Après avoir quitté la chambre de Jérémy, Louise s’empressa de rejoindre la cuisine afin de préparer le petit-déjeuner de l’adolescent. Tout en déposant sur le plateau de bois, café, lait, tartines de beurre et pot de miel, elle ne pouvait s’empêcher de songer à ce qu’elle venait de vivre : elle avait réalisé ce désir qui lui perturbait l’esprit depuis quelques jours !… Elle avait sucé son petit-fils !… Elle lui avait fait une pipe !… Non seulement elle s’était fait plaisir en assouvissant sa convoitise, mais elle avait fait connaître à Jérémy cette volupté particulière d’être sucé par une bouche féminine. Cette caresse que tout adolescent rêve de connaître un jour. Certes, ce dernier connaîtrait dans sa vie amoureuse d’autres fellations, exécutées par différentes femmes, chacune ayant leur manière bien à elle de lui sucer la verge. Mais, Louise savait que Jérémy n’oublierait jamais cette première fois, et celle à qui il la devait.
Lorsque le jeune sperme encore fluide lui avait empli le gosier, l’obligeant à l’avaler précipitamment, ayant quand même le temps de le déguster, Louise en avait ressenti un tel émoi, qu’elle en avait connu une sorte de mini jouissance. Mais au-delà du plaisir qu’elle avait pris, elle était heureuse d’avoir fait connaître sa première fellation à son petit-fils.
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* *
Moins de dix minutes plus tard, Louise, portant le plateau sur lequel se trouvait le petit déjeuner de Jérémy, poussa la porte de la chambre où l’attendait ce dernier :
— Voilà de quoi te remettre en forme, annonça-t-elle en déposant délicatement les pieds du plateau de chaque côté de cuisses de son petit-fils assis dans son lit.
Affamé, l’adolescent se jeta sur les tartines de beurre, les croquants à pleines dents.
Emue, Louise le contempla avec tendresse. Cette affection, que toute grand-mère éprouve pour son petit-fils, s’était étrangement transformée en un sentiment plus profond. Si on lui avait annoncé que ce qu’elle ressentait pour son petit-fils, le fils de sa fille, était tout simplement de l’amour avec un grand « A », Louise aurait certainement rejetée cette conclusion : et pourtant… !
Assise d’une fesse sur le lit qui quelques années auparavant avait servi de couche à sa fille, la mère de Jérémy, Louise fixa avec une certaine adoration le visage d’Angelot de son petit-fils. Les bouclettes blondes en désordres qui lui recouvraient le front, les magnifiques yeux bleus qui la fixaient avec passion, le sourire plein de tendresse qu’il lui adressait ; tous ces signes pleins d’amour chamboulaient Louise. Torse nu, Jérémy, adepte de natation, possédait un torse extrêmement développé et encore vierge de tous duvets. Louise songea à cette partie de son anatomie que lui cachait le drap, mais qu’elle avait si bien contemplée quelques instants auparavant, avant d’en savourer la liqueur intime.
Or, songeant au jeune membre qu’elle avait si bien sucé, Louise ressentit un nouveau désir pour la queue étonnamment longue de son petit-fils. Cette dimension surprenante de la verge qu’elle avait tenue en bouche quelques instants plus tôt l’interrogeait !… Que pouvait ressentir une femme lorsqu’une queue si impressionnante la pénétrait ?… Quelles sensations pouvait-elle ressentir lorsque le gland venait frapper le fond de son vagin ?… Est-ce que la jouissance était plus intense ?… Aussi bien Maurice, son mari, que Jean, son amant l’amenaient rapidement au septième ciel à chaque fois qu’ils lui faisaient l’amour, et pourtant leurs verges n’atteignaient pas la dimension de celle de Jérémy.
Ces questions, Louise se les posait depuis la première fois où elle avait découvert la particularité sexuelle de son petit-fils, lorsqu’elle l’avait branlé dans la remise ; et depuis ces interrogations ne cessaient de la hanter !… Il fallait qu’elle en ait le cœur net !… Pourquoi ne pas profiter de l’absence pour la journée de Maurice pour avoir une réponse ?… L’occasion ne se représenterait pas de sitôt !…
A peine l’idée l’eut-elle traversée, que Louise décida de la mettre en pratique. Pour cela, elle se devait d’être très près de sa victime :
— Tu me laisses une petite place auprès de toi, demanda-t-elle tendrement ?
La bouche pleine, Jérémy acquiesça à la demande, loin de s’imaginer des plans érotiques de sa grand-mère.
Echafaudant un plan qui allait lui permettre d’atteindre son but, Louise s’allongea à la gauche de Jérémy assis, la tête à la hauteur de sa hanche.
— Ça va mieux, mon cœur, questionna-t-elle ?… Tu devais avoir faim après ce réveil… mouvementé !… Il faut que tu reprennes des forces, nous avons toute la journée pour nous… Il faut que tu sois en forme !…
Et comme pour se rendre compte de l’état de son jeune partenaire, Louise glissa une main investigatrice sous les draps en direction du bas-ventre de Jérémy. Lorsque ses doigts vinrent frôler le membre viril semi-gonflé, elle en éprouva une joie immense :
— Eh, mon petit amour me semble prêt à s’éveiller, s’exclama-t-elle !
Sentant la main fureteuse de sa grand-mère effleurer sa verge, Jérémy, qui ne s’y attendait pas, en fut si surpris qu’il en éprouva une soudaine érection.
Se retrouvant brusquement avec un pal de chair rigide en main, Louise demeura abasourdie ; jamais elle n’avait connu une érection aussi expéditive.
— Mais… Tu bandes, ne put-elle s’empêcher de s’exclamer, abasourdie !
Pressant entre ses doigts la verge durcie, Louise dut admettre que la jeunesse avait du bon. Il y avait à peine vingt minutes qu’elle avait tenu en bouche cette bite, et elle lui avait fait cracher sa semence ! Elle en avait encore le goût sur la langue. Elle pensait alors avoir vidé les couilles de Jérémy de leur sperme. Et voilà que ce dernier semblait de nouveau prêt à de nouvelles joutes amoureuses. Jamais, songea-t-elle, son mari ou même son amant, dans la force de l’âge, ne se serait retrouvé en forme si rapidement.
Cependant, percevant la tiédeur du jeune membre viril contre sa paume, Louise ne put résister à le caresser tendrement, en une masturbation légère, faite pour entretenir l’érection, sans toutefois l’amener à l’éjaculation.
— Finis de déjeuner, conseilla-t-elle à son jeune partenaire, qui avait brusquement stoppé de croquer dans sa tartine en percevant la friction contre sa virilité.
Fort excité et surtout impatient de reprendre les sensuelles caresses dont sa grand-mère savait si bien lui prodiguer, Jérémy s’empressa de terminer son déjeuner :
— Voilà, j’ai fini, Mamie, s’empressa-t-il d’annoncer !
— C’est bien, mon cœur attend, je vais te débarrasser, proposa Louise, ravie de pouvoir continuer son projet érotiquo-i****tueux.
Le temps qu’elle dépose le plateau à terre, Jérémy se hâta de reprendre une position plus adéquate en s’allongeant sur le dos.
Se lovant alors contre son jeune partenaire sexuel, Louise repoussa le drap qui le recouvrait, dénudant entièrement ce jeune corps d’éphèbe.
— Laisse-moi contempler mon petit amour, informa-t-elle… Regarde comme il est beau, continua-t-elle en saisissant la jeune verge à sa base et la maintenant verticalement… Hum, on a envie de le croquer… Ho ! Attends ! J’ai une idée !
Se contorsionnant, Louise réussit à plonger deux doigts dans le pot de confiture placé au sol. Ayant réussi à récupérer une bonne quantité de mélange de pêches et d’abricots, elle entreprit alors de frotter ses phalanges sur toute la surface du gland décalotté, le badigeonnant consciencieusement de cette marmelade.
— Voilà, comme ça il est encore plus appétissant, constata-t-elle… Je vais me régaler…
Se penchant alors sur le gland recouvert de confiture, Louise entreprit de le nettoyer à petits coups de langue vive.
D’abord surpris par l’initiative de sa grand-mère, Jérémy ne tarda pas à ressentir les effets voluptueux que lui prodiguait le ballet de la langue experte sur la surface de son gland excité. De longs frissons sensuels ne tardèrent pas à lui parcourir le bas-ventre : une douce béatitude le gagna.
Tout en léchant les reliquats de confiture qui souillaient encore le bourgeon dilaté, Louise n’en épiait pas moins le visage de son jeune partenaire, y guettant les effets de sa perverse initiative. Les tressaillements qu’elle y percevait l’informaient du plaisir que ressentait son petit-fils, et l’encourageaient à persévérer. Chaque fois que sa langue venait frapper la peau sensible du gland dilaté, elle pouvait voir les muscles du bas-ventre de Jérémy se contracter puis se relâcher.
Cependant, lorsqu’il ne resta plus aucune trace de confiture sur le bourgeon de chair rose, Louise l’aspira complètement afin de le nettoyer intimement ; tentant, pour cela, d’introduire sa langue épointée dans la minuscule ouverture du méat.
Ce soudain changement d’attouchement surprit Jérémy. Un long spasme voluptueux se propagea dans ses entrailles, le faisant se cambrer de plaisir. Un gémissement, où se mêlaient ravissement et espoir, s’échappa de sa gorge, interpellant Louise.
Comprenant que sa caresse procurait à son jeune partenaire un plaisir plus intense qu’elle ne le voulait, Louise abandonna immédiatement sa succion. Il n’était pas question que Jérémy décharge une seconde fois dans sa bouche !… Même, si elle avait éprouvé un réel ravissement à ingérer le jeune sperme encore liquide, présentement ses sens en émoi réclamaient autre chose. La longueur étonnante du jeune membre viril, qu’elle avait découvert quelques jours plus tôt, n’avait cessé de faire fantasmer Louise. Aussi, ce jour où Maurice était absent, elle s’était décidée à avoir une réponse à ses questions. Mais en même temps, le désir pervers d’être l’initiatrice de Jérémy prit possession de son esprit. Etre celle qui lui ferait connaître le plaisir d’une sensuelle pénétration. Elle voulait être la première à qui il ferait l’amour ! Etre celle qui offrirait la tiédeur de son vagin à sa verge juvénile. Qu’importe l’âge qui les séparait, Jérémy lui avait maintes fois prouvé l’adoration qu’il avait pour elle et ses appas mammaires pour que cette différence d’âge soit abolie entre eux. La vénération avec laquelle l’adolescent la couvait suffirait pour effacer les outrages de l’âge.
Terriblement émue à la pensée de ce qu’elle s’apprêtait à accomplir, Louise s’allongea sur le flanc à côté de son petit-fils, sans toutefois lâcher la verge tant convoitée. Se penchant sur Jérémy attentif, elle entreprit de lui caresser tendrement le visage, presque maternellement, plongeant avec amour son regard dans les grands yeux bleus, pleins d’innocence.
— Tu sais, ce matin je me suis régalée, tenta-t-elle de lui expliquer… Et j’ai été très heureuse de te faire jouir… Tu as aimé ?
— Oh oui, Mamie !
— Moi aussi, j’ai aimé mon chéri… C’est la première fois que tu jouis de cette façon ?
— Oui…
— C’est vrai ? Je suis donc la première qui t’ai fait une pipe ?… Tu savais quand même que ce genre de caresse se pratiquait ?
— Heu ouuii, tenta de répondre Jérémy, soudainement gêné par les questions sexuelles de sa grand-mère.
— Et comment le savais-tu ?
— ….
Devant le silence embarrassé de son petit-fils, Louise insista, prenant un plaisir pervers à forcer l’adolescent :
— C’est au collège que vous en parlez ?… Avec tes copains ?…
— Heu ouuii…
— Hé bien tu pourras dire à tes copains, lorsque tu les rêveras, que pendant tes vacances, une femme t’a fait une pipe, et même qu’elle a avalé ton sperme… Ils vont en crever de jalousie… Mais bien sûr tu ne leur dis pas que la femme c’est ta grand-mère, ils ne te croiront pas…
Mais alors qu’elle s’exprimait, quelque peu amusée de la gêne de Jérémy, Louise remarqua soudain que ce dernier fixait sa poitrine avec insistance. Bien que sachant combien son petit-fils était attiré par ses appas mammaires, elle baissa quand même les yeux vers ce qui semblait attirer l’attention de l’adolescent. Découvrant l’échancrure de son peignoir largement entrebâillé, dévoilant une partie de ses seins, elle comprit l’intérêt de Jérémy. Bien qu’ayant espéré le comportement de l’adolescent, Louise ressentit une bouffée de chaleur, lui irradier le bas-ventre tandis que ses mamelons se gonflaient de désir. Bien décidée de profiter de l’excitation de Jérémy, elle questionna malicieuse :
— Qu’est-ce qui t’intéresse tant que ça ?… C’est mes doudounes qui te passionnent à ce point ?… Tu les aimes mes gros nénés !…
Sous le regard insistant de Jérémy qui tentait de plonger au plus secret de son peignoir, Louise sentit une douce chaleur se propager dans son bas-ventre. Prise de nouveau par ses tentations érotiques, elle continua, d’une voix soudain changée :
— Tu aimerais les voir mes nénés !
— Oh oui, s’empressa de répondre Jérémy.
— Oui quoi, insista vicieusement Louise ?
— Oui, j’aimerais les voir, réussit à articuler Jérémy au summum du désir.
— Qu’est-ce que tu veux voir, insista une nouvelle fois Louise, éprouvant un plaisir pervers à forcer Jérémy à employer un langage plus grivois ?
— Je voudrais voir tes…nénés…
— C’est bien, mon cœur !… Puisque tu me le demandes si gentiment, je veux bien te montrer mes gros nichons !… Je sais combien tu les aimes…
La gorge nouée par l’intense désir qui la consumait, Louise s’agenouilla alors sur le lit à côté de son jeune partenaire qui la fixait, les yeux brillants d’excitation. D’un mouvement sur, elle dénoua rapidement la ceinture de son peignoir, laissant celui-ci s’ouvrir de lui-même, dévoilant à l’adolescent son torse et son bas-ventre.
La gorge sèche, Jérémy fixa, les sens surexcités, le buste féminin qui s’offrait à ses regards. Les gros seins blancs sillonnés de veinules bleutées, objet de ses fantasmes les plus secrets attirèrent immédiatement son attention, le faisant saliver. Mais la touffe brune qui se détachait au-dessus des cuisses capta son intérêt. C’était la première fois qu’il découvrait sa grand-mère entièrement nue, et le spectacle des seins volumineux aux aréoles foncées au centre desquelles se dressaient, telles deux minuscules verges les tétons érigés, ne pouvait qu’exacerber sa libido d’adolescent. Mais, même si la forte poitrine à l’aspect velouté représentait à ses yeux le comble de la beauté féminine, ces prodigieux appas mammaires ne pouvaient résister à la curiosité qui le poussait à fixer cette touffe de poils noirs.
Du fait de la position agenouillée, cuisses jointes, de sa grand-mère, la vision du mystérieux sexe féminin lui était encore interdite. Aussi Jérémy remonta son regard jusqu’aux opulentes mamelles, se grisant sexuellement, à contempler les deux masses à l’aspect si fermes et si molles en même temps. Se souvenant du soir où sa grand-mère lui avait permis de la téter, il sentit tout son corps se tétaniser.
Les joues en feu, éprouvant un plaisir pervers à dévoiler ses lourds appas mammaires à son petit-fils, Louise empauma ses deux seins douloureusement gonflés dans ses mains refermées en coupe, comme pour les offrir.
Ne pouvant détacher son regard des extraordinaires masses de chair que lui présentait sa grand-mère, Jérémy demeura comme pétrifié. Bien sûr, il avait vu des filles nues exposant leurs appas mammaires sur les revues qui circulaient au sein même du lycée, mais ce n’était que du papier glacé. Alors que présentement, les seins qu’il admirait étaient bien réels : deux seins lourds et charnus, qui ballottaient d’une manière terriblement excitante selon les mouvements de leur propriétaire. Sur la blancheur laiteuse de la chair, les larges aréoles brunes et granuleuses, au centre desquelles se dressait fièrement le téton, tranchaient étrangement. Etant novice dans la connaissance des femmes, Jérémy ne fit pas le rapprochement entre la raideur des deux boutons de chair, et l’excitation de sa grand-mère.
Louise avait toujours possédé une lourde poitrine lourde, qui tombait légèrement, mais qui avec l’âge n’en avait que plus de charme pour les yeux admiratifs de l’adolescent qu’était Jérémy. Comme celui-ci, immobile, fixait ses appas, comme fasciné, Louise décida de prendre en main la suite des évènements.
— Alors, qu’est-ce que tu attends pour les prendre en mains, insista Louise d’une voix émue ?… Tu sais comme j’aime quand tu caresses mes nichons !…
Maintenant toujours ses seins dans ses mains en coupe, Louise les rapprocha l’un de l’autre, les pressant afin de leur donner encore plus de volume et d’attrait.
Motivé par cette demande, Jérémy empoigna l’une des mamelles agréablement pulpeuses qu’il s’empressa de presser avec émotion. Le gémissement étouffé que sa grand-mère laissa échapper ne lui échappa pas. Se souvenant combien cette dernière appréciait les caresses pratiquées sur ses seins et plus particulièrement au niveau de ses mamelons, il entreprit alors de palper l’aréole brune, la malaxant avec délice. Un nouveau gémissement s’échappa des lèvres de sa grand-mère :
— Oui, mon chéri !… C’est bien !… J’aime…
Heureux d’être ainsi complimenté, Jérémy se souvint d’une caresse précise à laquelle sa grand-mère l’avait incité à pratiquer quelques jours plus tôt. Appuyant ses deux mains contre les mamelons au centre desquels se dressaient les tétons, il roula ces derniers sous ses paumes. Un gémissement alangui lui prouva combien il avait eu raison : sa grand-mère semblait vraiment aimer cette caresse. Mais alors qu’il s’appliquait à malaxer les tétons extrêmement raidis depuis quelques minutes déjà, Louise lui saisit les mains, les bloquant contre ses mamelons :
— Non ! Arrête, gémit-elle… C’est trop bon !… Tu vas me faire partir… Pas tout de suite…
Même s’il ne saisissait pas exactement le sens des paroles de sa grand-mère, Jérémy comprit que celle-ci semblait quand même ravie de son initiative.
Comme le désir ne faisait que s’accroître au sein de ses entrailles, Louise décida alors de prendre les événements en main…
— Attends, prévint-elle !
Rapidement, elle se débarrassa de son peignoir et entièrement nue, elle enjamba son petit-fils, en lui faisant face : merveilleuse amazone chevauchante, seins au vent, un jeune étalon. Du fait de la position de ses cuisses largement écartées, Louise n’eut aucune peine à placer sa vulve contre la longue verge en position horizontale, l’enveloppant de ses grandes lèvres sexuelles moites de désir.
Les yeux fixés sur les lourdes mamelles qui oscillaient sensuellement au-dessus de son visage, Jérémy sentit avec étonnement une douce humidité imprégner son membre viril. Ce constat l’affola un peu plus. Il se doutait bien que cette chaude humidité était le résultat de l’excitation de sa grand-mère ! Ses lectures sur Internet lui avaient appris que lorsqu’une fille était excitée elle « mouillait″. Cette tiédeur qu’il ressentait au niveau de son sexe provenait donc de la vulve de sa chaude cavalière… Cette pensée le stimula au point qu’il ressentit tout son bas-ventre, se crisper douloureusement.
Comme Jérémy demeurait statique, comme figé, Louise, la chatte ruisselante d’impatience, se décida alors à agir. Saisissant les poignets de son jeune partenaire, elle força celui-ci à empaumer de nouveau ses seins gonflés.
— Caresse-les, sollicita-t-elle.
Rendu impétueux du fait de ses sens en effervescences, Jérémy crocheta ses doigts dans les lourdes mamelles moelleuses.
Sous cet attouchement brusque et quelque peu brutal, Louise poussa un sourd gémissement où se mêlaient plaisir et douleur en égale ampleur.
— Ho ! doucement, gémit-elle… Les seins d’une femme sont sensibles, mon chéri. Il faut les caresser avec beaucoup de douceur… Presse-les doucement dans tes mains comme je te l’ai appris…
Et afin de guider son trop fougueux petit-fils et lui apprendre comment caresser une poitrine féminine, Louise, lui maintenant toujours les poignets, le guida doucement, le forçant à frôler ses seins avec délicatesse. Subtilement, elle guida la caresse, faisant lentement glisser les paumes sur la partie supérieure de ses globes jumeaux, avant de les faire redescendre sur les côtés extérieurs, pour enfin les passer sous ses lourdes mamelles, qu’elle lui fit soupeser :
— Comme cela, conseilla-t-elle… Tu sens comme ils sont doux !… Frotte bien les bouts, le guida-t-elle d’une voix enrouée. Ça me fait énormément de bien…
S’obligeant à réfréner sa fougue sexuelle, Jérémy tenta de suivre les recommandations de sa grand-mère, qui se voulait être son initiatrice. Délicatement, comme il l’aurait fait avec un jeune a****l, il glissa ses doigts sur les merveilleuses mamelles laiteuses, éprouvant un extrême plaisir à frôler cette chair élastique si douce et soyeuse. Pour la première fois, il découvrait combien les seins d’une femme pouvaient être à la fois souples et fermes. Serrant passionnément les masses soyeuses, il les pressa l’une contre l’autre. La vision des deux rondeurs jumelles ainsi compressées l’une contre l’autre le surprit : la ressemblance avec une paire de fesses était évidente. Il resta un long moment à fixer médusé ce spectacle affolant. Puis s’enhardissant enfin, Jérémy relâcha les admirables mamelles pour s’intéresser aux tétons dont la longueur étonnante l’intriguait. Saisissant l’un des bourgeons de chair entre le pouce et l’index il le pinça doucement, étonné de sa dureté. Puis trouvant d’instinct le geste adéquat, propre à faire naître chez sa partenaire ces longs frissons voluptueux, il roula maladroitement les deux tétons entre ses doigts.
— Oui ! Comme ça, soupira Louise ravie par cette initiative, même si elle manquait de dextérité. C’est bien… Continue… Prends bien les bouts entre tes doigts, encouragea-t-elle…
Ainsi stimulé, Jérémy serra un peu plus fort ses doigts sur les deux bourgeons érigés, comme lui conseillait sa Mamie. Se souvenant soudain des suggestions que celle-ci lui avait prodiguées quelques jours plus tôt ; lorsque pour la première fois elle avait offert ses lourdes mamelles à ses attouchements, il décida de les mettre à exécution. Pressant les deux tétons entre ses doigts, il les pinça plus vigoureusement, ainsi que lui avait demandé Louise ce jour-là. Immédiatement, cette dernière laissa échapper un long gémissement. Comprenant qu’il venait de procurer du plaisir à sa grand-mère, Jérémy fixa cette dernière fière de lui. Ce qu’il découvrit le surprit. Le visage jovial de sa chère Mamie s’était transformé en une grimace de béatitude. Concevant que c’était grâce à ses caresses que sa grand-mère s’était transfigurée ainsi, la rendant encore plus belle, Jérémy s’empressa de réitérer ses pincements, déclenchant chez sa sensuelle victime, la même grimace de plaisir. Comprenant que chaque fois qu’il touchait cette partie sensible des volumineux seins, sa grand-mère ressentait une vive félicité, il persévéra dans sa caresse. Il s’ingénia alors à les presser fortement tout en les tirant à lui, allongeant de ce fait les seins gonflés. Le résultat fut immédiat. D’une voix rendue éraillée par le plaisir, sa grand-mère l’encouragea :
— Oui !… Oh oui !… C’est bon !… Continue mon chéri !… Ouiii…
Les reins cambrés comme pour mieux s’offrir aux affolants attouchements que lui dispensait son petit-fils, Louise sentit de longs frissons voluptueux lui parcourir les reins et lui irradier le bas-ventre. De sa chatte en émoi, sa fontaine intime s’était abondamment amplifiée, trempant la verge juvénile sur laquelle elle reposait. La poitrine tendue, les reins arqués, elle s’offrit alors sans retenue aux attouchements affolants que lui prodiguait Jérémy. Même si les pincements étaient parfois douloureux, Louise n’en éprouvait pas moins un plaisir étrange et dévastateur.
Les mamelons endoloris à force d’être durement triturés par son ardent petit fils, qui semblait éprouver un immense plaisir à lui malaxer les tétons, Louise décida de repousser les mains de ses mamelons douloureux. Se penchant en avant, elle offrit ses lourdes mamelles exagérément gonflées aux lèvres de son jeune amant contre lesquelles elle frotta ses tétons sensibles.
— Tu sens comme ils sont durs, gémit-elle… C’est toi qui les as rendus comme ça… Embrasse-les pour te faire pardonner !…
La bouche plaquée contre l’extrémité du sein que sa grand-mère lui offrait, Jérémy aspira goulument la totalité du mamelon incroyablement enflé, pour le téter à la façon d’un nourrisson affamé.
— Oui !… Tête-moi ! Grogna Louise, ivre de désir.
Retrouvant alors ses instincts de nourrisson, Jérémy pressa ses lèvres sur la saillie mammaire granuleuse, tandis que ses dents se refermaient délicatement sur le téton durement érigé.
Les deux mains pressées autour de son sein enfoui dans la bouche de son jeune partenaire, Louise laissa échapper un soupir de contentement.
— Oui !… C’est bon, gémit-elle excitée au point de ne plus se contrôler… Tête bien mes grosses mamelles…
Sous ces succions, Louise ne tarda pas à ressentir un intense plaisir pervers à être ainsi suçoté par son petit-fils. Mais, cette tétée si voluptueuse fût-elle, ne tarda pas lui être insuffisante, aussi, d’une voix rendue rauque par le plaisir, elle réclama :
— L’autre aussi, mon chéri !… Il est jaloux !…
Obéissant, Jérémy lâcha le sein droit qu’il tétait avec ivresse, pour se saisir du gauche, qu’il entreprit de sucer à son tour. Aspirant fortement l’aréole boursouflée au fond de sa bouche, il referma ses lèvres sur le mamelon frémissant. Il avait si souvent rêvé d’un tel moment, qu’il éprouvait un plaisir sans nom à sentir cette masse soyeuse lui emplir la bouche.
— Oh oui ! Grogna Louise irradiée par le plaisir, c’est merveilleux… Huummm. Oui !… Continue !… C’est trop bon…
Tel un chiot affamé, Jérémy s’acharna sur l’opulent fruit de chair, l’aspirant fortement d’une bouche goulue, tout en le pressant fiévreusement entre ses lèvres comme pour en extraire le lait nourricier qui aurait pu jaillir du téton raidi. Mais à sucer ainsi les larges mamelons boursouflés, à aspirer les longs bourgeons de chair érigés d’où étrangement perlaient quelques gouttes d’un liquide au goût âcre, Jérémy sentit un immense bien-être l’envahir. Pour la première fois, il pouvait jouer avec les merveilleux seins d’une femme ; son fantasme le plus fou.
Confortablement installée à califourchon sur le bas-ventre de son jeune partenaire, Louise dont la chatte affolée palpitait désespérément en déversant des flots de mouille brûlante, ondulait lascivement des hanches au rythme du plaisir qui lui irradiait les entrailles. Mais, alors qu’elle agitait sa croupe d’avant en arrière, frottant sensuellement son entrecuisse trempé sur la verge durcie de Jérémy, le désir de sentir ce pal de chair l’empaler, se fit pressant. Son sexe réclamait impérieusement d’être investi par cet organe masculin sur lequel il glissait si facilement. Ne pouvant résister plus longtemps à l’appel de ses sens exacerbés, Louise, haletante, s’allongea sur le corps de son petit-fils lui ôtant le sein de la bouche. Se lovant contre lui, frottant lascivement son pubis contre le membre viril durci, elle lui murmura à l’oreille :
— Tu veux me faire l’amour ?… J’ai envie de sentir ta queue, dans ma chatte !… Tu veux bien me la mettre ?…
Qu’aurait pu répondre Jérémy à une pareille demande ! Bien sûr qu’il voulait enfoncer sa queue dans cette chatte qu’il sentait si proche et mouillée ! Que ce soit sa grand-mère, qui lui propose pareil choix, ne l’offusqua pas, tant la requête l’avait surpris. A la pensée, de pouvoir enfoncer sa verge dans ce mystérieux sexe féminin le bouleversait, il lança son bas-ventre en avant dans un réflexe tout masculin. Sa façon à lui d’accepter la requête de sa grand-mère.
Si pour Jérémy, seul comptait la perspective de connaitre enfin le plaisir de faire l’amour à une femme, pour Louise il en était tout autrement. Le fait d’offrir son sexe à son petit-fils de quinze ans lui procurait une excitation perverse. Que cet adolescent soit le fils de sa propre fille ne pouvait qu’accentuer encore cette exaltation. Ne pouvant résister plus longtemps au brasier qui lui échauffait le vagin, Louise décida qu’il était temps pour elle d’assouvir ses envies. Se redressant légèrement pour fixer Jérémy dans les yeux, elle murmura d’une voix câline :
— Tu veux bien faire l’amour à ta Mamie, mon chéri ?
— Oh oui ! S’exprima Jérémy dans un souffle.
Alors, souplement, Louise roula sur le côté pour s’allonger confortablement sur le dos. Dans un geste d’appel sexuel, elle ouvrit ses jambes, s’offrant ainsi à cette pénétration tant désirée.
Le cœur battant, la gorge nouée par l’émotion
Jérémy s’agenouilla sur le lit pour contempler fasciné, ce corps féminin entièrement nu, qui s’offrait avec une réelle impudeur. Ainsi allongée, sa grand-mère lui apparut encore plus belle. Ses énormes seins qu’il avait malaxés et tétés quelques instants auparavant, lui apparurent étrangement moins volumineux. Du fait de leurs masses, les lourdes mamelles s’étaient affaissées de chaque côté du torse, comme deux flancs savoureux. Même le ventre habituellement légèrement rebondi paraissait, du fait de la position, plus plat, plus moelleux. Cependant, Jérémy ne pouvait détacher son regard de la fourrure qui tapissait le bas-ventre de sa grand-mère. Faite d’une multitude de bouclettes brune qui tranchait sur la chair blanche du pubis, la flèche du triangle ainsi formée plongeait entre les cuisses charnues. Jérémy s’imagina que la pointe brune lui indiquait le chemin à suivre pour atteindre ce lieu enchanté dont rêve tout homme, qu’ils soient adultes ou adolescents. Ce corps nu alangui si sensuel procurait à Jérémy un tel émerveillement, qu’il ne put s’empêcher de murmurer d’une voix pleine d’amour :
— Tu es belle, Mamie.
Ce compliment plein de sincérité, surprit Louise, et lui procura un tel bonheur qu’elle sentit ses yeux s’embuer. Il y avait si longtemps que l’on ne lui avait fait de tel compliment. Julien, son amant, lorsqu’il la retrouvait, ne venait pas pour lui faire la cour : seule l’intéressait, pouvoir se vider les couilles dans un sexe accueillant. Même si elle y trouvait son compte sexuellement, il n’y avait jamais entre eux de mots d’amour, même si lors d’une séance plus torride que les autres, Julien lui avait avoué que sa chatte lui faisait penser à « un garage à bittes », cela n’avait rien de romantique… Quant à son époux Raymond, il y avait longtemps qu’il ne s’intéressait plus à sa silhouette, à part les fois où sous l’effet du bon vin, il lui flattait le derrière d’une main énergique en la complimentant sur « croupe de jument » ; rien de romanesque, là, non plus.
N’étant plus habituée à recevoir ce type de louange, les paroles de son petit-fils lui allèrent droit au cœur déclenchant en elle une forte émotion.
— C’est vrai, mon chéri ?… Tu me trouves belle ?… Réussit-elle à demander, la voix pleine de tendresse.
— Oh oui, Mamie !
Il est vrai, songea-t-elle que Jérémy ne possédait certainement pas de point de comparaison : elle devait être la première femme en chair et en os qu’il découvrait dans son intégrale nudité. Ce qui expliquait son exaltation. Mais qu’importe, le compliment qu’il lui avait fait venait du fond de son cœur d’adolescent. Pour le bonheur qu’elle en avait ressenti, elle se devait de se montrer particulièrement prévenante. Elle allait l’initier aux mystères de l’amour ; ce que tout adolescent rêvait. Elle allait lui apprendre comment se conduire lorsque plus tard il rencontrerait ses premières conquêtes féminines ; comment leur procurer du plaisir.
Cependant, présentement, Jérémy demeurait immobile, comme fasciné par le spectacle qu’elle lui offrait. Louise songea qu’elle se devait d’intervenir si elle voulait vaincre la timidité qui le bloquait. Jamais Jérémy n’oserait tenter le moindre geste. Avec une immense émotion, elle lui saisit le poignet, amenant doucement sa main jusqu’à sa toison intime :
— Caresse ma minette, l’encouragea-t-elle… Tu sens comme elle douce, insista-t-elle en poussant insensiblement la main en direction de son sexe en ébullition.
Prenant de l’assurance, Jérémy laissa sa grand-mère guider sa main. Ses doigts ébouriffèrent d’abord les boucles brunes de l’épaisse toison, avant de glisser soudainement dans un repli humide. Le cœur battant, il comprit qu’il venait d’atteindre le « Graal » ; ce sexe féminin tant rêvé !… Se libérant alors du contrôle que sa grand-mère exerçait sur son poignet, il dirigea lui-même l’exploration de ses doigts. Son majeur ayant trouvé la fissure considérablement humide qui traversait le bosquet luxuriant de la toison, il continua son exploration, fébrile.
Sentant les doigts de son jeune partenaire fureter le long de sa fente sexuelle, Louise ne put étouffer un gémissement de plaisir et d’impatience. Comme pour faciliter la prospection dont elle était l’objet, elle écarta encore plus largement ses cuisses moites, ouvrant largement l’accès à sa chatte en émoi.
Mais ne pouvant rester passive sous les attouchements affolants de Jérémy, elle lança vivement sa main droite en direction du bas-ventre de l’adolescent agenouillé à ses côtés. D’une main impatiente, elle se saisit de la jeune verge formidablement bandée. Refermant ses doigts autour de l’organe masculin, elle le pressa convulsivement, suivant les montées de plaisir qui se développaient à l’intérieur de son vagin en feu.
Jérémy, qui laissait ses doigts s’aventurer dans le luxurieux pelage intime de sa grand-mère, à la recherche de cet affolant sexe féminin, sentit, soudain avec émoi, son majeur s’enfoncer dans un orifice brûlant et onctueux. Emu et terriblement excité en comprenant qu’il comprit qu’il venait d’atteindre le but de sa quête initiatique, étonné quand même de constater combien le sexe d’une femme pouvait être vaste et profond. Ne sachant comment agiter son doigt afin de procurer ce plaisir que sa grand-mère était en droit d’attendre de sa part, il décida de joindre son index à son majeur pour explorer ce gouffre sexuel.
Très troublé par la découverte qu’il venait de faire, Jérémy entreprit d’agiter ses doigts dans le vagin aux parois spongieuses, découvrant par instinct les mouvements aptes à procurer ce plaisir que sa partenaire espérait. Avec euphorie, il frotta ses phalanges contre les parois moelleuses de la vulve trempée. Comme sa grand-mère laissait échapper un nouveau gémissement en lançant son bas-ventre en avant, il accéléra le va-et-vient de ses doigts dans la fournaise de la chatte de plus en plus humide. Alors qu’il frottait délicatement la face supérieure du vagin embrasé, il découvrit une étrange protubérance située sur la partie haute de la vulve. Etonné, il se polarisa dessus, la massant avec insistance.
Haletante, Louise avait suivi le parcours hésitant de son jeune partenaire le long de son sexe palpitant, éprouvant un trouble de plus en plus considérable à mesure que les doigts se rapprochaient de sa chatte affolée. Soudain, alors que les doigts de Jérémy, fichés dans sa chatte détrempée, s’agitaient dans une exploration hasardeuse, une onde violente lui traversa le bas-ventre. Dans ses palpations fureteuses, Jérémy venait de frôler ce point extrêmement sensible tapi au plus secret de son vagin. Lors de ses masturbations solitaires, du temps de son adolescence, Louise avait vite appris combien la caresse de cette partie de son vagin pouvait être jouissive. L’effet produit par les frôlements de son petit-fils déclencha le processus. Sous le plaisir intense qui la secoua, elle agrippa vivement le poignet de son habile tourmenteur :
— Oui, mon chéri, c’est bon !… Continue, encouragea-t-elle !…
Comprenant, qu’il venait dans ses attouchements à l’intérieur de la chatte trempée d’une mouille brûlante, de procurer du plaisir à sa partenaire, Jérémy récidiva aussitôt. Ne pouvant remuer sa main, que sa grand-mère maintenait fermement, lui ayant immobilisé le poignet, il se contenta d’agiter ses deux doigts accolés. De ses phalanges, il massa alors la seule partie du vagin dont il pouvait avoir accès, frottant fortement la paroi chaude et moelleuse.
Le corps soudainement traversé par une pulsation d’une intensité incroyable, un impétueux raz de marée la submergeant subitement, sans qu’elle ne puisse rien faire pour l’endiguer, Louise ressentit une jouissance fantastique. Le ballet, pourtant maladroit des deux doigts accolés dans son vagin en fusion, avait déclenché dans ses entrailles embrasées un orgasme aussi soudain que violent, qui la fit se cambrer frénétiquement. Reins arqués, elle poussa un long râle inhumain, en resserrant furieusement ses cuisses nerveuses sur le poignet de Jérémy, lui emprisonnant avec force les doigts dans son ventre agité de convulsions sensuelles.
La main retenue prisonnière par les jambes tétanisées de sa grand-mère, les doigts plantés dans la chatte liquéfiée, Jérémy s’immobilisa, surpris et quelque peu apeuré par la soudaine et violente réaction de sa partenaire. Jetant un regard curieux dans sa direction, il demeura stupéfait en découvrant le visage déformé de sa grand-mère. Les yeux révulsés, les narines dilatées, la bouche crispée, sa chère Mamie possédait une beauté sauvage et sensuelle. La main poisseuse d’un liquide brûlant qui s’échappait du sexe qu’il fouillait de ses doigts, il comprit d’instinct qu’il assistait là à son premier orgasme féminin. Les traits dévastés de sa sensuelle grand-mère lui rappelaient certaines photos montrant des femmes, en proie à la jouissance. Les merveilleux seins qui lui, sembla-t-il, avaient encore augmenté de volume, se soulevaient rapidement, comme si leur propriétaire venait d’effectuer un cent mètres.
Lentement, Louise reprit ses esprits. Haletante, anéantie sur le lit défait, elle relâcha insensiblement la pression de ses cuisses, libérant la main de son petit-fils qui l’avait mené à l’orgasme sans vraiment se rendre compte de sa performance.
Ne sachant trop quelle contenance adoptée, Jérémy retira délicatement ses doigts de la vulve détrempée.
Retrouvant progressivement son souffle et ses esprits, Louise béate attira la tête de son petit-fils sur sa poitrine couverte de sueur pour lui caresser tendrement la nuque.
— Mon chéri, lui murmura-t-elle affectueusement… Tu as été merveilleux… Tu m’as follement fait jouir… Tu es un amour…
Débordante de reconnaissance amoureuse, elle continua d’une voix pleine de tendresse :
— Viens sur moi… Vient me faire l’amour, j’ai envie de te sentir dans mon ventre.
La demande de sa grand-mère accentua l’excitation de Jérémy. Aussi, s’empressa-t-il de ramper jusqu’à sa chère Mamie, pour se lover avec émotion sur son corps moite et encore haletant. Le membre viril vibrant d’impatience, il se cala entre ses jambes largement écartées :
— Oui !… Mets-la-moi, lui murmura Louise à l’oreille, en écartant ses cuisses au maximum et repliant ses genoux… J’ai envie de sentir ton gros bout dans ma chatte, continua-t-elle fort excitée à l’idée d’initier son petit-fils aux délices de l’accouplement… Mais il ne faudra surtout en parler à personne, continua-t-elle… Tu me le promets mon cœur ?… Si jamais tes parents apprenaient ce que l’on fait !…
— Oui, je te le promets, assura Jérémy, prêt à jurer n’importe quoi pour pouvoir se perdre à l’intérieur de ce sexe féminin qu’il sentait si proche de sa verge tendue.
— C’est bien mon chéri… Ce sera notre secret.
Mais alors que Jérémy, pressé d’enfoncer sa virilité dans ce fourreau torride si près de son gland, s’agitait désespérément entre ses cuisses, Louise décida de le guider encore une fois. Lançant sa main droite entre leurs deux corps accolés, elle s’empara adroitement du membre gonflé et frémissant d’impatience.
— Attends, laisse-moi faire, conseilla-t-elle à son trop fougueux petit-fils.
Refermant ses doigts autour de la verge rigide, elle en dirigea le gland gonflé en direction de l’orifice de sa vulve ruisselante. Sentant le bourgeon dilaté écarter ses grandes lèvres, elle conseilla :
— Vas-y ! Enfonce ta queue dans ma chatte… Viens dans mon ventre !
Impatient de goûter à ce plaisir qui depuis quelque temps le faisait fantasmer, Jérémy, tel un jeune étalon lors de sa première saillie, lança vivement son bas-ventre en avant. D’un furieux coup de reins, il enfonça la totalité de sa verge dans l’antre féminin brûlant.
Surprise par la brutalité avec laquelle Jérémy l’avait pénétré, Louise ne put cependant retenir un cri de plaisir en sentant le gland gonflé repousser brutalement les chairs intimes de sa vulve et frapper avec force le fond de son vagin :
— Oh, putain, s’exclama-t-elle ! Je sens ton gros bout au fond de mon ventre… Oh, mon salaud, tu m’as défoncée !…
Dans un réflexe érotique, Louise encercla les reins de son jeune amant de ses cuisses nerveuses, comme pour l’empêcher de se retirer de sa chatte comblée. Alors que quelques instants plus tôt encore, elle se posait la question de savoir comment un sexe féminin pouvait accepter une verge aussi longue, elle en avait la réponse. Incroyablement, son vagin s’était adapté à l’étonnante longueur du membre qui l’avait investi, et à part le fait qu’elle se sentait profondément empalée, elle en ressentait un étrange bien-être. Cependant, comme Jérémy demeurait étrangement immobile, la bite, plongée au plus profond de son ventre, elle lança son bas-ventre en avant, afin d’encourager son jeune partenaire à s’activer :
— Vas-y, mon chéri !… Ramone-moi la chatte !… Baise-moi, l’incita-t-elle d’une voix rauque !…
Terriblement excité par le fait d’avoir enfin enfoncé sa verge dans un sexe féminin, et affolé par les encouragements suggestifs que lui dispensait sa grand-mère, Jérémy se laissa alors emporter par sa fougue. Dans un rythme endiablé, il entreprit d’agiter ses hanches, comblé de faire coulisser son membre bandé dans les moiteurs du sexe féminin. Béat, de bonheur, il éprouvait un plaisir extrême à sentir les chairs brûlantes et humides du vagin envelopper et presser sa verge gonflée. Malgré tout ce qu’il avait pu entendre des confidences, vraies ou fausses, des garçons plus âgés que lui, jamais il n’aurait imaginé ressentir une telle délectation à faire ainsi coulisser sa queue dans la grotte intime d’une femme.
Sous les violents coups de boutoir que lui dispensait son petit-fils, et sous les chocs répétés du gland volumineux contre son utérus, Louise ne tarda pas à sentir le plaisir prendre à nouveau possession de ses entrailles. Au point qu’elle ne put s’empêcher d’encourager son jeune amant :
— Oh oui ! Grogna-t-elle… C’est bon !… Oui !… Continue !… Plus vite… Encore !… Baise-moi bien à fond mon chéri !… Défonce-moi !… Oui… Oh Ouuiii !… C’est formidable…
De sa vulve furieusement barattée, un flot de sécrétions brûlantes s’échappait, éclaboussant l’intérieur de ses cuisses, le bas-ventre et les couilles de Jérémy, avant de s’écouler dans la profonde raie séparant ses fesses.
Ivre de plaisir, encouragé par les exhortations graveleuses de sa perverse partenaire qui s’était accrochée à son cou, Jérémy s’activa de plus belle dans le ventre féminin. Dans un rythme effréné, il accéléra encore les va-et-vient de sa verge tendue, à l’intérieur de la chatte débordant d’un liquide brûlant. De la vulve ainsi furieusement ramonée, un bruit de clapotis montait à ses oreilles et se mêlait aux chocs sourds que produisait le frappement de son ventre contre les fesses de sa grand-mère. Ces concerts conjugués l’affolèrent un peu plus.
Sous son corps en sueur, Jérémy entendait sa grand-mère haleter en s’arquant frénétiquement. Déchaînée, celle-ci lançait avec passion son sexe investi au-devant de son membre viril, s’offrant avec une rage sensuelle à chaque pénétration. Mais à faire naviguer ainsi son membre gonflé à l’intérieur du vagin incandescent, Jérémy ne tarda pas à sentir le plaisir prendre possession de son sexe prêt à exploser. Alors, tel un cheval sentant l’écurie et pressé d’y arriver, il accéléra encore le mouvement saccadé de ses reins, afin d’atteindre l’éjaculation libératrice qu’il sentait proche de jaillir.
Ce qu’il désirait s’accomplit enfin. Dans un véritable feu d’artifice, les reins arqués, avec un grognement d’a****l blessé, il déchargea violemment sa semence virile dans la vulve accueillante. Une éjaculation puissante, irrésistible qui lui vida entièrement les couilles, et le laissa anéanti sur le corps féminin en sueur également.
Dès l’accélération des coups de boutoir infligés par son petit-fils à sa chatte en fusion, Louise avait sous la v******e de la pénétration, ressenti un flux intense de plaisir. Ne voulant pas jouir avant que son jeune amant ne connaisse lui-même l’extase, elle se força à contrôler ses sens bouleversés, tentant désespérément de contenir ce flot impétueux qu’elle sentait prêt à jaillir des profondeurs de ses entrailles labourées. Lorsqu’elle comprit au raidissement du corps de Jérémy entre ses bras, que celui-ci atteignait l’orgasme qui allait le libérer de sa semence, elle l’enserra plus fortement entre ses cuisses nerveuses, l’empêchant ainsi de s’extraire de son vagin affamé.
Lorsqu’elle sentit le sperme de son adolescent de petit-fils lui emplir le vagin, elle se laissa alors emporter à son tour par la jouissance. Dans un long râle, venant du plus profond de ses entrailles, elle jouit avec passion. Un orgasme violent qui la souleva de la couche, la cambra, la tétanisa, pour enfin la laisser pantelante, en sueur, bras et jambes écartées, crucifiée par ce pal de chair enfoui au plus profond de son vagin agité de spasmes.
Haletants, les deux amants restèrent ainsi intimement unis par leurs sexes ajustés pendant près de dix minutes. Puis, la première à reprendre ses esprits, Louise fit basculer le corps devenu trop lourd de son jeune partenaire à ses côtés, libérant ses seins, douloureux du poids qui les écrasait. De sa chatte soudainement délivrée, un flot de sécrétions chaudes et gluantes s’échappa aussitôt, l’obligeant à resserrer vivement ses cuisses pour stopper cet écoulement qui risquait de tacher les draps :
— Mon Dieu, qu’est-ce que tu m’as mis, s’exclama-t-elle en se penchant sur Jérémy pour l’embrasser tendrement… J’en ai de partout… Tu en avais encore une sacrée réserve !…
Elle n’en revenait pas de la quantité de sperme que Jérémy avait expulsé à l’intérieur de son vagin, alors qu’il lui en avait déjà copieusement empli la bouche, une heure auparavant. L’avantage de la jeunesse, songea-t-elle.
— C’était bon, interrogea-t-elle maternellement. Tu as aimé mon bébé ?
— Oh Oui !
— Moi aussi j’ai aimé. Tu m’as vraiment donné du plaisir tu sais…
Après un dernier baiser à son jeune amant, Louise quitta le lit, la main entre les cuisses, la paume plaquée à sa vulve dégoulinante.
— Reste couché encore un moment mon chéri. Je vais faire un brin de toilette. Tu m’as bien aspergé, mon petit salaud !…
* *
*
A suivre…
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