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Le cocu (chapitre 5)

Le cocu  (chapitre 5)



Après avoir visionné cette vidéo, j’étais à la fois jaloux et excité. Jaloux car ma femme prenait un plaisir évident à baiser avec ce gars, jaloux car elle se donnait à lui sans retenue, ne lui refusant rien et se comportant en vraie salope, et excité parce que je la trouvais belle face à la camera. Je crois que jaurais voulu être dans la chambre avec eux à ce moment là !!!
J’allais retrouvé ma femme qui était couchée, et regardait la télé.
–  » Alors … le film t’a plu » me fit elle avec un sourire narquois.
–  » Oui et non …. pourquoi n’ai-je pas le droit de faire comme lui? »
–  » Que veux tu dire …. »
–  » Ne te moque pas de moi …. il te sodomise à chaque fois, et en plus tu le suce juste après….. comment peux tu sucer cette bite qui sort tout juste de ton cul? « 
–  » Je te l’ai déjà dit, avec lui ce n’est que pour le sexe, il n’y a pas d’amour, alors je me lache complètement, et c’est pour cela que tu me vois ainsi. »
–  » Et cela serait trop difficile pour toi, de te lâcher avec moi, comme tu le fais avec lui ? Ne serait ce qu’une fois? Cela m’a vraiment excité de te voir ainsi…. « 
J’espérais bien en disant cela, que ma femme m’offrirait un traitement de faveur, mais la seule chose que j’ai reçu, cest une fin de non-recevoir !!! Déçu et frustré, je repartais au salon me taper un bon whisky et me branler en regardant de nouveau ma femme se faire sauter.
Quinze jours de plus sont passés, et ma femme m’a donné un nouveau dvd. Comme la dernière fois, elle m’a dit, moqueuse, que je devrais aimer, et elle est partie se coucher.
Cette fois ci, je n’ai pas hésité une seule seconde. Je fût surpris moi-même par l’excitation provoquée à l’idée de voir ma femme se faire baiser par son amant.
Cette fois ci, la vidéo commençait par la vision de ma femme allongée sur un transat au bord de la piscine, seulement vêtue d’un bas de maillot de bain, les seins à l’air. Elle avait son tout petit string rouge et bronzait lascivement étendue. Ce qui me gênais un peu, c’est que cela se passait chez nous, dans notre jardin au bord de notre piscine, et que notre voisin aurait pu la voir.
Son amant s’approchait d’elle tout en la filmant, posait la caméra sur la table basse en prenant bien soin de centrer ma femme, et immédiatement commençait à l’embrasser, la peloter, lui sucer les seins et lui passer la main sur son entrejambe. Ma femme semblait apprécier cette entrée en matière pour le moins directe, car elle se mit à gémir instantanément. A peine quelques minutes plus tard, il glissait entre les cuisses de ma femme, écartant le petit triangle de tissus, et le voici en train de lécher la chatte de ma femme. Il faisait cela avec beaucoup de soin, ma femme se tordait de plaisir, gémissant bruyamment, les mains crispées sur les accoudoirs. Ce cunni dura de longues minutes pendant lesquelles ma femme eut au moins 2 orgasmes très rapprochés. Puis l’homme se redressa, s’approcha du visage de ma femme, ouvrit lui-même son pantalon et sortit son sexe déjà gonflé et dur pour le fourrer dans la bouche de Maryse sans plus attendre. Celle ci se mit à le lécher longuement avant de le prendre en bouche et de le sucer jusqu’à ce qu’il explose en elle, lui remplissant la bouche de son foutre. Cette imge m’excita, et je me surprit à bander.
Dans la scène suivante, ils étaient tous les 2 dans la piscine, ma femme faisant face à la caméra, accrochée au rebord de la piscine, tandis que lui derrière elle, se préparait à la pénétrer. J’eus droit de nouveau à l’expression de bonheur sur le visage de ma femme, lorsque celui ci enfila sa grosse bite dans son vagin, normalement étroit !!!
Il poussa le vice, à disposer sous l’eau une caméra de sport, afin que je ne rate rien de leurs ébats aquatiques. Il varia également les positions, retournant ma femme pour la prendre debout, le dos contre la paroi, puis revenant à la levrette afin que je puisse la voir jouir sous ses coups de boutoir, avant que lui-même ne jouisse à son tour.
Après cela, ils sortirent tous les 2 de l’eau, et allèrent s’allonger entièrement nus sur les transats. Ils ne restèrent pas inactifs très longtemps. Il avait commencé à passer de la crème solaire sur le dos de ma femme, pétrissant ses fesses sans retenue, les écartant de ses doigts afin de bien voir son petit trou qu’il se mit à lécher. Ma femme visiblement appréciait cette caresse buccale, car elle se cambrait de plaisir, et ne tarda pas à jouir sous les coups de langue de son amant. C’est à ce moment là, que je l’entendis très clairement lui dire :
–  » Vas y …. prend moi comme ça …. maintenant …. je te veux là dans mon cul « .
Je n’étais pas habitué à un langage aussi cru dans la bouche de ma femme,qui plus est pour demander à un étalon de l’enculer. Entendre ma femme prononcer ces mots, renforca mon excitation, et mon érection en devenait douloureuse, au point que je dût me masturber pour me soulager.
Evidement, lui ne se fît pas prier, et approcha son énorme pieu de l’anus de Maryse qu’il embrocha sans difficulté. Il s’enfonça lentement jusqu’aux couilles, et commença un pilonage en règle du cul de ma femme qui criait de plaisir. Au bout de quelques minutes de ce traitement, il lâcha sa charge dans les entrailles de mon épouse, et lorsqu’il se retira, il filma à mon intention, sa semence s’écoulant de cet anus laissé béant et dégoulinant sur la vulve dans laquelle il enfonça sa bite encore bien raide. Il se remit à limer ma femme qui eût encore un orgasme très vocal.
Quelques minutes après, ils changeaient une nouvelle fois de position, et Maryse venait le chevaucher. Je la voyais s’empaler sur ce chibre, descendre lentement le long de cette tige qui disparaissait petit à petit dans l’intimité de ma femme. Elle se mit alors à monter et descendre, rythmant la pénétration selon son envie, et ne tarda pas à jouir de nouveau, en hurlant son plaisir sans retenue. J’étais moi-même tellement excité que je ne pus me retenir plus longtemps d’éjaculer.
Il ne lui laissa pas de le temps de se remettre, et se releva tout en la soulevant comme une simple plume sans que son sexe ne quitta le fourreau que representait le vagin de Maryse. Celle ci était accrochée à lui, les bras autour de son cou et les jambes nouées autour de la taille de son amant. Celui ci, les mains sous les fesses de ma femme, la faisait aller et venir sur toute la longueur de sa tige. Ma femme subissait ce nouvel assault en gémissant deplaisir, et en s’extasiant sur la virilité de son amant. Celui ci, tel un fauve en rut, ahanait bruyamment. L’excitation, surement trop forte pour lui, il reposa ma femme par terre, l’attira contre la table de jardin, la retourna et la pénétra brutalement par-derrière. Accroché à ses hanches, il pilona ainsi comme un forcené la chatte de ma femme qui hurlait maintenant à la fois de plaisir et de douleur tout en saccrochant au bords de la table. Il y mettait une telle energie, que par moment, Maryse avait du mal à se maintenir sur ses 2 jambes, et décollait du sol sous la v******e des coups de reins de son amant. Sentant son orgasme monter inéluctablement, il saisit ma femme par les cheveux, la força à s’agenouiller et lui crachat sa charge sur le visage. Le premier jet de foutre atterrit sur le nez et les yeux, le second sur la bouche et dans le cou, et les suivants tombèrent sur sa poitrine. Sans lacher les cheveux de ma femme, il se fît sucer en cherchant à enfoncer le plus loin possible son engin dans sa gorge.
Je pensais que la vidéo se terminait sur cette scène, mais il ajouta un commentaire à mon intention, comme pour m’humilier davantage. Il se permit de dire qu’il souhaitait que ce film me plaise parce que lui avait eu énormément de plaisir à le tourner et il s’excusait pour le sperme qu’il avait lâché dans la piscine. Ce salaud n’avait vraiment aucune gêne.

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