Je m’appelle Nassima, j’ai 44 ans. Je mesure 1m75 pour 66 kg, brune aux yeux verts, les gens disent de moi que je suis une très belle femme. J’ai une poitrine généreuse et ferme et un surperbe petit cul. Malgré les nombreuses propositions et avances que les hommes me font souvent et malgré le fait que mon mari soit plûtot du genre libertin avec moi (il m’est fidèle et ne m’ a jamais trompé) il était jusqu’à cette aventure le seul homme avec qui j’avais fait l’amour. J’aime le sucer, le faire jouir dans ma bouche, mais je n’avale pas son sperme, je le trouve trop amère. Je pratique également avec lui la sodomie sans problème. Mon plus grand fantasme que je ne lui l’ai jamais vraiment avoué est de faire l’amour avec une femme. Je me masturbe très souvent en pensant à celà. Ma vie séxuelle a vraiment changé l’été dernier. Mon mari été en france depuis trois semaines et la ou nous habitons dans la région de Setif une entreprise était chargée du ravalement et de l’isolation extérieur. Cinq ouvrier étaient prévus pour notre villa durant une bonne semaine. J’ai assez vite remarqué que l’un d’entre eux trouvé régulièrement des prétextes pour m’aborder et discuter avec moi. Belle homme, 35 ans environ, avec un corps trés musclé et bronzé (métier de force et dans la chaleur) il était souvent en jean et torse nu. Trés sympatique, vraiment gentil, intérressant, sans ne jamais débiter des banalités, nous avions en quelque sorte sympatisé. Le vendredi soir, vers 19h alors que je m’appretais à passer à table, on sonna à ma porte. C’était lui avec un de ses collègues qui venaient faire le point sur la réalisation des travaux qui venaint de se terminer et pour controler s’ils étaient conformes au cahier des charges. Je trouvais cela un peu curieux venant de la part d’ouvrier mais je répondis à leurs questions. A la fin de leur questionnaire (qui n’était pas vraiment professionnel et qui n’étais que prétexte à venir me voir) je leur proposais naturellement de leur offrir des jus. Nous étions dans le salon, eux sur le canapé et moi en face dans le fauteuil. Il faisait assez chaud ce soir là et j’étais vétu d’une petite robe d’été en coton, moulante, assez courte, bien décoleté , sans soutien gorge (l’été je n’en porte que trés rarement) et d’un petit string blanc en dentelle. Ni vulgaire, ni provocante, juste un peu sexy et trés adapté à ces chaleurs estivales.
Après le deuxième verre, j’étais trés légèrement euphorique. J’étais bien en compagnie de ces deux hommes. Je me suis appercu à ce moment là que le deuxième n’arrêtais pas de regarder avec insistence, soit mes cuisses, soit mon décoleté sans la moindre gêne et qu’il avait l’air d’y prendre un certain plaisir. Cela provoqua en moi un certain émoi. Lui avait environ trente ans et j’étais assez flatté de le voir mater mes attribus. Amar, le plus vieux remarqua aussi mon trouble. Après trois semaines d’abstinences et en la présence des ces deux jolis hommes je fut de plus en plus émue et c’est l’érection de la pointe de mes seins qui leur dévoila que j’allais être leur proie. La bosse sur le pantalon de Salim me le confirma et fit fourmillé mon bas ventre. Je devais reconnaitre que je mouillais malgré moi et que j’étais dans un état second. Ils m’invitèrent à venir m’assoir entre eux et c’est sans aucunes résistances que je m’éxécuta. Trés délicatement Salim commença à me caresser les cuisses, Amar m’embrassa dans le cou en caressant mes seins. Il posa le haut de ma robe, leur dévoilant ainsi ma belle poitrine avec les tétons drésisés comme jamais.
Deux bouches se mirent à les sucer, les lécher, les mordiller m’arranchant des petits gémissements. Mes cuisses s’écartèrent d’elles même au moment ou une main se glissa entre elle pour se dirgirer vers ma petite chatte déja toute trempée. Deux doigts experts écartèrent mon string, touchèrent mes grosses lèvres charnues et s’enfoncèrent dans mon intimité. Ce n’était plus une chatte s’était une fontaine et Salim s’écria:
– Putain comme elle mouille la Khaba!
Il s’agenouilla entre mes cuisses, me fit relever ma robe sur mon ventre. Il retira mon string et plongea sa tête entre mes cuisses. Il plaqua sa bouche contre mes lèvres, passa sa langue entre elle et remonta jusqu’a mon clitoris qu’il se mit à sucer. Amar d’une main me carresa un sein et me suca l’autre. J’étais au 7è ciel et je ne résistais pas plus de deux minutes à ce traitement de choc. J’explosais dans la bouche de Salim . Un orgasme d’une v******e terrible et d’une puissance inouïe. Tous les habitants du quartier on dû l’entendre. Il m’a fallu quelques minutes pour reprendre mon souffle. Et la je me suis étonnée moi même. J’ai eu une énorme envie de voir leurs sexes, de les toucher, de les sucer. Moi qui pensait que je n’arriverai jamais à être une vraie salope en dehors de mes fantasmes, j’étais entrain d’en devenir une! Je les fis mettre debout sur le tapis du salon et je m’agenouillais devant eux, sans perdre plus de temps je defis les deux boutons tour à tour et fis glisser les fermetures éclaires puis baissais les deux pantalons, Salim portait un boxer ou je vis la belle bosse de sa queue et Amar un slip classique avec une énorme proéminence qui se dessinait. Je palpa ces deux bites à travers l’étoffe. Ils baissèrent d’eux même leurs slips et je fut enfin à quelques centimètres de ces sexes qui bandaient. Salim avait environ le même sexe que celui de mon époux, mais Amar était vraiment doté d’un énorme sexe, 25 cm, peut-être plus et d’une grosseur impressionnante. je commencais par prendre les bourses dans chacunes de mes mains, les caressant, les malaxant, puis je saisis les bites en les effleurant d’abord, puis en les caressant doucement avant des les branler plus énergiquement.
Mes yeux ne quittaient plus ces deux belles bites. J’étais comme hypnotisée devant ce magnifique spectacle, puis n’y tenant plus je commençais à lécher les membres, les glands tour à tour. C’était vraiment bon et très très excitant. Je mouillais toujours autant. Je me mis enfin à les sucer tour à tour, sans jamais ne lacher l’autre queue. Je devais faire des gros efforts pour sucer la verge de Amar tant elle était grosse.
J’entendais les encouragements de mes deux amants:
– oui, vas-y, suces nous bien kahba, tu aimes ça, hein?
– tu le veux notre zel dans ta grande bouche de cochonne!
Cela ne faisait que m’exciter d’avantage et je sucais de plus en plus vite et de plus en plus profond.
Salim céda le premier, j’entendis un rale, je sentis un jet puissant et chaud frapper mon palais. J’ouvris en grand la bouche et me recula de cinq centimètres pour qu’il puisse voir sa semence innonder ma bouche. il y eu 3 autres jets.
– Avale tout petite salope!!!
J’étais beaucoup trop excitée pour penser à quoi que ce soit et j’avalais toute la quantité de sperme. A ma grande surprise ce fût plûtot agréable, chaud, crémeux, sucré. Amar me demanda de me mettre à quattre pattes sur le canapé. Je m’excécuta, il se positionna derrière moi, plaça son énorme queue à l’entrée de mon vagin et s’y enfonça avec lenteur. Je poussa un cri de plaisir, il me remplissait complètement la chatte.
A chaque coup de butoir, il m’arrachai un cri de plaisir. Il me baisai à présent avec vigueur me tenant fermement par les hanches. C’était divin. Quand Salim se positionna devant moi, j’avala directement sa belle queue. Je le pompais à nouveau comme une malade. je me faisais baiser par deux hommes. L’un me sautais et je sucais l’autre. Mon dieu que c’était bon. Amar cracha entre mes fesses et ses doigts commencèrent le travail en dilitant mon petit anus, je savais que je n’allais pas non plus échapper à la sodomie. Il se retira de ma chatte trempée, s’allongea sur le tapis du salon et me demanda de venir m’empaler sur lui. Après m’être à nouveau exécutée sans rechigner, il demanda à Salim de se placer derrière moi pour m’enculer. Quelques minutes après qu’il ce soit introduit lentement et en douceur au plus profond de mon ventre, je me faisait pistonner avec vigeur par les deux troux.
Quel plaisir, quel pied, quel bonheur, énorme. J’hurlais de plaisir, impossible de me contenir, tant les vagues étaient puissantes. Ai-je eu 3 ou 4 nouveaux orgasmes, je ne sais pas. Je sentais ces deux belles queues aller et venir dans ma petite moule et entre mes fesses. Salim de nouveau se mit à jouir le premier, il se retira et vint encore se placer devant mon visage. Pour la deuxième fois de la soirée il éjacula dans ma bouche, j’avalai encore son liquide, cela me déclencha un nouvel orgasme.
Les « salopes » fusaient de toute part à ma plus grande joie. Amar qui lui avait deux orgasmes de retard sur Salim et au moins six sur moi me demanda de m’allonger sur la table basse du salon, il ecarta mes cuisses, plaça mes pieds sur ses larges épaules, s’agenouilla entre mes jambes et plaça son énorme queue à l’entrée de mon anus. Malgré la taille de son pénis et l’etroitesse de mon petit cul, je ne pouvais lui refuser mes fesses. Malgré le fait que son membre soit enduit de ma mouille et que Salim avait déjà élargi le passage, l’introduction fût lente, longue et un peu douloureuse.
Une fois le membre entièrement dans mon joli petit cul et une fois la brûlure disparu, Amar commença à me pistonner d’abord délicatement, puis plus vite et enfin vigoureusement. Jamais je n’avais joui aussi fort de ma vie, l’orgasme était constant, permanent, je criais des mots insensés, que j’aurais été incapable de prononcer:
-Oh oui, c’est bon, vas-y, encule moi bien, Je suis votre kahba, défoncez moi, baisez moi , faites moi jouir, oui encore.
Après au moins 10 mn de ce traitement de rêve, Amar se retira et vint inonder mon visage et ma bouche. Pour la troisième fois de la soirée j’étais entrain d’avaler du sperme…et cette fois-ci quelle quantité. des jets puissants et longs, lui aussi avec un sperme délicieux.
J’ai tout avalé jusqu’à la dernière goutte, même celui que j’avais sur le menton, dans le cou et sur les seins. Je dois avouer que quelques minutes aprés cette éjaculation dantesque, j’ai eu un gros coup de pompe, j’étais épuisée, vidée, j’avais trop joui mais j’étais tellement heureuse. J’ai dormi comme un bébé jusqu’au lendemain matin. Je ne me considère pas comme une salope, mais désormais comme une femme libertine qui vit sa sexualité librement et avec bonheur. Essayez mesdames, c’est divin. Je vous embrasse. Marlène
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