dirigea jusqu’à la voiture. Il réclama mes clés et s’installa du côté passager.
Ce n’était pas fini, à vrai dire, ce n’était que le début, et j’allais adorer ça….
Ajouter un commentaire