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La révélation
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Depuis longtemps, je me doutais bien de quelque chose. Je trouvais que ma jolie femme s’habillait parfois un peu trop sexy pour aller au boulot. Le rythme des jours où elle mettait des jupettes dévoilant bien ses cuisses gainées par de beaux collants soyeux beige clair irisés ou marron glacé augmentait progressivement et, parfois, des dessous arachnéens et soyeux les accompagnaient. Les talons hauts, qui, soi-disant, lui faisaient mal aux pieds étaient de plus en plus souvent de sortie. Je me disais que dans le bus et le métro des types devaient se payer de bons jetons mais que ses collègues mâles et son patron ne devaient pas être insensibles à ces charmes étalés et presque provocants.
Ce fut un pote, un vrai pote, qui me permit d’avoir la révélation de la vraie nature de ma femme : une salope BCBG, fausse sainte-nitouche.
Je lui avais montré des photos de ma femme, suffisamment sexy et suggestives pour l’agacer, mais insuffisamment explicites pour le convaincre totalement. J’avais donc fait naître en lui une envie de ma femme, fait monter en lui un sourd désir de la baiser.
Aussi, je n’eus aucune difficulté à le convaincre de l’espionner, de la suivre, en lui disant que s’il trouvait l’ouverture, je n’étais pas contre… à la seule condition qu’il me raconte tout.
Ce cochon -qui m’avait d’ailleurs demandé deux ou trois photos de ma femme en bas et porte-jarretelles- n’eut de cesse de la confondre. Il m’avoua fantasmer sur elle à de nombreuses reprises, qu’il se branlait en contemplant ses photos, qu’il s’imaginait la prendre comme une chienne.
Il entreprit donc de l’espionner. Malin comme un singe, il trouva le moyen de s’introduire dans l’immeuble de bureaux qui faisait face à celui où travaillait ma femme, le surplombant de deux étages, ce qui procura à lui-même et à son complice -un vieux soulard de soixante piges- un plaisir fabuleux, confirmé par les cassettes video qu’ils purent enregistrer, le plus souvent entre midi et deux heures.
Voici le récit de cette » enquête ”, confirmée par les images que ces deux cochons me projetèrent fièrement, non sans m’avoir demandé chacun une culotte de ma femme comme mode de paiement.
» Amènes-toi vendredi chez Richard avec deux culottes et quelques paires de bas car on va décharger ensemble en regardant ta petite salope… tu vas voir, cela dépasse ce que tu pouvais imaginer… on a toutes les preuves… de quoi la confondre, lui faire avouer que c’est une salope intégrale… d’ailleurs, après ça, on va la prendre à tous les deux Richard et moi à tour de rôle et on va te la faire hurler de plaisir ”
J’étais conditionné et impatient. » Qu’allaient-ils me montrer ? des photos ? peut-être mieux ?” Le vendredi en question, accompagné de quelques culottes –notamment celle portée la veille, qui conservait ses odeurs de femelle-, de soutien-gorges et paires de bas de ma femme, fébrile et impatient, je me rendis chez Richard.
Nous nous installâmes confortablement tous les trois sur le canapé et le caméscope commença à dévider ses images.
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Le plan en contre-plongée montrait le bureau du patron de ma femme. Ce dernier était au téléphone.
» Là, c’était midi et demi ” me dit mon pote
» Ca va chauffer bientôt ” renchérit Richard alors que le plan s’éternisait.
Bientôt, le patron de ma femme raccrocha. Trente secondes après ma femme entra. Elle était vêtue très très sexy BCBG, avec la tenue de la parfaite tombeuse de bureau, d’un tailleur gris à la jupe assez courte, d’escarpins vernis noirs à talons hauts, que je ne lui connaissais pas (elle devait avoir une garde-robe cachée à son bureau!). Immédiatement, elle vint se placer debout à côté de lui, avec une pose cambrée, aguichante et suggestive. Le patron ne traîna pas (ce ne devait donc pas être la première fois!) et il insinua sa pogne sous la jupe de ma femme, lui caressant le haut des cuisses et probablement sa culotte. Le zoom permit de voir qu’il souleva sa jupe et, paluchant amplement ses cuisses et ses fesses, dévoila à nos yeux des bas noirs et un porte-jarretelles.
J’étais totalement estomaqué car elle ne partait jamais de la maison en bas et porte-jarretelles ; elle mettait bien des dim-up de temps en temps mais c’est tout et c’était rarissime. Elle devait donc avoir une petite armoire secrète à son boulot où elle allait se changer. Je me demandais d’ailleurs qui avait bien pu lui acheter ces bas, ce porte-jarretelles, ces escarpins. J’eus la réponse beaucoup plus tard: c’était son patron, qui était en fait son amant depuis plusieurs années.
Ma femme se pencha sur lui et nous vîmes tous trois sa main caresser le pantalon de son patron, masser son entrejambes. Puis elle déboutonna sa braguette, plongea sa menotte dans l’ouverture et en extirpa sa bitte, qu’elle caressa longuement et doucement. Pendant ce temps-là, son patron ne restait pas inactif. Sa main aventureuse était remontée jusqu’à ses fesses et sa chatte. Il s’amusait de la culotte arachnéenne noire en tulle que je lui connaissais bien, prenant possession des globes de son cul qui ondulait et de la toison de sa foufoune tendue en avant.
Il se souleva sur son siège, baissa son pantalon, délaissant deux minutes le cul et la chatte de ma femme, pour bien dégager sa grosse pine tendue vers le ciel… ou plutôt vers le visage de ma femme qui se pencha dessus. Nous vîmes tous les trois la bouche de ma femme s’entrouvrir, ses lèvres s’arrondir et le commencement d’une longue fellation.
Mes deux potes s’étaient débraguettés et avaient sorti leurs pines :
» passe-nous une culotte et des bas, on va se branler car, crois-moi ça va être chaud… tu ne vas pas être déçu ”
Aussitôt, je leur tendis les pièces de lingerie de ma femme que je leur avais amené et tous trois nous commençâmes à astiquer nos tiges en contemplant ce spectacle offert par ma femme et son patron.
Maintenant, elle pompait le dard de son patron avec application, engloutissant la tige sur toute sa longueur, le gratifiant de quelques lichettes de sa langue de velours sur son gland, pendant qu’il continuait à palucher ses fesses d’abord par-dessus puis par en dessous sa culotte, sa jupette bien relevée. De son autre main, il caressait sa chevelure ondoyante, accompagnant les montées et descentes de sa bouche goulue sur sa pine. Son patron, la tête renversée en arrière, se délectait de cette pipe interminable et savoureuse. Ma femme semblait ne vouloir jamais s’arrêter de le pomper profondément.
» T’as vu cette suceuse, comment elle le pompe, quelle salope! j’aimerais bien me faire sucer par elle comme ça!”
» Hmmm; ouais, putain, elle se comporte comme une salope, je ne l’avais jamais imaginée comme ça ”, répondis-je, la gorge un peu nouée.
» Attends, tu vas voir la suite ” ajouta Jean-Louis.
En effet, j’étais loin d’être au bout de mes surprises.
Tout d’abord, son patron arrêta brutalement -mais momentanément- cette pipe somptueuse. Il fit asseoir ma femme face à lui sur son bureau, écartant quelques dossiers. Cette salope avérée, écarta largement ses cuisses, alors que ses genoux gainés par ses bas noirs caressaient les joues de son patron. Elle tendit son pubis vers lui; il n’hésita pas une seconde et vint plaquer sa bouche contre sa vulve par-dessus la fine culotte de tulle noir. Nous voyions tous trois son visage enfoui entre les cuisses de ma femme s’agiter de haut en bas. Nous devinions que sa langue devait s’activer car ma femme, caressant son crâne à demi chauve, renversa sa tête en arrière dans un mouvement d’extase. Je reconnus même ce mouvement latéral de va-et-vient de sa tête faisant vibrer sa crinière de chienne, lorsqu’elle est prête à jouir
Nous n’entendions évidemment pas ce qu’ils pouvaient se dire mais nous pouvions imaginer des :
» ah!!!!!!!!!!!! Oui !!!!!!!!!!!!! lèche-moi, mon chéri, j’adore ça! ”
et lui, en s’interrompant et levant se yeux vers elle :
» oh!!!! Qu’elle est bonne, hmmm! Je l’aime ta chatte, que c’est bon ! ”
Cela dura une bonne dizaine de minutes, ma femme assise sur le rebord du bureau du patron et celui-ci sa tête enfouie entre ses cuisses. Puis ils s’interrompirent un moment. Son patron prit le téléphone trois secondes puis raccrocha.
Ma femme descendit du bureau, ouvrit sa veste, déboutonna son chemisier et offrit ses pointes de seins dégagées au ras de son soutien-gorge balconnets à la langue avide de son patron. Il lécha ces bouts excités puis, se reculant encore plus sur son fauteuil, incita ma femme à reprendre sa fellation sur une tige à peine ramollie.
Sans se faire prier, ma salope de femme reprit le dard en bouche et lui fit reprendre sa raideur initiale. Maintenant, nous voyions parfaitement la bitte de son patron apparaître et disparaître tour à tour dans la bouche goulue de ma femme, qui la suçait frénétiquement.
La patron semblait s’affoler en glissant ses doigts dans la vulve mouillée de ma femme, ayant bien écarté sa culotte. Ma femme, buste à l’horizontale, bien campée sur ses escarpins nous offrait, par le zoom de la caméra interposé, sa croupe bien tendue et blanche, tranchant bien avec le nylon noir de ses bas gainant ses longues jambes et le trait sexy de ses jarretelles, ses fesses bien dégagées par sa jupette complètement relevée sur ses reins cambrés. Elle suçait, elle suçait, elle suçait…
C’est alors que nous vîmes un autre larron entrer dans la pièce (je sus bien après que c’était Jean-Marc un collègue particulièrement bien monté de ma femme). Il dut avoir en ligne de mire ce spectacle affolant de cette croupe tendue et offerte. Sans préambule aucun -il devait être habitué à ce petit coup de téléphone de treize heures!-, il s’approcha des fesses paluchées par le patron et y apposa sa bouche gourmande, tout en caressant les cuisses gainées des bas nylon. Ma femme eut un léger soubresaut en constatant l’arrivée d’un nouveau partenaire mais ne s’arrêta pas de sucer le patron. Elle ne devait pas en être à sa première partouze bureaucratique! Nous vîmes la langue du lascar s’immiscer dans la vallée culière conduisant à la chatte probablement dégoulinante de ma femme, dans laquelle elle disparut quelques instants, alors que le patron maintenait d’une main la tête de ma femme sur sa bitte enfournée et, de l’autre, caressait le replat de ses fesses.
Le nouvel arrivant se dégagea laissant les fesses et la vulve de ma femme bien ouvertes. En un clin d’œil, il se débraguetta et sortit un superbe dard tendu et légèrement recourbé en banane, qui nous parut plus gros que celui du patron. Soutenant souplement par la base ce terrible engin d’une main et empoignant la fesse droite de ma femme de l’autre avec ses doigts écartelés, ce qui lui permettait de maintenir au large la culotte, il promena le gros gland turgescent le long de cette raie humectée. Ma femme agita un peu ses cuisses et son cul pour mieux le tendre à la rencontre de cette bitte, qui la tentait, agaçait sa vallée tutoyant les lèvres trempées.
Le patron regardait l’autre, tout en plaquant sa main sur le replat du fessier de ma femme pour mieux accompagner la pénétration imminente.
Lâchant sa bitte, il empoigna ma femme plus haut sous les deux jarretelles et l’embrocha sans coup férir. Elle dut la sentir car elle faillit basculer en avant, dégueulant momentanément la queue sucée.
Bien vite, aidée en cela par son patron, tendant encore plus sa croupe et crispant ses mollets sur ses escarpins, non seulement elle reprit la bitte entre ses lèvres arrondies mais aussi se mit à accompagner les coups de boutoir de la grosse pine qui devait bien la fouiller. L’autre, pantalon aux chevilles, semblait bien se régaler. Il se reculait, contemplait le cul tendu, ressortait presque en totalité sa tige de la chatte de ma femme, puis la pénétrait à nouveau avec une certaine vigueur. Le patron lui souriait, il devait peut-être l’encourager car ma femme dodelinait de la tête, tout en essayant de continuer à pomper le dard toujours dans sa bouche.
» Vas-y, pine la cette salope… allez bourre la bien, elle aime les bittes. Hein que tu aimes sa grosse bitte, chérie? ” ces commentaires de Richard dans la pièce devant l’écran devaient peut-être être les mêmes que ceux du patron. Moi, j’étais complètement abasourdi de voir ma femme se faire prendre ainsi.
» T’as vu si elle aime ça? ” me dit Jean-Louis » ce serait chouette, si Richard et moi on était à la place des deux autres et que tu nous regardes nous faire sucer et la baiser! ”
Richard rajouta » elle l’aime la queue, ta femme, putain, la saloooope !
T’as vu ! Si c’est pas une salope ça ! qu’est-ce qu’elle aime la bitte ! ”
Avalant ma salive, j’acquiesçais de la tête, alors que mes deux potes de luxure continuaient à s’astiquer, les culottes et les bas de ma femme enroulés autour de leurs tiges.
Dans le bureau là-bas, il y eut un changement de formation. Tout le monde se releva, les deux mecs enlevèrent complètement leurs pantalons. Ma femme au passage flatta les deux queues avec ses mains, puis s’agenouilla entre eux et, pendant quelques minutes, alla goulûment d’une bitte à l’autre avec sa bouche grande ouverte, les pompant alternativement, tandis qu’à chaque fois, la main libre flattait les couilles ou coulissait sur les tiges. Les deux mecs avaient l’air d’apprécier, ils caressaient ses cheveux, ondulaient du bas ventre. La bitte non sucée se baladait dans la chevelure, sur les joues ou sur les seins de ma femme.
Ce traitement dut porter ses fruits car ils empoignèrent ma femme la faisant se relever. A tour de rôle, ils lui roulèrent des patins d’enfer, langue dardée, tout en la paluchant de toutes parts -chatte, bas, fesses, seins- et en frottant leurs queues exacerbées, attisant les appétits de ma femme, qui n’arrivait pas à les conserver dans ses menottes.
Ils l’affolaient pour mieux la préparer au prochain assaut.
Le gars Jean-Marc s’installa dans le fauteuil du patron, bien dégagé du bureau au milieu de la pièce et attira ma femme vers lui. Illico presto elle vint le chevaucher et s’enfila d’elle-même sur l’énorme pieu tendu vers le haut. Le patron vint caresser le cul et accompagnait les premières montées et descentes de ma femme, qui se trémoussait sur la bitte qui l’emplissait. Il lui roula une galoche quand elle tourna la tête vers lui, le visage plein d’extase. Sa bitte toujours tendue à l’extrême frottait son dos. Plus longue et plus fine que l’autre, elle faisait le tour du propriétaire, allant d’une fesse à l’autre, pendant que ma femme continuait à monter et descendre sur l’engin épais et noueux de l’autre, qui devait bien la remplir et la combler d’aise.
Alors, le patron et Jean-Marc l’immobilisèrent un moment, stoppant ce va et vient vertical. Le patron vint se placer dans le dos de ma femme, bien dans l’axe de l’autre et dirigea son dard pointu vers ses fesses. Nous ne pouvions plus tout voir car, ce faisant, il nous cachait un peu l’angle de prise de vues sur les fesses de ma femme. Nous comprîmes bien vite qu’ils allaient se la farcir en sandwich. Cela ne traîna pas d’ailleurs car nous vîmes ma femme avoir un sursaut (de douleur? de plaisir ?). La deuxième pine devait s’enfoncer en elle. Peu à peu nous voyions le trio reprendre des mouvements alternatifs. Les deux bittes semblaient coulisser dans les deux trous sans trop de problème car ma femme se trémoussait à un rythme très régulier, la tête dodelinant légèrement, reposée sur l’épaule de Jean-Marc, dont la bitte lui fourrait la chatte. Pendant cinq bonnes minutes, ils la prirent ainsi par les deux trous. Ils changèrent de formation : le patron s’affala sur un fauteuil, tige en l’air, ma femme vint immédiatement s’empaler sur son sexe dur et, tandis qu’il l’attirait vers lui pour mieux palucher ses seins au ras du soutif et lui rouler une galoche profonde langue dardée, le gaillard Jean-Marc approcha son gros gland des fesses blanches de ma femme barrées par les jarretelles noire et s’enfonça dans son cul. Le sandwich frénétique reprit un nouveau rythme, ma femme devait probablement gueuler un peu de plaisir et de douleur mêlée –la bitte de Jean-Marc était grosse et enfoncée dans son cul. Cette chienne se faisait mettre profond par les deux trous !
En silence, la bitte en feu, le cœur battant, je contemplais ce spectacle.
Le final de cet intermède -le fameux entre midi et deux, où statistiquement ça baise beaucoup dans les bureaux et les cocus se comptent à la pelle!- fut de toute beauté. Brutalement, le patron se dégagea de sa chatte; aussitôt le gars Jean-Marc repoussa ma femme en arrière et se leva. Ils l’assirent dans le fauteuil et approchèrent leurs bittes congestionnées près d’elle. Les empoignant solidement, ils n’eurent pas longtemps à se branler en direction de ses seins et de son visage. Presque simultanément, les deux pines crachèrent un foutre épais, qui vint s’écraser sur les joues, sur la bouche entrouverte de ma femme, qui semblait attendre ce dernier hommage crémeux avec délectation. L’arrosage en règle continua, elle eut du sperme dans les cheveux, sur les seins. Elle suça les glands pour en déguster les dernières gouttes, caressa longuement et amoureusement les deux tiges qui venaient de la fourrer, elle flatta les couilles puissantes, se fit galocher longuement par les deux types, qui la » maîtrisaient ” et tout ce petit monde se rajusta pour reprendre le boulot !
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Après cela, je voulus vérifier les » écarts ” coupables de ma femme et une sortie au marché m’en donna l’occasion. Après ça, il y eut les vacances d’été avec un épisode très chaud lors d’un pique-nique ; dans notre ville au marché aux puces ou au marché aux fruits et légumes, notre voyage en Espagne, un après-midi au dancing rétro, etc, etc, partout il se passa plein de choses.
Vous allez découvrir tout ça dans les chapitres suivants mais avant je vais vous finir » l’exploitation ” de cette révélation qui bouleversa enfin notre quotidien, me permit de provoquer des situations nouvelles et géniales et d’ouvrir des perspectives infinies de plaisir.
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