En ce temps-la je travaillais comme démonstratrice internationale pour une grande marque de cosmétique dans une parfumerie des Iles Vierges. En tant que jeune vendeuse toujours souriante et Française au milieu des autres vendeuses assez bourrues, j’avais un succès certain parmi les touristes masculins Américains qui m’écoutaient débiter mon boniment avec mon « sexy french accent », comme ils disaient…
Un jour, un homme s’adressa a moi en langue française en me tendant sa carte de visite. Il s’agissait du président d’une grande marque de cosmétiques. Il me dit qu’il cherchait a engager une démonstratrice internationale, ajoutant que si je connaissais quelqu’un comme moi, intéressé par ce job de bien vouloir le lui faire savoir. A propos, ajouta-t-il, si vous êtes libre ce soir, j’aimerais beaucoup vous inviter a diner au restaurant pour continuer cette conversation. N’ayant pas de plan pour ce soir-la et mon mari étant en voyage en ce moment, je lui répondis que oui et que je l’y retrouverais vers 20 heures… A vrai dire j’ai immédiatement pensé que ce job pourrait m’intéresser personnellement, car je n’étais pas vraiment contente de mon employeur actuel que je trouvais beaucoup trop radin et j’avoue que rien que de penser a la proposition de ce monsieur, qui pourrait éventuellement devenir mon patron, je me mis a mouiller.
Le diner gastronomique arrosé au Champagne était une vraie fête. La conversation était joyeuse et le regard appuyé de ce monsieur sur mon décolleté me paraissait présager une soirée coquine. En effet, non seulement il m’engagea avec un salaire de plus du double de mon salaire de l’époque, mais en plus il me proposa de coucher avec lui pour, dit-il, sceller notre accord d’engagement. Franchement c’était exactement ce que désirais moi aussi; j’en veux pour preuve la mouille qui inondait littéralement ma petite culotte au point que je dus me rendre aux WC du restaurant pour me masturber et calmer mon irrésistible envie de jouir. Quand je suis retourné a table, il me demanda avec un sourire entendu pourquoi j’avais mis autant de temps aux toilettes. Je n’ai pas voulu lui mentir alors je lui ai avoué que je m’étais caressé en pensant a sa proposition d’engagement. J’ai cru un moment que ma franchise l’avait choquée, car tout a coup il se leva de table et se dirigea vers les toilettes en me demandant de le suivre, mais de toute évidence il était émoustillé par ma révélation et une fois dans les WC il souleva ma robe et quand il s’aperçut que je ne portais pas de petite culotte il devint presque fou d’excitation et se mit a me doigter la chatte avec vigueur, puis il sortit son sexe turgescent de sa braguette et tout en me retournant pour me prendre en levrette il l’enfonça dans mon vagin grand ouvert et gluant de mouille en m’assenant de grands coups de bite dans le vagin et de claques sur les fesses. Inutile de dire que je pris mon pied. En effet, j’adore me faire prendre par derrière comme d’ailleurs la plupart des femmes mariées qui trompent leur mari en prétendant ne rien faire de mal puisqu’elles ne voient pas celui qui les baise. A baiser sans culpabiliser on peut le faire aussi souvent que l’occasion se présente sans avoir mauvaise conscience, c’est pourquoi les femmes infidèles se laissent presque toujours prendre en levrette plutôt que dans la position du missionnaire, qui est beaucoup plus compromettante puisqu’elle implique une volonté assumée de regarder en face celui qui les baise et avec lequel elles trompent leur mari. Personnellement, étant donné que j’ai de gros besoins sexuels et que j’ai souvent envi de baiser avec le jeune homme qui habite l’appartement d’en face j’ai mis au point le stratagème suivant: quand mon mari n’est pas la, je me promène toute nue devant la fenêtre ouverte et quand mon voisin me regarde je me bande les yeux et j’appelle a haute voix Philippe, le prénom de mon mari, en lui disant « viens, prends moi par derrière sans dire un mot, comme d’habitude ». Evidemment je prends soin de débloquer la serrure de la porte d’entrée de mon appartement et ensuite je me mets a quatre pattes au bord de mon lit, le cul en l’air prête a me faire prendre en levrette. Je me caresse la chatte en attendant mon voisin, qui ne tarde généralement pas longtemps avant de venir m’honorer de son gros sexe en érection. Quand il est entrain de me baiser je n’arrête pas de lui dire « viens mon chéri, comme tu me baises bien, je suis ta salope d’épouse, continue de me bourrer le vagin de ta petite femme pendant qu’elle se branle le clito, je te sens partout, tu vas me faire jouir sous tes coups de boutoir, tu es le meilleur mari du monde, ta grosse bite me fait un bien fou, j’adore que tu me prennes sans rien dire, ouiiiii viens mon amour vas-y éjacule en moi, je t’adore » !
D’autres fois, quand je suis sur la plage nudiste de l’Ile et que je suis étendue toute nue sur le ventre le cul en l’air je suis souvent abordée par un voyeur ou par un branleur lubrique qui offre de m’enduire le dos de crème solaire. Je ne suis évidemment pas dupe, car inévitablement le mec en profite pour me masser les fesses et l’entre-jambes. Dans ces cas-la il n’est pas rare que je mouille a grandes eaux, alors je soulève légèrement mon cul pour l’encourager a me passer la main sur ma touffe tout en faisant semblant de dormir et sans jamais me retourner. Soit dit en passant, ma grande expérience des plages naturistes démontre que les mecs sont assez respectueux des desiderata des femmes qui s’y exhibent et ils ne font que rarement les premiers pas. Ils attendent en général que les femmes les invitent a les toucher, ou plus si affinité. En revanche ils peuvent sans vergogne se masturber devant elles et parfois éjaculer sur elles sans jamais dire un mot de trop. Il va sans dire que moi j’adore me faire masser le cul par un inconnu et meme me faire prendre en levrette en silence et sans essayer de savoir qui est entrain de me baiser. L’important pour moi c’est de jouir le plus souvent possible et de cette manière calmer mes insatiables impulsions sexuelles.
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