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La maison de soins [sissy] (Ep. 3)

La maison de soins [sissy] (Ep. 3)



Le lendemain, je me réveillais fatiguée et encore excitée par le fait d’avoir regardé encore et encore ces vidéos quasiment toute la nuit… Je m’habillais sexy : des bas noirs avec des motifs fantaisies, un slip shorty en dentelle noire, le soutien assorti, une petite robe noire, courte et très moulante. Je fis un maquillage léger et tentais des talons un peu plus haut… Je devenais folle, la seule chose que j’avais en tête : je voulais être désirée ! J’avais peut-être un peu exagéré avec les vidéos ???

Alors que j’arrivais à l’ascenseur, j’y rencontrais le chef de la sécurité, Vynce.
– Bonjour Chloé ! Vous êtes superbe aujourd’hui !
– Merci Monsieur Vynce.

Je lui souris. La porte de l’ascenseur s’ouvrit, et il me laissa passer. Passant devant lui, j’exagérais « innocemment » mon déhanchement. Je sentais ses yeux rivés sur mon cul, et j’adorais ça ! Dans l’ascenseur, il reluqua ma poitrine, pourtant plate, mes jambes, mon derrière… arrivé au rez-de-chaussée, je passais devant lui et lui souhaitais une bonne journée, toujours en marchant avec ce déhanché qui fit qu’il ne me quitta pas des yeux avant que je tourne dans le couloir, pour entrer dans le bureau du professeur. Jenny y était, elle notait des instructions pour un nouveau patient que le professeur lui dictait. Il me fit signe de m’asseoir dans le divan et de l’y attendre. Tandis qu’il terminait sa dictée par les médicaments et la posologie, je ne pouvais détacher mes yeux des seins de Jenny. Quelle belle paire ! Si elle avait été un homme avant, comment avait-elle pu en avoir de si beaux ?
La dictée finie, elle sortit. Le professeur vint s’asseoir près de moi, sur le divan.

– Vous êtes superbe Chloé ! C’est pour moi que vous vous êtes habillée comme ça ?
– Je… non… enfin…

Je rougis.

– Pas de soucis, vous avez raison : c’est pour vous que vous vous habillez comme ça ! Vous aimez plaire et être désirée !

J’acquiesçais de la tête.

– Pendant que je dictais mes instructions à Jenny, j’ai vu que vous étiez attiré par sa poitrine… jolie, hein ?
– Heu… oui… c’est que… je me demandais, si elle était un homme avant, comment…
– Pas de soucis ! La clinique de chirurgie esthétique, ici à côté. Et je pourrais vous faire la même chose !
– Vraiment ?
– Oui, mais il va falloir les mériter… et être bien obéissante, d’accord ?

Sa main se posa sur ma cuisse, qu’il caressa langoureusement. Je rougis et lui sourit. Sa tête avança vers moi… mon cœur battait la chamade, mais lorsque ses lèvres se posèrent sur les miennes, je lui rendis son baiser… et lorsque sa langue caressa mes lèvres, celles-ci s’entrouvrirent timidement… sa langue en profita et vint à la rencontre de la mienne… mon cœur battit encore plus fort… prise dans la passion du baiser, je me retrouvais je ne sais comment assise sur ses genoux, l’embrassant passionnément… ses mains se posèrent sur mes fesses, puis passèrent sous la jupe… je sentis ses mains caresser, malaxer mes fesses, tandis que nos langues tournoyaient ensembles… soudain, je sentis son doigt suivre mon sillon, cherchant mon anus, par-dessus mon shorty… des images de pénétration anale vinrent à mon esprit, et j’eus un sursaut de peur. Je me reculais, me levais… les joues rouges, autant de passion que de confusion…

– Shhhht, pas de soucis Chloé, vous n’êtes pas encore prête pour ça, je comprends, nous ne sommes pas pressés, n’est-ce pas ?

Il ouvrit son pantalon, dégagea son membre bandé qui pointait fièrement entre ses jambes…

– Mais vous n’allez tout de même pas me laisser comme ça avant le rendez-vous suivant ?

Je lui souris. Il ne me pressait pas, quel galant homme ! Et quelle belle verge, toute raide, toute pointée… la vue de son sexe me rassura, et je m’agenouillais face à lui… je lui souris encore, et commença à le lécher, puis à le sucer… ma tête allait et venait le long de sa verge, chaude et dure, mes mains lui caressaient les testicules, jusqu’à ce qu’il remplisse ma bouche de son sperme chaud, que j’avalais, sans en perdre une goutte…

– Mmmm Merci Chloé, que ça fait du bien. Vous êtes vraiment douée… nous allons modifier nos rendez-vous, je vais commencer chaque journée par vous !

Je rougis encore, satisfaite de lui avoir donner ce plaisir. Satisfaite d’être une bonne suceuse.

– Maintenant, je vous avais demandé tout à l’heure d’être gentille. Il y a un homme qui fait beaucoup pour moi, et que j’ai envie de récompenser. Il est fidèle mais se sent parfois si seul. Pourriez-vous me rendre ce service ? Allez voir Vynce, dans son bureau… et lui donner le même traitement ? Cela me ferait si plaisir !
– D’accord Professeur

L’idée ne me déplaisait pas en fait… même s’il avait un peu une tête de fouine, le regarde de Vynce sur mon cul ce matin m’avait tout émoustillée…

– Et ne lui dites pas que vous venez de ma part, je préfère qu’il pense qu’il vous a séduite, c’est meilleur pour son moral !

Je souris au professeur et sortis de la pièce. Je traversais le couloir, passais la bibliothèque, mais il n’était pas là. Dans le parc non plus. Je revins au hall principal où il y avait le bureau d’accueil. On m’indiqua que M. Vynce était dans son bureau. Je suivis les indications, c’était une partie de la maison où je n’étais jamais allée. Au bout d’un couloir je trouvais une porte, avec tout un système de sécurité par badge, avec une simple petite plaque en bronze : « Head of security ». Je toquais à la porte, qui s’ouvrit d’elle-même.

J’entrais dans le bureau. M. Vynce était derrière un bureau moderne, il avait ouvert la porte avec un bouton poussoir. Sur le bureau, trois écrans, deux clavier, une souris, un gros ordinateur et un pc portable. Une petite table de réunion ronde était remplie de papier et de plans du bâtiment. Sur une armoire à sa droite plein de gadgets informatique ou électronique, et sur une armoire basse à sa gauche des photos.

– Chloé ? Quelle surprise de vous voir ici !
– Comme on se croise souvent, j’avoue que j’ai été piquée de curiosité, je voulais voir où vous travaillez…

Je lui souris, avec beaucoup de chaleur. Il semblait content de me voir.

– Et bien voici mon royaume !

Je regardais tout autour de moi. Autant le bureau du professeur Pirard sentait le luxe, autant celui-ci était fonctionnel, un bureau où on bossait. Les photos attirèrent mon attention.

– Oh ça alors, c’est vous ?

Je savais comment le faire craquer. Je marchais jusqu’aux photos. C’étaient bien lui, dans un uniforme militaire apparemment. Je m’accoudais sur l’armoire basse, comme si je regardais les photos de près sans oser les toucher, mes fesses moulées dans ma robe noire moulante vers lui. Je l’entendis se lever et s’approcher.

– Oui, c’est moi lorsque j’étais dans l’armée.

Il me mangeait des yeux, et s’approcha de moi, comme s’il voulait me montrer les photos. Je sentis son bassin à quelque millimètre de mes fesses… il n’osait pas faire le dernier pas… je reculais un peu, mes fesses contre son bassin. Je sentis la bosse qui déformait son entrejambe, que je frottais lentement de bas en haut avec mes fesses. Ses mains se posèrent sur ma croupe…

– Oh Chloé !
– En fait je m’en fous de votre bureau… j’ai senti comment vous m’avez regardé ce matin dans l’ascenseur, votre regard plein de désir sur mon cul, et je suis toute excitée depuis… vous l’aimez, hein, mon cul ?
– Oh oui Chloé !

Il remonta ma robe, dévoilant mon slip shorty noire en dentelle. Il caressa mes fesses, les malaxa… puis je le sentis sortir son membre raide, qu’il frotta entre mes fesses… bon sang ce que c’était bon, ce membre dure entre mes fesses… mais de nouveau j’eus peur de la pénétration, et je me retournais prestement, lui faisant face. Je m’approchais de lui, et l’embrassa à pleine bouche, sa bite dure contre mon ventre… nos langues dansèrent ensembles, tandis que ma main attrapa son sexe, le serra, le branla lentement… il était de taille inférieur à celui du professeur, mais il était gorgé de désir…

Je m’agenouillais et commençais à lui lécher le sexe, jusqu’à ses bourses, peu velues, que je léchais aussi, avant de remonter le long de la hampe, léchant son gland…

– Oh non Chloé, il ne faut pas…
– Oh si, c’est ça que je veux… que tu jouisses dans ma bouche, j’en rêve depuis ce matin !

Je n’avais jamais pensé dire des choses aussi osées un jour ! Mais c’est comme si ce n’était plus moi, Chloé la femme qui adorait le sexe avait pris le dessus… J’enfournais son gland dans ma bouche, puis y fit glisser la hampe… ma tête allait et venait le long de sa verge dure, tandis qu’il poussait de petits gémissements… je sentais qu’il ne tiendrait pas longtemps, il devait y avoir longtemps qu’on ne lui avait donné autant de plaisir ! L’excitation le fit sortir de sa réserve, il prit ma tête entre ses mains et imprima le rythme de la fellation, de plus en plus rapide… au début j’eus peur, et s’il me l’enfonçait tout à fait dans la gorge ? Mais bien vite, être ainsi dominée m’excita. Et lui n’exagéra pas… Il me baisait tout de même la bouche, jusqu’à ce qu’il éjacule son sperme chaud sur ma langue, dans un long râle de plaisir… j’avalais le tout, évidemment, et ensuite léchais consciencieusement sa verge pour bien la nettoyer…

Je me levais, caressais doucement ses testicules, et lui souris.

– Merci Vynce, j’ai adoré. On remettra ça, hein ?

Puis je lui fis un baiser sur les lèvres avant de quitter son bureau. Mon cœur battait à nouveau la chamade. J’avais jouis dans mon slip shorty, mais je ne pouvais dire à quel moment… dès que j’ai senti son sexe raide jusqu’au moment où je quittais le bureau, j’étais dans un état d’excitation et de plaisir total… comme une jouissance continue… je ne savais dire comment ni pourquoi, mais j’adorais ça, j’adorais cette sensation !

Le reste de la journée se passa en exercice de gym, exercice de maquillage et exercice de marcher avec des talons toujours plus haut et les vidéos pour terminer la journée… et le lendemain matin, je me retrouvais allongée sur le divan. Au-dessus de mon visage, le sexe dressé du professeur, qui se masturbait énergiquement, debout… Mes yeux ne quittaient pas sa verge, sa main qui allait et venait… soudain il plia les jambes, approchant se verge de ma bouche, que j’ouvris docilement… le sperme s’en échappa, coulant en abondance dans ma bouche grande ouverte… et je ne pouvais pas l’avaler avant qu’il ne me le dise… son sperme me remplissait la bouche maintenant, coulant à la commissure de mes lèvres… il était si chaud…

– Bien Chloé, vous êtes très obéissante ! Vous pouvez l’avaler…

J’avalais le sperme, savourant son goût. Puis rouvris ma bouche pour montrer au professeur que j’avais bien tout avalé.

– Ah, ah, excellent Chloé, excellent ! Vous avez bien travaillé et vous faites tout ce que je vous demande. Et chez moi l’obéissance est toujours récompensée ! La récompense : votre opération est planifiée pour la semaine prochaine ! Lorsque je serai au colloque à Toronto, vous serez à la clinique de chirurgie esthétique pour vous voir mettre une belle poitrine, un beau 95C…

Je n’en croyais pas mes oreilles ! Folle de joie, je me jetais sur les genoux du professeur, l’enlaçais de mes bras et l’embrassais passionnément. Je frottais ma poitrine plate contre son poitrail puissant, mon petit chemisier blanc laissant deviner le soutien-gorge rouge que je portais dessous. Et dire que bientôt mes soutiens allaient être enfin remplis ! Comme je portais un g-string rouge assorti au soutien, et une mini-jupe, mes fesses nues se frottaient contre son sexe, qu’il n’avait pas eu le temps de rentrer dans son pantalon… Nos langues se mêlaient, je suçais et léchais sa langue, au comble de la joie et de la passion, caressant sa verge avec mes fesses… je la sentais se regonfler, lentement, entre mes fesses… cela m’excitais si fort, et je repensais aux vidéos… j’avais des papillons dans le ventre, mais j’avais pris ma décision… je me levais, masturbais, puis suçais son membre jusqu’à ce qu’il bande de nouveau bien ferme… puis j’allais vers son bureau, et m’arquais sur le bureau, ma croupe, mes fesses vers lui…

– Je… je suis prête professeur. Faites de moi une vraie femme…

Il s’avança vers le bureau et pris quelque chose dans le tiroir. Il vint ensuite lentement vers moi, caressa mes fesses, puis son doigt suivi la ficelle rouge le long de mon sillon, avant de la déplacer sur le côté. Il mit quelque chose de froid entre mes fesses, qu’il étala de son doigt, sur mon anus… il frottait doucement délicatement… je me sentais apeurée mais tellement excitée en même temps ! Lorsque son doigt me pénétra lentement, aidé du lubrifiant, je mordais sur mes lèvres… il était si doux… il prépara mon anus en le doigtant doucement, puis il présenta son gland contre mon petit trou… il caressa mon anus de son gland, tournoya, puis lentement poussa… et entra en moi… lentement, millimètre par millimètre… cela faisait un peu mal, mais finalement la douleur était occultée par le fait de me sentir remplie par un homme. Il me dépucelait. Je devenais une vraie femme… il commença à aller et venir en moi, lentement… puis lorsque mon fourreau s’était fait à son membre, plus fortement… il frottait quelque chose en moi qui me donnait des décharges de plaisirs… ce mélange plaisir-douleur-sensation d’être remplie se mélangeait en moi, mettant tous mes sens en confusion… je choisi de me focaliser sur le plaisir, et de mon bassin j’accompagnais ses mouvements… il me prit par les hanches et me fit l’amour avec passion… je jouis une ou deux fois, je ne sais plus, mais j’étais dans un état d’orgasme permanent… j’étais complètement femme, remplie pas sa verge puissante, qui allait et venait en moi… et le meilleur moment fut quand je le senti palpiter en moi, battre en moi, et quand il éjacula son sperme au plus profond de moi… c’était fait j’étais une femme !

Son sexe battait encore doucement en moi, je sentais le poids de son corps d’homme contre mon dos, tandis qu’il reprenait sa respiration. Mes jambes tremblaient, j’avais eu la sensation d’orgasme la plus puissante de ma vie… Il bougea, me caressa les fesses tendrement et les écarta pour voir son sexe sortir de mon petit trou… Après avoir été remplie par sa verge, que ce vide semblait triste, comme s’il me manquait quelque chose… je sentis du sperme couler de mon anus vers mes testicules… son sperme à lui, j’étais marquée comme femme, comme sa femme… Il retourna à son tiroir, et revint avec un essuie, avec lequel il frotta mes fesses, puis mit un peu de crème. Maintenant que l’excitation retombait, il ne restait que la douleur.

– Comme pour toutes les femmes, ça fait toujours un peu mal la première fois. Les douleurs s’en iront après quelques rapports, ne t’en fais pas. Tu étais divine Chloé ! Ton dépucelage restera longtemps dans ma mémoire !

Il sourit, et m’embrassa tendrement ! Aux anges, je le quittais, et passais le restant de la journée à rêvasser et à me reposer au lit…

Le jour suivant mon petit derrière me faisait encore un peu mal, mais je continuais ma série d’exercice physique, ainsi que des exercices de maquillage, heureuse de voir que je m’améliorais. La matinée passée à cela, je m’habillais d’un string rose en dentelle, soutien assorti, de bas couleurs chair, une mini-jupe noire, courte et fendue, au point de laisser voir l’élastique des bas, un top noir moulant, des escarpins noirs à petits talons. Me voyant dans le miroir, c’est vrai que c’était provoquant ! Mais j’étais tellement heureuse de ce que j’étais devenue, je voulais me montrer ! Montrer mon joli maquillage aussi. Je voulais me montrer et me sentir désirée. Et si j’avais un bonus au passage, un orgasme, tant mieux ! La douleur à mon derrière passait doucement, et surtout je me sentais tout le temps excitée. Sexuellement parlant. Était-ce dû aux médicaments qu’ils me donnaient ? Au fait d’être habillée en femme ? Le sexe en retard à ratt****r ? Un peu de tout ça à la fois ? Je ne savais pas, mais ce que je savais, c’est que je voulais du sperme dans ma bouche ou dans mon cul avant a fin de la journée !

Sortant de ma chambre, je tombais sur Vynce, qui me cherchait. J’aimais comment ses yeux s’écarquillèrent en me voyant, comment il ne pouvait faire autrement que de mater mes jambes, mon cul… Il me suivit jusqu’à l’ascenseur, m’expliquant qu’il venait me porter un message du professeur : mon opération aurait déjà lieu le lendemain, et l’endroit du bâtiment ou je devrais me rendre. Je le remerciais et nous rentrâmes dans l’ascenseur. Aussitôt les portes refermées, il se colla à moi. Je sentis son membre tendu sous son pantalon noir, qu’il frottait contre mes fesses, tandis qu’il m’embrassait dans le cou, me murmurant « Chloé, vous êtes tellement belle, j’ai tellement envie de vous… »

J’appuyais sur le bouton « stop » de l’ascenseur, qui s’immobilisa… il se recula étonné…
– Chloé, on est dans une clinique on ne peut bloquer l’asc…

Je l’embrassais à pleine bouche, nos langues se trouvèrent…

– Un ptit coup vite fait, Vynce, je suis sûr qu’il ne me faut pas 10 minutes pour te faire jouir…

Etonnée par ma propre audace, je m’agenouillais déjà, ouvrit sa braguette et en sortit son membre dur comme un trique… je le masturbais lentement, tandis que je léchais ses testicules peu velues… puis ma langue parcourut sa hampe, avant de s’attarder sur son gland, je le léchais méticuleusement, avant de l’enrober de mes lèvres, et de le prendre dans ma bouche… je le suçais, salivant beaucoup, pour bien le mouiller… il se cabrait déjà, mais Vynce fit un effort pour se dominer… et il faisait bien, car je voulais plus que le sucer cette fois… lorsque son sexe fut bien mouillé de ma salive, je me remis debout, me tournais, lui présentant ma croupe, poussant le string pour lui présenter mon anus… je n’avais pas besoin d’être plus explicite, il avait compris… excité, il présenta son gland devant ma rondelle, et me pris par les hanches. Il s’enfonça doucement en moi…

– Aaaah… dou… doucement Vynce… je suis… je suis encore une novice…

Il s’enfonçait toujours, lentement, en moi, pour que mon fourreau se fasse à son membre. Puis il commença ses va-et-vient, assez rapidement. Heureusement que son sexe était plus petit que celui du professeur ! La douleur était présente, mais moins. Par contre son gland touchait mieux ma prostate, m’envoyant à chaque coup de boutoir une décharge de plaisir dans tous le corps… mes mains se posèrent sur la paroi de l’ascenseur, tandis que je gémissais, j’aimais tellement être prise ainsi, mon petit cul rempli par ce membre de chaire… et lui, très viril, était au comble de l’excitation, me tenant fermement par la taille, plongeant dans mes profondeurs, ses testicules frappant contre les miennes à chaque coups de boutoir… je sentais son souffle dans mon cou, sa domination masculine, et j’étais aux anges… j’avais certainement déjà joui, car mon string était trempé… soudain ses mains me serrèrent plus fort, tandis qu’il se poussa plus fort en avant, tout en moi, et je le sentis jouir, se vider de sa semence chaude en moi, tandis qu’il me léchait et m’embrassait le cou, murmurant mon prénom dans ses râles de plaisirs… j’en jouis moi-même encore, tellement je me sentais femme, ainsi…

Il restait enfoncé en moi, son membre pulsant encore, nos cœurs battant la chamade à l’unisson… soudain on entendit un bruit répété, quelque part quelqu’un cognait contre les portes de l’ascenseur… il sortit lentement son sexe de mon cul, avant de le ranger dans son caleçon et de refermer sa braguette. Moi je remis mon string et ma mini-jupe en place, mais mes jambes tremblaient. Il remit l’ascenseur en route. Il me sourit, et constata mon état. Lorsque les portes s’ouvrirent, il me proposa son bras. Je m’y appuyais de tout mon poids, tandis que nous marchions vers le bureau du professeur. Je sentais mon anus pulser légèrement, et le sperme de Vynce couler doucement hors de mon derrière, sur mes fesses, mes testicules…

Heureusement, j’appris que le professeur était déjà parti pour son colloque au Canada, et qu’il avait remis ses rendez-vous de la journée. Je remontais donc doucement vers ma chambre, pour prendre une douche et un peu de repos avant l’opération du lendemain…

L’opération se passa très bien. Je dormis beaucoup les jours qui suivirent, mais imaginez mon plaisir à voir ces seins à chaque fois que je me réveillais ! Un joli 95C, comme le professeur me l’avait promis. Ils restèrent bandés la première semaine, mais le jour où le chirurgien enleva les bandages, et après un rapide examen où il me dit que tout était parfait, je passais quasiment le reste de la journée à les admirer dans le miroir. Et à m’admirer moi, dans le miroir… mon joli corps sans poils, avec cette paire de seins, mon visage de plus en plus féminin, ma verge de plus en plus petite et qui bandait de moins en moins. Jenny fit changer les soutiens maintenant trop petits par d’autres à la taille adaptée à ma nouvelle poitrine. Je passais la journée du lendemain à essayer les nouveau sous-vêtements, et à admirer ma poitrine dans un soutien en dentelle rouge, en transparent blanc, en latex noir, etc… je me sentais excitée et bandais légèrement juste du fait de m’admirer dans la glace. Je me sentais vraiment femme et j’adorais ça ! Je restais les deux semaines suivant l’opération dans ma chambre, m’admirant, essayant mes sous-vêtements, faisant mes exercices de gymnastique et perfectionnant mes techniques de maquillage. Jenny venait souvent, et nous discutions, comme des copines, chaussures, maquillage vernis. Je pus ainsi mettre un beau vernis bordeaux sur les ongles de mes doigts de pied et de mes doigts… Mais le sexe me manquait, et Jenny se défilait : nous devions servir de vrais hommes… et je ne pouvais aller voir Vynce, le professeur voulait voir mes seins avant tout autre… ce fut dur, d’autant plus que l’envie de me masturber était de moins en moins là, ce que je voulais c’était une verge bandée, à sucer, puis qui me remplirait mon petit cul gourmand…

Je fus donc contente d’apprendre que le professeur était rentré de son colloque. Je m’habillais d’un string noir en dentelle, soutien noir en dentelle et transparent, bas noirs, jupe courte et chemisier un peu serré, joli maquillage et escarpins à talons hauts. J’arrivais à marcher avec des 6 cm maintenant ! Dans cette tenue, je descendis jusqu’à son bureau, où je m’engouffrais… il ne semblait pas y être… jusqu’au moment où je sentis une présence derrière moi… un homme colla son bassin contre mes fesses, et posa ses mains sur mes seins. Il les caressa, les malaxa doucement… je reconnus les mains du professeur…

– Chloé, ma chère, ils sont superbes… au fait il faudrait que vous perdiez cette habitude de surgir dans mon bureau sans frapper… vous êtes superbe, vous êtes bien, je vais devoir m’occuper un peu plus d’autres patients maintenant…
– Mais… mais je ne veux pas vous quitter, professeur !
– Oh, mais vous n’allez pas me quitter ! Vous ne vous rappelez plus que vous avez signé un contrat ? Vous allez travailler pour moi ici, avec Jenny !

J’étais soulagée de savoir que je ne devrais pas quitter le manoir. Je bougeais mes fesses, pour caresser son bassin, cherchant une certaine bosse à faire gonfler… lui continuait à caresser mes seins…

– Ils sont vraiment superbes. J’aimerais les voir totalement…

Je lui souris, me retournais, déboutonnais langoureusement mon chemisier, bouton par bouton… puis l’enlevais, mes seins apparaissant dans le soutien noir… soutien que j’enlevais, ils apparurent dans toute leur splendeur… le professeur joua avec, les caressant, les embrassant, suçant les tétons, me poussant petit à petit vers son bureau… toujours mes seins sous ses mains, il m’embrassa, et lorsque mes fesses touchèrent son bureau, il me souleva, et m’y assit… il m’embrassa encore, et me coucha sur son bureau, puis amena mes fesses contre le bord du bureau, mes jambes en l’air, ma croupe offerte… il caressa mon petit sexe par-dessus le string noir…

– Ton petit clitoris coule déjà… tu en as envie, hein ? Presque trois semaines sans sexe, ça te rend folle, hein ?

J’acquiesçais de la tête… il sortit son membre bandé de son pantalon, et le frotta doucement sur mon string, contre mon petit sexe…

– Dis-le moi clairement !
– Professeur… votre… votre sexe bandé et dur m’a manqué, j’en ai envie… par pitié, baisez-moi, enfilez-moi… faites-moi jouir !

Il sourit, poussa sur le côté le fin tissu du string, tout en enduisant sa verge d’un lubrifiant transparent, releva bien mes jambes contre ses épaules, et présenta sa verge contre mon anus… il poussa et entra en moi… je râlais déjà de plaisir ! Cette sensation d’être remplie me manquait tant ! Il se poussa en moi, lentement, se retirant, poussant plus loin… le lubrifiant aidait ses mouvements, et il commençait de lent va-et-vient en moi, son sexe raide écartant mon fourreau, frottant ma prostate, m’envoyant au septième ciel ! Mes seins se balançaient à chaque coup de boutoir, et ça semblait l’encourager, il allait et venait en moi, serrant mes chevilles, et moi je jouissais sans bander, maculant mon string de ma semence de plus en plus liquide…

– Tu mouilles comme une bonne salope, c’est bien ! Tu aimes ça, hein, tu aimes ça !
– Oh oui c’est bon, c’est trop bon ! Encore ! Encore ! Prends-moi !

Et il accéléra encore ses mouvements, m’envoyant de nouveau dans une sorte d’orgasme permanent, je flottais dans un nuage épais de plaisir… je le sentis se cabrer en moi, mais il se retira soudainement, laissant un grand vide en moi… je me retrouvais rapidement sur mes genoux, face à lui, le bureau derrière moi… il mit son sexe trempé de nos sécrétions entre mes seins, et s’en servit pour se faire venir, éjaculant sa crème chaude sur mon visage et sur me seins… j’en léchais le plus possible, j’aimais le goût de son sperme !

Il s’assit dans un de ses confortables fauteuils, pour reprendre sa respiration, tandis que je restais au sol, sur mes genoux, mes jambes tremblant trop pour que je puisse penser à me relever. Cela avait été pur passion, pur plaisir, et j’adorais ça !

Il me regardait en souriant.

– L’expérience est parfaite, réussie. Tu es superbe Chloé. Tu vas travailler pour moi. Un uniforme va t’être donné. Le jour, des infirmières spécialisées sont là et elles s’occupent des patients. Mes riches, très riches patients. Le soir, ils ont besoin de compagnie. De charmante compagnie. Ce sera ton travail. En journée, tu continues tes exercices, ton corps doit rester parfait. Et le soir tu suis la feuille de route que Jenny te remettra, compris ?
– Oui professeur !
– Et je te verrai de temps en temps, comme Jenny, pour parfaire ta formation, et te faire goûter… à ce que tu aimes tant !

Il montrait son sexe, luisant, débandé… je luis souris et m’approchais, je ne pouvais plus dire non à cette verge. Elle était mon maître… je le léchais consciencieusement, ses testicules aussi, jusqu’à ce qu’ils reprennent fermeté. Un fois son sexe bien bandé, je le remis en bouche, le pompant avec passion… je n’avais pas eu ma dose de sperme et j’en avais faim… sa précédente éjaculation séchant en grande partie sur mes seins…

* *

Jenny m’expliqua toute une série de choses que je ne suivis pas vraiment, car tout cela m’était maintenant totalement indifférent. Des choses comme quoi le professeur avait signé pour ma famille un papier d’internement à vie, sans visite, vu mon état ; le fait que je ne toucherai aucun salaire, mais que je serai logée-nourrie-blanchie, avec chaque mois une petite somme à dépenser en vêtement, chaussure, lingerie, maquillage, bijoux, crème de beauté ou parfum de mon choix sur un catalogue Internet ; que je devais libérer ma chambre « de soins » mais que j’en aurai une autre au dernier étage, un peu plus petite mais bien équipée, réservée au personnel. Elle me donna enfin un uniforme, et la liste des choses à faire. Mon service commençait à 18h00, et se finissait à 1h00 du matin. Mais elle me dit que ce n’était pas tuant, ou non-stop comme dans un hôpital, c’était beaucoup plus tranquille.

Je passais le reste de la journée à déménager mes affaires vers ma nouvelle chambre. Elle était un peu plus petite, mais la salle de bain était identique, et j’avais la TV, connexion internet et un petit bureau. Tout ce qu’il me fallait ! Puis j’essayais l’uniforme… de bas blancs, qui montaient à mi-cuisse et tenaient par un élastique, un string blanc en dentelle, soutien-gorge assorti. Un tablier blanc qui se boutonnait vers l’avant, avec une poche sur laquelle était imprimée le logo de la clinique et un petit badge avec mon prénom. Lorsque je l’eus boutonné, je me rendis compte qu’il ne descendait qu’un peu plus bas que l’élastique des bas, et que ma poitrine mettait les derniers boutons à rude épreuve ! Je dus en ouvrir un pour relâcher la pression sur ces pauvres boutons, mais cela donnait un décolleté assez intéressant… Enfin une petite coiffe blanche avec le logo de la clinique complétait l’uniforme d’infirmière… quelque peu sexy ! A mon avis ce n’était pas permis dans les hôpitaux… Je remarquais que les infirmières de jour, celles qui faisaient vraiment des soins, avaient le même, mais en plus long, et en moins serrant sur le corps, en plus sage quoi… elles étaient vraiment là pour soigner, tandis que Jenny et moi étions là pour tenir compagnie à de riches messieurs fatigués, si je comprenais bien ce que Jenny m’avait dit. En journée, nous devions mettre l’uniforme « sage » si nous étions de service (et juste pour des fonctions d’accueil ou porter des plateaux nourriture au patient), et le soir nous devions porter l’uniforme sexy. Le professeur nous faisait parvenir chaque soir notre planning du lendemain, avec la liste des tâches à faire. Bref, ce n’était pas très compliqué !

J’étais toute excitée pour mon premier jour « de travail ». Je commençais par la première tâche de la liste : le service buanderie avait nettoyé le linge des pensionnaires, qui était mis dans des sacs à leurs noms, je devais distribuer les sacs dans les bonnes chambres. La tâche suivante était de distribuer de petits godets avec les médicaments que certains pensionnaires devaient prendre. Chaque godet était nominatif, donc impossible de se tromper. Puis, rendre visite à la chambre 204. Chaque soir, nous devions passer voir un pensionnaire, et s’assurer qu’il ne manquait de rien.

J’arrivais à la chambre 204, toquais, puis entrais. Un homme était assis dans le canapé, un verre d’alcool à la main. Cognac ou whisky, vu la couleur. Je ne savais pas que l’alcool était permis dans l’établissement. L’homme avait des cheveux blancs, bien fourni. Il devait avoir entre 60 et 65 ans. Il respirait le luxe et la confiance en soi. Sa peau était légèrement bronzée, il devait revenir d’un pays chaud.

– Tout va bien, vous ne manquez de rien ?
– Ah mademoiselle, ça va merci beaucoup. Vous voyez, le professeur ferme même les yeux sur mon petit vice du soir, un bon cognac avant d’aller dormir. Ce n’est pas permis, mais le professeur est un vieil ami…

Il avait un franc sourire et un œil pétillant.

– … mais ne le lui racontez pas que j’ai pu me faire livrer ce nectar ici, au cas où il changerait d’avis !

Il avait le sourire communicatif, et je souris avec lui. Il portait un élégant peignoir de marque, et on devinait dessous un pyjama bleu nuit, un peu old-fashion.

– Par contre, là où vous pourriez vraiment m’aider, c’est que je ne trouve plus la télécommande la TV…
– D’accord, je vais la chercher !

Je regardais dans le lit, sur la table de nuit, près de la TV, sans la trouver. Tout en cherchant, je sentais ses yeux sur moi. Ses yeux pleins de désirs. Il me lorgnait sans retenue, matant mes jambes gainées de blanc, mon derrière, moulé dans le tablier si fort qu’on devait deviner la forme du string, mes seins, lorsque je me penchais… et ce regard plein de désir de mon corps m’excitait énormément. Je n’avais jamais vu cet homme, je ne le connaissais pas, il semblait assez âgé, pourtant il m’excitait ! En cherchant, je prenais des poses plus langoureuses, plus révélatrice pour lui… Je devais penser à autre chose, sinon une bosse compromettante apparaîtrait sous mon tablier ! Soudain je vis la télécommande. Elle était tombée sous la petite table de salon qui était entre lui et la TV. J’aurais pu me pencher côté TV pour la ramasser, ou plier les genoux… mais excitée, je voulais lui donner un spectacle qu’il n’oublierait pas ! Tout près de lui, je me penchais pour ramasser la télécommande… mouvement qui fit remonter le tablier, dévoilant le haut de mes cuisses et le bas de mes fesses… Une main appuyée sur la table basse, l’autre au sol pour att****r la télécommande, je sentis son souffle contre ma jambe… j’étais sûre que ça lui ferait de l’effet ! Sa main vint doucement se poser sur ma fesse, qu’il caressa, passant sous le tablier, suivant le tissu du string… j’avais la télécommande en main, mais je faisais durer le plaisir…

– En fait, ce qui me manque le plus ici, c’est un peu de compagnie… je me sens si seul…

Je me redressais, il retira prestement sa main, et déposais la télécommande sur la table de salon. Puis, sans plus de cérémonie et à son grand étonnement, je vins m’asseoir sur ses genoux.

– Oh, pauvre monsieur tout seul qui a besoin de compagnie… et d’un gros câlin !

J’entourais son cou de mes bras, et mis ma joue contre la sienne… je restais ainsi quelques minutes. Ma peau douce contre la sienne, la vue imprenable qu’il avait sur mon décolleté, mes fesses lovées contre son entre-jambe ne tardèrent pas à faire de l’effet, je sentis une petite bosse se former doucement contre une de mes fesses…

– Je sens qu’on aime bien mon câlin, hein, coquin ?

Je bougeais lentement mes fesses contre la bosse, qui prenait de l’ampleur… bon sang il bandait encore ferme pour un vieux ! Ce frotti-frotta lui donna des idées, et ses mains se posèrent sur mes seins, qu’il caressa par-dessus le tablier. Ses caresses devinrent plus passionnées, je me laissais aller sous ses mains, me passant la langue sur les lèvres, laissant ma tête aller un peu en arrière… il embrassa mon cou, tout en continuant à malaxer mes seins… Puis ses lèvres cherchèrent les miennes, un baiser passionné s’en suivi… je me laissais ensuite glisser entre ses jambes, ouvrant son peignoir ce faisant, et me retrouvais à genoux sur le sol, entre ses jambes… j’ouvris le gros boutons qui fermait l’ouverture du pyjama, et son sexe en jailli, enfin libéré de ses vêtements… je fus surprise de sa vigueur, et commençait à le lécher sans me poser plus de questions… je léchais sa hampe, lentement, montant millimètre par millimètre, puis son gland, le pourtour d’abord, puis le haut du gland, avant de lentement l’engloutir dans ma bouche… puis ma tête commença à doucement aller et venir le long de sa verge, que je suçais avec délectation… non seulement il bandait dur, mais il avait de belle proportion ! Moins que le professeur, mais autant si pas plus que Vynce ! Il poussait de petits râles de plaisirs, on ne devait pas lui faire ça souvent ! D’ailleurs, il ne tint pas longtemps, après quelques minutes, je le sentis battre dans ma bouche, son gland frottant frénétiquement mon palais… sa verge bien dans ma bouche, mes yeux se plantèrent dans les siens, tandis que les jets se suivirent, son sperme me remplissant la bouche, coulant dans ma gorge… il y en avait tellement que du sperme coula de la commissure de mes lèvres… Une fois la plus grande partie avalée, je léchais mes lèvres, leur pourtour, et nettoyais consciencieusement son sexe qui débandait rapidement… dommage qu’il était venu si vite, s’il avait tenu un peu plus longtemps je lui aurais fait goûter aux joies de mon petit cul serré… je dois avouer que j’en avais terriblement envie, mais je vis que je ne tirerais plus rien de ce monsieur bien sympathique… Je rangeais bien gentiment son sexe débandé dans le pyjama, refermait le bouton, puis nous discutâmes encore un peu avant que je ne l’aide à se mettre au lit. Il me remercia sincèrement et chaleureusement, puis je quittais sa chambre.

Il était 23h passé, et pour le reste de mon travail c’était de me promener silencieusement dans les couloirs et de m’assurer que tous les pensionnaires dormaient bien. Puis je pus rentrer dans ma chambre, et je pouvais y rester à moins qu’on ne m’appelle, ce que je pouvais voir à une console fixée au mur. Chaque chambre était représentée par un carré, qui s’allumait si on nous appelait. Mais cette nuit fut calme, et je m’endormis vers 2h du mat. Je fis des rêves érotiques, j’étais attachée à un lit, la croupe offerte, et une douzaine d’hommes virils me prenaient sauvagement, à tour de rôle, jusqu’à ce que mon petit trou déborde de sperme chaud !

Je m’acquittais de mes tâches les jours suivants, massant un homme encore plus âgé que le premier, suçant un autre… mais à la fin de la semaine, je n’avais toujours pas pu avoir mon petit cul rempli, ce qui me manquait terriblement. Pour me calmer, je décidais de faire un peu de jogging dans le parc. J’avais justement reçu ma première commande de vêtements, j’avais acheté des baskets roses et blanches, pour courir, de petites socquettes blanches, un mini short blanc, et un top de sport rose. Le short était très serrant, et le top très révélateur, et s’arrêtait juste en dessous de mes seins… Sous le short je mis un petit string en tissu rose fluo, plein, et très visible sous le short blanc. Ainsi habillée, je commençais mon jogging, sur l’allée qui faisait le tour du bâtiment et une boucle dans le parc. Courir me faisait du bien, même si ce n’était pas la même chose, de courir avec une poitrine format 95C que sans ! Deux promeneurs, des patients de la maison de soin, me virent, et s’assirent sur un banc pour me mater à l’aise. Je passais une fois, puis deux fois devant eux. Ils n’avaient d’yeux que pour moi. Au troisième passage, ils n’étaient plus là. Zut, moi qui croyais pouvoir prendre mon pied ! Je continuais à courir et retombais sur les deux gars, qui s’étaient assis sur un autre banc, dans la boucle du sentier qui était dans le parc. Je refis un tour, et commençais à être pas mal essoufflée. Revenue à leur hauteur, un des deux gars me fit signe.

– Mademoiselle, vous êtes tout essoufflée, venez, asseyez-vous quelques minutes avec nous, pour reprendre votre souffle.

Je lui souris et m’approchais d’eux. Ils étaient assis aux deux extrémités du banc, la seule place disponible était entre eux deux. Je m’y assis.

– Un peu d’eau ?

L’un deux me tandis une bouteille, de la clinique. Je le remerciais et bus une gorgée. Ils devaient tous les deux avoir la quarantaine, était bien bâti, et avaient des cheveux coupés à la brosse. L’un était blond aux yeux bleu, l’autre brun aux yeux noisettes. Ils étaient tous les deux en pyjama et peignoirs, comme tous les patients de la clinique. En discutant avec eux, j’appris qu’ils étaient gendarmes, et qu’ils avaient été blessés lors d’une intervention difficile. Après un court séjour à l’hôpital, ils étaient ici en repos. Je leur dis que je faisais partie du personnel de l’institut. Ils me sourirent, et l’un des deux posa sa main sur ma cuisse. Je compris pourquoi ils avaient changé de banc : celui-ci était caché du bâtiment par une rangée d’arbres. Ils pouvaient me faire ce qu’ils voulaient, on ne verrait rien à moins de s’approcher assez près.

– Vous faites partie du personnel… nous vous regardions faire du jogging… vous êtes très belle…
– Mais ça peut être dangereux de faire du jogging dans cette tenue, non ? C’est assez provoquant…
– Ah moins que ce n’est pas que pour le jogging que mademoiselle est habillée ainsi…

La main du second vint se poser sur mon autre cuisse… ils avaient raison, c’est ce que je voulais ! Je leur souris, les laissant me caresser…

– Mais je n’ai pas peur, entourée de deux beaux et forts gendarmes…

Je le dis en les regardant ingénument, l’un puis l’autre… et en posant mes mains sur leur entrejambe, au moment où je prononçais le mot « forts ».

– Tu vois, je te l’avais dit Frank, c’est bien ça qu’elle voulait !

C’est celui au cheveux brun qui avait dit ça à l’autre. Puis il prit le dessous de mon top et le releva en une fois, dévoilant mes seins… Ils sourirent et chacun s’occupa d’un de mes seins, le caressant, le malaxant, le léchant, suçant le téton… moi je caressais leur entrejambe, faisant gonfler leurs membres… j’ouvrais un pyjama, puis l’autre, sortant une verge, puis l’autre, et chaque main en branlant une… tandis qu’ils s’excitaient sur mes seins, moi je sentais leurs verges gonfler, durcir encore plus entre mes doigts… bon sang c’était divin !

Ils arrêtèrent de me lécher les seins, et le brun amena ma tête vers sa verge… je ne me fis pas prier, et ma bouche s’ouvrit en « o » pour engloutir son membre, que je suçais, tout en branlant l’autre… après quelques minutes je changeais, allant sucer le blond, tout en branlant le brun… ce dernier me caressait les fesses, faisant des commentaires grivois sur mon short et mon string… je rechangeais, suçant le brun et branlant le blond… qui s’enhardit, caressant mes jambes, puis mon entrejambe… sans doute voulait-il voir si je mouillais ? Il tâta mon entrejambe puis retira vite sa main, regardant son copain…

– Merde, c’est une trans !
– … et alors ça te gène ?
– Je…
– Attends, t’as jamais fait le bois de Boulogne ? Faut vraiment que je t’apprenne tout !

Le brun me guida pour que je me mette sur les genoux sur le banc, la croupe vers eux. Il descendit mon short et mon string, en une fois, jusqu’à mes genoux… puis il caressa mes fesses, les écarta, les malaxa, avant de leur donner de petite fessée… Mon petit sexe pendait, à demi bandé, suintant déjà de son sperme liquide…

– Ce sont les meilleurs culs à prendre, crois-moi, des coups inoubliables !

Il présenta son membre dure entre mes fesses, qu’il écarta, pressant ma rondelle avec son gland… il ne dû pas presser longtemps, j’en avait tellement envie que mon anus goba littéralement son gland !

– Tu vois comme elle en a envie, son cul mouille comme le sexe d’une fille ! Bon sang, elle est étroite…

Il s’enfonça et commença à aller et venir lentement en moi.

– Putain qu’elle est bonne, c’est si étroit…

L’autre passa derrière le banc, et présenta sa queue devant ma bouche. Je recommençais à le lécher, puis le sucer, pendant que le brun continuait à commenter l’étroitesse et le plaisir que lui offrait mon cul… je ne l’entendais plus, aux anges, tous mes sens braqués sur le plaisir que son pieu de chair me donnait ! J’étais à nouveau remplie par une verge, chaude et dure, et c’est tout ce qui comptait… je gémissais, en suçant le blond, tandis que le brun amplifiait ses mouvements en moi… Le blond ne devait pas aimer le rythme de ma fellation, car il entoura ma tête de ses mains, et imprima lui-même le mouvement, me baisant littéralement la bouche… tandis que l’autre me tenait par les hanches et me bourrait le derrière… j’étais dominée, une verge dans chaque orifice, mon corps tremblait de plaisir… j’étais à nouveau dans une sorte d’extase, d’orgasme permanent, tandis qu’ils abusaient de moi, que leurs sexes entraient et sortaient de ma bouche et de mon cul… des larmes coulaient du coin de mes yeux, de la salive de ma bouche, mais je n’en avais cure, tout mon corps n’était que sensation de plaisir… soudain le blond s’enfonça loin dans ma bouche, maintenant ma tête contre son ventre, et éjacula… heureusement qu’il n’en avait pas une grande, sinon j’aurais étouffée, je n’avais jamais fait de « gorge profonde » ! J’avalais son sperme, puis il me relâcha, sortir son sexe da ma bouche, et envoya encore deux giclées sur mon visage… L’autre était plus endurant, il lâcha mes hanches, et s’accrocha à mes seins, les malaxant tandis qu’il amplifiait ses coups de boutoirs… bon sang ma prostate était à chaque fois caressée de l’intérieur, il savait y faire ! Je bavais tellement je gémissais de plaisir, le sperme du blond coulant sur mes joues, sur mon menton… puis il donna un coup final, s’enfonça dans mes profondeurs et éjacula en moi ! Il resta planté en moi quelques minutes après avoir éjaculé… je sentais en moi son membre fiché, son sperme… bon sang que c’était divin ! J’avais mouillé le banc d’une petite flaque blanche tellement j’avais joui, quasi non-stop !

– Tu as vu dans quel état elle a mis le banc !
– Ah ouais, elle a aimé en tout cas… mais on peut pas laisser cela comme ça, faut penser aux autres promeneurs !
– Il va falloir qu’elle lèche le banc

Je regardais le banc… en bois, la peinture qui s’écaillait…

– Ce… c’est peut-être un peu dangereux…
– Mouais tu as raison, j’ai une autre idée… enlève ton short et ton string…

J’obéis… il prit mon string rose, et frotta la flaque avec, mon string s’imbibant de mon sperme liquide… puis il me le fit lécher… c’était humiliant, mais leur domination sur moi entraînait une sorte d’excitation… Lorsque je voulus m’en aller, et qu’ils me retinrent, je ne fus pas difficile à convaincre…

– On en a pas encore fini avec toi, mon ami n’a pas goûter à ton cul divin !

Ils s’assirent sur le banc, je dus me coucher sur eux… lécher les testicules et le sexe du blond, tandis que le brun me malaxait, me fessait, puis me doigtait mon anus… je n’en revenais pas de comment me faire dominer comme ça m’excitait ! Lorsque le blond recommença à bander, je l’enjambais, présentant mon anus au-dessus de son gland, puis je descendis lentement, son gland rencontrant mon anus, puis le pénétrant… je remontais et descendais le long de sa tige, tandis que l’autre se branlait en me regardant faire… bien vite je trouvais le rythme et l’angle de pénétration qui me donnaient le plus de plaisir, et j’en profitais un maximum !

– Ah, ah, ah, regarde-là Franck, elle se sert de toi comme d’un sex-toy, pour se donner du plaisir ! Quelle cochonne !
– Qu’elle fasse ce qu’elle veut, c’est trop bon ! Son intérieur sert et branle mon sexe en même temps… c’est… c’est divin !

Je ne les entendais plus, sombrant dans la dépravation et le plaisir, montant et descendant le long de cette tige de chaire qui me donnait tant de sensations divines… Des jets chauds et collants arrivèrent sur mes seins, mon cou, mon visage, le brun s’était fait jouir sur moi… puis le blond jouis en moi, vaincu par l’étroitesse de mon fourreau… son sperme se mélangeant à celui du brun en moi…

J’étais pantelante, couché sur le banc, nue, mon corps parcourut de tremblement, tellement les orgasmes que j’avais eu avaient été forts… j’étais couverte de sperme, sperme qui coulait de mon anus qui palpitait encore… Les deux gars se rhabillaient…

– On en aurait encore bien profité, mais c’est cassoulet à la cantine, on ne va pas rater ça. Merci pour tout ma jolie !
– Oh oui, c’était vraiment bon, merci beaucoup !

Et ils s’en allèrent, sifflotant et blaguant… j’étais toujours sur le banc, sans bouger… il me fallut plusieurs minutes pour retrouver mes esprits. Je m’habillais comme je pus, et retournais vers ma chambre, pour me prendre une bonne douche, et me reposer un peu !

Ensuite, je passais dans le bureau du professeur, pour prendre mes ordres du soir. Il me fit passer sous son bureau, où je constatais que son sexe bandé était dressé, sa braguette ouverte. Je le suçais avec gourmandise, tandis qu’il écrivait mes instructions, jusqu’à ce qu’il vienne dans ma bouche, et que j’avale son sperme chaud. Le soir je pris mon service à 17h30, fit les tâches qu’il m’avait assignées. Je tins compagnie à un vieux monsieur, qui aimait me raconter ses prouesses d’antan, puis s’endormait au milieu de son récit. Pendant la nuit, je fus appelée à une chambre. Lorsque j’entrais dans la chambre, je constatais directement la bosse au milieu des couvertures… le patient n’arrivait pas à s’endormir à cause d’une érection tenace ! Je lui souris, lui disant de ne pas s’inquiéter que j’allais prendre les choses en main ! Je descendis les couvertures, grimpais sur le lit, mes genoux de chaque côté du patient, ma croupe au-dessus de son sexe bien bandé… je déplaçais la ficelle du string blanc, et descendis doucement, m’empalant sur sa verge raide… je montais et descendais le long de son sexe, le massant avec mon fourreau toujours serré, le sentant me masser la prostate de son gland gonflé de désir, pour ça cette position était divine ! Lui ne faisait rien, se délectant de mon visage marqué par le plaisir, et de mes seins qui se balançaient au gré de mes montées et descentes le long de son sexe… bien vite (trop vite à mon goût !) il se cabra en moi, et éjacula sa semence chaude au plus profond de moi… son sexe débandé, il put enfin s’endormir…

J’adorais ma nouvelle vie ! J’étais belle désirée, j’avais du sexe à profusion, et j’aidais les autres. Enfin j’étais heureuse, je me sentais utile et appréciée.

Un jour, un nouveau patient arriva. Un homme seul et en forte dépression. Il était sans famille, malgré son jeune âge. Ce qui me frappait chez lui, c’était son visage androgyne, et son corps, sans un poil. On aurait pu facilement le confondre avec une fille ! Le professeur s’occupa de lui, lors de longues séances, tandis qu’il me demandait d’envoyer chaque soir des vidéos sur son adresse mail… lorsqu’un jour je fus appelé dans son bureau, et que le professeur me demanda de le sucer devant cette homme habillé de bas noirs, avec des jarretelles, d’un string sexy et soutien mauve assorti, je su que le personnel de la clinique allait bientôt s’agrandir d’un nouveau membre… encore de belles aventures à venir !

== Fin ! ==

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HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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