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Le motel des soupirs – final

Le motel des soupirs – final



La belle endormie

Je lécher, sucer, mordiller la vulve qui m’était offerte du mieux que je le pouvais car à genoux avec les mains dans le dos je devais forcer en même temps pour garder mon équilibre. Jouer à ce jeu de maître/esclave avec Mélany me procurait des sensations extrêmes, incroyables. Me sentir son jouet docile et obéissant était excitant au possible. Une autre première pour moi ce jeu entre filles après celui de la fessé. En tout cas, a voir grimacer Mélany, debout, dos au mur les yeux retourner ver le miroir au plafond, se masturbant de la main droite, se caressant la poitrine de la gauche, elle semblait vraiment apprécier mes jeux de langue et de bouche.

En levant moi aussi les yeux, j’apercevais ses doigts aux ongles couverts de vernis noir qui s’agitait dans sa toison fournie, mais également, je me voyais lui manger le sexe par le grand miroir du plafond de la chambre du motel. Un miroir sans teins comme dans toutes les chambres et derrière lesquelles, au grenier, il y avait des caméras avec lesquelles l’ancien propriétaire filmait en douce les ébats sexuels de ses clients. Des danseuses nues apparemment qui se prostituait ici du vivant de ce mystérieux oncle qui m’avait légué ce motel a sa mort. Un oncle dont je ne connaissais rien. Mais là-haut sous les combles, il s’était installé un petit nid de voyeur des plus complet. Caméra, écran géant et il enregistrait tout ce qui lui plaisait.

Me voir nue léchant une vulve était des plus grisant : j’apercevais mon dos cambré, mes fesses rebondit et mes gros seins qui remuaient au moindre de mes mouvements. La bouche remplie de liquide vaginal j’agitais la langue sur le clitoris dur de Mélany en sentant toujours mes joues me brûler à cause des gifles qu’elle m’avait données plutôt en me traitant d’esclave et même de sorcière. J’avais eu peu d’expérience avec d’autres femmes et je les avais appréciées mais celle-là, avec elle, qui n’avait que 22 ans, dépassait toutes mes attentes. On était même tomber amoureuse l’une de l’autre, encore une première pour moi et pour elle également. Jamais je n’aurais cru qu’un jour je tomberais amoureuse d’une autre fille et ça me plaisait terriblement. Tout comme ce jeu où je me faisais appeler Juliette, l’esclave docile.

— Ah oui esclave, c’est bon, continue. Soupira Mélany d’une voix de gamine et en pâmoison. Ouffff ! C’est génial. Continue, suce moi le clito c’est trop bon. Je vais jouir…

Tout en refermant les lèvres sur son petit bouton rose bander dur j’aurais tout donné pour pouvoir retirer mes mains de mon dos pour la toucher, la caresser et surtout me masturber mais, j’obéissais a ses ordres sans rechigner. J’agitai le bout de ma langue sur son clitoris et soudain elle joui en emprisonnant ma tête entre ses cuisses puissantes. Je rester la, la bouche plaquer sur son sexe, le nez chatouiller par sa toison a la sentir frémir et a l’entendre se lamenter. Cette fois, je ne pus m’empêcher de ramener mes mains sur mon sexe pour me masturber violemment en me passant un doigt dans le vagin détremper. Je n’en pouvais plus. Je jouis vite et fort, un orgasme libérateur qui me laissa pantelante et a bout de souffle moi aussi. Puis je la sentis se détendre et l’étau de ses cuisses se desserra.

— Stop… Murmurai-je épuiser en m’assoyant sur mes mollets pour me frotter les joues d’une main et le sexe de l’autre.

Stop, était notre mot de passe pour arrêter le jeu. Mélany me regardait avec un air béa, les yeux vitreux, apparemment rassasier de sexe pour le moment.

— C’est à mon tour d’être ton esclave Luce. Dit-elle tout bas en reprenant son souffle.
— OK ! Mais demain, la, je suis épuisé ma belle.
— Ouf ! Fit-elle en se frottant le pubis. Faut que j’aille au petit coin.

Je verser ce qui restait de vin dans nos verres, caler le mien et aller m’étendre pour l’attendre en me sentant alanguie, si bien, libérer de mes pulsions. Je fermer les yeux un instant en me caressant les seins d’une main, l’autre glissant dans ma toison pubienne et…

C’est un claquement de portière de voiture qui m’éveilla. Je me rendis compte que c’était le matin, il faisait soleil et elle était encore étendue sur moi. J’entendis cogner à la porte avant du motel. Je repousser doucement Mélany qui ne s’éveilla même pas, elle roula sur le dos sans arrêter de ronfler, je me lever doucement et aller jeter un coup d’oeil discret par la fenêtre me cachant derrière les rideaux. Je vis le jeune serveur blond de la veille, celui que Mélany avait invité mais qui c’était amener avec des copains et trop saoul pour faire quoi que ce soit avec nous. J’avais dû les retourner furieuse, les menaçant même d’appeler la police. Il tenait un plateau avec des gobelets de café et une broîte, sans doute pour ce faire pardonner avec l’espoir de nous baiser. Juste a penser a ça bite j’en eu l’eau a la bouche mais pas autant qu’en pensant a un bon café chaud. Il frappa une dernière fois et je crue qu’il allait repartir mais non. Il longea le motel pour aller frapper à la porte de la cuisine, a l’arrière.

J’enfiler ma jupe en quatrièmes vitesses et seulement la camisole que Mélany m’avait prêtée et partit comme ça, pieds nus, avec mes gros seins libres qui se baladaient joyeusement, histoire de lui faire voir ce qu’il avait manqué la veille. Ce serait sa punition. En plus la camisole était très échancrée aux aisselles, la chair blanche de ma poitrine en débordait.

Quand j’ouvris la porte de la cuisine et qu’il me vit, en camisole, sans soutien-gorge, avec mes mamelons qui commençaient à pointer, il figea sans pouvoir s’empêcher de baisser les yeux pour les remonter rapidement. Pauvre gars, il faisait pitié à voir tellement il avait l’air malheureux. Moi je rougissais, embarrasser a présent de me montrer comme ça, c’était tellement pas moi.

— Eh ! Fit-il dans l’embarras lui aussi. Je suis vraiment désolé madame pour hier. Je m’excuse. Je.. Je vous ai apporté du café et des croissants.
— Merci ! Dis-je simplement en prenant le plateau. Ce n’était vraiment pas brillant de te ramener avec tes amis et saouls morts en plus.
— Je sais, je m’excuse encore. On a pris quelques bières après le travail et… Ça quelque peut dé****r.
— Ça va, je comprends, c’est de ton âge. Bonne journée !

Il me regarda visiblement déçut que je ne l’invite pas a entrée. Il était si mignon que je faillis le faire tout de même, mais je réussis à résister à l’envie de lui sauter dessus en repensant à hier. Puis je l’entendis dire :

— Bonne journée madame.

Je ne pus m’empêcher de fixer son beau cul bien mouler dans le jean tandis qu’il repartait. Je dus déglutir tellement je ressentais une envie forte de le sentir étendu sur moi, s’agitant entre mes cuisses. Mais pas maintenant, je me sentais sale et pas assez réveiller et il avait besoin d’être mis au pas le jeune. Mais je savais a quelle point Mélany, elle aussi, avait envie de lui, alors je crier en passant la tête par la porte :

— Revient plus tard si tu veux mais seul. Compris ? Et ramène du café !

Un large sourire s’épanouit sur son doux visage.

— Oui madame. Fit-il avant de disparaître.
— Oh ! Attends !

Il revint curieux en priant sans doute pour que je le laisse entré.

— Y as pas d’eau au motel, tu ne sais pas pourquoi par hasard ?
— Non, mais je vais me renseigner au village.
— D’accord, merci !
— De rien madame.

Je souris une fois seul en m’assoyant sur le pas de la porte au soleil, les pieds chatouiller par la pierraille du stationnement, pour ouvrir un café et la broîte qui contenant des croissants. Le liquide chaud me fit du bien et je m’enfiler deux croissants au chocolat tellement j’étais affamé. Me faire appeler madame par une jeune qui voulait me baiser avec Mélany me faisait tout drôle. En fait, ça me fit plus sentir de poids de ma cinquantaine qui approchait à grands pas. La tête lever vers le soleil qui me chauffait les joues je savourais ce moment en sentant ma poitrine écraser sur mes cuisses. Je souris a nouveau en me disant que le jeune allait surement se passer un coup de poignets en repensant a mes seins ou a ce qui allait se passer quand il reviendrait. Mélany lui avait fait à croire que nous étions mères et fille. Rien de mieux pour exciter un gars, surtout un jeune dans la vingtaine et surtout avec les poitrines que nous avions elle et moi. Assise comme je l’étais sur le pas de la porte, le cul plus bas que les genoux, ma jupe était complètement relevée et mon sexe prenait le soleil. Ici, personne ne pouvait me voir, jamais je n’aurais pu faire ça en ville. Vive la campagne ! Je savourais mon café en écoutant la rivière qui s’écoulait au fond du canyon juste à fond de la cour et des corbeaux sans doute dans la forêt de l’autre côté de la rivière.

Mélany arriva quelques minutes plus tard, les cheveux en bataille, encore toute endormie avec juste un long t-shirt sur le dos, ses gros seins si fermes sursautant à peine. Des quelle vit les cafés et la bouffe ses yeux s’arrondirent d’envie en se servant. Je dus me tasser en fermant les cuisses pour qu’elle s’assoie près de moi en reluquant ses petits mamelons qui se dressaient tout doucement.

— J’ai entendu une voiture. Tu t’es fait livrer à déjeuner du village ? Hummm ! Délicieux le café.
— C’était ton beau blond de serveur. Il nous a amené ça pour se faire pardonner pour hier. Il avait l’air très malheureux le pauvre.
— J’imagine, surtout si tu la reçus comme ça, sans brassière, la plote a l’air en plus. Il devait en saliver tout en se disant qu’il avait du manquer l’occasion de sa vie avec nous deux.
— Ça c’est sûr. Répondis-je amuser en la laissant imaginer que j’avais reçu le garçon assise comme ça.
— Et tu la laisser repartir. Luce, ce n’est pas cool !
— WAIS ! Ce n’est pas cool ! Je dois être jalouse ?
— Hum ! Fit-elle la bouche pleine. Complètement jalouse.
— T’inquiète pas ! Je lui ai demandé de revenir aujourd’hui. J’empeste la sueur et toi aussi. On est dû pour une autre douche à 10 dollars au camping.
— Cool !
— Ne mange pas si vite tu vas t’étouffer.
— Tu me feras le bouche-à-bouche Luce pour me ranimer.
— Mange plus vite.

Elle rit et s’étouffa et moi… Je riais comme une folle en lui donnant des claques dans le dos. Dieu que je me sentais heureuse. En amour avec une jeune fille dans la vingtaine, propriétaire d’un motel et il faisait beau et chaud, que demander de plus. Elle finit par avaler, les yeux pleins d’eau et me regarda en disant tout en s’essuyant les yeux.

— Faut que je t’avoue un petit quelque chose. Promets-moi de ne pas te fâcher.
— Avoue et je verrai. Tu me stresses un peu là. Tu ne songes pas à partir ?
— Non, rassure-toi. Je t’aime trop.
— Ouf ! Et ?
— Bien, hier soir avant de jouer a maître et esclave j’ai… Enfin, je suis monté là-haut et j’ai démarré l’enregistrement de la caméra donnant sur ma chambre.

Je la fixer intensément en réalisant ce quelle venait de m’avouer. Elle fit une drôle de grimace, incertaine de ma réaction. Moi qui suis voyeuse, juste à l’idée de me regarder à la télé baiser avec elle me faisais déjà mouiller.

— Tu mérites une autre bonne fessée ma fille.
— Cool ! Fâché, maman ?
— Non, au contraire, même que… Fis-je songeuse.
— Même que ?
— Quand le beau blond va revenir…
— Oh oui, fit-elle aussitôt sur un ton de conspiratrice en ayant deviné ce à quoi je pensais.
— On finit nos cafés Mélany et on va se doucher au camping, ensuite on se fait bronzé et…

C’est à ce moment que l’on entendit des bruits bizarres provenant du motel et de la maison. Intriguer on tourna la tête toutes les deux vers la cuisine cherchant des yeux d’ou cela pouvait bien provenir quand tout à coup, un jet puissant d’eau brune se mit à couler du robinet d’eau froide de l’évier que j’avais laissé ouvert. On sursauta en criant avant d’éclater de rire…

— Efficace le jeune. Dis-je en riant.
— Comment ça ?
— Je lui ai demandé s’il pouvait régler notre problème d’eau.
— Oh ! Il a vraiment envie de nous baiser, dit Mélany les yeux pétillant. J’ai trop hâte de sucer ça belle queue avec toi, M’man.

L’eau s’éclaircit peut a peut jusqu’a devenir limpide.

— Bon ! Fis-je en allant fermer le robinet, on va pouvoir se laver ici. On va se doucher à l’eau froide ? Par cette chaleur, ça va nous faire du bien.
— Oui maman. Dit-elle en se levant. Tu vas me laver le dos ?
— Non, toi tu vas me laver le dos. C’est à ton tour je te rappelle d’être mon esclave. Mais avant, monte là-haut démarrer la caméra au-dessus de la douche, tant qu’à se faire des petits films maison.
— Oh ! Bonne idée Luce. Fit-elle toute enjouée en filant café en main.

L’eau était si froide que l’on resta que quelques minutes sous le jet pour en sortir en grelottant et claquant des dents en riant comme des folles, les mamelons tendus au possible. On s’enroula dans nos serviettes pour monter au grenier dans l’antre du voyeur. Là-haut il faisait déjà chaud et humide, on se débarrassa des serviettes pour s’installer sur le sofa et regarder sur l’écran plat nos ébats de la veille dans la chambre de Mélany. Tandis qu’elle reculait la vieille cassette VHS avec la télécommande je regardais les dizaines de pin-up que mon mystérieux oncle avait accrochées au mur. Je l’imaginais assit la, sur ce sofa, nu, bander dur, l’écume a la bouche a se branler en regardant les clients du motel baiser, filmer en cachette. Penser à une bitte en érection me fit saliver. Une main sur les épaules de Mélany, l’autre trainant dans ma toison pubienne on commença à visionner nos ébats de la veille en se masturbant lentement. Jamais je n’avais accepté que mes amants ne filment nos ébats, j’avais trop peur que cela se retrouve sur le net. C’était donc une première pour moi et me voir me mettre nu devant Mélany sur le grand écran me fit mouiller instantanément.

C’était vraiment étrange de me voir me faire gifler, me faire traiter en esclave, puis de me regarder manger le sexe de Mélany vue d’en haut filmer au travers du grand miroir sans tain du plafond. Étrange et excitant au point ou à peine quelques minutes plus tard j’ordonner a ma petite esclave de s’agenouiller entre mes cuisses écartées pour me manger le sexe, mes mains traînant dans ces cheveux orange en admirant son beau cul rebondit. Sa langue humide et douce me procura un plaisir si intense que je jouis dès qu’elle s’agita dans ma fente pendant que je me caressais les seins et le pubis en fixant l’écran. Un orgasme vaginal qui me donna de petites crampes en me déformant le visage. Le matin je jouis toujours plus vite.

Tandis que l’orgasme s’évanouissait déjà je l’encourager a continuer en appuyant sur sa tête les yeux river a l’écran.

Le défaut avec cette caméra cachée c’était que la prise de vue ne changeait jamais. J’aurais bien aimé quelques gros plans, tant qu’à faire. Je me mis à gémir doucement tandis qu’elle léchait, suçait et mordillait mes parties sensibles. Au bout d’un moment je remonter les talons sur le sofa pour lui offrir mon petit anus a agacé en plus de mon sexe. Je jouis une nouvelle fois presque instantanément des quelle inséra deux doigts dans ma vulve détremper en poussant sa langue raidit dans mon petit trou. Je ne fis même pas l’effort de retenir mes cris de plaisir. Un plaisir intense qui me fit trembler et avoir des spasmes en me lamentant tout comme Mélany a l’écran. Elle ne stoppa pas pour autant ses caresses, au contraire, et 3 orgasmes plus tard je lui ordonner d’arrêter en reposant mes pieds sur le sol. Je n’en pouvais déjà plus. J’étais à bout de souffle et nous étions en sueur toutes les deux tellement il faisait chaud dans ce maudit grenier. Je me pencher vers elle en enfermant son visage entre mes mains et la frencher longuement goûtant la saveur de mon sexe sur ses lèvres pleines et humides.

— Merci ma belle ! Lui dis-je en la regardant droit dans les yeux tout en repoussant des mèches de cheveux orange derrière ses petites oreilles.

Pour toute réponse elle m’enlaça en plaquant son visage sur mes seins et son ventre contre mon sexe détremper puis se mit à pleurer en me serrant presque à m’étouffer. Je sentis ses larmes couler sur ma poitrine.

— Ben voyons, Mélany, dis-je en lui caressant la tête et le dos cambré. Ça ne va pas ?
— Oui ! Oh oui ! Je… je suis heureuse Luce. Je t”aime tellement.

Je ne pus m’empêcher de rire tandis qu’elle pleurait de plus belle.

— Tu pleures quand tu es heureuse toi ?
— Ne te moque pas de moi. Répondit-elle en reniflant comme une gamine.
— Je n’oserais jamais miss judo. Répondis-je en lui donnant un baiser sur la tête pour ensuite fermer la télé avec la télécommande.
— Ouf ! C’est un vrai four ici, si on allait se baigner à la rivière ? Mais cette fois on amène de la lotion solaire.
— Hum ! Bonne idée.

Deux heures plus tard, toujours enrouler dans nos serviettes, nous étions assis devant le motel sur d’anciennes chaises de camping en aluminium trouver au garage à se faire dorer au soleil. À part quelques oiseaux invisibles qui gazouillaient, le silence était total et pas le moindre souffle de vent. Aucune voiture ne passait sur la vieille route de campagne. Le paradis. La baignade et le bain de soleil nous avaient fait du bien. Mélany finit par ouvrir sa serviette vue que personne ne passait. Elle s’enduit le corps d’huile solaire, même le sexe et en me souriant en plus. Je fis pareil tout en me tenant prête à refermer la serviette rapidement si quelqu’un s’amenait, même le beau blond.

— On passe notre temps à baiser Luce et à se baigner. Ce n’est pas comme ça qu’on va retaper ton motel.
— Non, fis-je amuser en me frottant le sexe et le ventre avec de la lotion, ce n’est pas comme ça.

On se regarda un moment avant d’éclater de rire comme des folles.

Le retour du beau blond

Vers 1 h de l’après-midi j’allai m’étendre dans le lit de la chambre de Mélany pour faire un somme. Il faisait si chaud que je me débarrasser de la serviette pour la jeter par terre pour m’étendre nu sur les draps. Comme j’avais laissé la porte entrouverte pour laisser entrer un peut d’air je l’entendais s’acharner a tondre le gazon sur le côté du motel avec l’une de ses vielles tondeuse a rouleau a l’ancienne. Cette fille là semblait incapable de rester assise à ne rien faire, même par cette chaleur écrasante. Étendu sur le dos, je regardais mon reflet dans le miroir du plafond; mon corps nu et en sueur de petite brunette dans la cinquantaine encore bien conserver, ma poitrine démesurée me recouvrant le torse avec mes petits mamelons bien au centre, ma toison noir ovale se démarquant nettement de ma peau qui s’obstinait a resté blanche. Je soupirer longuement en croisant les jambes et les bras sous ma nuque. Je me sentais si bien, si heureuse d’être ici avec Mélany, en fait, je me considérais chanceuse de l’avoir près de moi tout en me disant que cela ne pouvait pas durer. On finirait par se taper sur les nerfs comme la plupart de couples surtout avec notre différence d’âge. Perdu dans mes pensées je me vis bailler aux corneilles et je fermer les yeux en me retournant sur le flanc, ma position préférer pour m’endormir. Je fini par m’assoupir recroqueviller en position foetale, un bras sur mes gros seins écraser l’un sur l’autre, la tête enfoncer dans l’oreiller…

J’émergé du sommeil en sentant des mains douces me caresser tendrement la poitrine, le ventre, le pubis et les cuisses, même les fesses. Les yeux toujours fermer, encore endormie, je souris en frissonnant malgré la chaleur accablante en me disant que Mélany en avait assez sans doute de tondre le gazon mais… soudain… je réaliser qu’elle avait quatre mains, même plus car on me caressait les fesses et le dos également tout en m’embrassant tendrement la nuque.

J’écarquillai les yeux, croyant rêver et vit le visage de Mélany en gros plan qui me souriait. Elle était nue et à côté d’elle il y avait le beau blond, nu également, et bander dur qui me caressait les seins avec elles. Ils étaient tous les deux à genoux à côté du lit. Mais il y avait quelqu’un d’autre derrière moi. En tournant la tête je vis un autre garçon dans la jeune vingtaine étendue contre moi. Son sexe dur palpitait entre mes fesses pendant qu’il me caressait et me léchait le haut du dos, les épaules et la nuque me faisant frissonner encore plus. J’ouvris la bouche pour dire quelque chose mais Mélany posa un doigt sur mes lèvres en me disant a l’oreille :

— Bien dormit maman ? Laisse toi faire on va s’occuper de toi. Ne dis pas un mot, garde les yeux fermer et fais semblant de dormir. Ça excite les gars au maximum de voir une jolie femme aux formes si généreuse qui joue à la belle endormie et moi aussi. François, le beau blond à emmener son ami Frédéric. Allez, ferme les yeux… ma belle maman aux grosses boules, on va profiter de ton corps en te procurant du plaisir et… Dieu nous observe, me dit-elle dans le creux de l’oreille.

Je le fis déjà troubler et terriblement exciter par toutes ses mains qui me pelotaient partout en même temps. Mais je ressentais une telle envie de regarder les bittes des garçons et leur corps jeune et de les toucher, que je me sentais un peu frustrer. Mais soudain je compris ce qu’elle avait voulu dire quand elle avait dit; (Dieu nous observe.) Elle avait démarré l’enregistrement et la caméra au dessus de nous derrière le miroir sans tain filmait tout, encore une fois. Je souris, bien réveiller a présent et ce nouveau petit jeu de Mélany m’émoustillait terriblement. Jouer a la belle endormie. Les laisser tous les trois s’amuser avec mon corps, me faire ce qu’ils avaient envie, prendre leur plaisir comme ils le voulaient ? Ça, ça me plaisait terriblement. Quelle délicieuse manière de se faire réveiller.

Plus personne ne parla, je n’entendais plus que des soupirs et des gémissements. Les yeux clos, je sentais mieux toutes ses mains douces glisser lentement sur mes cuisses, mes hanches, mon sexe déjà mouillé, en partie accessible entre mes cuisses fermer et mes seins et aussi la bite dure contre mes fesses. Les jeune devais flipper de pouvoir caresser une femme comme moi comme ils le voulaient, une vieille approchant la cinquantaine avec d’énormes seins ballons. Parfois, toutes les mains s’y rejoignaient me procurant des sensations si intenses que je m’en léchais les lèvres en gémissant tout bas, surtout quand ils pressaient mes pauvres mamelons durs et sensibles. Je ne pouvait qu’imaginer les bittes tendues a l’extrême, dégoûtant même, ne demandant qu’a se faufiler dans mon vagin déjà très humide surtout à cause de cette main qui me le caressait un doigt en avant ou dans ma bouche aux lèvres ronde et sans doute luisante d’humidité car je ne pouvais m’empêcher de me les lécher ou de mes les mordillées. C’était difficile de rester sans bouger car je ne pensais déjà qu’a me laisser rouler sur le dos cuisses écarter pour qu’ils me prennent, qu’ils me pénètrent avec fougue, pour que je sente leurs corps jeunes et fougueux, sans doute recouverts de sueur, s’agiter entre mes cuisses. Cela faisait déjà plusieurs mois que je ne m’étais pas fait prendre par un homme et j’en salivais d’envie. Et la, il y en avait deux, deux gars, une première pour moi. Je me mourrais déjà d’envie de voir ça sur le grand écran du grenier avec Mélany ce soir.

Quand je sentis deux bouches chaudes et humides me téter les mamelons, ça m’arracha des grimaces et de petit gémissement tandis que des doigts s’enfonçait dans la chair molle de mes seins, me les pétrissant, me les malaxant. Mes pauvres mamelons gonflèrent beaucoup plus agacer par des langues mouiller et devinrent presque trop sensible. Les deux tétons sucer en même temps, c’en était presque intolérable. Puis je sentis le jeune derrière moi me soulever la jambe droite pour sans doute me pénétrer, enfin. Je poser mon pied sur mon genou gauche pour la garder relever et le sentit glisser son gland sur ma vulve jusqu’a l’entré de mon vagin ouvert et mouillé et il s’y faufila doucement, très facilement, par a-coup jusqu’a ce que sa bitte dure entre en moi jusqu’aux couilles. Je faillis en crier de plaisir, surtout quand il commença à s’agiter lentement en me frappant les fesses avec son bas ventre, bien agripper à mes épaules. J’en perdis le souffle tellement c’était bon de me faire pénétrer par un membre bander dur. Des doigts et une langue ces bons, mais rien ne vaut une belle bitte. Mes mamelons furent délaissés tandis que je sentais quelqu’un se déplacer et une main se faufiler dans ma toison pubienne pour me branler et toucher la verge du garçon. Mélany sans doute. J’ouvris la bouche pour gémir contre l’oreiller mais l’autre gars en profita pour y faufiler sa bitte. Le gland glissa sur ma langue et sans réfléchir j’écartai les mâchoires en serrant les lèvres sur la hampe et je le laisser me mettre dans la bouche en salivant déjà terriblement. Pour la première fois de ma vie je suçais une bitte en me faisait pénétrer. « Mieux vaut tard que jamais, » me dis-je de plus en plus exciter. Je me doutais bien que les jeunes ne pourraient se retenir longtemps tellement il devait être excité, par nos corps, nos grosses poitrines, mais surtout en s’imaginant baiser la mère avec sa fille. Il s’en vanterait sans doute longtemps.

Mélanie recommença à me titillé les mamelons avec sa bouche tout en me caressant le pubis et c’était fantastique. La bitte entre mes lèvres allait et venait détremper par ma salive tandis que le jeune me tenait la tête toujours poser sur l’oreiller ou caressait mes seins. Il ne l’avait pas trop grosse ni trop longue car ses couilles me frappaient le menton sans que son gland ne m’entre dans la gorge pour m’étouffer, heureusement. Elles étaient douces et molles ses petites couilles et me chatouillaient délicieusement. Je rêvais de les toucher, de les sucer elle aussi, j’adore faire ça a mes amants, surtout quant elles sont encore molles, mais la, je devais me contenter de l’imaginer. De gros frissons et des tremblements me parcourait le corps parce que je suçais le beau blond pendant que son copain me baisait et que Mélany m’agaçait le clitoris bander dur et ultra sensible du bout de la langue, mais pas directement, heureusement tout en me caressant les seins avec le beau blond parfois. Je ne pus m’empêcher de gémir de plus en plus et de grogner par les narines. Mon coeur accélérait et je suais à grosses gouttes, surtout entre les seins écraser l’un sur l’autre. Tout mon corps était rudement secoué par le jeune qui me frappait les fesses de plus en plus durement avec son ventre. Mes petits orteils en retroussaient tellement c’était bon ou se repliaient et je priais pour qu’il ne jouisse pas trop vite.

Le fait de garder les yeux clos semblait décupler toutes mes sensations, mais mes mains elle, se mourraient d’envie d’agripper quelque chose. Je dus empoigner les draps pour résister à cette pulsion si forte. Je me forcer a faire l’endormie parce que ça me plaisait et parce que c’était fantastique. Surtout la bitte qui s’agitait dans mon sexe de plus en plus mouiller, je sentais même un orgasme gonfler en moi, déjà. J’y étais presque, surtout à cause de la langue de Mélany, mais le jeune stoppa et se retira de mon sexe pour changer de position. Je le sentis s’agenouiller pour poser ma jambe sur son épaule et le jeune me pénétra à nouveau mais pas longtemps. Il la sortit encore et par la joue de Mélany contre mon pubis je la sentis le sucer un moment puis il me pénétra à nouveau. Le jeune s’imaginait fourrer la mère et se faire sucer par la fille. Il devait flipper totalement, bouche et sexe a porté de son membre. Au même moment, quelques gouttes salées jaillirent du gland dans ma bouche que j’agaçais avec ma langue. Je me préparai à avaler me doutant que le jeune ne pourrait pas se retenir encore longtemps. Mais, soudain, les deux bittes se retirèrent. Je me sentis frustrer d’un bon orgasme en les sentant se déplacer et on me roula sur le dos. Mes petites jambes furent soulevées et déposées sur des épaules tandis qu’une bitte s’enfonçait à nouveau dans mon vagin et, au même moment, quelqu’un grimpa sur moi en 69. Mélany, je sentis ses seins lourds s’écraser sur mon ventre et son ventre m’écraser la poitrine et son sexe odorant contre mon nez juste a porté de ma langue tandis que la sienne s’agitait a nouveau sur mon clitoris si sensible. Je voulus gémir de plaisir mais on me rentra encore une bitte dans la bouche puis dans la vulve de Mélany et a nouveau dans ma bouche. Cette fois c’était le beau blond qui avait une vulve et une bouche à porter de bitte.

La chambre no 1 du motel se remplit de soupirs et de gémissements. Et soudain un orgasme puisant me fit soulever le basin et grimacer. La bitte et surtout la langue de Mélany avaient rempli leurs missions. Je faillis en mordre la queue dans ma bouche, elle en sortit juste à temps pour entrer à nouveau dans le vagin de Mélany, les couilles me chatouillant le nez. Le petit orgasme mouru trop rapidement me laissant avide d’en sentir un autre. Au même moment celui qui me pénétrait m’écarta les jambes complètement pour me prendre par les chevilles et me pistonner avec fougue. Tout mon corps en était secoué puis, soudain, il se retira et je l’entendis grogner tandis qu’il me lâchait les jambes. Pendant que mes pieds retombaient sur le lit je deviner qu’il devait jouir dans la bouche de Mélany car je ne sentis pas de foutre chaud me tomber dessus. L’autre lui faisait rebondir les fesses fortement sans doute très exciter par le spectacle qu’il avait sous les yeux. Puis ça bite revint dans ma bouche, mais juste le gland que j’enserrai avec mes lèvres et aussitôt du sperme en jaillit que j’avaler rapidement. Les jets saler coulaient directement dans ma gorge. J’avaler tout jusqu’à la dernière goutte et il la sortit. je sentis le lit bouger et des gouttes de sperme me tomber sur le visage.

Au bout d’un moment Mélany se retourna et me frencha avec fougue, cette fois je ne pus m’empêcher de l’enlacer en ouvrant les yeux. Sa bouche goutait le sperme tandis que du coin de l’oeil je voyais les gars sortir de la chambre sans dire un mot avec sans doute des fantasmes pleins la tête pour un bon bout de temps. Voir leur beau petit cul tout blanc disparaître me remplit de déception.

Puis elle releva la tête et me fixa en disant après c’être lécher les lèvres :

— T’as tout avalé maman, ta bouche goûte le sperme. C’est dégueu. Dit-elle les yeux rieurs.
— Toi aussi ta bouche goûte le sperme vicieuse. T’as pas honte ?
— Non ! Et toi ?
— Non ! Je suis juste déçu que ce fût aussi rapide.

— T’inquiète pas maman, ils vont revenir demain, ce soir ils travaillent. Ils ont promis de nous emmener à une plage secrète ou ils amènent leurs petites amies. Une belle plage de sable y paraît.
— Ç’a été trop court, si vite, comme un rêve.
— WAIS ! Mais comme tu dois t’en douter, on est pas mal bandante toutes les deux avec nos grosses boules. Les pauvres gars, des qu’ils t’ont vue nue a dormir avec tes seins ballons… leurs belles queues a doubler de volume. J’en suis jalouse.
— T’en as profité un peu aux moins ?
— Ben, fit-elle en s’appuyant sur les coudes, ce qui écrasa nos seins ensemble, à la cuisine avant de venir te réveiller. J’en ai profité un peut beaucoup, même… pas mal je dirais.
— Vilaine fille !
— Je dois être punie maman ?

Je ris un moment avant de dire :

— J’aime ça quand tu joues à faire ma fille. Ça me donne la chair de poule.
— C’est bien ça.
— Maintenant ma fille, retourne-toi et finit ce que tu as commencé. Ça enregistre toujours le haut j’imagine ?
— Hum ! Fit-elle malicieuse en se remettant en 69 pour agiter son beau cul tout blanc sous mes yeux. Lèche-moi, maman.
— Lèche-moi petite vicieuse…

En me regardant peloter ses fesses dans le grand miroir du plafond, je me dis en me faisant la grimace…

« Dieu que la vie est belle et… »
-OUTCH !!! Mélany ! On ne mord pas le clitoris de sa mère .
-Oups ! Désoler !

Fin

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