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Le Domaine d’Infern’O (8)

Le Domaine d’Infern’O (8)



Message à celles et ceux qui me lisent : ce serait sympa de me donner votre avis en commentaires.

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Deuxième jour de soumission.

Après une longue et épuisante soirée dans le grand salon , j’ai dormi comme un bébé.

A 7H00, mon Maître est venu me réveiller , il s’est glissé nu dans qu’après lmon lit et m’a fait l’amour avec une tendresse constrastant singulièrement avec les fois précédentes.

Puis, après ma toilette, il m’a expliqué le petit déjeuner il avait planifié une visite de l’entièreté du Domaine , avec mon photographe, pendant laquelle je pourrai rompre l’obligation de silence pour poser toutes mes questions afin de poursuivre mon reportage.

Après le petit dejeuner pris dans la grande salle, il me conduit pour commencer au bureau du Directeur du Domaine.

Une secrétaire , vêtue d’un corset seins nus , nous introduit dans le bureau.

La pièce est très grande et luxueuse.

De chaque côté de son bureau deux soumises sont disposées en position de levrette, offrant au Directeur une vue imprenable sur leurs fessiers.

Devant le bureau trois fauteuils , dont un muni d’un double god.

Il nous fait signe de nous asseoir … je devine quel siège m’est réservé.

J’y prend place, non sans difficulté , plaçant le plus grand god dans mon vagin et le plus petit dans mon anus.

Dès que je suis en place, le Directeur tourne un bouton sur son bureau et les gods se mettent à vibrer doucement.

Comme si de rien n’était il me demande si mon séjour se passe bien.

Je lui répond que oui.

Avez vous des questions, je suis à votre disposition.

Pour commencer je lui demande combien il y a de pensionnaires en ce moment au Domaine.

Il consulte son ordinateur et me répond.

Nous avons 62 Stagiaires et 345 esclaves dont 180 sont réservées à la production.

Mais aujourd’hui nous attendons un arrivage de 10 Stagiaires supplémentaires.

A la production , que voulez-vous dire ?

Ah on ne vous a pas encore expliqué ?

Nous avons ici une unité de production laitière.

Une production laitière ? Vous élevez des vaches ?

Oui .. mais les vaches sont ..les esclaves… nous produisons du lait humain qui est ensuite revendu à des industries cosmétiques qui le transforme en produits de beauté, ce qui nous permet de financer le domaine, en plus bien sûr des recettes provenant de notre secteur hôtelier.

Mais vous aurez l’occasion de voir tout cela dans votre visite tout à l’heure.

Une autre question ?

Oui, comment recrutez vous vos esclaves ?

Nous avons deux sources d’approvisionnement;

La première est celle des Stagiaires , qui à la fin de leur stage de 6 mois ont le choix , soit de nous quitter, soit de rempiler pour 6 mois supplémentaire, soit d’entrer en esclavage.

La seconde est l’achat sur des marchés spécialisés.

Très bien répondis-je en grimaçant car les vibrations en moi commençait à m’exciter de plus en plus et je me tortillait sur mon fauteuil.

A ce moment le Directeur se lève et s’approche de moi. Il me soupèse les seins et sort son sexe érigé.

Voyons ce que vous avez déjà appris me dit il en le présentant à ma bouche.

Je m’applique alors à le sucer du mieux que je peux.

Pendant ce temps mon Maître se lève aussi et sors également son sexe pour aller prendre une des deux filles.

Malgré mes efforts; le Directeur ne semble pas satisfait de mes prestations. Il me lance: « pas terrible la fellation profonde », il faudra vous améliorer et en s’adressant à mon Maître :

Je vous conseille de lui faire suivre notre programme intensif dès que possible.

Le Directeur se retire alors de ma bouche et appuie sur le bouton d’un interphone placé sur son bouton.

Quelques instants après, une esclave pénètre dans la pièce et se place à genoux devant le Directeur et se met aussitôt en devoir de le sucer profondément sur un simple geste du Directeur.

Voyez à quoi vous devez arriver me dit-il.

Après cette démo, il m’ordonne de me mettre en levrette et s’enfonce dans mon sexe.

Vous êtes bien mouillée, empalez vous en contractant votre sexe, je reste immobile à vous de bouger et de me montrer vos talents.

Après quelques minutes, il déclare .. hum pas terrible non plus , voyons avec votre autre orifice, allez procédez au même exercice.

Je m’applique autant que je peux.

Après une dizaine de minutes il se retire et me donne son verdict ..

Vous avez encore de gros progrès à faire…

Ma cotation sera de 2/10 pour la fellation et de 3/10 pour la saillie et la sodomie …

Aie, si je ne remonte pas ma cote, je suis bonne pour une punition ce soir.

Le Directeur nous propose alors de rester dans son bureau car il va recevoir une Stagiaire en fin de stage, qui a précisément opté pour sa mise en esclavage.

Je vous invite à prendre place dans le fond du bureau pendant que je règle les formalités.

Il appelle alors sa secrétaire qui fait entrer une Stagiaire d’une vingtaine d’année, elle est grande, brune et très belle avec une poitrine assez généreuse.

Le Directeur la prie de prendre place sur le même siège que j’occupais tout à l’heure.

Avec beaucoup d’aisance, manifestement elle a l’habitude, elle s’empale sur le double god.

La secrétaire lui tend un contrat et un stylo, et la prie de relire son contrat de mise en esclavage avec option pour l’unité de production laitière.

Si vous n’avez pas changé d’avis, veuillez signer avec la mention « lu et approuvé ».

Après une lecture rapide, la jeune soumise signe sans hésitation.

Voilà , très bien, lui dit le Directeur, vous avez fait un bon choix.

Maintenant quittez votre robe, désormais le port du moindre vêtement vous sera interdit, à l’exception d’une cape pour les jours froids , et uniquement pour les transferts à l’extérieur.

La désormais jeune esclave s’exécute.

On nous invite alors à passer à sa suite dans un local non loin du bureau où l’on va procéder aux opérations de mise en esclavage.

Dans cette pièces se trouve un docteur, deux assistantes et divers appareillages.

On ordonne à l’esclave de se placer dans un fauteuil gynécologique et on entrave ses bras et ses jambes.

A l’aide d’un produit spécial, on efface son tatouage provisoire et ensuite on amène un appareil au laser pour procéder à l’épilation définitiver de son pubis. L’opéaration ne dure que quelques minutes.

Le Docteur lui explique qu’on va mainteant lui tatouer son no définitif , à neuf chiffres, ainsi qu’un code barre correspondant à son enregistrement au registre international des esclaves.

( pour plus de renseignements sur ce registre voir: )

On approche l’appareil de tatouage électronique que l’on place an haut de son pubis.

En quelques secondes le tatouage est en place. L’opération semble douloureuse, mais heureusement rapide.

Le Docteur approche alors une seringue de son sein gauche.

Je vais vous faire votre première injection d’un produit mis au point dans nos laboratoire qui va déclencher un accroissement naturel de votre poitrine et provoquer une lactation permanente.

Dans 24 heures vous en ressentirez déjà les effets et nous pourrons commencer la première traite.

Après l’injection, on détache l’esclave et on lui enlèves son collier et ses bracelets de poignet et de cheville pour les remplacer par des fers plus massifs dit « définitifs » qui sont cellé une fois en place.

On relie alors les anneaux de poignet et de chevilles par de lourdes chaîne complété par une chaîne au cou.

Voilà, vous êtes prête, déclare le Docteur.

Maintenant placez vous en levrette. Comme le veux la tradition de notre établissement, je vais vous prendre par vos trois orifices.

Il écarte alors sa blouse, révèlant un sexe vraiment énorme et commence par une fellation. Il s’adresse alors aux hommes présents et leur dit: .. Messieurs je vous invite aussi à en profiter.

Mon photographe ne se fait pas prier et le sexe raidit par l’excitation , investit son anus.

Pendant ce temps, mon Maître me penche en avant et m’investit également, tandis que le Directeur reprend le chemin de ma bouche.

Après ces ébats, on nous invite à suivre l’esclave aux quartiers de la laiterie.

Ce quartier se compose de deux bâtiments , l’un sert de résidence pour les esclaves, l’autre sert à la production.

Nous pénétrons dans la résidence , de part et d’autre d’un long couloir , des dizaines de cellules servent de dortoir , des esclaves, entravées sur leur couche s’y reposent.

Au milieu s’affairent des hommes, vêtu d’une veste de cuir et d’un pantalon ouvert sur leur sexe, pour l’essentiel il s’agit de noirs, ce sont les cowboys. Deux d’entre eux sont en train de former un convoi composé de cinq esclaves reliées par une chaîne.

Puis à coup de fouet ils font avancer ce convoi vers la salle de traite.

Les esclaves ont des mamelles lourdes et gonflées de lait. On nous explique qu’elles sont à point pour la traite.

Celle-ci va durer environ deux heures. Puis les esclaves ont une pause de six heures consacrée au repos ou à diverses activités, ensuite il faut à nouveau les traire.

On nous invite à suivre ce groupe. Nous pénétrons dans la salle de traite, où sont aligné des dizaines de box.

Dans les box les esclaves sont disposées attachées sur un dispositif qui les maintien penchée debout, d’un côté elle offrent leur croupe, de l’autre leur bouche maintenue ouverte. Une trayeuse s’active sur leurs mamelons.

La salle est remplie du bruit de succion des trayeuses et du gémissement des eslaves, dont certaines se font saillir par des clients ou des cowboys. ( moyennant un supplément les clients du Domaine ont un libre accès à la salle de traite pour user à leur guise des esclaves)

Pour les besoins de mon reportage mon Maître me propose de me mettre dans un box.

Même si vous n’avez pas de lait , vous pourrez ainsi mieux vous rendre compte de l’effet produit.

Sur ce il fait signe à un cowboy de me déshabiller et de me disposer sur une machine.

On dispose la trayeuse sur mes seins et la succion commence aussitôt. Ayant les seins sensibles, je suis rapidement excitée par la succion de mes mamelons et je sens mon sexe se mouiller abondament.

Je sens alors un énorme sexe rentrer en moi , c’est un des cowboys qui a pris l’initiative. Mon Maître laisse faire et présente mon sexe dans ma bouche maintenue grande ouverte par un anneau.

Cette soumission extrême m’excite énormément et je comprends tout à coup pourquoi des femmes font ce choix à la fin de leur stage.

Tout en profitant de ma bouche comme d’un sexe ouvert mon Maître me déclare alors;

Je vois que cela te plaît. Je vais ordonner qu’on te fasse un traitement pour accroître le volume de tes seins et provoquer la lactation, juste pendant quelques jours. Tu pourras ainsi expérimenter la condition d’esclave laitière, ce sera bien pour ton reportage. Ensuite nous reprendrons ton apprentissage de stagiaire.

Mon Maître donne alors des ordres pour qu’on aille chercher le médecin.

Peu de temps après celui-ci arrive, une seringue à la main. On me retire la trayeuse et il procède à l’injection.

Ensuite, on me libère et on me rend ma robe.

Mon Maître y fixe une laisse , et avec mon photographe, nous quittons le quartier de la laiterie pour poursuivre notre visite du domaine.

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