Je matais la fille des voisins d’en face avec ma jumelle. J’avais acheté un adaptateur pour pouvoir y brancher ma caméra et je l’ai enclenchée tellement c’était hot. La fille me faisait face et elle se masturbait. Elle était à moitié à poil et elle avait les seins à découvert et elle avait remonté sa jupe sur son ventre. Son bras d’arrêtais pas de s’agiter et je pouvais deviner l’action de ses doigts sur sa chatte.
De temps en temps, elle s’arrêtait pour souffler. Elle relevait ses longs cheveux sur son crâne puis elle recommençait. Quand elle a joui, elle est restée immobile un petit moment puis elle a léché ses doigts.
Je me suis dit que c’est une femme comme ça dont j’ai besoin. Il y avait une seule chose qui me déplaisait, c’est qu’elle avait des tatouages sur les avant-bras. Rien de très subtile et plutôt grossièrement exécutés.
Plus tard, en regardant la vidéo que j’avais faite de cette fille, j’ai découvert aussi qu’elle était tatouée sur le pubis et qu’elle laissait repousser ses poils comme si elle voulait le cacher. J’ai agrandi la vue et j’ai pu voir que c’était une femme qui se faisait prendre par un chien qu’elle s’était faite tatouer à cet endroit.
J’avais laissé tourner la caméra et j’en ai supprimé une longue séquence inutile. Cette fille, je la croisais parfois avec ses parents dans le parking sous l’immeuble. Elle semblait insensible et pourtant, un jour, elle m’avait fait un sourire. C’était quelques jours après avoir fait la vidéo. Le lendemain matin, j’ai trouvé une lettre sans adresse dans ma boîte et dedans, il y avait un petit mot sur lequel on me demandait si j’avais aimé le spectacle et j’ai compris qui me l’avait écrit.
Je pouvais faire une vidéo de quatre heures avec mes cassettes et je l’enclenchais le matin quand je partais. Je laissais ma fenêtre ouverte parce qu’à cet étage, personne ne viendrait. Je regardais le résultat le soir mais je ne trouvais rien d’intéressant si ce n’était la vue de la chambre de la fille. J’ai acheté un minuteur pour pouvoir filmer l’après-midi et le mercredi, j’ai découvert que la fille s’était encore masturbée pour moi. Le lendemain matin, j’ai trouvé un nouveau mot dans ma boîte et celle fois, il ne contenait qu’un numéro de portable. J’ai attendu l’heure de midi pour appeler. C’était celui de la fille des voisins. Elle m’a laissé parler puis elle m’a demandé si je veux qu’elle continue ou qu’on le fasse ensemble. Je lui ai répondu que je travaille et elle m’a dit de prendre ma demi-journée si j’ai vraiment envie d’elle. Je lui ai demandé si elle a un petit ami et elle m’a répondu que ses parents ne veulent pas. J’ai ajouté que j’ai l’âge d’être son père. Elle m’a répondu que ça tombe bien parce qu’elle veut commencer avec un homme expérimenté.
Je lui ai encore demandé comment ses parents ont accepté qu’elle ait un tatouage et elle m’a répondu qu’elle ne leur a pas demandé leur avis. Elle a encore ajouté qu’elle aime le sexe et qu’elle en a besoin.
Je lui ai dit que le mercredi prochain, je serai chez moi et qu’elle n’aura pas besoin de sonner parce que la porte sera ouverte mais elle m’a dit de venir chez elle. Je ne me suis pas douté tout de suite que c’était un piège. Enfin pas vraiment. Une fois chez elle, elle m’a dit de déclencher la caméra et comme je refusais, elle m’a supplié de lui laisser un souvenir et j’ai commencé à filmer, à une condition, qu’on fasse tout ce qui nous passe par la tête. J’ai ajouté que je veux avoir accès à tous ses trous.
– Tu veux dire dans mon derrière aussi, m’a demandé la fille des voisins ?
– Oui, je te sodomise !
– Tu me sodomise ? Tu veux dire que tu m’encules, m’a demandé la fille, incrédule ! Ça fait mal ?
Je lui ai répondu que je n’en sais rien et que ça dépend d’elle. Je ne pouvais pas lui dire qu’avec un copain, un jour qu’on avait eu marre de s’enfoncer des manches de casseroles dans l’anus, on s’était enculés. Je n’avais pas précisément apprécié mais j’avais laissé faire.
Je me demande encore aujourd’hui si j’ai vraiment fait tout ça avec elle. Elle m’avait sucé, branlé, elle s’était empalée sur ma bite et je l’avais enculée pendant quatre heures. A la fin, elle m’avait demandé si c’était bien et elle s’était presque excusée de n’avoir pu en faire plus. Le lendemain, je l’ai croisée avec ses parents dans le parking de l’immeuble. Elle m’a fait un sourire. Son père l’a rappelée à l’ordre. J’ai viré les séquences inutiles et j’ai gravé un DVD de nos ébats et je l’ai donné à la fille des voisins.
Comment certaines scènes se sont retrouvés sur un site de cul, je n’en sais rien. Quand j’ai revu la fille, c’était dans la rue. Elle marchait sur le boulevard et elle était enceinte de six mois. J’ai calculé que ça ne pouvait pas être de moi et je n’ai pas osé l’aborder. Je me masturbais en regardant du porno et aussi en revoyant les films que j’avais tournés d’elle. Je l’ai revue deux mois plus tard. Son ventre semblait près d’éclater tant il était enflé. Elle s’est effondré sur un banc et je l’ai rejointe puis je lui ai offert de venir chez moi. Je n’avais jamais baisé de femme enceinte. Je l’ai aidée à se déshabiller et nous avons commencé les caresses puis je lui ai demandé qui lui avait fait ça.
– C’est mon père !
J’ai dit que j’allais lui casser la figure mais elle m’a dit que ses parents lui ont laissé l’appartement et qu’ils sont partis habiter en province.
– Ils ne veulent plus de moi !
– Moi, je veux bien toi !
– Tu veux baiser, c’est ça ? Je n’ai pas de métier et je n’ai plus qu’à faire la pute, a ajouté la voisine !
– Alors, je serai ton premier client !
Elle était plus chaude que la fois où nous l’avions fait.
– Ça te plaît ?
Elle s’était mise en levrette. Ses seins et son ventre touchaient le drap. Je passais de sa chatte à son anus et j’en profitais pour la caresser. Sa peau était douce et on donnait des coups de pieds dans son ventre.
– Tu sais si c’est un garçon ou une fille, lui ai-je demandé ?
Elle ne savait pas et je lui ai reprocher d’être prête à accoucher et de ne pas savoir. En tout cas, elle se prêtait bien au jeu. J’ai quand même terminé et je ne l’ai plus jamais revue.
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