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Bien baisé au sexshop

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Quand j’ai eu tout juste 18 ans j’ai réuni tout mon courage et je suis entré dans un sex shop qui annonçait la présence d’une dizaine de cabines de projection avec un programme de 128 films au choix pour 20 francs.
J’ai tourné longtemps avant de franchir le seuil du magasin et d’entrer dans ce temple du porno. Il y avait des magazines, des cassettes partout et que des types entre 40 et 50 ans dans les allées.
J’étais en train de faire le tour du magasin, rouge comme une pivoine entre la honte et l’excitation, quand le caissier s’est approché de moi et m’a glissé à l’oreille : » Il y a une femme au sous sol qui veut qu’on couvre sa poitrine de sperme. ça te tente ? » Je l’ai regardé d’un air tellement idiot qu’il m’a dit « elle veut qu’on se branle sur ses nibards… » J’ai fait « Oh …. Euh … Enfin… Euh.. » « Bon elle est dans la cabine 12 avec son mari qui mate. On ne peut pas la toucher… »
Je suis descendu encore plus rouge qu’auparavant. Quand je suis arrivé à la cabine en question un type était en train de se branler au dessus de la grosse poitrine d’une femme d’une cinquantaine d’année à genoux et torse nu. Elle tenait ses gros nibards à pleine main et semblait les offrir au type qui s’astiquait. Elle faisait des mines destinées sans doute à exciter le type mais qui paraissaient totalement ridicules. Elle était bien trop vieille pour mon goùt et même jeune elle ne devait avoir que ses seins comme atout de séduction. Une minute plus tar le type s’est mis à grogner et à copieusement joui sur la femme qui s’est empressée de masser ses seins avec le foutre frais tout en poussant des petits cris. Le type a remonté son pantalon et s’est barré. Le mari s’est approché de moi en me demandant si je voulais aussi donner mon foutre à sa salope. J’ai reculé sans mot dire et me suis engouffré dans une cabine au fond du couloir.
Je me suis assis, j’ai glissé mes pieces de dix dans le monnayeur et j’ai commencé à zapper entre les films grace au boitier de commande. Il y en avait pour tout les gouts. Une petite blonde se fait enculer par un quasi vieillard, zap, une veuve toute de noir vêtue bouffe la chatte d’une amie venue la consoler zap un type de mon age se branle en voyant son coach baiser la bouche d’un de ses potes dans un vestiaire zap un transsexuel se fait prendre par deux types zap une femme se fait baiser à la chaîne par une dizaine de types zap de la neige zap encore de la neige. Zap deux étudiants (on le sait parce qu’il ont des lunettes) à genoux devant un quadragénaire se dispute le privilège de sucer sa grosse queue. Zap le coach encule un des deux jeunes dans le vestiaire zap
Après quelque minutes je me retrouve la queue à l’air en train de me branler devant un film gay dans lequel un jeune sert de jouet à un quadra très membré. J’étais venu pour voir des filles se faire baiser et me voici en train de me branler sur un porno gay. J’entends du bruit dans le couloir, des bruits de pas et d’un coup je me prend à penser que si je laisse la porte de ma cabine ouverte peut être que quelque chose d’imprévu pourra se passer. Je me lève avec le pantalon sur les chevilles et la queue dressée et luisante d’excitation. J’ouvre le loquet et laisse la porte à moitié ouverte. Je reste là debout la queue à l’air avec juste derrière moi l’écran montrant l’ado en train de se faire baiser. Mon cœur bat la chamade. J’ai peur et je suis excité comme jamais. Je retire rapidement mon tee shirt et mon pantalon et les pose sur le fauteuil. Je ferme les yeux et j’attends. Au bout de quelques minutes j’entends qu’on pousse la porte. Je reste yeux fermés, tête baissée. Quand une main se pose sur mes couilles je sursaute en laissant échapper un cri de surprise. J’ouvre les yeux et me trouve face à un vieux type qui souris en me caressant les couilles. De sa main libre il att**** la mienne et la place sur sa braguette. Vas-y sors ma queue. Je descend sa fermeture éclair et glisse ma main à l’intérieur. Sa queue lutte pour sortir de son slip.Elle est dure et chaude. Je réussis à la sortir complètement et commence à la branler. Le type lache mes couilles et pose ses mains sur mes épaules. « A genoux et suce petite pute ». Je me sens totalement humilié, j’ai envie de partir tout de suite mais il ne l’entend pas de cette oreille et insiste. Je flanche et me retrouve à genoux avec une bite sous le nez. Il me saisis par les cheveux et me tire la tête contre sa queue, sans trop réfléchir j’ouvre la bouche et il s’y engouffre sans ménagement.Il me baise littéralement la bouche brutalement. Pour une première expérience c’est du brutal. Je bande comme un âne. Sans changer rien à son rythme, il m’ordonne de caresser ses grosses couilles, ce que je fais docilement et avec plaisir. Je suis vraiment sa petite pute. J’ai des hauts le cœur chaque fois qu’il s’enfonce dans ma bouche, j’ai mal aux mâchoires tellement sa queue est trop grosse pour moi mais j’adore ce qui se passe. quand il jouit il bloque ma tête contre le mur pour que je ne puisse pas me dégager et je me retrouve à avaler ce qui me parait être des torrents de sperme. Quand il sort sa queue de ma bouche il est encore en train d’éjaculer, J’en ai partout sur le visage et la poitrine. Il essuie la dernière goutte de foutre sur ma bouche en me traitant de petite pute, de suceuse de bites.J’ai honte et en même temps je suis complètement excité j’adore ce qui m’arrive…Le type se rhabille et sort sans un regard en arrière. C’est à ce moment que je m’aperçoit qu’il y a du monde à la porte qui attend. trois ou quatre types qui n’ont rien loupé de ce qui vient de se passer. Ils ont tous la queue à la main et se branlent. Le plus proche s’avance, me saisit par les cheveux et me fourre sa bite dans la bouche. Par rapport à celle qui vient de me défoncer la mâchoire elle est bien plus petite et je me retrouve vite avec les couilles poilues du type sur le menton. Il ne lui faut pas plus de trente secondes pour qu’il se mette à jouir au fond de ma gorge en grognant fort. Il se retire, me gifle avec sa queue et sort en rangeant son service trois pièces et en disant. « C’est une bonne bouche à pipe… »
Le troisième est le mari de la femme qui voulait qu’on lui jouisse sur les seins. Il s’approche de moi et m’offre sa queue longue et plutôt fine à sucer en m’enjoignant de bien m’appliquer et de bien l’enduire de salive parce qu’il a l’intention de m’enculer.
A ces mots j’ai une décharge d’adrénaline, je suis vierge et l’idée de me faire baiser me terrifie en même temps qu’elle m’excite. Je le suce longuement en couvrant sa queue de salive jusqu’à ce qu’il me fasse me relever. Il me fait tourner vers le mur les jambes écartées et les mains contre le mur et le cul tendu vers lui.Il passe son gland entre mes fesses ce qui m’envoie des frissons dans tout le corps. Il me fait sucer deux de ses doigts et les glisse difficilement en moi. Il me travaille la rondelle avec ses doigts assez longtemps. Je devenais de plus en plus tétanisé : vu que deux doigts rentraient avec difficulté et quelques douleurs je n’osais pas imaginer dans quel état allait me mettre sa bite. Il s’est tourné vers sa femme qui regardait la scène avec gourmandise et lui a demandé d’aller acheter du lubrifiant . Elle est revenue deux minutes plus tard avec un tube. « Le caissier me l’a offert à condition de pouvoir baiser la petite pute après toi. J’ai bien sûr dis Avec plaisir. » Elle s’approche de moi, m’ordonne de tenir mes fesses écartées à deux mains et me colle une grosse quantité de gel froid sur la rondelle. Elle introduit un doigt, puis un autre. Et cette fois ça rentre sans problème. Elle en met un troisième et me baise lentement, profondément. La sensation est vraiment étrange mais très agréable. De sa main libre elle enduit la queue de son homme de gel. Elle retire ses doigts et guide le gland de son mari contre mon cul. Dès qu’il est en place, il se met à pousser lentement, mais surement. Au moment où je crois qu’il va me déchirer complètement, le gland finit de passer et la douleur s’estompe un peu. Inexorable il continue à s’enfoncer au plus profond de mon cul. Quand il ne peut plus aller plus loin il fait une pause. Lorsqu’il commence à se retirer la sensation qui m’envahit est incroyable et je gémis de plus belle. Il me saisit par les hanches et commence à me limer le cul sérieusement avec régularité et force. Ma queue est tellement bandée que s’en est devenu douloureux, Je n’ai pas joui mais j’ai l’impression de me vider de tout mon precum, il doit y en avoir une flaque entre mes pieds.
La femme de mon empaleur me caresse les couilles lentement pendant que son mari me défonce. Puis quand il accélère elle passe entre mes jambes et gobe ma queue dans sa bouche brûlante. Elle me malaxe les couilles tout en pompant avidement sur mon chibre. En moins de trente secondes de ce traitement je me mets à jouir en gémissant comme une chienne en chaleur. Sans véritable surprise elle n’avale pas mon foutre mais recrache tout sur sa poitrine. Je suis tellement excité que je ne débande même pas. Mon baiseur se retire d’un coup et inonde la poitrine de sa femme de foutre chaud et épais. Il a à peine fait un pas sur le côté qu’un autre type m’encule sans plus de cérémonie, d’un coup jusqu’aux couilles. Il ne lui fait que cinq minute pour se vider au fond de mon cul. Ce n’est que quand il dit que le tube de gel en valait la peine que je réalise qu’il s’agit du caissier. Le couple part à son tour et je me retrouve seul dans la cabine, couvert de foutre, hébété, le cul béant, surpris d’aimer la queue, humilié d’avoir été traité comme la dernière des putes et ravi d’avoir su donner autant de plaisir.

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