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L’ami de mon père 1

L’ami de mon père 1



Je vais parler un peu de moi, je suis fille unique.
Depuis mon enfance, qui n’est pas si éloignée que ça et bien que les années aient passées, j’ai toujours vu mon père et son ami Julien souvent ensemble.
Inséparables, au moindre prétexte ils se voient et quand l’un des deux a besoin l’autre accourt.
Comme un oncle aimant l’aurait fait avec sa nièce, Julien m’a toujours montré de l’affection, il aimait bien s’amuser et chahuter avec moi.
Pour mes anniversaires ou lors d’autres occasions lui et Marie son épouse n’hésitent pas à me faire des cadeaux.
Même en grandissant je n’ai pas perdu l’habitude d’aller passer un moment chez lui ou avec Marie .
Ils sont toujours contents de me recevoir, n’ayant pas d’enfants c’est sur moi qu’ils reportent leur affection.
Devenue ado je n’ai pas perdu l’habitude de taquiner Julien que je considère comme mon tonton.

Depuis que je suis pubère et que mon corps a changé j’ai remarqué que le regard que les garçons et les hommes portent sur moi n’est plus le même.
Ce n’est plus la gamine turbulente qu’ils voient mais la femme que je deviens.

Arrivent mes premiers flirts, je me cantonne aux baisers.
Si parfois je permets à un garçon de me caresser par dessus les vêtements, je repousse fermement toute main qui tente de s’égarer sous la jupe courte que je porte presque le plus souvent.
Pas plus que je n’autorise les intrusions dans mon corsage ou sous mon maillot.

Un après-midi je suis seule à la maison, Julien sonne à la porte, il vient pour colmater une fuite d’eau dans la salle de bain.
Il connait les lieux, je le laisse y aller et s’occuper de la fuite.
Il faut dire que mon père a deux mains gauches, on peut dire que c’est un intellectuel.
Etant loin d’avoir terminé mes études je vais réviser mes cours.

Quand Julien a terminé la réparation, il m’appelle.
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Il ne se fait pas prier et moins de dix minutes après le tiroir coulisse parfaitement.

Il est accroupi et range ses outils quand j’ai un réflexe idiot.
Comme je le faisais quand j’étais gosse, enthousiaste, je saute sur son dos et passe les bras autour de son cou.
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Il arrive à se relever mais je reste agrippée à lui.
Cherchant à se dégager il arrive à se retourner et à me faire face.
Toujours collés l’un contre l’autre, car je n’ai pas relâchée mon étreinte, mes seins sont écrasés contre sa poitrine et son visage est contre le mien.
Tout à coup je sens quelque chose qui grossit contre mon ventre.
Cela me trouble mais je ne mesure pas les conséquences de mon geste inconscient.

Je n’ai pas le temps de réfléchir ni de reculer, c’est le dérapage et La situation nous échappe.
L’homme est dépassé par le situation et ne reste pas indifférent au corps féminin qui se presse contre le sien.
Le désir d’assouvir ses pulsions sexuelle qu’un mâle peut ressentir en présence d’une femme devient plus forte que la raison.
Les lèvres de Julien sont contre les miennes, sa langue pénètre dans ma bouche et cherche la mienne.
Je ne réfléchis pas et ma langue va à la rencontre de la sienne, elles se mêlent et se battent comme deux chiens dans un long baiser.
Des sensations inconnues envahissent mon ventre.

Je ne réagis pas quand une main soulève ma jupe, se glisse dans ma culotte puis caresse mon sexe pratiquement imberbe.
Ma bouche quémande de nouveaux baisers qu’il ne se fait pas prier pour me donner pendant que j’apprécie ce qu’il fait à mon intimité.
Instinctivement j’écarte les jambes quand un doigt me pénètre puis s’active dans ma grotte.
Quelques minutes plus tard le doigt cesse de fouiller ma chatte cesse et c’est un autre endroit de mon sexe que la main de Julien cherche à atteindre.
C’est mon bouton qui est pris pour cible par des doigts qui s’agitent d’abord doucement puis de plus en plus vite amenant des sensations agréables en moi.
Mes bras enserrent le cou de l’homme plus fortement pendant que la caresse de mon clitoris est de plus en plus appuyée.
Le plaisir dans mon ventre augmente et mon cerveau n’est plus capable de me ramener à la raison et de me dire de le repousser.
Que c’est bon ces doigts qui s’activent sur mon clitoris, je n’aurais jamais pensé que ce serait si agréable.
Trop émoustillée je ne pense pas à lui dire d’arrêter et je n’en ai pas envie, lui ne le fera pas non plus car ses envies sexuelles ont pris le dessus.
Je dois dire que prise dans l’engrenage et bien troublée je suis incapable de résister.

Je me retrouve allongée sur mon lit, jupe retroussée et les jambes écartées, Julien est sur moi.
Pendant qu’il m’embrasse et que je réponds avec fougue à ses baisers ses mains s’activent.

Il soulève mon maillot et déplace mon soutien-gorge.
Je ne suis pas dans mon état normal, sinon je n’aurais pas laissé ma poitrine à sa vue. Il est bien le premier à la voir.
Il caresse tour à tour mes seins avec une main.
Sa bouche s’occupe des tétons qu’elle lèche, suce et aspire comme si il voulait en faire sortir du lait, il finit par les mordiller.
Cela dure un moment, j’apprécie ce que Julien me fait et mes tétons sont maintenant érigés et gonflés.

Il prend une de mes mains et la plaque contre son sexe, je la retire vivement comme-ci une vipère m’avait piquée.
Sans que je m’en rende compte il avait sorti sa queue de son pantalon.
Il reprend ma main et la pose de nouveau sur son membre très gros et raide.
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Timidement et maladroitement je fais ce qu’il demande ce qui rapidement ne lui suffit pas.
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Je consens à faire ce qu’il me dit et malgré ma réticence je prends la verge à pleine main.
Pendant que ma main fait des aller-retour sur le membre il me donne des conseils.
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Il n’a pas cessé de doigter ma chatte qui est bien humide ou de maltraiter mon clitoris, je commence à gémir et mes fesses bougent sur le lit.

Je ne dis rien quand il essaie de retirer ma culotte, au contraire je soulève mes fesses et le sous-vêtement glisse le long de mes jambes avant qu’il abandonne sur le lit.
Julien est sur moi et sa queue bute contre mon sexe.
Avec une main il la positionne pendant qu’instinctivement j’écarte un peu plus les jambes.
Il introduit son pénis dans mon intimité puis le fait pénétrer en s’aidant du poids de son corps.
Le gros membre s’enfonce en repoussant les chairs qui n’est pas suffisamment dilatée pour le recevoir.
Puis je ressens une douleur dans mon ventre, je serre les dents pour ne pas crier.
Je me dis que si c’est ça un rapport sexuel, il vaut mieux ne pas en avoir pour éviter d’avoir mal mais je n’ose rien dire.

La verge coulisse maintenant dans ma grotte et y fait des aller et retour.
La douleur a vite cessée et maintenant ce que je ressens est agréable.
Le membre se déplace maintenant plus librement, il a fait sa place dans mon ventre.
Je suis surprise quand, quelques minutes plus tard, je sens la queue grossir encore puis tressauter dans ma chatte, des jets de liquide frappent contre les parois de mon vagin et l’inondent.
Julien se retire et s’essuie en se servant de ma culotte.
Il remarque la présence de sang.
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Je n’ose pas bouger ne sachant pas trop comment me comporter avec ce qu’il a laissé dans mon ventre.
Il va chercher une serviette, je m’essuie puis je la mets sous mes fesses.

Je jette un regard entre ses cuisses, il est toujours en érection.
De nouveau il s’approche de moi.
Il m’embrasse, je passe mes bras autour de son cou et me colle contre lui.
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J’ai goûté à la queue et je ne peux pas revenir en arrière alors pourquoi ne pas en profiter maintenant.
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Je ne pensais pas qu’après avoir éjaculé il voudrait recommencer mais son excitation et ses envies le rendent toujours inconscient de la situation anormale: il fait l’amour avec la fille de son ami.
Ses envies étant toujours là, je me frotte contre lui et je n’ai pas besoin de beaucoup insister pour le convaincre de continuer.

Il me déshabille, je me laisse faire.
Mon maillot, mon soutien gorge puis ma jupe se retrouvent sur le sol.
Il examine mon corps juvénile, n’ayant pas l’habitude de me montrer nue devant quelqu’un je suis gênée par son regard mais je ne dis rien.
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De nouveau sa bouche et sa langue se promènent sur mes seins.
Il me caresse longuement en commençant par la poitrine, sa main descend sur mon ventre avant d’arriver sur mon entre-jambes.
Ses doigts sont sur mon clitoris qu’ils masturbent sans douceur.
Sa bouche, quand il ne m’embrasse pas, est sur mes seins ou agace mes tétons.
Les sensations montent dans mon ventre.
Julien ne semble pas avoir envie de laisser mon clitoris tranquille et le plaisir que je ressens devient fort.
Je serre les dents pour ne pas m’exprimer bruyamment mais c’est peine perdue je gémis et mon corps bouge à la grande satisfaction de l’homme qui sourit en me regardant.
Plus il voit mon visage se décomposer sous la torture plus il me masturbe violemment.
Une chose que je n’attendais pas arrive, ce qu’il me fait devient insupportable.
Mon corps se soulève et je suis prise de spasmes, des jets de cyprine s’échappent de mon vagin pendant que je râle.

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