Cela faisait déjà un an que je n’avais plus de boulot et mon compte en banque était presque à sec. Il fallait que je trouve quelque chose. Je suis allée à l’ANPE mais ils n’avaient rien pour moi puis j’ai vu une annonce sur la vitrine de la boulangerie et j’ai noté le numéro et j’ai fini par appeler.
Une voix féminine m’a répondu et elle m’a dit au bout d’un moment et après pas mal de questions que son mari a de gros besoins.
– Moi, je ne peux pas suffire, a-t-elle ajouté ! Mon mari a besoin de se vider les couilles cinq à six fois par jour mais il n’a pas le temps d’aller aux putes ! Il travaille ! Si vous n’êtes pas farouche, ce genre de travail ça peut vous aller !
Elle m’avait dit combien je gagnerai et je n’avais jamais gagné autant en faisant un travail honnête. Cinq mille francs par mois à l’époque pour soulager un homme même si c’était souvent, ça ne se refuse pas. J’ai accepté et le lundi suivant, je me suis précipité pour mon nouveau travail.
J’ai frappé à la porte marqué Direction et une voix mâle m’a dit d’entrer.
– Vous êtes la nouvelle, m’a fait le type ?
– Oui !
Il était pas mal, plutôt grand et sportir. Après le préambule, il m’a répété ce que m’avait dit sa femme.
– On peut commencer tout de suite, m’a-t-il demandé ?
Puisque j’étais là. J’ai soulevé ma jupe et j’ai retiré ma petite culotte et mon nouveau patron m’a dit que ça sera inutile que j’en porte une.
– Montre-moi tes nichons !
J’ai soulevé mon sweater et j’ai retiré tout de suite mon soutif pour lui éviter d’avoir à me dire de ne pas en mettre puis il m’a poussé sur le coin de son bureau et il m’a pénétrée et tout en s’occupant de ses affaires et en téléphonant, il a fini par éjaculer au fond de mon vagin.
– Je t’appellerai tout à l’heure, m’a-t-il dit ensuite en reboutonnant sa braguette !
– Je fais quoi, maintenant, lui ai-je demandé ?
– Tu as un bureau derrière cette porte, m’a répondu le type ! Il y a tout un tas de choses dont tu peux t’occuper !
J’ai franchi la porte mais dans ce bureau, il n’y avait que de la littérature érotique, des bouquins de cul et un ordinateur branché sur des sites pornos et après avoir feuilleté les revues, j’ai regardé l’écran et les vidéos de cul où tout le monde baisait tout le monde, quel que soit le sexe et trois heures plus tard, mon patron m’a appelée. Je suis retournée dans son bureau.
– Vite vite ! Ça presse, m’a-t-il lancé ! J’attends un coup de fil de Tokyo !
Il m’a poussée contre le bureau et il m’a sautée mais à peine avait-il joui, au bout de dix minutes, qu’il a tout abandonné parce que le téléphone sonnait.
– Va te finir à côté, m’a dit mon patron ! Je ne veux pas que tu écoutes ce que je dis !
Je me suis retournée. Il avait encore la queue à l’air. Un vrai bout de bois dressé vers le plafond et qu’il n’a même pas cherché à remettre dans son pantalon. Mieux, j’ai pu voir qu’il se branlait, une main sur la bite et l’autre portant son téléphone.
J’ai encore soulagé mon patron sur les cinq heures du soir puis sa femme est venue me remplacer et j’ai pu rentrer chez moi. Comme on était le vingt du mois, le trente, j’ai touché ma première paie qui m’a bien aidée et j’ai continué mon travail.
Un jour, mon patron m’a demandé si ça va et je lui ai répondu qu’il ne s’occupe pas beaucoup de ma poitrine.
– C’est vrai, m’a-t-il répondu en me tripotant les seins ! J’aime les nichons mais en ce moment, c’est surtout la bite qui me travaille ! Tu es vraiment douée pour ce genre de job ! J’avais peur que tu ne tiennes pas le coup !
Je me suis dite que j’aurais dû calculer le nombre de litres de sperme dont il m’avait arrosé. Ça devait en faire des centaines. Ce soir-là, il m’a prise entre les seins et il a joui dans ma bouche mais ça n’a jamais été qu’une exception.
Dix-huit mois après mon embauche, j’ai à nouveau été licenciée parce que je comprenais que mon patron avait bien le droit de changer de vagin, mais j’avais gagné assez d’argent pour tenir le coup plusieurs années.
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