Martin ! Charlie est donc le fils de Martin ! il porte bien le surnom de son père ! et ce dernier doit venir me voir demain ? Pourquoi ?
Après une douche indispensable je me suis endormie jusqu’en milieu d’après midi , je ne peux m’empêcher de repenser a Martin …mon mari voulais me faire baiser par cet homme et finalement c’est par le fils et ses copain que je me suis bien faite fourrer, mes lèvres et mon anus sont encore enflés par le passage des queues viriles , un peu de crème apaisante et tout va rentrer dans l’ordre, je suis d’humeur guillerette après cet exploit !
Le lendemain j’ai bien récupérer, a neuf heures un homme arrive avec une remorque
– Bonjour, madame Goriot ?
– Oui
– Je suis le père de Charlie, ils ont fait du bon boulot ces jeunes
– Je peux vous l’assurer …
– Un p’tit coup de tondeuse et vous pourrez à nouveau vous allonger sur l’herbe tendre
– Vous êtes gentil monsieur Mar…pardon monsieur ?
– Y’a pas de mal, mon prénom est Jacques mais ont me surnomme Martin comme mon âne !
– Ha …
– Bon, je passe l’engin dans le terrain j’en ai pour cinq minutes
– Je vous prépare un café ?
– Plutôt une bonne bière fraiche
– D’accord Jacques
– Ça me surprend quand on m’appelle Jacques, appelez moi Martin !
– A tout a l’heure martin !
Je suis stressée comme une collégienne qui attend son amoureux alors qu’il n’y a aucunes raisons, ça y est le moteur s’est arrêté, j’ouvre la porte pour l’inviter à entrer
– Entrez Martin
– Ça me fait tout drôle d’enter dans cette maison
– Vous n’y étiez jamais venus ?
– Si mais tout petit, je connais bien votre mari, pardon, je ‘connaissais’ car hélas il a disparut
– Je commence juste à surmonter ce malheur
– Je l’avais rencontré quelques jours avant son accident pour des raisons très-très personnelles
– Ha ? lesquelles ?
– C’est gênant de parler de ça avec vous, pourtant vous étiez concernée directement…
– Vous pouvez tout me dire il y a prescription maintenant !
– C’est vrai, alors je vais vous raconter ce qu’il me voulait de moi… ha c’n’est pas facile…
– Lâchez-vous que diable !
– Ben … il voulait que je vous baise devant lui, voilà c’est dit, excusez moi
– Ne vous excusez pas, pour tout vous dire je m’en doutais un peu, mon mari faisait des allusions a ça lorsque nous faisions l’amour
– Et vous auriez été d’accord ?
– Là c’est moi que ça gêne …
– Encore une gaffe de ma part, je vais y aller, merci pour la bière
– ATTENDEZ Martin.…..
– Tu connais mon surnom ?
– Et celui de ton fils…et siiiii ?
– A votre tour de parler clairement !
– Et si nous réalisions son fantasme ? je suis sure qu’il me voit de là-haut !
– Vous êtes bien sûre de vous ?
– Montrez-la-moi
– Ouvrez vous-même ma braguette avant qu’’il’ ne gonfle trop
– Vous bandez déjà ?
– A votre avis c’est quoi cette bosse qui pointe sous ma braguette ? dépêchez vous de la sortir
Fébrilement, les mains tremblantes je tire sur le zip j’en plonge une dans l’antre de la bête pour y rencontrer un truc long et rond qui se raidit dans le slip
– Je vais vous aider en baissant carrément mon froc, voilà …
– Hoouuuaaa il est volumineux !!
– fait ce que te veux avec, je peux toucher tes seins ?
– Déshabille-moi entièrement…et suce mes bouts
– C’est ce qu’aurait voulu ton époux ?
– Ouuuuuuuiiiiiiiii…. Il aurait voulu que te me baise à la dure
– Alors suce moi pouffiasse ensuite tu vas te pencher sur la table je vais te saillir comme une jument en chaleur
Complément partie je me penche pour engouffrer son gland monstrueusement dressé, ma salive coule abondamment de ma bouche et ma cyprine de ma chatte engluant l’intérieur de mes cuisses, endurant il en a pour un moment avant de lâcher son foutre dans ma gorge, j’ai trop envie de sentir la queue de cet homme ramoner mon antre, brusquement je recrache sa pine et plaque mes seins sur la table en chêne
– Écarte les pieds et cambre ton cul
– Enfonce-toi vite !
– Accroche tes mains à l’autre bord de la table sinon tu vas glisser… le temps d’humidifier mon bout sur tes babines détrempées eetttt …. VOILAAAAAA !!!!!!
– AAIIIIIIEEEEEE ! tu es encore plus gros que ton fils !
– Ha ? Charlie t’as baisée ?
– Oui, ainsi que ses trois copains
– Tu aime la bite ma salope ? alors j’ai ce qu’il te faut pour demain
– Quoi ? qui ?
– Trois bons gaillards qui bandent des heures entières, pas des minets qui déchargent en trois minutes
– Ils vont me faire mourir !
– De plaisir c’est sûr, tu accepte ?
– A condition que tu sois présent pour tempérer leurs ardeurs
– Promis, à présent laisse-moi te baiser à ma manière
– Tape-moi fort dans la chatte Martin
– Comme mon âne le ferais … han-han-han-han-han han- HAAAAANNNNNN !
– Oui-oui-oui-oui-oui-OOOOOOUUUUUUUIIIIIIIIIIII !!!!
– Retourne-toi espèce de chaudasse !
Cet homme me dévaste le con et j’adore encore plus en levrette, je me suis réveillée allongée sur mon lit où martin a eu la délicatesse de me porter a demi consciente, courbaturée mais assouvie je pense déjà au lendemain …
Malgré m’y être préparée j’ai sursauté lorsqu’ils ont frappé a la porte, l’orgie allait commencer …il n’a pas menti j’ai face a moi trois mâles taillés comme des bucherons qui lorgnent sur mes formes comme on détaille une voiture … d’occasion !
– Je ne vous ai pas raconté des balivernes les mecs, Lili est une belle femme à votre disposition pour vos bas instincts mais sans brutalités
– Nous allons en prendre soin
– Vous avez seulement une heure sinon vous aller la tuer ! allez-y, je reviens dans un moment
Martin me laisse seule avec ces trois malabars ? sitôt la porte refermée les hommes m’entourent, les mains parcourent mes formes, commentant par des propos grivois leurs découvertes, deux sur les seins avant de s’affairer a défaire les boutons du décolleté, deux relèvent ma robe sur mes fesses et évidement les deux autres foncent entre les cuisses, massée, pelotée, la chatte fouillée et l’anus visité par l’échancrure de mon string ,je suis vite nue la culotte sur mes chevilles… une verge raide de bon diamètre dans chaque mains, la troisième ? elle me fait face cherchant le chemin de mon vagin, aidé par ses amis pour me soulever et mettre ainsi ma chatte a bonne hauteur, la culotte qui entravait mes jambes arrachée, le membre glisse enfin dans mon ventre réveillant les échauffements dût a mes excès sexuels de la veille, je m’accroche à son cou pour plus de confort, j’aurais dût m’abstenir …un deuxième mâle en rut se positionne derrière moi, des doigts impatients fouillent entre mes fesses et s’incrustent dans mon anus qui accepte de s’ouvrir
Celui qui occupe mon vagin stoppe tous mouvements pour permettre à son pote de participer à la curée, je monte et descend d’une façon saccadée entre mes amants, celui qui est resté sur la touche se contente en se branlant d’une main et en pinçant mon téton de l’autre
Lorsqu’ils ont daignés me poser sur le lit après avoir vidées leurs couilles dans mon ventre qui se débarrasse du trop-plein le long de mes cuisses, c’est pour me mettre à genoux et recommencer à tour de rôle dans l’orifice qu’ils ont choisi, ou alternativement dans les deux …
Lorsque j’ai repris connaissance il faisait nuit, mais au moins le lendemain matin j’avais la satisfaction de voir mon terrain entièrement désherbé …
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