Le lendemain matin, je me levais vers 9h30. En sortant de ma chambre, j’eu l’impression d’être remonté dans le temps. Un parfum de viennoiserie chaude montait de la cuisine, tandis que j’entendais ma mère discuter avec la femme de ménage, tout en nettoyant ensemble le salon. Je regardais par la fenetre, mon père était déjà parti au travail, sa voiture n’était plus là. En arrivant en bas des escaliers, ma mère me jeta un rapide regard, et me dit qu’il était tard, et de penser à mettre mon linge sal dans la corbeille. Elle ria à une blague idiote que lui dit la femme de ménage, et lui tendit un nettoyant pour les vitres ainsi qu’un chiffon. Je me dirigeais vers la cuisine et me fit couler un café avec la machine à capsules. Quelques croissants, encore chauds, étaient posés sur la table. Ma mère entra dans la pièce peu après, me passa la main dans les cheveux, et alla chercher un autre produit d’entretien sous l’evier. Quand elle se retourna vers moi, je lui dis :
– Je ne suis pas sur de tout piger…
– Pourquoi tu dis ça ?
– Tu cherches à me rendre jaloux avec papa ? Enfin franchement… Je pense que ce n’était pas une bonne idée que je revienne m’installer ici.
– Pourtant tu as tout ici. Le confort… Papa travaille pour ça… Et tout ce dont tu as envi.
Je haussais un peu les épaules et fit signe à ma mère qu’elle se trompait.
– C’est toi qui te trompe, ajouta ma mère, tu n’as pas idée comme je suis heureuse que l’on soit ensemble ici.
Je m’installais à table, je bus mon café, tandis que ma mère retournait apporter les produits d’entretien à la femme de ménage. Quand j’eu fini, elle revint à la cuisine et me dit de tout laisser sur la table.
– Elle rangera, fit-elle en désignant la femme de ménage. Viens avec moi, je veux te montrer quelque chose.
Je la suivis jusqu’à l’étage et elle me fit entrer dans sa chambre. Le lit avait été refait. Elle ouvrit la penderie et me fit signe de regarder.
– Regarde tout ce que j’ai… Pour me faire belle… Et regarde aussi les produits de beauté, la table de maquillage que ton père m’a acheté. Tiens et regarde ici aussi.
Elle ouvrit deux tiroirs où étaient rangé sa lingerie, dans l’un des dizaines de culottes, et dans l’autre, tout autant de soutien gorges.
– Regarde si tu veux… Fouille… Dis moi si tu veux que je mette quelque chose pour toi.
Je regardais ma mère, puis ses tiroirs de lingerie, bien rangés, les soutien gorges en enfilade les uns derrière les autres, et les culottes pliées en quatre.
Je passais ma main dans ses robes suspendues, c’est vrai qu’il n’y avait aucune comparaison possible avec ce qu’elle avait à l’appartement. Tandis que je commençais à regarder ses culottes, ma mère remonta sa robe et posa sa main sur sa culotte noire. Elle commença à se toucher à travers, tout en m’observant porter attention à ses affaires.
– Vas y fouille, murmura t-elle.
Je touchais ses differentes culottes, en dépliant certaines, puis commençant à mettre un veritable désordre dans son tiroir, mettant davantage en evidence les culottes qui me plaisaient le plus, à savoir les plus transparentes ou celles tout en dentelles.
Ma mère se masturbait doucement en me regardant faire, et faisait tournoyer ses doigts plus vite lorsque je portais attention à une culotte en particulier. Je la regardais un instant. Elle me sourit sans rien dire, continuant de se carresser.
– Ce que j’aime surtout chez toi, c’est ça… , commençais-je à dire tout en me dirigeant vers la salle de bain.
Je m’approchais des deux lavabos, sous lesquels se trouvait la corbeille de linge sale. Je soulevais le couvercle, et regardais à l’interieur. En fouillant un peu avec la main, j’en sortis une culotte couleur saumon, tout en dentelles sur le devant. Je l’ouvris dans ma main, et pus mettre en evidence une grande tache blanchatre sur le milieu.
Je fis un pas vers ma mère, qui m’avait suivi, et leva la culotte au niveau de nos visages.
– J’adore ton odeur…
Ma mère ne disait rien, mais se carressait de plus en plus fort. Elle avait écarté sa culotte sur le coté, et se masturbait à présent directement la chatte, allant et venant sur son clitoris, et glissant ses doigts le long de sa fente.
– Leche avec moi…, lui dis-je.
Je sortis ma langue et la passa sur sa trainée blanchatre. Un gout apre et salé me vint en bouche, avec le parfum exquis de la chatte de ma mère. Celle ci sortit également sa langue, et doucement, la méla à la mienne, la passant ensuite copieusement sur sa longue trainée.
En quelques mouvements, ma mère defit sa robe qu’elle laissa tomber au sol. Je pus voir qu’elle portait un très bel ensemble de lingerie, noir et doré, magnifiquement assorti. Elle dégrafa son soutien-gorge, faisant apparaitre ses seins généreux devant moi. D’un geste, elle fit glisser sa culotte le long de ses jambes.
Nue, elle se serra contre moi, et me dit à l’oreille :
– A la maison, tu peux me faire ce que tu veux, quand tu veux…
– Ce qui ne me plait pas, c’est quand papa est là.
– Bientôt ça changera, fais moi confiance.
– C’est à dire ?
– Je n’oublie pas ce qu’il m’a fait et son comportement de ces derniers mois. Je n’oublie pas ce qu’il nous a fait. On mérite ce confort. On mérite aussi de se venger… Fais moi confiance…
– Tu peux m’en dire plus ?
– Non. Fais moi juste confiance… Il ne compte plus… Il n’y a que toi. Viens, je vais te montrer.
Elle me prit par la main, et on retourna dans la chambre. Elle se mit sur le lit à quatre pattes, et écarta ses fesses, me dévoilant son anus et sa chatte entrouverte. Elle prit son téléphone portable, et commença à composer un numero. Quand mon père décrocha, je montais à mon tour sur le lit, baissa mon pantalon, et frotta mon sexe gonflé contre le cul de ma mère. Alors qu’elle lui parlait, je lui enfonçais par petits coups de queue mon sexe dans son anus, jusqu’à y être à la garde. Je me mis alors à taper fort, tandis que ma mère disait à mon père de faire des courses après son travail. Elle gardait un ton assez autoritaire pendant la conversation, sans la moindre chaleur affective. Puis, après avoir raccroché, elle se cambra davantage et se tourna vers moi :
– Demande moi ce que tu veux, je le fais.
Ajouter un commentaire