Histoires de sexe arabes Histoires de sexe lesbiennes Histoires érotiques au travail

Convalescence

Convalescence



Convalescence

1. Le réveil
Je sors doucement de la brume. Les premiers sons, des ronronnements diffus, des bruits de voix étouffés…
Je ne ressens rien, je n’ai plus de corps…
Où suis-je ?

J’ouvre les yeux lentement… Ma chambre !…
Plutôt son plafond…
Blanc, irréel, comme celui du bloc que j’ai aperçu en m’endormant ce matin…

Je donne un coup d’œil circulaire…
Je suis bien dans ma chambre, avec mon nounours, petit témoin de mon ami, Romain…

Je me rendors dans les brumes ouatées, je suis en vie !…

Après quelques jours et quelques nuits, la douleur est supportable, très diffuse… On me donne à manger, cuisine pauvre en goût, pas la mienne !…

Le matin, le défilé…
Température, tension, médocs, petit déjeuner, douche, Médecin, mon gourou…
2 heures sur le billard, les affres du temps ont réparés, il est disert, imbu… Merci doc…

Le kiné vient me dérider, plaisanterie de bon goût, il me lève, me fait marcher, mais cela va tout seul, regarde mes pieds, mes chevilles, tout va bien, pas de lésions dues au séjour allongé.

De jour en jour je progresse, je reprend un rythme normal, pas de fièvre, j’ai même faim. Je recommence à me maquiller légèrement, je mets des vêtements plus gais…

Puis la phrase tombe :

– Bon, tout va bien, je vous libère demain matin…

Pas forcer, de peur d’hémorragies, se reposer pendant un bon mois, marcher dans la maison, pas de sport, pas…

Je dois rester monacale, mais je n’ai envie de rien de ce côté-là…

Le repos, oui, reprendre des forces, manger, prendre mes médicaments, boire, se détendre…
Le plus dur est fait, dans un mois ce sera loin, dans deux ce sera oublié…

Premiers pas, Romain est venu me chercher. Il est tendre, dévoué, il porte mon sac, me suit partout, par peur que je ne tombe…
Il ouvre les volets, réveille ma maison endormie depuis une semaine.

Puis il repart, il a rendez-vous, il aime garder une activité, associations, groupes, etc… Il papillonne et oublie son âge… Il approche des 70… Je n’en suis pas très loin…

La maison me reconnait, j’allume la télé, je reprends une douche…

Je passe une robe d’intérieur, je me refais une beauté, pour moi, juste pour me regarder dans la glace…

On me dit encore potable, et encore, ils ne voient pas le reste… Pas tous du moins…
J’aime plaisanter…

Séance téléphone, j’appelle ma fille, quelques amies, Romain encore, j’ai besoin de quelques courses…

La vie reprend, les habitudes reviennent, le soleil entre dans le salon.
J’ai fait un tour sur la terrasse, la piscine est couverte, tout est propre…
Je vais bientôt la passer en mode hiver…

Le jardin a pris quelques couleurs d’automne, j’aime cette saison, mais préfère le printemps…

Je m’allonge sur mon canapé avec quelques revues, les appels arrivent, on prend de mes nouvelles…
Voisines, amies, relations, famille…

Ma première nuit se présente. Romain vient de partir, il m’a préparé un repas léger pour le soir, il a rangé les courses, acheté quelques fleurs…
Adorable ami, amant, mari, copain… Et surtout complice…

Il a remplacé mon Paul après 30 ans de mariage, et un coup de poignard dans le contrat… Viré sur le champ, hors de ma vue…
Mais proche pour sauver les apparences, ma fille vivait encore avec nous…

Paul reste un ami, car 30 ans ne se balayent pas d’un revers de la main…
C’était celui de Romain…

On avait échangé entre couple lors d’une soirée.
Paul avait hérité de l’ex de Romain, mal dans sa peau et névrosée. Romain en a bavé pendant des mois pour la sortir de ses dépressions. Comme ils étaient potes ça se passait bien, comme en famille.

Nous n’habitons pas ensemble avec Romain, car échaudée par mon divorce, je cultive ma liberté, on partage beaucoup, on fait des parenthèses parfois pour vivre nos plaisirs…

En repensant à nos soirées entre couples, nos premiers pas dans l’échangisme, pour améliorer nos rapports conjugaux, une sensation revient dans mon ventre…

Le plaisir est toujours en moi…

Je prends la tablette dans mon lit et fais un tour sur mon site préféré… 300 messages en 10 jours !!!

Je n’ai pas envie de lire… Juste regarder…

J’ai accumulé des expériences, j’ai tout vécu, affronté, tout accepté, tout tenté, tout testé…
Ma vie sexuelle a été parsemée de moments très glauques après ma séparation, mais aussi très tendres.
Devenue lesbienne à l’insu de Paul et quasiment sous son nez, j’ai vécu, j’ai rencontré, aimé…
Femmes, filles, mères et comme je suis très sociale, j’ai aidé mes consœurs à se libérer des griffes de leurs époux, à revivre leur libido…

Côté mecs, j’aime être regardée, désirée, jusqu’aux premiers échanges verbaux…
Je juge alors du niveau intellectuel, de l’âge, de mon ressenti côté physique…
Particulièrement attirée par les premiers regards, j’aime ressentir le désir qui s’installe peu à peu…
Ces moments diffus, étranges, avant de passer le pas…
Une cour très courte parfois suffit à réveiller mes sens…
Avant qu’il ne se rende compte que j’ai envie aussi…

Les vidéos sont ternes, trop brutales, trop rapides, je cherche des femmes dans la quarantaine ou la cinquantaine, mariées ou non, en quête de renouveau, amant, amante, coup d’un soir, en tout cas du sexe… Tabou pourquoi pas ? Les histoires en famille ne m’inspirent pas trop…

Je trouve une maman, belle, blonde, une qui me ressemble un peu, avec quelques années de moins…

2. Brigitte

La tête bien faite, des pensées normales, elle est courtisée par un ami de son fils…
Rien de construit, elle se retrouve contre lui lors d’une danse, un anniversaire, de l’alcool… Des yeux d’ange… Un baiser volé sur la terrasse déserte…
Elle s’échappe, s’assied à sa table… Trop jeune, trop proche… Trop…

Elle est perturbée par ce qu’elle a ressenti… Ce sexe indécent contre sa cuisse, en dansant et sur la terrasse où il essayait de la caresser…
Elle lui plait… Il était en érection… Il la désirait…
Mariée pourtant, mère d’un grand enfant du même âge que lui, en instance de partir du nid…

Ce regard bleu hante sa soirée…
Elle sort respirer…

Il est là, tapi dans un coin, il la regarde et lui sourit…

– Il fait bon, ne m’en veux pas, tu es si belle…
– C’est à moi que j’en veux…

Il se lève, lui tend la main, et l’accompagne en bas des marches de la terrasse…
Il contourne la piscine en bavardant…

Elle ne voit que ses yeux lorsqu’elle lève la tête…
Son mari n’est pas là ce soir…
N’importe comment il n’est plus souvent là, avec elle, pour elle…

Ce jeune homme de vingt ans a des réflexions d’homme mûr…
Il parle d’art, il est instruit, va devenir ingénieur…
Il dévoile ses goûts, elle confie les siens, en matière de musique, de ciné, de nature, de voyages…

Elle se retrouve assise sur un banc…
Il la fait rire, ça aussi c’est devenu rarissime…
Il lui fait des compliments sur sa robe, sur ses cheveux aux couleurs d’automne…
Cela fait longtemps qu’un homme na lui a pas parlé en ces termes…
Ses défenses tombent, elle n’a plus aucun grief contre lui…

La conversation s’épuise. Il manque de sujets, elle n’ose tout aborder…
Elle se lève, lui aussi. Ils se sourient, face à face, écoutant les lointains flonflons…
Il l’attire vers lui, elle se laisse conduire…
Il danse un slow imaginaire, dans cette ambiance douce, étrange, aux lueurs de la fête, des senteurs de roses…

Elle sent ses mains glisser dans ses reins, son sexe a retrouvé la forme… Elle est désappointée…
Elle sait que c’est naturel et qu’il n’y peut rien… Sauf se tourner…

Elle ressent soudain son ventre qui se réveille, son sexe qui gonfle… Ses seins qui pointent leur désir…

Elle lui ouvre ses lèvres…

Le baiser est torride, un baiser d’ado, long, tendre, puissant, énervé, et pourtant doux, et sa langue qui fouille sa bouche, ses mains qui vagabondent, elle devient moite, flasque…

Elle s’appuie sur la table pour ne pas trébucher…
Le sexe boursouffle le pantalon, appuie contre son pubis, tendu, une perche, un dard sans doute gorgé de vie…
6 mois au moins qu’elle n’en a pas vu… Des années d’aussi gros…

Elle caresse son dos, son cou, se pend après lui… Il l’entraîne et l’assied au bord de la table…

– Non, doucement, non… Je suis mariée, tu es bien jeune, je veux rester fidèle…

Ses mains sont remontées sur ses cuisses, qui s’ouvrent, remontant la robe…
La culotte est rouge, en dentelles, il lui fait compliment…

Une main glisse, découvre ses trésors, s’attarde sur son bourgeon…
Elle soupire… Souffle, râle… Tandis que les doigts opèrent des cercles affolants, libérant ses effluves féminins…

La culotte descend, rattrapée de justesse et posée sur la table…

Elle sent la fraîcheur de la soirée…
Puis une bouche chaude vient goûter à son fruit…
Il embrasse ses lèvres, son bouton et la langue titille sa grotte, lui arrachant des soupirs de chatte en chaleur…

A partir de là, elle n’est plus qu’une chose, une poupée entre des bras enjôleurs…

Son désir se transforme, il devient envie, besoin, urgence, car son sexe le prouve, ouvert et détrempé, écartelée devant lui, sublimé par les doigts agiles…

Elle se laisse piéger, l’encourageant même, quand les doigts furtifs pénètrent son vagin, et mettent le feu à sa libido en sommeil…

La robe est dégrafée, dézippée, et les seins apparaissent…
Deux mamelons parfaits, la langue s’y précipite, les lèvres mordillent…

Elle jouit, elle est à lui, elle va se donner, il va la prendre dans ce jardin obscur…

Elle sent le membre qu’il vient de libérer…

– Non… Pas… Je… Oh !… Non !… Oui !… Oh !… Ohooooo !… Attends !…

Elle n’en revient pas, depuis quelques minutes, elle trompe son mari avec un jeune homme plein de fougue, d’ardeur, de l’âge de son fils…

Elle ressent le sexe aller et venir dans son vagin, la labourer, la porter à l’orgasme qui la submerge trop vite ; elle se laisse pilonner, écartelée, offerte…
Elle attend le second, puis le troisième, c’est un déluge…
Elle ne veut pas le faire…

Puis il la soulève et la retourne…
Arc-boutée sur la table, fesses relevées, ouvertes, elle attend…

Et il la reprend en levrette, et elle délire cette position qui la met dans tous ses états…

Il la saisit par les hanches, s’enfonçant sans ménagement dans son con de bourgeoise…
Il le savait qu’elle serait bonne… Son copain lui en avait parlé…

« Ma mère par-ci, ma mère par là… »
« Tu l’as baisée ? »
« Non, mais elle doit être bonne, ça fait des années que je ne les ai pas entendus dans leur chambre… Elle s’en plaint d’ailleurs, elle le lui serine quand ils se prennent le bec… Ensuite elle pleure… J’ai eu envie de la consoler de la prendre dans mes bras, mais je n’ai jamais osé braver cet interdit… »
« Tu as eu envie d’elle ? De te masturber ? »
« Oui, parfois… Quand je suis seul dans ma chambre… Je l’imagine alors, elle vient me caresser, elle me suce, puis je la fourre, et elle jouit de ma queue, cette queue qu’elle a conçue… »

Oui, elle est bonne et elle s’envole encore, accoudée à la table…
Elle veut le sucer… Il s’arrête et s’offre…

Elle le prend dans sa bouche et lui fait une fellation de dingue, un truc de folie, lente, douce, une gâterie de luxe… Il n’en revient pas…
Elle le pompe, passant sa langue sur la hampe, sur le gland, en caressant ses couilles, et il se lâche dans sa bouche…

On a droit aux commentaires du jeune homme, en aparté…

« Quel pied, cette gonzesse, une bourge mal baisée, mais quel tempérament, elle était en manque…
Mais juste une remarque… Elle le fait si bien, on dirait que je ne suis pas le premier qu’elle prend en main… »

Elle le regarde, comme libérée par ce qu’elle vient de faire…

« Elle s’est laissée prendre sans trop rechigner, comme une habituée des 5 à 7…
Et puis elle est loin d’être étroite, un vagin accueillant, dilaté par le désir, où j’ai plongé ma bite, un fourreau de première…
Elle cache son jeu… C’était trop bon, trop consenti.
Pourtant, elle en donne plus qu’une pro, elle en prend autant pour elle, qu’elle en donne, se donne… Elle jouit sans retenue… »

Elle se rajuste un peu, craignant de la fraîcheur de la nuit, se couvrant avec des pans de sa robe ouverte…
Elle s’assied sur la table, la foufoune encore humide…

Il y glisse sa main, se met à rebander…

Il a envie de la sauter encore, de la prendre par le cul comme avec ses maîtresses, et ses copines de son âge…

– Tut, tut, tut… Tu en as assez eu… Ce que l’on a fait là, tu dois oublier… J’ai perdu la tête, j’avais…
– Oui ?
– Ton sexe, que j’ai sentie en dansant, a mis le feu à mon ventre…
– Tu regrettes ?
– Tu pourrais être mon fils, vous avez le même âge, on se connait un peu d’ailleurs, tu es venu quelquefois à la maison, non ?
– Oui, et j’avais remarqué ta beauté, déjà…
– Coquin ! Charmeur !… Non, c’est immoral, je suis mariée…
– Mais tu viens de prouver que tu aimes faire l’amour, que tu en avais besoin, et tu m’as fait jouir de façon si intime et si douce…
– Non, il faut oublier… Je ne suis pas libre, je ne suis pas une Marie-couche-toi-là…
– Mais non, pour moi tu es une vestale, la maman d’un bon copain, une femme désirable, une femme du monde, que je pensais inaccessible… et dont je rêvais parfois…
– Tu es trognon… Flatteur… Mais bien trop jeune pour m’apporter ce qu’il me manque…
– L’amour ? La tendresse ? La virilité ? L’aventure ? Je n’ai pas la sécurité, je commence dans la vie et ne suis pas riche…
Mais je viens de prouver que j’ai de la patience et suis persévérant…
– Oh, oui ! Mais non, je recherche un nouveau mari… Le mien est foutu, aux orties… J’en ai ma claque de lui, donc je vais partir, maintenant que mon fils est élevé et part du nid en septembre, je veux vivre ma vie de femme… Je suis encore jeune et pleine de rêves enfouis en moi… Je veux connaitre la vie dans toutes ses facettes, même les plus noires, après je verrai. Ensuite je veux une personne qui soit sur la même route, qui prenne le même chemin et partage nos fantasmes, nos joies, nos désirs, dans un amour total, sans aucune ombre de jalousie… Après ? L’argent, une belle villa, des voyages, des amants, des amantes…
– Je sais et j’aime tout cela…
– Mais tu n’es pas sur la même route, la mienne est bien plus avancée… La différence d’âge créera un fossé, un jour, dans 2, 3, 10 ans… Et mon rêve sera terminé… Je veux un homme de mon âge, qui me fasse l’amour chaque soir, ou qui me permette de le faire parfois avec d’autres, avec des femmes, des couples… Je veux goûter à tous les plaisirs du sexe, sans limite, oublier mon ancienne vie de bourgeoise mal baisée ou du moins pas assez…
– Compte sur moi, je serai en toi chaque jour… Tu me sentiras dans ta chatte, dans ton cul, que j’éclaterai à t’en faire crier de plaisir…
– Miam, j’ai du rater un épisode… Non, arrête !… Je suis sérieuse…
– Quand vas-tu le trouver ton homme parfait ? Un an ? Deux ans ? Dix ans ???
– Avant je peux en essayer plusieurs jusqu’à tomber sur le bon…
– Commence avec moi, viens demain chez moi, on en reparlera, on le fera ce premier voyage au septième ciel, je t’apprendrai l’amour interstellaire, puis les détails, et tu verras, tu changeras d’avis.…

Elle s’est rhabillée, peignée, et présentable, elle revient au salon pour boire un verre d’alcool…
Ce garçon est un phénomène…
Il l’a pénétrée, mais n’a pas joui en elle, elle l’a détourné habillement…

Il y a quelques semaines, un trimestre au plus, elle a rencontré une femme…
Elle a été attirée immédiatement vers elle… Elles ont bavardé… Le courant passait si bien, qu’elles ont fait l’amour le premier soir… Un coup de foudre !
Elle n’avait jamais connu cette attirance sexuelle, cette tendresse, entre femmes, ces échanges, ce sexe lesbien qu’elle a découvert bien vite…
Elles se sont revues plusieurs fois, des week-end entiers, puis le soir, faisant un trajet l’une vers l’autre, se rencontrant dans un hôtel…
Elle en est tombée amoureuse, ne pensant qu’à elle… Une véritable drogue…
Lesbienne et fière de l’être…

Oui, partir de chez elle, faire les quatre-cents coups, mais pas pour un homme…

Dans un mois, elle doit aller vivre chez elle, une petite villa tranquille, moins exposée que là où elle vit actuellement… Idéal pour cacher leur amour, vivre en toute sérénité, repartir sur d’autres bases… Elles ont plein de projets…

Mais ce soir, cet accroc…

Elles ont fait l’amour chaque fois, chaque fois plus beau, plus intense, plus entier…
Elle a joui comme jamais elle ne l’avait fait avec un homme…

C’était dit, elle allait changer…
Oublier les hommes menteurs, fourbes, qui vous courtise que pour baiser…

Marianne c’est du nanan… Un délice, du miel…
Même année, mêmes études, mêmes goûts, en beaucoup de domaines…
Douce, attentive…
Belle rousse, sublime avec des seins parfaits et des jambes interminables…
On se retourne lorsqu’elle entre dans un salon…

Pourtant ce soir…
Elle n’a pas pensé à Marianne, en sentant le sexe de Willy battre contre son ventre…
Dans le salon, elle en a imaginé la forme, la taille… Cette verge venait la hanter… La détourner…
Il est si jeune ce garçon, si frais, si fou !…

Et puis il est revenu à la charge, alors qu’elle pensait à Marianne et à son sexe si doux, cette chatte féérique, rasée, rosée… qui s’ouvre sous sa langue…

Willy l’a retournée en quelques paroles…
Le sexe fort a gagné…

Elle en a eu envie de ce membre vigoureux…
Cela faisait si longtemps qu’elle n’avait touché un sexe d’homme, autre que celui de son mari, le seul depuis tant d’années de mariage…
Longtemps aussi qu’il ne l’avait plus honorée…

Les scènes de ménage devenaient courantes, elle savait que c’était terminé…
Elle avait besoin de changement…
Marianne avait surgi, apportant tout son univers…
Attirée par le nouveauté, transportée, éblouie… Elle avait craqué…

Faire l’amour avec Marianne n’est pas tromper…
Elle songeait à tout ce qu’elle avait raté… Son mari n’aurait jamais douté…
Orgasmes lesbiens, découverte du corps de la femme, de son sexe, de ses seins, sa tendresse, et son intelligence, de ses secrets les plus intimes… Marianne était une fée…

Willy venait semer le doute…
Elle n’avait pas voulu tromper Marianne si tôt… Quelques semaines…
Elle lui téléphone, prétexte un déplacement lointain et imprévu, une urgence auprès d’un client, elle reviendra avant le week-end…
Elles s’embrassent…

Quelques gouttes perlent de ses yeux…
Elle vient de signer pour une seconde soirée torride avec son jeune amant…

Elle ne pourra pas se détourner, elle ira pour le sexe, pour se donner à lui, pour retrouver ses extases qu’elle a oublié depuis…
Elle en a frisé un, mais elle se gardait du meilleur…

Là, elle prendra un amant et elle fera l’amour pour la première fois avec un homme de 20 ans… Comme un fils…

Elle se souvient d’avoir vu pendant son adolescence, des revues, trainer dans sa chambre… Son regard à la sortie de son bain, sur ses seins non couverts, elle était certaine qu’il la regardait parfois, autrement que Maman…
La puberté tenaille, on oublie le contexte, on ne voit plus qu’une femme, des seins, une chatte attirante, qu’on a envie de prendre…

Elle y a pensé parfois, quand on mari les laissait seuls ensemble et qu’elle pleurait dans la cuisine, éplorée, asséchée…
Elle s’est caressée plusieurs fois, se remémorant des images diffuses, où son fils prenant sa douche, ou dans son lit… Elle a détecté quelques tâches sur les draps, elle mes a même sentis une fois… Le goût du père ?
Mais non… Elle rêvait…
Quand elle en parlait avec lui, il évitait rapidement le sujet…
Maman, non, je suis un ado, je fais ce qu’il faut, mais je ne suis pas pervers à ce point…
Cela m’a effleuré, tu es si belle, tu es désirable, là, à mon côté, parfois presque nue sous ton peignoir que rien ne cache vraiment et mes sens s’affolent vite…
J’aimerais rencontrer une femme qui te ressemble…

Elle lui a parlé de Willy dans la semaine…

« Oh, il est très beau, et a des conquêtes. J’aime sortir avec lui en boîte, on déchire, et c’est rare qu’on rentre seuls… »

Un coup de poignard !…
Ah, il se divertit alors ? Il distribue sa semence dans les discothèques ?
Ils baisent ensemble ? A quatre ?

Mais il me veut aussi ? Pour booster son compteur ? Pour une expérience ?
Se faire une mature, c’est pas gagné !… Quoique… Certaines baisent tout ce qui a deux pattes et une bite en goguette…

La voiture ralentit, c’est lui, il se gare devant l’entrée, au pied de son immeuble…
Il vient prendre sa valise, pas de baiser, la réputation de sa future maîtresse est en jeu…

Il lui ouvre la porte, fait le tour et démarre, vers l’autoroute…

– Alors ? Tu as passé une bonne semaine ?
– J’attendais ce moment comme un taré… Tu ne peux comprendre combien tu m’as séduit… J’ai hâte de pouvoir te serrer dans mes bras, t’embrasser, te caresser, te faire l’amour comme j’en ai rêvé chaque nuit de la semaine…
– Oh ! A ce point ? Mais tu es si fou… Un gamin qui a trouvé un nouveau jouet…
– Non, je réalise combien j’ai de la chance que tu aies accepté ce week-end pour se connaître… Tout de toi m’attire, tout me fait rêver, je me sens un autre, je recommence une vie nouvelle, je vais découvrir ton corps, en pleine lumière, tu vas illuminer mes nuits…
– On a fait un peu de chemin…
– Rien du tout, un flirt de gamins… Quelques baisers, des caresses sur un banc de jardin…
– Un flirt poussé tout de même ! J’ai senti un doigt me pénétrer ! Et tu m’as faite jouir avec ce doigt maudit, à tel point que j’ai dû te remercier comme tu le méritais…
– Pourquoi maudit ?
– C’est là, que j’ai craqué ! Avant ce n’était pas tromper… Mais là, quand j’ai senti l’orgasme monter depuis mon ventre !… J’étais en faute… J’ai trompé mon mari…

Le regard dans le vague, elle pense à Marianne, à ce mensonge servi au téléphone…
Son mari, son amante… Elle bat des records !

Elle le regarde conduire, attentionné, prudent, elle a envie de le lui dire…
Car si elle attend, elle pensera à sa faute, à ce qu’elle vient chercher ici…

Il la guide, la villa est magnifique, appartenant à ses parents, inhabitée la plupart du temps. Ils sont en voyage en Camping-car, mais il a téléphoné pour savoir…
Pas question de quitter l’Espagne, ils se baignent toute l’année…
La villa est à toi, invite tes amis, on te souhaite de t’amuser…

Ils sont sans problème… S’ils savaient le but de cette fête… Elle est du même âge que sa mère…

Elle est là, devant lui, elle regarde la vue du balcon, la mer à perte de vue…
Il ouvre tous les volets, d’un coup de télécommande…
Il a pensé à faire quelques courses, qu’il range dans le frigo…

Il lui montre les iles, les montagnes au loin, le village en bas…
Il la serre dans ses bras, elle tourne la tête, leurs lèvres se rencontrent plein Est…
Les bras se referment sur sa poitrine, elle se lève sur la pointe des pieds…
Le baiser est merveilleux de tendresse et de douceur, leurs langues se cherchent, elle aime ce premier contact…

Elle envoie ses bras en arrière, mais l’espace est limité…
Elle descend vers les cuisses, elle ressent le sexe pointer comme l’autre soir…
Les mains enserrent ses seins, autant l’aider, elle ouvre sa chemisette blanche et libère ses seins…
Il grogne dans son dos er ses mains empaument les globes, et massent doucement…
Le membre, excité par ces caresses, prend quelques largesses… Il est nettement bandé contre elle…
Elle cherche la boucle de la ceinture, il l’aide à son tour…

Appuyée contre la rambarde, elle se love contre lui en ronronnant, savoure, à en mouiller de désir…
Sa jupe est partie, elle est chemisette et en culotte, il est en slip, torse nu, beau comme un astre… Plus pour longtemps…
Des mains baissent sa culote…

Leurs vêtements gisent sur les carreaux…

Ils sont protégés des regards indiscrets par le muret de la terrasse et quelques branches d’un pin magnifique…
Ils ont la mer devant, l’immensité…

Elle reste dans ses bras, arc-boutant son derrière, lui disant combien elle apprécie ce contact…
Le sexe de Willy a de quoi s’épanouir de désir au contact de sa peau, de ses fesses…

La caméra les montre de loin, vus par un drone, se rapproche…

Elle ferme les yeux de plaisir, profitant de cet instant de tendresse, d’un érotisme torride et prenant…

Elle se tourne vers lui et l’embrasse à perdre haleine…

Ils rentrent dans la maison…

Allongée sur le dos, entièrement nue, il a investi son minou et sa langue la porte aux premiers émois…
Elle a ouvert ses cuisses, accompagnant la tête qui dodeline…
Elle jouit tant et plus, se tordant de désir, la chatte grande ouverte, les poils blonds, rares sont imprégnés de cyprine, la langue se délecte, passant du bouton excité, à la vallée divine, pointant l’entrée de la grotte, entrouverte de désir…

Elle ronronne entre ses bras, puis demande l’échange…
Elle monte sur lui, inversant sa position et s’offre en soixante-neuf, écartelée sur son visage…
Le membre flatté par sa main douce, devient un pieu…

Elle découvre le gland lentement, passe sa langue, puis lèche, caresse, savoure, en ondulant sur lui, s’envolant petit à petit emportée par cette langue infatigable…

Elle jouit en silence, son ventre est en train de se vider, il boit son nectar à sa source…

La hampe glisse dans sa bouche, il se souvient de l’autrefois, cette façon de le pomper, de l’amener au plaisir !…

Non, pas maintenant, il résiste, la freine…

Elle a joui de lui… Pleinement, avec des râles étouffés, mais profonds… Il a senti cette source libérée par l’envol de ses sens… Il a goûté ce fruit juteux, dont il avait tant rêvé…

Il s’en repaît, ivre de ce contact délirant, sentant les lèvres coulisser le long de sa bite, prête à exploser…

Il la ramène contre lui, face à face et l’embrasse comme jamais il n’a eu envie de ses baisers…

C’est un délire… Comme un combat… Ils roulent l’un contre l’autre…
Elle gagne et monte en amazone, fière et terriblement excitée… Et excitante…
Elle frotte son sexe sur le celui de Willy, ondule son bassin, en va et vient passionnés, il lui redonne un baiser, mais elle se relève, et détrempée par leurs jeux, le membre imposant s’approche irrémédiablement, comme attiré par son propre sexe…
Elle pousse doucement et les centimètres défilent, elle gémit, râle, jouissant de cette entrée triomphale !

Elle ne peut se retenir et se prend en cadence, glissant d’avant en arrière, dévorant ce pieu, affolant de vitalité…

Il la sent grande ouverte, en train de se faire jouir de sa bite…. Les seins dodelinent, il les prend dans ses mains, caresse et masse… Tandis qu’elle se calme un peu, ivre de ce plaisir naissant…

Elle le veut, elle le prend…

Il la guide par les hanches, elle a envie de plus…

Elle se soulève, s’agenouille, fesses en l’air, délicieusement offerte…

– Viens, j’ai trop envie de toi… Je veux te sentir comme jamais… Viens me baiser comme un hussard, fais de moi ta chose, prends-moi, emporte-moi dans ton monde… Je veux tout oublier dans tes bras…

De nouveau prêt, tendu à l’extrême, il ouvre les grandes lèvres, découvre la douceur de cette chatte ouverte… Un puits d’amour de rêve, aux couleurs nuancées de rose et de blanc, dans lequel il s’enfonce doucement, écartant les chairs tendres, glissant dans le vagin détrempé et ouvert…

– Oh, oui, viens ! Oh ! Que c’est bon !…

Il la prend par les hanches pour mieux la retenir…
Et comme une monture sauvage, il commence une danse millénaire…

Doucement, puis viril, son membre la porte aux nues…
Elle s’envole en paroles inaudibles, gémit, jouissant sans relâche d’un plaisir infini…
Des « heu !» interminables, pendant de longs instants, puis des « hou ! », prévenant de l‘imminence d’un orgasme…

Elle tremble, se tord, vient buter contre lui, puis sa tête entre ses bras, elle jouit longuement, jusqu’à demander grâce… Et délirer la fin…

Il enserre ses seins, excitant les tétons, tout en la prenant toujours, l’emportant sur ce fameux nuage…
Elle suit… Elle le veut… Elle l’attend…
Elle le sent grossir, comme un nuage qui va se libérer en elle…

Puis la chaleur intense, d’un flot de semence plus tard, les râles rageurs de Willy, qui la secoue avec des coups de reins libérateurs…
Elle ressent ce plaisir d’homme, de mâle, qui ensemence la femelle…

Elle jouit comme rarement, se libère d’un cri d’amour, de tendresse, de liberté, de sexe…
Elle est repue de caresses, il a fait le job, elle se glisse dans ses bras, et s’endort un instant en sentant le membre rétrécir, et couler sur les draps, preuve de leur union…

Elle frémit, la fraîcheur de la nuit, dans cette maison fermée… Elle se couvre d’un duvet, embrasse son amant…

Ça y est, elle l’a fait…
Dieu que c’était bon… Il est tendre, doux, puissant, et jusqu’au dernier orgasme, qui l’a faite crier son extase, elle a senti son dard, lui donner du plaisir…

Une heure de baise…
Cette femme est une merveille, un bonbon au miel…
Que de sensations nouvelles il vient de connaître, à rajouter à sa courte expérience…
Le fait qu’elle a été maman a dilaté ses organes et c’est un plaisir nouveau, qu’il a ressenti en la baisant… Il y est allée franco, jusqu’au bout, et comme elle le désirait aussi, ne s’est pas retenu, et s’est libéré à fond, crevant le plafond, la portant aux nues, et l’entendre jouir de sa bite, l’a émoustiller bien plus, bandant comme un taureau…

Il l’a démontée… Laissée pour compte, étalée dans le milieu du lit, sans forces, anéantie…

Qu’elle était belle au début, fière amazone qui l’a pris sans façon, dans sa chatte grande ouverte, l’avalant en cadence…
Puis il l’a vue en manque, s’offrir en levrette, demander qu’il la baise, comme une nymphomane…
Qu’elle était belle, les fesses en l’air, sa chatte larmoyante entre ses cuisses écartées… Lisse, et délicieusement dessinée…

Le gland s’est régalé à ouvrir ses trésors, découvrant lentement, parcourant la vallée, d’un geste naturel, jusqu’au bord de ce puits…

Merveille des merveilles que de s’enfoncer en elle, glisser dans son vagin lubrifié par leurs préliminaires…
Elle jouissait déjà dès les premiers mouvements, dès que son sexe s’est ouvert à ce membre turgescent…

Et puis la cavalcade…
La puissance de l’amour, l’appel du plaisir, ce partage des sens, un havre de tendresse, un mélange sensuel entre force et délicatesse…

Oui, elle a perdu la face, crié son plaisir de femme, celui d’être possédée par un mâle en rut, abaissée, soumise, pour du plaisir basique, comme tant d’autres depuis la nuit des temps…

Pourtant, dans cette chambre, il n’y a pas de doute, pas d’odeur d’adultère, pas de sous-entendus, ce sont bien deux amants, attirés l’un par l’autre qui viennent de faire l’amour, un acte consenti, partagé, un premier abandon qui en appelle d’autres…

Ils boivent et se restaurent, affamés par leurs efforts, elle est belle dans un peignoir mauve…
Elle ne peut s’empêcher de venir l’embrasser… Elle prend le sexe dans sa main, et le masturbe doucement… Il reprend forme, se dresse au bout d’instant, elle se pence et l’embouche…

Trois minutes plus tard, ils sont encore dans ce lit aux pouvoirs magiques, nus et enlacés. Notre héroïne veut connaître la suite…
Pour l’instant, il refait le départ… Après une fellation douce, c’est lui qui veut s’amuser un peu, jouer avec ses seins, aspirer ses tétons, les exciter, les mordiller…
Et son désir revient, un désir profond… Elle commence à aimer…

Elle ouvre ses cuisses, il vient sur elle et la prend…
Simplement, comme deux amants classiques…

Elle comprend… Se donne de nouveau, le griffe de désir, ressentant son ventre réagir…
Il devient géant, la place de côté et la reprend, comme une épouse, s’enfonçant en cadence, vivant cette union des corps, l’amenant sur les vagues, surfant sans effort…
Elle devient accro… Elle ressent le plaisir monter…
Il la calme, entretient ce mouvement de tangage, la prenant corps à corps, caressant ses seins, sa chatte, ses cuisses, elle se laisse emmener…

Parfois la vague est plus forte, elle gémit, s’accorde quelques onomatopées choisies, l’encourage à continuer dans cette voie…
Ses doigts griffent les draps, elle frise ses orgasmes, les pilote, les surmonte…

Puis redevient réceptrice, s’abandonne à cette mer délicieuse…
Son capitaine la conduit vers la plage…

Les minutes s’égrènent, le temps fait son ouvrage… Elle a envie de cette plage de sable fin, de cette eau délicieuse, transparente… Elle a envie de lui, envie de cet ultime orgasme qui traduit la fin mais annonce un final éblouissant, un feu d’artifice de ses sens, ses nerfs craquent, elle tremble de désir, elle veut qu’il la prenne, qu’il accélère et qu’il explose en elle, la possédant encore, après avoir joui des dizaines de fois…

– Viens, j’ai envie… Je te veux, prends-moi encore, je suis tienne, j’aime ton sexe, je vais en être dingue… Allez mon bel amant, donne le dernier assaut, je m’ouvre à ton fantasme, délivre ma libido…

Il s’emploie à lui donner la fin…
Devient plus dur encore, caresse ses seins, se dope de sa chatte qu’il fouille méticuleusement, cherchant son bouton, puis l’excitant pour ensemble grimper aux rideaux, s’évader de cette chambre en unissant leurs cris de rage, de plaisir et d’amour…

Tourneboulée et la chatte offerte il termine son travail…
Elle se trouve immorale, lui offrant son anatomie, abandonnant toute trace de vigilance…
Il la prend jusqu’au bout, ses reins donnent les derniers assauts, elle tremble sous les coups, gémit quand le membre excité et durci, grandit encore poussant au fond de son vagin, touchant son utérus…

– Oh, oui !… Défonce moi… Oh ! Aïe ! Que tu es brute… Mais j’adore, viens, prends-moi comme une pute, j’aime être baisée sans ménagement, comme dans un viol, plaquée par tes efforts, martelée par tes coups, griffée, déchirée, plus encore…

Il n’en peut plus sous ces invites, et se laisse guider par son instinct sournois…
Il la prend, la baise, la coince, et se délivre, ivre de ses efforts, épuisé, ravi…
Elle git à son côté, dans la position du fétus, ne bouge plus, respire lentement, comme sonnée par l’halali.

Il se colle dans son dos, protecteur de ce trésor…
Il s’endort aussitôt…

Elle revit son rêve…
Quel amant… Elle a de la chance pour cette première incartade masculine…
A part son mari, et maintenant son amie, personne n’avait franchi le seuil de son intimité depuis son adolescence…

Si sa lesbienne amie a eu droit à un accès total, cela n’a rien à voir avec ce qu’elle vient de vivre.
Une femme n’a pas les atouts physiques pour lutter, ils sont surtout moraux…
Certes, beaucoup de choses contribuent à donner le change et faire de leurs rapports lesbiens des actes merveilleux…

Il l’a dézinguée, rabotée, exterminée, pilonnée, pliée, retournée…
La prenant dans tous les sens, dans toutes les positions, jusqu’à lui faire mal, en poussant ses organes…

Quel homme… 20 ans… Une force de la nature…
Riche soirée en émotions, en envolées sonores, en cris de chatte, en désir satisfait, en explosions d’extases, elle est vannée…

Un tic-tac de pendule, quelques bruissements, il respire dans son dos, endormi, fatigué…

Quelle baise royale… Infatigable amant…
Oui, il avait raison de forcer ma porte, de montrer patte blanche par un flirt innocent, de pousser son avance, me convaincre, puis de m’inviter pour prouver sa valeur…
Oh, je ne suis pas nunuche… D’abord tout n’a pas été fait encore… Ma porte de secours a été évitée… Mon petit trou intime a failli y passer, surtout le dernier assaut, j’étais à sa merci… Je n’aurais rien dit…

Mon mari le faisait, Marianne s’est offerte, car elle aime cela… Moi j’ai rendu la pièce, accepté ses doigts, puis des sexes en plastiques aux formes imagées, des objets high-tech, connectés, programmés, qui refont exactement ce que fait le vrai membre…

Mais cela reste un ersatz, une pâle copie, il manque la variété, l’originalité, la présence… Même si le but principal est atteint, et qu’on en jouit, on se sent différente…

Willy, baise mon cul… Prends-moi comme une pute, sodomise-moi, avilit-moi, je serai ta chienne, maintes fois enculée…
Je deviendrai alors une autre… Ta maîtresse, ta chose, et cette emprise totale que tu pourras exercer, fera de toi mon amant, mon mec, mon ami…
Alors j’aurais à choisir entre toi et Marianne…

Le sexe total, des opportunités sans limites, des découvertes d’autres plaisirs… Mais un amour fragile, débutant, emprunté…
Marianne c’est le sexe amoureux, l’aventure maîtrisée, une totale entente, un partage et des possibilités dans tous les domaines du sexe…

Le soleil inonde la chambre, je sens le café, les croissants…
Je prends une douche, et passe un peignoir…
Puis entre dans la cuisine où dorent des tartines de pain…
Confitures, miel, et autres délices, il est chou…

Je ne dis rien, on s’embrasse royalement… Coquinement… Je me retrouve à poil, assise sur lui, enfin sur son dard réveille par nos caresses…
Je ne lui dis pas que je coule déjà en ressentant sa verge sous mes fesses… Je n’aurais qu’un geste à faire, m’ouvrir et m’embrocher…
Ce n’est pas l’envie qui m’en manque… Je deviens cougar, accro… Jamais je n’ai pensé ainsi au sexe…

Je m’assieds sur ma chaise, et on mange pendant près d’une heure, dévorant tout ce qu’il a préparé…

Il débarrasse la table, m’attire sur lui, veut ressentir encore cette chaleur intime qui met le feux à sa virilité…

Cette fois, je ne me gêne pas et lors d’un tête à tête, face à lui, je soulève mon bassin, et ma chatte s’ouvre, glisse, rencontre son membre, et d’une main je le conduits en elle…

Ça y est, je me baise de lui…
Assise entre ses bras, bouche à bouche, sexe à sexe, on prend du temps pour faire connaissance, et nous rentrer dedans, grimpant les tours, explosant le compteur…

Quel pied de faire l’amour sans cesse… Je viens de crier…
Je me prends lentement, sa verge augmente de volume à chaque mouvement…

Je n’ai pas dit que je prends la pilule de nouveau… Il n’a pas l’air de s’en soucier…
Hier non plus… Pourtant avec ce qu’il m’a mis !…

Je serre mon vagin… Il grogne, il se retient, il m’arrête… J’éclate de rire !
Il me soulève dans ses bras et me porte dans la chambre…
Je dis aurevoir à la chaise, témoin d’un truc de rêve…

Il me pose dans le lit, caresse mon intimité, détrempée par nos sucs…

Il me tourne et me pose en levrette… Puis je sens sa langue se régaler…
Tout y passe et mon désir explose, ses doigts détrempent mes méats…

Je sens une phalange tourner sur mon anus…

Ah ! Je vais y passer… Il a décidé de tout me faire le premier jour, alors autant continuer, comme je l’ai invité…

Il n’a pas à forcer et son gland s’insinue lentement, puis le reste suit, et je jouis déjà…
Je pleure de plaisir, il devient cavalier, me prend comme un hussard, change de position, cherche ma chatte, et ses doigts tournent mon bouton tandis qu’il me lutine avec fougue et puissance…

Je jouis des deux trous… Je parle sans cesse, d’être ainsi sodomisée, de devenir sa chose, jamais autre que mon mari n’a franchi cette porte et encore les occasions se comptent sur les doigts de la main…
Je suis scotchée par sa douceur, par ce que je ressens, par mes cris de chienne quand il me plaque à terre, détruisant mon petit trou…

– Viens, mon beau cavalier, défonce ta pucelle, fais d’elle ton écuyère, plante-lui ton épée… Elle jouit de toi, elle te remercie ; ta tendresse et ta sensualité l’ont conquise sans lutte… Prends-la comme une pute, décharge dans ses entrailles, qu’elle touche le fond…

Elle pleure dans ses bras, défoncée, assaillie maintes fois, sans cruauté, mais avec rudesse, afin d’être en accord avec la réalité…

Elle n’est plus qu’une épave, échouée sur les draps, griffés par ces outrages, ventre contre lui, cuisses entrouvertes, fesses proéminentes, anus grand ouvert…

Quel spectacle que cette bourgeoise tant désirée, offre à son jeune amant !…

Femme aimée, femme honorée, jusqu’à l’extrême…
Il lui a donné tout son être à travers son sexe…
Jeune de 20 ans, fou de cette maman, elle pleure dans son coin, se vide de ses larmes…

Il ne comprend pas…

– Qu’as-tu d’un coup ? Je t’ai fait mal ?
– Mais non, au contraire… Tu m’as trop fait de bien… On fait l’amour depuis hier en soirée, tu m’as honorée plus qu’aucun de mes amants… J’ai juste à te dire que cette expérience que j’ai consentie, suite à ta rencontre, ne m’a pas déçue…
– Ah, alors ?
– Bien, tu le sais, je suis entrain de me séparer de mon mari… Mais j’ai rencontré quelqu’un cet été… J’ai voulu changer de vie, j’étais prête à partir du foyer conjugal pour l’installer avec cet amie…
Ce que je vis depuis avec toi, est extraordinaire pour moi. Du sexe, pur, tendre, qui me prend de court… Je n’avais pas de sentiments définis pour toi, j’ai osé parce que tu as insisté.
– Et ?
– Maintenant je suis perdue… Prise dans l’étau d’un choix impensable, cruel…
– Je ne t’ai pas demandé de venir vivre avec moi…
– Oui, mais nous ?
– Nous existe depuis 21 heures et 3 minutes…
– Tu le penses ? Il existe ?
– Je le pense et j’étais prêt à te le demander…
– Quoi ?
– Vivre ensemble… je ne rencontrerai jamais une autre femme comme toi. Je te jure fidélité, amour, constance, dans le partage de nos désirs, de nos fantasmes, et de nos affinités. Je ne veux pas te contraindre, je veux vivre à tes côtés, respectant ta liberté de femme, de bourgeoise habituée au confort, au luxe parfois…
– Je ne suis pas cela et aime la simplicité, mais continue…
– Si tu as quelqu’un tu aurais pu le dire…
– Je n’ai jamais pensé en arriver là… Jamais je n’aurais cru que ces mots refranchiraient mes lèvres… Oui, je t’aime ! J’aime ce que tu es, ce que tu représentes, ce que pourras devenir, ce que l’on peut imaginer ensemble… Tu as l’esprit libre, tu aimes aussi la liberté… et maintenant… tu m’aimes…
– Tu nous veux tous les deux ?
– Je ne sais encore, mais quand tu sauras que l’autre est une femme de mon âge…
– Non ?
– Oui, je suis devenue lesbienne pour elle, pour ne pas tromper mon mari, pour m’évader… Mais je viens de te prouver que ce choix n’est pas limité…
– Ah, on peut vivre tous les trois ensemble ?
– Je n’y vois pas d’inconvénient, si elle est d’accord…
– Est-ce qu’elle est aussi belle que toi ?
– Salaud !

Le mot FIN couvre l’écran…

Je suis décontenancée, sur ma faim, je vais les imaginer dans un an, tous les trois…
J’ai trouvé ce film dans des archives xHamster… Ils sont rares de cette qualité, où le sexe n’est pas vulgarisé à outrance et où les personnages vivent une vie classique.
Ma culote est trempée, je suis folle, mais c’était si ‘prenant’… Je n’ai pu résister…

Il ne faut pas que j’aie de rapports sexuels pendant un mois, j’ai joui de les regarder malgré moi, je redeviens Marika…

FIN

Marika842010 – Octobre 2019

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire