Vendredi, 17 heures…
Il ne me reste que quelques heures à passer avec André, ensuite je ne le verrai plus avant la semaine prochaine…
Nous sommes au lit, étroitement enlacés, il me fait l’amour…
Je suis sur le dos et mes jambes gainées de bas noirs sont sur les épaules de mon amant. Il m’encule tendrement en m’embrassant, ses mains me caressent les seins et le sexe…
Il me parle à voix basse :
-« J’adore faire l’amour avec toi, je prends vraiment mon pied à te baiser. Tu es une vraie petite salope, une bonne petite putain, ma putain !… » Ses mots crus me rendent dingue…
Quand il sent que je suis bien chaude, il se penche vers moi et me glisse doucement à l’oreille :
-« Je veux que tu restes avec moi ce soir. J’ai organisé une petite soirée avec quelques amis demain. Ils ont besoin d’une petite femelle docile et obéissante et je veux que tu sois là !… Personne ne pourra les satisfaire mieux que toi… Reste encore une journée, si tu tiens à moi »…
Je sens son souffle dans mon cou, cette queue que j’aime tant aller et venir entre mes reins et je suis tellement excitée que j’accepte sans hésiter. André est ravi, un large sourire illumine son visage qu’il blottit dans mon cou tout en accélérant ses coups de reins. Je le sens souffler de plus en plus fort, puis gémir, il me glisse à l’oreille un « Je t’aime ma Belle» tout en m’inondant le cul de sa semence brulante…
Le lendemain en fin d’après-midi, André m’appelle dans la chambre. Il est assis sur le coin du lit et me demande de m’habiller dans sa tenue préférée. Je me déshabille et enfile une paire de bas noirs et un porte-jarretelles. André me regarde faire et lorsque je passe ma petite culotte fendue, je vois sa braguette faire une jolie bosse. Il se lève, m’embrasse sur le coin des lèvres et me dit :
-« Ca me fait toujours autant d’effet de te voir dans cette tenue, il faut que tu fasses quelque chose pour me soulager ».
En disant ces mots, il appuie ses mains sur mes épaules et m’oblige à m’agenouiller devant lui. Je déboutonne son pantalon, sors son sexe gonflé de désir et, après l’avoir léché de haut en bas, le fait glisser entre mes lèvres humides. Lorsque je sens ses couilles contre mon menton, je passe une main entre ses cuisses, lui caresse doucement l’anus et commence un long va et vient le long de sa queue. Au bout de quelques minutes, mon amant me saisit la tête et se met à faire onduler son bassin d’avant en arrière pour me « baiser » la bouche… Lorsqu’il fait cela, je sais qu’il est sur le point de craquer. Ma langue s’active davantage et j’introduis mon doigt dans son petit cul serré. Le résultat ne se fait pas attendre : Je sens bientôt sa queue trembler et un puissant jet crémeux me fouette le palais. J’avale avec délice le sperme dont il me fait l’offrande, lui léchant le gland pour ne rien perdre de son sirop…
On sonne à la porte, André se retire de ma bouche et se rajuste. Il sort de sa poche un foulard qu’il me noue autour des yeux et me demande de rester à genoux pendant qu’il va ouvrir.
J’entends bientôt plusieurs voix d’hommes dans le salon…
André revient dans la chambre, m’att**** par les cheveux et me guide à genoux jusqu’au salon. Les voix se taisent et je n’entends plus que des murmures… Je devine que plusieurs personnes sont assises dans le canapé et les fauteuils…
Mon amant m’arrête devant la table du salon, il m’écarte les jambes et les attache aux pieds de la table. Il fait de même avec mes poignets… Je suis à présent ficelée à plat ventre sur la table, soumise et ainsi offerte au premier venu…
J’entends des hommes se lever et s’approcher, des braguettes s’ouvrir, des pantalons se baisser…
Une main att**** mes cheveux et me redresse brutalement la tête. Je sens l’odeur d’une bite et un gland vient heurter mes lèvres. J’ouvre la bouche pour laisser glisser contre ma langue cette queue gonflée… Quelqu’un fait glisser ma petite culotte et m’écarte les fesses, je l’entends cracher dans ses doigts pour m’enduire l’anus de salive.. Il appuie son sexe contre ma rondelle qui se dilate doucement puis, une fois son gland introduit en moi, m’encule d’un seul coup de reins. Sa queue me paraît énorme, la douleur me déchire le ventre… Mais je ne peux pas crier…
Personne ne parle. Seuls mes gémissements de douleur et de plaisir se mêlent au souffle de mes amants d’un soir et au bruit de leur sexe dans mes orifices humides…
Je me fais limer pendant plusieurs minutes avant qu’un jus chaud et crémeux m’inonde le cul puis la bouche…
Les couilles vidées, mes baiseurs se retirent sans ménagement… André s’approche de moi et me murmure des mots doux à l’oreille, puis il me demande d’ouvrir la bouche, de tendre ma croupe en arrière et d’offrir mes fesses… Et d’autres queues raides et brûlantes s’introduisent en moi, me fouillant sans retenue la bouche, le vagin et le cul…
Les bites s’enchaînent les unes après les autres… Je suce sans relâche et me fais prendre à la chaîne. Ma mâchoire me fait mal et mes orifices ouverts absorbent maintenant les sexes dressés sans problème… Je ne suis plus qu’une machine à faire jouir, une poupée gonflable qu’on enfile pour se satisfaire et se soulager… Bientôt le sperme me coule entre les fesses, le long des cuisses, sur le menton et dans le cou… Je ne peux rien faire d’autre que de subir les assauts répétés de ces hommes et de m’abandonner au plaisir qu’ils me procurent…
L’un après l’autre, pendant près de deux heures, cinq mâles me baisent sans retenue ce soir-là… Certains d’entre eux me prendront même plusieurs fois… J’apprendrais plus tard qu’ils ont tous payé pour cette soirée et visiblement ils en veulent pour leur argent avant de repartir… Les derniers m’éjaculent sur le visage, les cheveux et les fesses…
André raccompagne ses invités à la porte et revient dans le salon. Il se penche près de moi et me dit que j’ai été parfaite et que ses amis ont vraiment apprécié…Il s’allonge sur moi et je sens sa queue tendue glisser entre mes fesses vers mon anus poisseux. M’a-t ’il déjà baisé pendant la soirée?… Je l’ignore mais il a l’air très en forme…Son gland ne cherche pas longtemps l’entrée de mes reins, son sexe s’enfonce en moi sans difficulté, et je m’offre une dernière fois pour l’homme qui me procure tant de plaisir…
André sait maintenant qu’il a à sa disposition une petite pute docile et soumise, prête à tout pour le satisfaire…
…Ou satisfaire ses moindres désirs…
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