Bonjour,
J’ai 40 ans et je baise ma fille de 20 ans. Enfin, je devrais dire avec ma fille parce qu’elle est plus que consentante, je vous l’assure. Je n’en ai ni honte ni fierté. ça me semble encore comme une suite logique de notre histoire à elle et moi.
Il faut vous dire que Mélanie est magnifique. Héritant des racines italiennes de sa mère, elle arborai un fière 95D à ses 16 ans à peine. Une longue chevelure noire chutait sur sa cambrure de rêve, prémisse d’un cul bien rond sur des jambes musclées, le sourire toujours aux lèvres.
Vous connaissez Angie Varona ? Une petite bombe sexuelle contre trouve sur le net ? Ba… Même style que ma fille mais en moins bien…
A la voir batifoler avec ses copines dans la piscine de nos vacances, réajustant son maillot de bain 2 pièces, je devais parfois aller me branler en cachette pour me calmer.
Elle aimait se promener dans la maison en petite culotte après la douche. La peau encore mouillée , son tee-shirt tendu sur ses gros seins me laissait presque voir leurs auréoles, les tétons qui pointaient. Je distinguais son nombril tendu sur son ventre plat, ses fesses rebondies remplissant avec volupté une belle croupe qui ne demandait qu’a être caressée .. Je ne la toucha jamais..
Maintenant qu’elle était une femme de 20 ans, j’aimais aller fouiller dans ses sous-vêtement quand j’étais sûr qu’elle ne serait pas là. J’emportai un de ses larges soutient-georges ou un string et me branlant avec, je fantasmais aux mecs qui la prenait. Son corps de rêve sur une bite bien tendue. Le bassin bougeant en rythme, elle se pressait les seins, léchant ses lèvres de plaisir pendant qu’un autre la baisait.
Je tombais un jour sur un sac de velours planqué dans son armoire. Il contenait un gode d’une taille surprenante, un bandeau de soie noir, des menottes, un collier de chien relié par une chaîne à une ceinture de cuir … ça élargissait le champs de mes fantasmes…
Je connaissais de vue un certain Rémi avec qui elle traînait, Je décidai d’aller le voir dans un bar pour en savoir plus.
Faisant copain avec lui et veillant à ce que son verre ne soit jamais vide, je rigolais à ses blagues en attendant de lancer le sujet sur Mélanie. Sortant de là, je l’invitais à fumer un joint chez moi. Il accepta avec plaisir.
Affalés dans le canapé, un bon whisky et la beu qui tournait, je me lançais.
_ Tu t’entends bien avec Mélanie ?
_ Tout le monde s’entend bien avec Mélanie…
Elle est un peu timide mais c’est une chouette gamine hein ? Dis-je en tentant une approche.
– TIMIDE ??? s’ étouffa-t’il de rire. C’est une vraie chaudaaasse ouaip !!
Il m’expliqua alors un univers de sexe que j’étais à des années-lumières de lui prêter.
– C’est sûr que votre fille, elle adoooore la bite ! Je crois qu’elle s’est fait tout les mecs de la région a part les vieux peut-être et encore… C’est plutôt violant avec elle, on peut la baiser à plusieurs. Je crois que son record c’est 6 en même temps. Une vraie pompe a foutre ! ….. Désolé….
– Non vas-y continues ! Rigolais-je en lui resservant un verre…
– Son grand truc c’est de se tenir à dispo dans une chambre, les yeux bandés. Elle essaye de trouver qui la baise. Elle appelle ça la « Chambre aux devinettes »
– Les yeux bandés tu dis ?
– Yep ! Les filles la traitent de pute mais elles sont toutes jalouses d’elle. Mélanie c’est la Reine ! Y’en a pas une qui lui arrive à la cheville.
Un projet fou commençait à se profiler. Je l’imaginais en guêpière, chevauchée par un ou deux beaux black, sa bouche suçant ces deux belles bites en même temps. La vision de son visage et de ses seins couverts de sperme m’excitait comme un malade.
– ça se passe comment cette « Chambre aux devinettes » ?
– ça dépend…. Dans des soirées. Quand elle le décide quoi ! … Et elle le veut très souvent…
– …… 1000 € et tu me laisses participer…
– Hein ????
– 500 de plus et tu la fermes auprès de tes potes. Je veux passer en premier.
– Eh ba putain…. Ok ! Je comprends 🙂 J’organise ça !
Rendez-vous fut pris dans une gigantesque maison en-dehors du village. Je me ramenais vers 3h du mat pour être sûr de me plonger dans la masse. Rémi me fit passer par derrière et m’installa dans un coin.
– Restez là. Je vous préviens quand ça bouge ! Cria-t’il, la musique hurlant comme pas possible.
– T’es sûr qu’elle ne me verra pas ?
_ Vous inquiétez pas ! rigola-t’il. Elle est en mode « live » maintenant 🙂
L’ambiance était surchauffée. Une musique électro frappait les tympans. Dans la pénombre envahie de fumée, je regardais les couples se former. Plusieurs baisaient sous le regard fiévreux des autres. Une adorable petite blonde me caressa la bite en passant….
Je cherchais Mélanie du regard et je la vis sur la piste de danse.
Elle dégageai une énergie sexuelle incroyable ! Habillée d’une petite robe fuseau noir, elle rythmait ses hanches à la musique. Les bras croisés dans ses cheveux, les jambes et les pieds nus, elle se balançait comme une diable. A voir l’échancrure de sa robe, il était clair qu’elle ne portait rien en-dessous. Tout le monde voulait la frôler. Même les filles lui picoraient le cou en dansant contre son corps.
Je la perdis de vue pour la retrouver, branlant un mec avec son opulente poitrine pendant qu’un autre lui pelotait le cul, lui même sucé par sa copine.
Mélanie se donnait à fond. Cette bite était tellement énorme quelle arrivait à lui sucer le gland en même temps.
Râlant dans son plaisir, le mec cracha tout. Le trop plein de sperme coula sur son menton pour goutter sur ses seins. Eclatant de rire, elle laissa la fille les lui lécher…
Sans remonté le haut de sa robe, elle se dirigea vers l’étage en agitant un bandeau de soie noir.
Rémi vient me chercher.
– ça va commencer ! Attendez un peu avant de monter et c’est ok !
– Je serais le seul hein ?
– tant qu’elle n’a pas crié « venez les autres ! » oui !
J’attendis donc et je rentrais dans la chambre.
Elle se tenait à quatre pattes, les cheveux en queue de cheval. Nue, elle portait des cuissardes de cuir noir, la chaîne de son collier de chien serrée entre ses gros seins. Le cul ouvert, elle attendait qu’on la prenne…
Je commençais par le caresser. frottant mon visage contre lui, j’humais son odeur, goûtant enfin ce fruit défendu…
Cette douce odeur de sueur mêlée d’un léger parfum de merde me tournait la tête. J’y plongeai ma langue avec délice.
_ mmmmm… Dit-elle en se pressant contre moi. T’es un tendre toi… T’as envie de me baiser hein ?
Ne disant rien, je m’amenai sur son visage. Je la giflais gentiment de mon gland, m’amusant de la voir chercher à me gober. Dès que sa langue fut sortie, je m’empressai de la sucer.
Bouffant ses lèvres, j’écrasais enfin ses seins de ma main. Ses tétons se gonflaient entre mes doigts.
mmm… tes lèvres me disent un truc mais…. je sais pas….
Elle s’empara littéralement de ma bite. la bouche experte, je sentais sa salive coulée sur mes couilles.
– T’es monté comme un dieu mec ! J’en connais qu’un autre comme toi et je viens de le faire cracher… Toi je vais te faire crier pour savoir !
Je l’encule avec bonheur. Elle savait resserré son anus pour bien me remonté. Je tirais sur ses cheveux pour bien la prendre. sa croupe me tapait le bassin. Enfin je la baisais . Mon Fantasme, mon Amour…
_Avec toi c’est du lourd ! dit-elle en haletant ….
Perdu dans sa chaleur, je m’abandonnai à des années de rêves… Je criais enfin « PUTAIN C’EST BON ! »
– …….Papa ?
Je me sentis de glace…. ma bite palpitant encore en elle, je n’osais plus bougé. Elle arracha son bandeau pour me voir…
– …. Tu dis rien a Maman, je dis rien non plus…
– Ok… Dis-je, ravalant ma salive et en me retirant…
» Non !… Attend….ça m’excite de savoir que c’est toi ….. » Dit-elle en recommençant à onduler ses hanches lentement .
_ Tu défonces bien… Tu veux me défoncer Papa ? »
_ Oui….
_ Tu veux mon cul Papa ? dit-elle en accélérant.
_ …. Oui !!….
Se redressant, elle pressa mes mains sur ses seins. Sa langue chercha la mienne. Ah oui ? susurra-t’elle à mon oreille. Ses reins ondulaient. je la pénétrait aussi loin que je pouvais.
– Est ce que Maman…?
– Pas de ça ! Mélanie… Dis-je, fouillant sa bouche.
– …OUI… OUI ! Que Toi et Moi…. haleta-t’elle.
Je la travaillais avec rage. Elle me regardait les yeux vitreux, perdue dans son plaisir de se faire exploser. Serrée contre moi, je goûtais sa sueur.
– Tu veux me voir jouir Papa ?
– Oh putain ! oui…
– Tu veux me voir comme je suis ? Son corps tremblait de plaisir.
– Vas- y oui… appelles les autres !
Rémi s’avança en premier. Se glissant sous elle, je sentis sa bite dans sa petite chatte. Les autres se branlaient en espérant qu’elle les suce.
On la besognait a fond, Rémi et moi.
Son corps coincé. Nos bites se synchronisant pour ne lui laisser aucun répit, elle nous dominait pourtant. Elle n’était pas soumise, la moindre parcelle de sa peau goûtant la notre. Tout son être nous aspirait dans une spirale de sexe qu’elle décidait.
Les autres se pressaient vers sa bouche offerte. Elle léchait, branlait et suçait tout ceux qui passaient.
Elle contractait son corps pour bien nous aspirer . Rémi lui bouffait un sein pendant que je la ravageais à grand coups de bassin.
elle rayonnait littéralement. poussant des râles de plaisir, nous n’étions que les prolongements du siens.
Je regardais les autres pétrir la chair de ma fille sans aucune jalousie . L’un arrivait à lui lécher un téton, un autre profitait de sa bouche pour lui enfoncer sa bite aussi fort qu’il le pouvait et surtout qu’elle le voulait. Elle se donnait à nous pour son propre fantasme. Rémi avait raison, c’était vraiment une Reine.
Je la sentis venir. Son anus et sa chatte se contractaient par vagues. Sa bouche ouverte et souriante ne poussait plus qu’un cri profond et vibrant. Elle s’écrasait le plus possible sur moi. Eclatant de rire, elle joui enfin..
Elle se retourna alors lentement et se mettant à genoux, nous laissâmes se mettre en cercle autour d’elle.
Nous nous branlions, la giflant et la pressant de nos bites sur son adorable visage.
Elle engloba la mienne, les yeux fixés sur moi, elle me pompait avec une force incroyable.
– J’en suce qu’un ce soir dit-elle.
– Roooh allez ! crièrent les autres !
– Un.. Lui.
Sa langue semblait s’entourer autour de mon gland. Je plongeais presque jusqu’à sa gorge, ses joues se creusaient pour m’aspirer. D’une main elle me caressaient les couilles pendant que l’autre se promenait sur mon cul.
J’ éjaculais au même moment que les premières giclées de sperme des autres, zébraient son visage.
Continuant à me travailler, j’étais fasciné par les coulures de foutre dans ses cheveux, sur ses lèvres. Quelques uns s’ingéniaient en se cambrant pour lui cracher sur ses fantastiques seins.
Le mien giclait à grand trait au fond de sa bouche et elle me buvait avec délice..
En souriant, elle continua à me lécher. « T’es venu en bagnole ? Tu me ramènes » ?
Toujours en érection, je ne me lassais pas de la lui enfoncer, amusé de me frotter le gland en elle.
– Oui. On rentre à la maison. Dis-je en lui caressant les cheveux…
FIN.
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