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Confessions d’un cocu magnifique

Confessions d’un cocu magnifique



Ma femme et moi c’était l’histoire d’amour parfaite. Une rencontre à dix-huit ans avec une brune ravageuse et angélique, un mariage à vingt ans et puis une vie sexuelle épanouie libertine, perverse, enfin de quoi faire rêver l’être humain moyen qui nous regardait toujours avec envie.

Il faut dire que Patricia est belle avec ses cheveux noir d’encre et sa peau claire. Son visage de gamine dans un corps de femme plus mure. A dix-huit ans déjà elle donnait l’impression d’avoir un corps très légèrement marqué par les mains des autres. C’est ce qui la rendait excitante : son corps semblait fait pour être touché autant que regardé. Abandon et fermeté.

Tout était parfait. A chacun de mes désirs les plus pervers elle apportait une réponse plus perverse encore. Elle commandait, choisissait les moments où on faisait l’amour et les moments où on baisait, puis l’usure aidant elle choisissait les jours et enfin elle s’est mite à ne plus rien choisir du tout. J’essayais toutes les tentatives d’approche possibles et imaginables, le matin, le soir, romantiques ou violentes, mises en scène ou improvisées, plus rien n’y faisait, je devenais une figure imposée. Elle ne me rejetait pas toujours mais je ne sentais plus dans ses yeux le désir que j’y trouvais autrefois, et cette indifférence me rendait malade si bien que pour ne plus souffrir j’ai trouvé une parade, d’acteur dans la sexualité de ma femme, je me suis progressivement, et malgré moi, transformé en voyeur.

Les rares fois où on faisait l’amour, je lui demandais, je la suppliai, de se caresser, comme pour ne plus avoir à la toucher, et pour la première fois elle résistait. La garce ne supportait pas de ne pas diriger les opérations. La nuit, je la touchais dans son sommeil. Je fermais les yeux pour qu’elle se croie seule et j’espérais qu’elle me trompe avec elle-même. Mais, à chaque fois, au moment d’en venir aux mains, elle s’arrêtait comme prise en faute.

Je m’humiliais à me masturber la nuit alors que je la savais éveillée,  » Tu ne veux pas de moi, je me prends seul ».

Puisqu’elle ne jouissait plus de moi alors je la rêvais jouissant d’elle-même, puis jouissant d’un autre. Pas une vraie personne mais un anonyme le plus différent de moi possible. Un mec, un vrai, pas moi. Je rêvais comme un masochiste qui se fait mal volontairement.

J’étais soumis, c’est comme ça que j’ai commencé à y prendre plaisir… elle aussi…

Sa domination, c’était son indifférence, ma soumission c’était mon désir incontrôlable. Tout cela baignait dans une atmosphère quotidienne sans aspérités, dans la confiance mutuelle d’un amour presque fraternel.

La semaine dernière, un de ses anciens amis est venu manger chez nous. Rachid était accompagné d’un dénommé Habib. Sorte de grand dadais d’origine sénégalaise qui a tout de suite remarqué mon absence totale de sex-appeal et, au contraire, l’allure de femme fatale de Patricia. On boit un coup puis un deuxième, un troisième, on rigole bien mais je sens confusément que quelque chose ne va pas : on ne m’écoute pas quand je parle. Même elle, elle me sourit toujours, mais elle ne m’entend pas.

Il est onze heures, je suis le plus bourré de tous, les deux zouaves me regardent amusés, enfin je crois qu’ils me regardent amusés. Plus je bois, plus elle me méprise, plus elle me méprise, plus je bois et plus ils rient de me voir tituber.

Ils commencent à lui faire des compliments sur la maison, arrangée avec gout, puis sur son élégance, puis enfin ils commencent tous deux à lui dire qu’elle est belle, je la sens flattée, j’enrage, je ne dis rien. Même quand l’un des deux s’assoit à coté d’elle, je ne dis rien. Viens que je t’effleure la main, viens que je me colle à toi, vient que je t’effleure les seins en attrapant la bouteille de vin. C’est un match au sommet pour emporter les grâces de la belle. Très vite, Rachid est battu. Il voit bien qu’elle ne chasse pas la main d’Habib quand il la pose sur sa cuisse, l’air de rien, accompagnant une bonne blague d’un geste intime. Moi aussi, avachi sur le divan, dans le brouillard, je le vois bien, qu’elle rit bêtement quand il lui parle, qu’elle pose sa mais sur son épaule quand elle se lève.

Il s’accroche le Rachid mais il est encore plus battu que moi qui ai finalement déclaré forfait depuis le début. Du coup, au bout d’une heure enfin, d’un temps interminable, j’ai arrêté de compter depuis longtemps, il finit par battre en retraite et se barre espérant qu’Habib parte avec lui. Personne ne le retient mais personne ne l’accompagne et je l’entends vaguement descendre les escaliers sans me dire au revoir, il faut dire qu’on ne dit pas au revoir à un meuble.

Patricia et son bellâtre restent seuls. Ils balancent des banalités sur le Sénégal, sur la chaleur du climat et des corps qui ont une formidable aptitude à bouger en rythme Comme tout le monde, elle trouve que c’est super beau des muscles sur un corps de noir (ça tombe bien) alors que sur un blanc… Comme tout le monde il trouve que les blanches sont plus libres, les lieux-communs c’est pratique pour faire semblant de se parler quand on commence à se toucher…

Il est trois grammes à ma montre, c’est l’heure à laquelle je m’endors, enfin pour ne rien cacher je fais semblant, je ne sais pas ce qui me prend mais je décide de mettre son amour à l’épreuve et je ferme les yeux…

– Il est drôle ton copain.

– Je sais pas ce qui lui prend, il ne fait pas ça d’habitude.

Elle me secoue, je dors…

– Tu devrais aller te coucher.

– On le laisse dormir ici…

Elle est surprise je le sens, elle ne sait pas quoi penser.

– Tu veux dormir ici mais…

– Avec toi…

Il l’entoure de ses grands bras, elle tourne toujours le dos vers moi qui suis avachis à coté d’elle. Je l’entends qui respire fort, elle se demande comment elle va refuser ça. Pas comment elle va le lui refuser à lui, comment elle va SE le refuser…

Elle tente d’écarter ses bras, il s’y prend bien l’a****l, il l’effleure, elle respire de plus en plus fort…

– Je ne te plais pas ?

– Si….

– Toi, tu me plais beaucoup.

Elle souffle… oui ?

Il l’embrasse doucement dans le cou, je ne bouge toujours pas, elle tourne sa tête vers lui, elle le regarde avec ses jolis yeux inquiets, presque… aimants. Lui ne quitte pas son joli cou pale du regard…

– Tu as déjà couché avec un noir.

– Non.

– Tu vas voir…

Il remonte ses lèvres vers l’oreille de ma belle et embrasse son lobe, elle ferme les yeux, elle souffle, att**** les mains noires qui caressent ses seins tendrement à travers ses vêtements, elle n’essaie plus de les enlever, il a gagné. Je dors.

Ils s’embrassent à coté de moi, la tête tournée, elle a peur, de temps en temps elle me jette un regard inquiet, toujours au bord de la marche arrière, mais elle l’embrasse et c’est bon de l’embrasser on dirait deux amoureux. Je distingue ses seins qui remuent lentement quand il la touche. En bon professionnel il a défait son soutien-gorge à travers le chemisier… trop tôt ? Elle hésite, lui pas. Tendre peut-être mais ferme, il lui écarte les jambes et faisant le tour de sa taille, caresse l’intérieur de ses cuisses d’une main, en lui tenant fermement le cou de l’autre. Le chasseur tient sa proie, il ne veut pas la lâcher. C’est interminable, elle est de moins en moins tendue, elle se laisse faire, et moi j’attends le moment ou l’abandonnée va devenir putain.

Je ne suis plus saoul, au contraire je pense que je n’ai jamais été aussi lucide de toute ma vie. J’ai conscience de tout ce qui se passe dans la pièce avec une précision incroyable. Je sens les cuisses de Patricia bouger au rythme de la main de son amant. Je sens l’odeur de son haleine, lourde et chaude quand il lui lèche le coin des lèvres. Je sens la racine de ses cheveux frémir. Je la sens amoureuse de ces gestes, de ce corps, de ce phantasme vivant. Je sens cet amour de circonstance et je sens tout le mépris qu’il a pour cette petite blanche si facilement vaincue.

Je prends plaisir à cette déchéance. Je suis soumis, à mes propres yeux, ce n’est plus drôle. Mais elle…

Des gémissements lui échappent mais maintenant elle s’en fout. Elle se mord la lèvre inférieure, elle gémit quand même, il lui mord légèrement la langue, elle manque de crier.

– On va à coté, ici je ne peux pas, les voisins…

Je ris en silence. Je suis sur le même divan qu’elle et elle se soucie du gamin d’en face qui est effectivement en train de se branler sur son balcon en la regardant…

Habib ne répond pas, défait la fermeture éclair de son pantalon et glisse sa main dedans… cette fois ca y est, elle a crié.

– Tu veux vraiment que je m’arrête ?

Elle supplie presque.

– Non !

Il lui dit doucement :

– Ma petite salope blanche veut que je continue ?

– Oui…

Il défait le chemisier complètement, le soutien-gorge défait a lâché un sein. Les gestes du noir sont langoureux et brutaux à la fois. J’admire. Il lui tient le ventre à la griffer tout en caressant doucement sa chatte. Le pantalon de ma femme est sur ses genoux. Il l’enlève elle se tourne vers lui et l’embrasse complètement. Il l’allonge sur le divan. Ironie du sort, sa tête s’appuie sur moi ! Ne pas bouger, surtout ne pas bouger… Comment peut-elle ne pas s’apercevoir que je bande comme un fou.

Elle est nue. Il est sur elle, l’embrasse, il descend sur sa poitrine, lèche ses seins, les mord.

– Touche-moi…

Deux ans désirs qui débordent. Il le sent….

– Ton mec ne te suffit pas, ma petite salope blanche veut du nègre….

En poussant sa tête vers ses cuisses, elle bafouille :

– Oui lèche ma chatte avec ta langue, oui lèche.

Je ne l’ai jamais vue comme ça, elle se tord la tête sur mon ventre elle a les yeux fermés, elle tient la sienne sur son sexe, ses seins bougent dans tous les sens, elle bave, vengeance…

Lui, accroupi à l’autre bout du divan, se marre, il la regarde et lui parle.

– Petite chienne, tu me veux

– Oui, je suis une petite pute blanche et je te veux, je suis à toi…

Il s’arrête, la main gauche enfoncée profondément dans son vagin. Il est beau, toujours habillé, il n’a même pas l’air d’être excité (un comble).

C’est elle qui se relève pour se jeter sur lui, il n’a pas besoin de parler. Elle se redresse, cette fois il est debout et elle agenouillée à l’autre bout du canapé, dos à moi. Elle balaye tout son corps avec ses mains, défait comme une assoiffée sa ceinture tout en l’embrassant, en lui disant qu’elle est sa chienne blanche, qu’il est son amour, tout pour elle…

– Répète, dit-il.

– Je suis ta pute, ta chose, je suis ce que tu veux…

– Encore…

Elle répète…

– Encore…

Il la regarde avec dégout, lève les yeux vers moi en souriant et là je me rends compte que j’ai les yeux grands ouverts, je ne sais pas depuis combien de temps.

Ceinture par terre, braguette ouverte, il est triomphant. Elle, les bras sur la poitrine du black, elle suce autant qu’elle peut, elle le boit.

– Touche-toi, dit-il…

Elle lâche sa grosse bite en continuant à le sucer à le lécher, ses mains humides descendent le long de son cou, att**** ses seins…

– Griffe-toi.

Et elle se griffe la poitrine, le ventre et enfin la chatte. De dos je ne vois que sa main, entre les bruits humides de masturbation et de fellation, j’entends des ordres, des mots d’amour, des insultes…

J’admire ce mec. Il la traite de pute, tout en lui caressant doucement les cheveux, il n’a pas besoin de bouger, elle lui répond qu’elle l’aime… je n’en reviens pas. Mais je n’en peux plus, à mon tour, je commence à me caresser la bite a travers mon pantalon d’abord puis, perdant complètement ce qui me reste de dignité. Les mouvements de sa tête sont de plus en plus amples, elle doit sucer un mat, en même temps, je la vois qui bouge ses reins de plus en plus vite. Je distingue ses deux mains qui malaxent son entrejambe. Elle gémit si fort qu’elle couvre les bruits nocturne de la rue.

Un mouvement plus violent que les autres, elle se dresse sur ses genoux. De dos, je vois clairement une de ses mains entrer entièrement dans son vagin et sa tête s’écraser sur le ventre de son amant… le bruit de succion s’arrête, elle a des soubresauts, elle jouit ! Lui, la tête en arrière, les bras le long du corps, il lui éjacule dans la gorge.

Il n’y a plus que moi qui fais du bruit… Elle s’en moque, je n’ai pas d’importance, elle ne pense qu’à l’avoir en elle, sur elle. Il l’écarte lentement… elle s’assoit les jambes écartées.

– Je vais te prendre

Je vois à nouveau le visage de Patricia, toujours plus belle, les yeux mouillés… Regardant le noir se glisser entre ses jambes ouvertes et enfoncer son sexe dans son vagin…

Elle est effrayée, elle le repousse. Il a l’habitude, il entre doucement, elle grimace au début, puis les muscles se détendent, elle recommence à souffler en rythme.

– Je te plais, dit-elle, elle te plait ta petite salope blanche, et puis touchant son ventre elle est si grosse ta queue, si grosse….

Cette fois il ne prend plus aucune précaution, il la laboure de plus en plus violemment et elle crie de plus en plus fort. Tout son corps bouge. Elle l’agrippe par les épaules, je vois ses seins blancs frotter les muscles noirs. Elle cherche sa bouche pour l’embrasser, le regarde soumise, lui touche le visage en tremblant, en criant et écarte ses jambes autant qu’elle le peut, Elle s’offre comme elle ne l’a jamais fait pour moi.

Soudain, il la repousse en tirant violemment sur ses cheveux longs pour la plaquer contre le dossier. Il lui malaxe la poitrine en lui enserrant la gorge et elle en redemande, il la viole sous mes yeux et elle en veut encore…

– Oui, plus fort mon amour, j’en veux.

Il rugit, lui met deux doigts dans la bouche et la déforme. Elle ne mord pas, elle suce.

Son sein gauche est rouge du traitement qu’il subit, elle a les traces de sa poigne sur ses fesses et son ventre. Il est brutal, tendu, superbe.

Je m’avance pour la toucher, il me repousse… Elle ne fait pas un geste pour m’attirer. Au contraire, elle lui att**** la main pour qu’il serre sa chair plus fort encore, et je retourne me branler dans un coin…

– Regarde petit blanc, comme elle jouit ta pute, tu savais pas, hein, qu’elle en voulait comme ça, hein ?

Il la gifle et cette salope dit oui, hein, « Tu savais pas, regarde ! », elle crie « Encore »… il lui frappe les seins, les écrase dans ses doigts… « Regarde ! » « Encore …encore….encore…… »

Droit comme un « I », il la domine de tout son buste et la regarde prendre plaisir à sa souffrance, à ses coups,

Je les regarde fasciné et envieux… je crève d’envie…

Soudain il la tire contre lui par la nuque, se penche sur elle, je la vois qui prend une dernière respiration et qui hurle de plaisir, pendant que lui se tord sous l’effet d’un orgasme… il l’att**** se lève en lui tenant simplement les reins et la retourne. C’est lui qui est assis maintenant et c’est elle qui s’active. Sa croupe bouge violemment d’avant en arrière pendant elle att**** un de ses seins et le lui glisse dans la bouche…

Il l’aspire complètement dans sa bouche, il la suce d’abord et puis mord. Elle a mal, je le sais, je la connais mais elle est heureuse de se sentir désirée à ce point. Et de désirer comme une folle.

Elle me regarde et ses yeux disent : regarde comme c’est bon un homme…

Il lui glisse un doigt dans l’anus puis deux, puis trois et enfin tous les doigts en dehors du pouce… elle, la tête en arrière, a les yeux révulsés… Elle arrête de respirer se tord une ultime fois en criant… tous ses muscles tendus vers le sexe de son amant et elle semble éclater de l’intérieur au moment de son dernier orgasme… Je ne l’ai jamais vue jouir comme ça, je ne l’ai jamais vue jouir du tout…

Elle s’est affaissée sur lui, l’a embrassé lentement pendant un très long moment sans bouger Les mains pleines de mon propre sperme, je les regarde se faire l’amour doucement, je suis bien…

Depuis cette soirée, silence radio, j’évite de boire et elle regarde beaucoup plus les hommes noirs dans la rue.

A propos de l'auteur

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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