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Mère et fille et souvenirs anciens

Mère et fille et souvenirs anciens



J’avais connu cette maison avec les volets ouverts et j’y avais même une copine depuis l’école primaire mais elle était partie avec ses parents à la fin du collège et la maison étais restée vide.
Il y avait un camion de travaux stationné juste devant et des ouvriers débarquaient des sacs de ciment. Je me suis approché et je leur ai demandé si c’est venu ? Ils ne savaient pas vraiment mais un type en costard est arrivé et je lui ai posé la même question. Le type m’a répondu qu’au contraire, c’était la fille des propriétaires qui revenait l’habiter et ça m’a fait chaud au cœur car cela faisait quarante ans que je ne l’avais pas revue. J’ai encore demandé si la propriétaire allait venir avant la fin du chantier mais le type ne savait pas.
Je passais devant cette maison quasiment tous les jours et je regardait si mon ancienne copine n’y était pas. Deux mois ont passé avant que je voies une silhouette féminine devant le chantier. Je me suis garé et j’ai regardé. Difficile de dire si cette femme de cinquante cinq ans avait été ma copine.
Je me suis quand même décidé à aller la voir.
– Yolande ?
La femme a tourné la tête vers moi.
– On se connaît, m’a-t-elle demandé ?
– Simon !
La femme m’est tombée dans les bras. Je me souvenais qu’elle avait été forte de corpulence quand elle était jeune et là, elle était presque squelettique.
– T’as maigri, lui ai-je dit quand elle m’a lâché !
– Oh, oui ! J’ai suivi une méthode miracle qui faisait de la pub à la télé et maintenant…
– Tu es toujours sexy, ai-je ajouté !
Comment pouvais-on être sexy à quinze ans ? Je lui ai demandé où est-ce qu’elle est installée. Elle m’a répondu qu’elle est venue en taxi et qu’un autre taxi viendra la chercher vers sept heures du soir. Je lui ai proposé de passer la nuit chez moi. Cela faisait dix ans que je vivais seul et la maison ne manquait pas de chambres pour l’accueillir correctement. Elle m’a répondu qu’elle n’a rien pour la nuit mais elle a fini par accepter mon invitation.
Elle a laissé les ouvriers et je l’ai emmenée chez moi. Sous son manteau, elle avait une petite robe et j’ai eu l’impression qu’elle n’avait rien en dessous. Je lui ai raconté ma situation de famille et elle s’est sentie obligée de me parler d’elle.
Mariage, enfants, divorce. Tout comme moi. Après le dîné, j’ai refusé qu’elle fasse la vaisselle et j’ai tout mis dans la machine. Je lui ai proposé un peignoir mais elle a refusé.
– Tu as quelque chose sous ta robe, ai-je insisté ?
– Non ! J’ai toujours aimé être à poil, m’a-t-elle répondu ! J’ai fait du nudisme pendant des années !
J elui ai dit de ne pas se gêner.
– Je peux ?
Elle a disparu dans la chambre que je lui avait attribuée et elle est revenue complètement à poil.
– J’ai été plus belle que ça, m’a-t-elle dit avant que je n’ouvre la bouche !
Elle pouvait car si elle était maigre, ses seins pendaient sur son torse jusque sur son ventre, comme une paire de chaussettes longues. Elle a croisé ses bras dessus comme si elle voulait me les cacher mais ça n’a pas duré. Une autre partie de son corps m’intriguait. De sa vulve jaillissaient d’énormes petites lèvres. Quant à son clitoris, il aurait pu rivaliser avec ma bite.
– J’ai beaucoup pratiqué, m’a dit la femme et j’ai bien dû avoir des milliers d’amants ! Sans compter les godes car je ne pouvais pas m’en empêcher, a-t-elle ajouté !
– Et je pourrais, ai-je bafouillé…
Elle m’a répondu que je peux même avoir son anus, ce que j’ai fait.
– Ah, j’adore ça qu’on m’encule, m’a-t-elle lâché ! Je n’ai jamais pu supporter la pilule !
Je l’ai enculée puisque c’était ce qu’elle semblait vouloir. Ses seins pendaient et flottaient comme des rideaux.
-Tu m’encules, n’arrêtait-elle pas de me répéter.
J’ai recommencé autant que j’ai pu et finalement j’ai arrêté parce que j’avais les couilles vides. Quelques semaines plus tard, elle m’a présenté sa fille aînée. C’était le même genre de personne sauf que les seins étaient un peu plus épais mais question sexe, c’était aussi minable. Elle m’a expliqué que sa mère veut qu’elle se trouve un homme puis elle m’a dit qu’elle préfère les femmes.
– Tu comprends, m’a-t-elle dit, j’aime me faire lécher par une femme ! Un homme, ce n’est pas pareil !
Je l’ai envoyée promener et je suis retourné aux putes. C’est plus cher mais on sait pourquoi on paie.

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