Toujours Sergent, j’avais changé de compagnie, et me voilà une fois de plus à monter la semaine…
Le week-end, c’est plutôt mort dans le régiment ; outre mon Caporal de semaine, quelques permanents restaient également pour les assurer une permanence des différents organes du régiment : ordinaire, transmissions, infirmerie, soutes etc.
J’avais l’habitude de prendre ma douche tard, vers 22h30, après ma dernière ronde…
C’était samedi soir, rien à la télé, bref une belle soirée pour s’ennuyer ferme… Après avoir discuté quelques heures avec mes collègues des autres compagnies, vers 22h00, je rentrai dans mon bâtiment et commençai ma ronde… Tout était calme… Vraiment calme… La ronde fut vite expédiée…
De retour dans ma chambre, je me déshabillai et me dirigeai vers les douches, désertes à cette heure…
C’étaient ces douches sans portes, juste avec un recoin, pour ne pas inonder la salle… Nu comme un ver, je posai ma serviette et appuyai sur le bouton… L’eau chaude me procura un sentiment de délassement bienfaisant.
Tout à mes ablutions, je n’entendis pas que quelqu’un était entré dans le local… Un éclaircissement de gorge me fit sursauter malgré moi… Je n’étais pas seul… Qui était donc ce casse-pieds ?
Je penchai la tête pour voir l’importun, et je me figeai soudain… Nu, la queue tendue et les mains sur les hanches il me fixait, presque provoquant… Son sourire en disait long sur ses intentions…C’était un des cuisiniers de l’ordinaire, pas très grand, pas spécialement bien fait, il était normal, presque commun… Et cette bite dressée fièrement était longue et assez fine, avec une belle paire de couilles bien pendantes, et exemptes de tout poil…
Je lui lançai d’une voix rauque : « Qu’est-ce que tu fous là ? » Je sais, pas terrible comme réaction ! Et avec un aplomb incroyable, il me rétorque : « Je vous attendais, Sergent. J’ai remarqué que vous preniez toujours votre douche à cette heure, et j’en ai profité ! »
« Et ça signifie quoi cette tenue… Et ça ?… » lui répondis-je en montrant son bas ventre…
« J’avais remarqué que vous aviez un grosse queue, dit-il en s’avançant, et je voulais tenter ma chance ! ». Le feu aux tempes, je sortis de la douche, la pine dressée également… Je l’entraînai très vite dans ma chambre, pour ne pas qu’on nous surprenne…
Comme un automate, je me suis allongé sur le lit, il vint lui aussi, tête-bêche, et entreprit de me sucer avec ardeur, en présentant sa tige devant mon nez… Je gobai alors son gland dans un soupir ; il gémit… Ce soixante-neuf dura un moment qui me parut très long… Et très bon !… Fiévreux, je me suis laissé faire quand il me fit mettre à quatre pattes, le cul bien tendu… Il enfila une capote et présenta son gland à l’entrée de ma rosette encore vierge ; il appuya doucement… Centimètre par centimètre, sa bite entrait dans mon cul… Quel sentiment indescriptible ; l’impression d’être rempli dans une douleur presque bienfaisante… Je bandais à mort… Il s’activa en moi, de plus en plus loin, de plus en plus fort, de plus en plus vite… Je plantai ma tête dans l’oreiller pour ne pas crier… J’avais mal, et finalement non… Je ne savais plus où j’en étais…
Il s’agitait toujours en moi, et avait glissé une main sous moi pour me branler avec force… Je lui dis alors que j’allais jouir et mon éjaculation fut terrible ! Quatre, cinq longs jets de sperme se répandirent sur la couverture orange de mon lit, au moment même où, plantée au plus profond de mes entrailles, sa pine tressauta dans une jouissance libératrice… Il se retira doucement, je me retournai…
Je lui avouai que c’était ma première fois, que personne avant lui n’avait exploré mon boyau culier… Il me sourit et me dit que c’était une première pour lui aussi ! Et il me promit pour le lendemain un échange des rôles, où il m’offrirait son pucelage. Ca, je connaissais déjà… C’était sa première fois avec un homme, et il m’avait choisi, moi… Je n’en revenais pas !
Le lendemain, je l’enculai, et il jouit comme jamais il n’avait joui… Mais c’est une autre histoire…
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