
Je ne pensais pas qu’un jour j’aurais l’envie d’écrire et de partager une de mes aventures sexuelles, mais celle-ci a été si exceptionnelle pour moi ! Bref, je me lance et, au passage, je vous donne le bon plan !
Pour le contexte, je suis un technicien itinérant. Ainsi, mon travail m’oblige à des déplacements normalement dans ma région (le Centre). Or, la semaine dernière, je vois que mon chef m’envoie en région parisienne et cela m’a fait râler (en vain). Il parait que c’est pour dépanner une agence du coin. Bref, me voilà pour 3 jours en Seine-et-Marne et cela ne m’enchante pas du tout.
Je passe directement au 2ème jour. Comme en plus ma société me paie mal en frais de déplacement, je me rends dans un centre commercial pour me ramener à manger à l’hôtel. Comme la veille, je vais dans un grand Carrefour situé dans la ville de Claye-Souilly. Bien qu’il soit tard (plus de 20h30), il y a encore des gens. Au hasard, je me rends à une des rares caisses encore en activité où il y a peu de queue (je déteste les caisses où je dois passer moi-même les articles).
Pendant l’attente, je mâte la caissière. Honnêtement, ce n’est pas une beauté : beurette aux cheveux bouclés gras, plutôt grosse, lèvres épaisses maquillées grossièrement, mais avec une paire de seins énormes qui semblent déborder de partout. J’ai la quarantaine et j’ai passé l’âge de me cacher pour mâter donc je regarde sans complexe, d’autant que le haut de la tenue de la demoiselle n’est pas complètement boutonné et que, à chaque mouvement, ça bouge de partout et que cela m’excite.
Lorsque c’est mon tour, j’ai évidemment pris l’article avec une étiquette déchirée… La caissière me demande avec un zozotement : « Vous z’en voulez ? ».
Je lui confirme que « oui », et elle passe un coup de fil à un gars en rayon. Pendant l’attente, je reluque ses seins comme un malade. La fille, au début, regarde dans le vide de sa caisse et finie par me regarder. Moi, je n’en laisse pas une miette : je mâte, je mâte, je mâte ! Elle finit par me lâcher : « Ben vous, vous vous gênez pas ! ». Je reprends sans complexe : « Ben non. Un tel décolleté avec de si belles promesses, ça laisse rêveur ». Je ne suis pas sûr, mais je crois qu’elle regarde furtivement vers ma braguette mais notre conversation est coupée par un type en patin à roulettes qui lui communique le prix attendu. Elle me donne le prix à payer, me rend la monnaie et me surprend par ces paroles : « Si vous voulez, je finie à 22h30. Venez me retrouver à la sortie ». Je n’ai pas le temps de répondre : troublé et empressé par l’arrivée d’autres personnes à la caisse.
Je repars jusqu’à ma voiture et tout le chemin, je me demande si c’est bien sérieux et si j’ai bien compris ces paroles. Je bande déjà par l’excitation et je repars dans le centre, un peu perdu par l’événement inattendu. Je m’interroge aussi : où l’attendre ? Dans le centre ? Par une porte dérobée pour les salariés ? L’heure tourne et je me décide pour attendre dehors, vers une porte avec code. J’attends tellement longtemps et impatiemment : des gens sortent, mais pas elle. Parfois je pense m’être trompé du lieu d’attente, ou bien qu’elle soit déjà sortie et que, de loin, je ne l’ai pas reconnue ou encore que je me suis fait un film… Finalement, je vois une silhouette ronde avec des cheveux bouclés : c’est elle et je vois bien qu’elle me cherche. J’écrase ma clope et je la reviens : « Vous z’êtes garé où ? » me demande-t elle.
Nous nous rendons à ma voiture, montons à bord et elle me dirige : elle me fait aller dans une partie sombre et un peu glauque d’une portion de parking désert du centre commercial. A un moment, je me demande même si elle ne me confine pas vers un guet-apens (là, je me fais un film…).
Bref, j’arrête la voiture et j’en descends comme pour inspecter les lieus. Elle descend également et viens vers moi. Déjà, elle passe une de ses mains contre un de ses seins et l’autre caresse son bas ventre. Cela entretient mon excitation et je reste un peu pantois.
– « Alors, tu veux les voire mes seins ? »
– « Bien-sûr ! »
– « Vas-y ! Bouffe-les ! »
La salope n’a pas l’air d’en être de sa première fois et elle sait y faire pour m’exciter. Je ne me fais pas prier : je la colle contre le coffre de ma voiture et saisi ses seins à pleines mains. Ils sont énormes et ne tiennent pas mes paumes. Je fais ensuite tomber son manteau et je passe une main dans le décolleté de sa robe, fais glisser une manche et extirpe du soutien gorge un gros sein à l’aréole énorme. Je le prends en bouche et le suce comme un nouveau né assoiffé. Il fait froid mais j’arrive quand même à exciter son bout. De son côté, elle gémit et je sens qu’elle passe ses mains sous sa robe et qu’elle se touche. Je sors l’autre sein et le mange comme le premier. Elle fini par me caler à mon tour contre le coffre. On ne dit rien mais on se comprend : je déboutonne mon jean et le fais glisser à mi-genoux. Je sens que je commence à débander un peu à cause du froid qui est très sec, mais cela n’a qu’un moment : elle s’agenouille, baisse mon caleçon sous mes boules et me prend en bouche directement. C’est une sensation inédite pour moi : le contraste du froid ambiant et cette bouche bien chaude et saliveuse. Bien que l’éclairage soit sommaire, j’arrive à la regarder me sucer tout en se masturbant.
C’est encore elle qui dirige les manœuvres : « Baise-moi ! ». Elle se retourne et me présente son cul bien large. J’ai prévu le coup en attendant tout à l’heure : préservatif en poche, j’habille rapidement mon sexe déjà attaqué par le froid, j’ouvre le hayon du coffre et ma voiture et la positionne la tête à l’intérieur. Je relève sa robe et écarte son string. Avec bonheur, je vois qu’elle porte tout l’attirail de la bonne baiseuse : porte-jarretelles et bas noirs ! Ce n’est pourtant pas dans mes habitudes, mais je tente le tout pour le tout : j’ai envie de l’enculer direct. Je salive sur la capote et enduit sa rondelle, passe un doigt préparateur… et testeur de sa réaction qui sait me donner encore un coup de fouet : « Ouais ! Vas-y dans mon cul, j’adore ça ! ». Elle m’aide à m’introduire mais cela n’est pas difficile. Et puis ce froid tend à me faire débander. Une fois dans son cul chaud, je me lâche. Mes coups sont longs et forts, rythmés par le froid que me fait greloter. Ma coquine, dont je ne sais même pas le nom, se branle et gémit de plus en plus fort. Putain, elle gémit tellement fort que je me dis qu’on va se faire griller… Je pousse de plus en plus fort, je tape dans son cul et regarde cette magnifique croupe : la robe remontée en haut de son gros cul entouré du porte-jarretelles se secouent en vagues qui se répercutent contre ses larges cuisses. La salope se branle de plus en plus et elle pousse des cris que j’ai envie d’étouffer. Je sens que je vais jouir et je me retire de sa rondelle. J’arrache le préservatif et compte me masturber à mon tour sur son gros cul offert. Elle ne le voie pas ainsi : elle se retourne, s’agenouille et m’offre sa bouche grande ouverte. Ses seins sont débraillés et elle continue à se caresser tout en sortant une langue accueillante bien large et obscène. Le froid assèche ma verge qui malgré la scène perd de sa vigueur : je crache dessus et la coquine experte en profite pour me prendre les boules en bouche. Elle est au dessous de mois et elle m’aspire les bourses, les mouille et les titille de sa langue. Je continue de me branler et quand je sens que ma jouissance arrive, je prends une poignée de ses cheveux et éjacule sur son visage et sa bouche. Je m’assois ensuite contre le hayon de ma voiture. La caissière, en bonne finisseuse, s’agenouille à nouveau et me suce comme pour me nettoyer pour enfin me libérer une fois le sexe devenu tout mou.
Elle se rhabille rapidement en lâchant « C’était bon. Ca fait du bien. T’es là demain ? ». Je lui réponds que « Non » et que je ne suis pas du coin. Elle s’en va et s’esclaffe « Dommage pour toi ! ».
Finalement, j’ai hâte de revenir dans le 77 (bandes de veinard) et, c’est sûr, je reprendrais l’hôtel à côté de Claye-Souilly !
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