Ma mère et moi avons une relation fusionnelle probablement due au départ précipité de mon père lorsqu’il a appris que ma mère était enceinte de moi, cependant, il n’y a qu’une seule chose qu’elle ignore de moi : j’aime les hommes.
On est le 20 juillet 2010, au 38eme anniversaire de ma mère.
Les invités arrivent peu a peu à la maison, tandis que moi, en bon ado « rebel » je suis enfermé dans ma chambre, lumière éteinte, volets fermés, à tchatter sur Facebook.
N’ayant aucune vie sexuelle depuis maintenant 16 longues années, il m’arrive souvent, comme ce soir, de dialoguer avec des hommes, de faire des plans cam ou même d’en appeler certains pour les entendre me dire toutes les cochonneries qu’ils aimeraient faire au petit métis assoiffé de sexe que je suis.
-Gabriel! Descends dire bonjour!
-Ouais.. J’arrive..
Fais chier! Je n’ai absolument pas envie de prendre part a la fête mais je descends quand même, par respect, saluer les amis et collègues de ma mère.
J’entends les habituels « oh t’as grandis toi! » ou bien « bah alors gaby, quand est ce que tu nous ramène une copine? ».
Je me mords les lèvres pour ne pas être désagréable, esquisse un sourire hypocrite et m’apprête a remonter dans ma chambre quand la sonnette retentit à nouveau.
-Gaby, va ouvrir s’il te plait.
-Oui maman! Répondis-je a ma mère d’une voix faussement excité.
En ouvrant la porte, je tombe sur René, le chef de service de ma mère.
Lui, me connaît depuis tout petit et est sans doute l’homme le plus lourd du monde. René est un homme aisé mais au physique peu agréable : il est assez fort, très poilu, transpire beaucoup et a les dents aussi jaunes que les filtres des cigarettes qu’il fume. Je m’empresse de le saluer d’une bise et remonte dans ma chambre.
La soirée bat son plein en bas tandis que moi, je suis toujours enfermé dans mon antre à me masturber en dialoguant avec un homme.
A la fin de cette longue séance de masturbation, j’ai le bras droit engourdi et le sexe épuisé, je décide alors de descendre prendre quelques amuse-gueule pour reprendre des forces.
L’ambiance est bonne, les gens discutent, rient aux éclats, boivent, certains dansent même.
René s’écrit alors :
-Ah bah le voilà lui! Viens prendre un verre avec nous, t’es un homme maintenant Gabriel!
Je comprends au son de sa voix qu’il a déjà un coup dans le nez, mais m’exécute, amusé par la situation.
René me sert un verre de Vodka, sous les yeux bienveillants de ma mère qui surveillent le dosage. Ce dernier fait mine d’att****r le jus d’orange pour rassurer ma mère puis le repose une fois qu’elle détourne le regard.
-Les hommes boivent pur, Gaby. Amuse toi mon grand.. Me susurre-t-il a l’oreille.
C’est bizarre, mais sentir son souffle chaud et alcoolisé dans mon coup me procure un léger frisson que je ne saurai expliquer. Je n’y porte pas plus d’attention et m’attaque a mon verre.
Pressé de remonter vaquer a mes activités, j’avale la vodka en deux gorgées puis me lève discrètement afin de quitter la table sans attirer l’attention sur moi quand je sens la main de René agripper mon bras.
-Déjà? Tu avais soif! Prends en un deuxième et ne dis rien a ta mère. Me chuchote-t-il a nouveau a l’oreille.
Un second frisson parcours mon corps. Je le laisse me servir a nouveau, cette fois ci ma mère est en pleine discussion et René rempli mon verre jusqu’en haut en me regardant tout sourire. Il me faudra vingt bonnes minutes pour arriver a bout de ce verre qui me brûle la trachée a chacun des gorgées avalées.
A peine terminé qu’il m’en ressert un, je me sens comme prisonnier, étant trop timide pour refuser et ma mère étant trop occupée avec ses convives pour mettre un terme a tout cela.
Au bout du 5eme verre, je suis complètement bourré : ma tête tourne et je commence à avoir très chaud.
Voyant mon état, René se résigne a me faire boire.
Je m’empresse de me lever pour tituber jusqu’aux escaliers ou celui ci me rejoint :
-Je vais t’aider a monter, si ta mère te vois comme ça, elle me tuera!
Ne répondant plus de rien, je le laisse faire. Il monte les quelques marches que j’avais difficilement monter et m’att**** par la taille.
Un nouveau frisson me parcours mais cette fois, je décide de me laisser aller. Au fur et a mesure que nous montons, je sens la main de René descendre doucement mais sûrement jusqu’à la limite de mes fesses.
Arrivés en haut, René ne retire pas sa main. Je suis tout émoustillé et commence donc à me cambrer quand il me dit doucement a l’oreille:
-Tu es un beau garçon Gabriel..
A peine le temps de tourner la tête pour le regarder que sa bouche rencontre la mienne.
René m’avale littéralement la bouche, m’embrasse, me lèche les lèvres, nos langues se rencontrent, s’entremêlent pendant que ses grosses mains parcourent vigoureusement mon corps tout frêle comparé au sien.
Un peu surpris, je m’abandonne carrément a cet homme mûr au physique ingrat qui semble, lui, savoir parfaitement ce qu’il fait.
Ma bouche est désormais remplie de sa salive chaude et sucrée.
J’ai des petits papillons dans le ventre et ses mains caressant mon torse et mes fesses décuplent mon plaisir.
Son ardeur m’excitait et m’effrayait a la fois.
Il me plaque alors violemment contre la porte de ma chambre et m’embrasse dans le cou en me bloquant les poignets au dessus de ma tête tandis que je pousse des petits gémissements de chienne en chaleur pour lui faire comprendre que je suis prêt a faire ce qu’il demandera..
-Entre dans ta chambre, Gaby.
Encore tout retourné par ce baiser fougueux, je ne réfléchis pas et entre dans ma chambre sans un mot.
Il y fait déjà noir, des mouchoirs remplis de ma semence jonchent le sol et mon bureau.
Il entre dans la pièce rapidement et referme la porte délicatement.
-Déshabille toi mon chéri.
Sans broncher, je retire mon t-shirt, mon jean slim et mon caleçon pour laisser sortir mon sexe déjà tout gonflé de plaisir et d’excitation sous le regard pervers de mon partenaire.
René me regarde avec envie, comme s’il voulait me dévorer. Il se lèche les lèvres et s’approche doucement de moi en ne regardant que mon corps. Je frémis lors du contact de ses grosses mains sur ma peau nue ce qui semble l’exciter davantage, il se remet alors a m’embrasser fougueusement en me léchant quasiment toute la partie inférieure du visage tout en me faisant m’allonger sur le lit. Il att**** alors mon jean que j’ai vulgairement jeté par terre et m’attache les deux mains ensemble, à un des barreau de ma tête de lit.
Voilà le tableau : Je suis tout nu, complètement ivre, allongé et attaché à mon lit pendant que ses doigts effleurent mon corps de long en large.
Je suis à sa merci, ce qui ne fait qu’accentuer mon envie d’aller plus loin avec lui.
A suivre ..
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