La journée s’achevait dans cette ville de l’est de la France. Il ne faisait fait trop chaud et du coup il n’y avait pas foule dans ce morceau de plage qui avait été installé dans la ville. Quatre personnes en tout, une femme, jeune, la trentaine, pas très belle et pas très mince sans être grosse. Tout ce petit monde était installé sur des chaises longues, un bouquin à la main pour faire passer le temps. Et le temps passait…. De temps en temps, l’un d’entre eux levait les yeux et passait son regard sur les autres pour voir ce qui se passait.
J’étais allongé à un mètre en arrière de la jeune fille et elle ne m’avait pas dans son champ visuel et il lui fallait se retourner pour me voir. De temps en temps elle tournait la tête vers moi et nos regards se croisaient, petits sourires, rien de plus. Sans doute sans faire exprès, elle passait son doigt au niveau des coutures de son soutien-gorge et de son slip et un peu de chair plus blanche apparaissait. Bien sûr, je regardais pour voir jusqu’où elle allait dans ces apparitions de chair laiteuse et, sans doute les autres aussi, mais ça n’allait pas plus loin. A un moment, j’ai vu qu’elle semblait vouloir aller plus loin. Au niveau des seins, elle avait fait bouger la couture supérieure et l’avait positionnée à une bonne moitié du sein, à la limite de l’aréole. En ce qui concerne, son slip, déjà pas très grand, elle l’avait assez largement remonté sur ses aines, le réduisant à un morceau de tissus de quelques centimètres plaqué juste sur son sexe. Le spectacle devenait bigrement intéressant surtout pour les trois hommes que nous étions, en cette fin d’après-midi, pas très rempli et un peu à la recherche d’un bon passe temps et pourquoi pas…. plus.
Les livres se mirent alors à se baisser plus souvent et les regards devinrent plus insistants en direction de la jeune fille. Elle se mit alors à toucher plus souvent les coutures de son maillot de bain et ce qui devait arriver, arriva : à l’occasion du passage de ses doigts sur les seins et sa chatte, nous vîmes apparaître ses aréoles et même un peu plus, tout le sein pratiquement et plus bas, ce furent les lèvres de sa chatte qui apparurent furtivement. L’atmosphère devenait de plus en chaude. Le gars qui était su la chaise longue en face de la belle était au premières loges et on devinait qu’il commençait à bander ferme. De mon côté je sentais que ma bite devenait plus dure. Quant au troisième, je ne voyais que ses jambes et son slip et là aussi, ça grossissait. Il est évident que la belle ne pouvait pas ignorer l’effet qu’elle produisait sur nos bites respectives. Et elle, elle tirait de plus en plus sur son slip qui lui rentrait carrément maintenant dans la chatte.
J’eus alors la bonne idée de ma lever et de me diriger vers elle pour lui chuchoter à l’oreille : « Mademoiselle, vous avez dû remarquer que vous produisez sur nous un effet certain et nous voudrions vous proposer au moins de nous branler ensemble, vous de votre côté et nous du nôtre, dans un endroit discret que je connais et plus si vous le souhaitez ». Je fus étonné de sa réponse : « D’accord mais vite car je suis un peu pressée maintenant ». Et nous nous levâmes en direction d’un sous-bois à quelques dizaines de mètres. Les deux autres nous suivirent bien sûr.
Elle mit sa serviette sur le sol et commença à se fourrer les doigts dans la chatte en ayant à peine descendu son slip. Pour ma part, je sortis ma bite de mon caleçon et je commençais à m’astiquer à quelques centimètres d’elle, mon gland étant déjà rouge et luisant, le méat bien ouvert à chaque fois que je tirais la peau en arrières. Le gars qui était en face d’elle auparavant, fit la même chose que moi et une autre bite entoura notre belle qui ne ménageait plus ses mouvements autour et dans son con qui s’ouvrait de plus en plus et commençait à laisser couler sa cyprine. Le troisième, plus timide, regardait et n’avait pas encore sorti sa queue. Le gars qui était en face de semblait être autant excité par la chatte de la belle que par ma bite et son regard allait de l’un à l’autre en permanence.
A un moment, je me suis baissé pour mettre la main autour de la connasse de la belle pour la branler un peu. Elle n’a rien dit et a accepté de bon cœur ma main qui a commencé à monter et descendre le long de ses lèvres : ça glissait merveilleusement bien. Je mis bien sûr mes doigts à ma bouche pour goûter son jus et ce fut un délice, juste salé ce qu’il faut et odorant pour vous faire bander encore plus. J’ai poussé un peu mon avantage en y mettant un doigt pas très profond au début puis plus profond où je sentais son muscle qui se contractait sur mon doigt. Un deuxième a suivi et j’ai commencé un lent va et vient sur lequel je me concentrais pour être au plus près de son plaisir. Elle a commencé à gémir et là j’ai accéléré le rythme et j’ai senti qu’elle jouissait. En même temps que je la branlais, je me touchais la bite et c’était un vrai bonheur. L’autre gars, lui, avait attaqué les seins de notre belle et il les lui palpait allégrement en s’attardant sur les bout en les pinçant doucement.
Voyant sa jouissance augmenter, je lui ai gentiment proposé de remplacer mes doigts par ma bite et dans un râle, elle a dit oui. Je lui ai demandé de se tourner pour que la prenne en levrette et je lui ai mis ma bite dans sa chatte. Quelle connasse ! Un vrai plaisir, pas trop serrée mais pas trop large, juste ce qu’il faut. J’écrasai ses fesses d’une blancheur éclatante chaque fois je la pénétrais à fond et elles s’écrasaient sur mon bassin pour mon plus grand plaisir. L’autre gars, se déplaça vers la chatte de notre belle et commença à lui branler le clito, en même temps qu’il me caressait la bite de manière assez appuyée. Je voyais qu’il y prenais plaisir. Je ne me trompais pas car de sa main droite il se mit à me caresser les fesses en s’attardant sur ma rondelle. Je ne fus pas long à vouloir jouir et je sortis ma bite. Je fis deux ou trois mouvement de ma main sur ma queue et mon jus s’écrasa sur les fesses de la belle. Je m’écartais alors et la place fut immédiatement prise par l’autre gars. La belle s’en rendit à peine compte car elle n’avait pas encore pris son pied. L’autre gars la bourra vigoureusement pendant que je prenais sa place pour lui branler le clito et exciter ses seins. Elle se mit à respirer de plus en plus fort sans se mettre toutefois à crier sans doute de peur d’ameuter les gens. En la branlant, je ne pouvais que toucher la bite de l’autre gars et j’avoue que ce n’étais pas désagréable. A un moment, il sortit du con de la fille et je me retrouvai avec la bite du gars dans la main. Instinctivement, je me mis à le branler deux ou trois coup. Sa bite était dure et gluante et je la remis rapidement dans la chatte de notre belle qui se mit vraiment à jouir en s’effondrant sur sa serviette. L’autre gars sortit alors sa bite s’apprêtant à jouir en se branlant sur les fesses de la fille. C’est alors que je décidais de la prendre dans la main et de le branler jusqu’à ce qu’il jouisse. Il ne fut pas étonné et se laissa faire pendant que la fille qui s’était retournée nous regardait en portant sa main à sa chatte et à son clito pour se toucher. Rapidement je le fis jouir et son sperme s’écrasa sur les cuisses de notre belle.
On s’échangea nos numéros de téléphone après nous être remerciés mutuellement. Quant au troisième gars, je ne sais pas ce qu’il était devenu, je suppose qu’il s’était branlé en nous regardant… Voilà à quoi servent …aussi le plages urbaines dans nos villes !!!!
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