Les rencontres avaient lieux le vendredi, ils allèrent voir tous les autres professeurs de Damien avant de terminer par celle d’histoire. Ils arrivèrent devant sa classe, plus personne n’attendait dans le couloir mais elle était déjà en discutions à l’intérieur avec d’autres parents. Quand Claire aperçut Damien dans l’encadrement de la porte son cœur s’emballa. Elle lui avait dit de dissuader sa mère de venir la voir, sachant qu’il avait d’excellentes notes avec elle, il aurait pu argumenter que c’était une perte de temps. Mais il était resté évasif et elle avait angoissé toute la soirée à la probabilité de rencontrer la génitrice de son amant et maître. Elle eut du mal à se concentrer sur la fin de l’entretien et bien qu’elle n’avait aucune envie de le conclure, il fallut bien qu’il arrive à son terme. Une fois qu’ils eurent quitté la salle Damien et sa maman entrèrent, elle n’osa pas la regarder. Mais quand elle fut assise devant elle, elle fut bien obligée de lever les yeux et Claire fut immédiatement paralysée. Elle était déjà inquiète de lui parler, mais la voir l’intimida totalement. Elle était magnifiquement belle, féline et troublante. Elle dégageait un charme fou, ses yeux étaient hypnotiques. Elle comprit à ce moment d’où Damien tirait son incroyable attirance. Claire se força à afficher un sourire qui elle le sentait, ressemblait plus à une grimace. Damien était très calme et normal, mais sa mère la fixait étrangement, son angoisse augmenta.
« -Bonsoir, alors vous êtes la maman de Damien. »
« -Oui, j’avais hâte de vous rencontrer, Damien me parle tellement de vous. » Claire crut défaillir et devint livide.
«-Ah oui, c’est… c’est vrai que c’est un excellent élève qui a toujours de très bonnes notes. »
« -Oui, il semble beaucoup vous apprécier. »
« -Hé bien, il est vrai que, que le courant passe bien entre nous, enfin je veux dire que c’est un élève studieux et toujours intéressé d’apprendre de nouvelles choses et, et qu’il est facile d’enseigner avec des jeunes gens si, si éveillés. » Bredouilla Claire en se sentant totalement perdue et stupide. Elle avait envie d’être partout sauf ici, elle avait envie de se réfugier sous la table.
« -Il ne fait pas trop de zèle tout de même ? Je sais que quand il est enthousiasmé il dépasse parfois les bornes. » Claire se sentait oppressée, elle avait du mal à respirer.
« -Non, non pas du tout, c’est vraiment un élève charmant. »
« -Ah oui charmant vous trouvez, c’est vrai qu’il fait cet effet là aux femmes en général, il les charmes. »
Claire jeta un regard à Damien pour qu’il lui vienne en secours, elle sentait que la discussion partait sur un terrain glissant, sa mère devait soupçonner quelque chose, il avait dû trop parler d’elle. Mais il restait impassible comme si il ne percevait pas ce qui était en train de se passer.
« -Heu oui, non, je me suis mal exprimée, ce n’est pas ce que je voulais dire. En fait il est, il est… »Claire ne savait plus quoi dire et avant qu’elle ne se reprenne Elisabeth lança l’estocade.
« -Vous rougissez, ah je comprends maintenant, il vous plaît, il est à votre goût. »
« -A mon goût, mais non, ce n’est pas ça. Vous vous méprenez, vous »
« -Vous voulez dire qu’il ne vous satisfait pas ? » La coupa Elisabeth d’un ton inquisiteur.
« -Mais non, au contraire, c’est, c’est un excellent élève je vous l’ai dit, c’et tout. »
« -Allons, vous savez bien que l’on ne parle plus de ça, sinon je n’aurais pas pris la peine de venir vous voir. » A ce moment Claire passa en mode panique.
« -Que, que voulez vous dire ? »
« -Vous le savez très bien, je sais que vous avez séduit mon fils. »
« -Mais non, ce n’est pas vrai. » Prononça Claire d’une voie faible.
« -Oui, il est préférable de dire que c’est lui qui vous a captivée. » Claire ne parvenait plus à répondre, elle se sentait prise au piège, la mère de Damien avait tout découvert et elle allait finir en prison, il fallait qu’elle lui explique, qu’elle lui fasse comprendre, c’était sa seule chance.
« -Pardon, je suis inexcusable mais je ne pouvais lui résister, je ne comprends pas pourquoi je suis comme ça. »
« -Vous avouez déjà, vous n’êtes vraiment pas… »
« -Ca suffit maman, tu as assez joué ! » l’interrompit Damien. Claire fut stupéfaite par son intervention, elle ne comprenait plus ce qui se passait. Damien se leva, passa derrière sa mère et lui caressa la joue.
« -Ne t’inquiète pas Claire, maman voulait juste te taquiner un peu, mais vois tu, vous êtes dans la même situation. Elle m’obéit et m’est tout aussi soumise que toi. » Sa prof resta bouche bée quelques instants, avant de répondre.
« -Mais ce n’est pas possible c’est ta mère, vous ne pouvez pas avoir ce genre de rapport. »
Claire perdait tous ses repères, elle se sentait incroyablement soulagée de la terrible menace qu’elle avait envisagée, mais avait du mal à seulement concevoir la relation de Damien et de sa mère.
« -Et pourtant c’est le cas. » Dit Damien en se penchant vers Elisabeth pour l’embrasser devant Claire. Celle-ci fut hallucinée, mère et fils s’embrassaient devant elle sans aucune retenue et Damien palpa même un de ses seins. Elle aurait dû être horrifiée, elle était troublée. Ils s’arrêtèrent pour la dévisager.
« -Je, c’est… »
« -Ne dis rien. » dit Damien en venant vers elle « -Lève toi. » Elle obéit, malgré ce qui ce passait elle ne pouvait lui résister. Il l’embrassa à son tour devant sa mère, elle se laissa faire et ne broncha pas quand il lui toucha les seins. Elisabeth et Claire s’observaient durant cela, au bout d’une minute la mère de Damien se dirigea vers la porte, vérifia que le couloir était sans âme qui vive, et la referma. Damien avait commencé à déboutonner son chemisier, Elisabeth revint vers eux. Bientôt ses seins furent exposé à leurs vues. Claire était terriblement gênée mais soumise. Elle trouvait cette situation surréaliste, elle sombrait dans la décadence sans pouvoir réagir, sans le vouloir. Elle se faisait caresser les seins et embrasser par un garçon de quatorze ans dont elle était le professeur mais aussi, l’esclave sexuelle de plein gré. C’était déjà beaucoup mais c’était loin d’être tout, cela se déroulait devant la mère de ce jeune élève, mais même cela ce n’était pas encore assez, il avait des relations avec sa mère de même ordre que les siennes sauf qu’elles étaient de fait interdites car i****tueuses, tout cela aurait dû la dégoûter, la révulser, ce n’étais pas le cas, loin de là.
Tout cela bouillonnait dans sa tête, la perversité extrême de ce garçon et des situations dans lesquelles il la mettait l’excitait au plus haut point. Oui elle était excitée par ce qu’elle vivait à cet instant : la soumission, la débauche et aussi finalement l’immoralité, la rendaient terriblement brulante. Elle mouillait, elle trouvait Elisabeth extrêmement belle et désirable, pourtant elle n’avait jamais eu jusque là de tendance homosexuelle, mais tout se bouleversait dans sa vie et elle sentait qu’elle était prête à tout, oui prête à tout pour Damien. Il cessa de l’embrasser et la fit s’agenouiller devant sa mère.
« -Montre lui maman. » Devant les yeux écarquillés de Claire, Elisabeth remonta sa jupe et dévoila sa culotte, ou plutôt la culotte que Damien avait prise à Claire et que sa mère portait maintenant.
« -Je lui ai faite sentir et lécher le jours où je te l’ai prise, puis je l’ai baisée en lui enfonçant le visage dedans. » Claire visualisa la scène et mouilla de plus belle. Elle était inexplicablement excitée par Elisabeth, par leur relation i****tueuse. Elle était excitée par Damien qui savait si bien la dominer et faire d’elle ce qu’il voulait.
« -Je veux que tu sois aussi la chienne de ma mère, que tu lui lèches la chatte, que tu la serves et lui obéisses. Je serais votre maître à toutes les deux et toi tu seras l’esclave de nous deux. » Claire était hypnotisée par ce bout de tissu que portait Elisabeth et qui lui avait appartenu, elle y vit apparaitre une tache humide, la marque de la luxure, le symbole de la perversion absolue. La mère de son élève mouillait à l’idée de faire d’elle leur esclave sexuelle.
« -Oui Damien, je ferais tout ce que tu veux. » » Répondit Claire d’une voix enfiévrée.
« -Tu seras notre esclave !
« -Oui, je suis votre esclave et toi et ta mère pouvez vous servir de moi à votre convenance et tout me demander. Je suis votre chienne obéissante.»
« -Notre relation i****tueuse ne te dégoûte pas ? » Lui demanda Elisabeth dont l’appréhension de révéler cette situation lui avait pratiquement fait renoncer à aller voir Claire.
« -Elle devrait, mais ce n’est absolument pas le cas. Au contraire je trouve cela encore plus excitant. » La mère de Damien perçut la sincérité dans ses paroles, elle en fut rassurée et s’en réjouit car elle avait grandement envie de s’initier au saphisme avec cette belle jeune femme.
« -Embrasse et lèche sa culotte maintenant. » Elle obéit à Damien qui l’observa. Elle posa sa langue sur la tache qui s’était formée, au bout d’un moment quand le tissu fut trempé de mouille et de salive, Damien tira le devant de la culotte contre l’aine d’Elisabeth et Claire comprit qu’elle devait lécher la chatte de la mère de son amant. Elle appliqua sa bouche sur les lèvres joliment rosées et humides d’Elisabeth et les embrassa, puis elle sortit sa langue et commença à la lécher délicatement. Elle trouva le goût de sa cyprine délicieux et s’enhardit a lécher plus vaillamment. Elle la lécha longuement et but sa mouille abondante. Damien la fit mettre à quatre pattes, lui remonta sa jupe sur les hanches, baissa sa culotte à mi-cuisse et l’enfila. Il se mit à la baiser alors qu’elle léchait la chatte de sa mère. Elisabeth jouit plusieurs fois dans la bouche de Claire, attisée par la vision de son fils en train de la baiser. Elle vivait enfin en réel ce qu’elle n’avait que put voir sur la télévision jusque là. Elle éloigna sa chatte de la bouche de Claire qui émit un grognement désapprobateur, celle petite salope semblait vraiment apprécier de lécher sa fente. Elle se mit à quatre pattes devant elle et l’embrassa sur la bouche, elle goûta sa mouille sur les lèvres de la maîtresse de son fils. Elles s’embrassèrent longuement, goûtant leurs langues douces, chaudes et suaves. Damien se régalait de ce spectacle, il se sentait vraiment comme un mâle dominateur avec deux chiennes à son service pour satisfaire ses envies perverses. Il fit un signe à sa mère qui comprit immédiatement. Elle dessouda ses lèvres de celles de Claire et s’allongea sous elle où elle put y lécher sa chatte et la queue de son fils qui y allait et venait. Claire gémit de bien être, Damien lui appuya sur la tête pour la diriger entre les cuisses de sa mère. Elle se mit à lui lécher la toison avec passion, Elisabeth écarta ses cuisses pour lui en faciliter l’accès tout en caressant les fesses de son fils. Elle se complaisait du spectacle de sa queue baisant cette chatte offerte, ses doigts s’égarèrent vers la raie de Damien et finirent par lui titiller l’anus. Il appréciait aux vus de ses grognement alors elle finit par y introduire un doigt. Cette pénétration décupla le plaisir de son fils qui se mit à jouir presque instantanément.
Damien éjacula abondamment, truffant de sa semence poisseuse le vagin ruisselant de Claire. Le remplissage de foutre de son vagin et l’effet de la langue d’Elisabeth sur son clitoris l’emmenèrent à l’apothéose. Elle dut se mordre les lèvres pour ne pas hurler de plaisir. Ils restèrent ainsi un moment, jusqu’à ce que Damien se soit entièrement vidé les couilles et décide de se retirer. Quand son chibre s’extirpa, il y eut une éruption de semence de la fente de Claire. Une grande quantité éclaboussa le visage d’Elisabeth, le reste macula les cuisses de la jeune professeure. La mère de Damien récupéra de sa langue le foutre de son fils sur la peau tendre de la jeune femme puis remonta vers son visage. Claire découvrit la face souillée d’Elisabeth, celle-ci s’approcha et posa ses lèvres sur les siennes. Elle accepta le baiser et ouvrit sa bouche, Elisabeth y déversa sa langue et tout le sperme qu’elle avait récupéré. Elles s’embrassèrent longuement en malaxant de leurs langues la substance séminale de Damien. Elles en avalèrent chacune une partie, ensuite Claire posa délicatement ses mains sous les joues et le haut du cou de sa maîtresse et lui lécha le visage pour la nettoyer, quand elle eut tout récupérée sa bouche était de nouveau pleine et elles échangèrent un nouveau baiser.
Damien leur ordonna de se rhabiller, quand ce fut fait il dévoila son but final.
« -Claire tu vas nous suivre et venir passer le week-end chez nous. »
Elle accepta sans broncher, il était son maître et elle ferait tout ce qu’il lui dirait.
En voiture, Damien était monté avec sa mère pour ne pas éveiller de soupçons, elle lui demanda :
« -Tu vas la garder longtemps avec nous ? »
« -C’est notre chienne, notre esclave maintenant. Elle va vivre avec nous et nous servir. »
« -Bien, c’est comme tu le décides mon chéri. » Dit Elisabeth avec un petit sourire.
Arrivés chez eux, ils lui firent visiter la maison, il était déjà tard et ils avaient faim, aussi Elisabeth prépara un dîner rapide en réchauffant un plat de surgelé. Ils discutèrent tout en mangeant, Claire apprit comment leur relation avait débutée et en fut toute émoustillée. Plus ils échangeaient et plus ils se sentaient en osmose les uns avec les autres. Claire et Elisabeth s’appréciaient beaucoup, autant physiquement qu’intellectuellement. Elles se mirent à converser à bâtons rompus, s’avouant combiens elles étaient amoureuses de Damien et à quel point elles aimaient qu’il les traite en chiennes. Elles avaient ce même plaisir à être utilisées et dominées, à être parfois insultées, elles s’accordaient à dire qu’elles adoraient la façon dont Damien le faisait, en étant tout à la fois dominateur et tendre. Elles ne se lâchaient plus des yeux, sous le regard complaisant de Damien qui se délectait de leurs dires et de leur entente. Il alla chercher le collier de chienne qu’ils rangeaient dans le tiroir d’une petite commode du hall d’entrée, sa mère le retirait en partant de la maison et le mettait en revenant, mais avec les événements de la soirée elle l’avait omis. Il lui passa au cou en regardant Claire. « -C’est la marque de son avilissement et de sa soumission envers moi. C’est ma chienne alors elle porte un collier de chienne, n’est-ce pas maman ? »
« -Oui mon chéri, je suis ta chienne, ton esclave et ta putain. Tu peux tout me faire où et quand tu veux, je suis à toi, je suis ton objet et ta chose. Je suis ta mère, ta femme, ta maîtresse, ta pute et ton esclave. »
« -Bien, maman, c’est tout à fait cela. » conclut Damien en verrouillant le collier autour de son cou délicat. « -Tu auras bientôt le même Claire, car c’est ce que tu veux n’est-ce pas ? »
« -Oui, je veux le même collier et être exactement la même chose pour toi, hormis que je ne suis pas ta mère bien sûr. »
« -Je m’en contenterais. » ironisa Damien.
Il était très tard et la fatigue aidant ils se mirent tous au lit, dans le même lit et entièrement nus en se pelotonnant les uns contre les autres.
Le lendemain matin, Damien se réveilla en premier, après avoir considéré un bref instant les deux superbes créatures qui l’entouraient et s’être dit que la vie était belle pour lui, il se leva pour aller se soulager, puis alla chercher quelque chose à grignoter. Quand il revint une réjouissante scène s’offrit à lui. Il avait dû réveiller ses femmes en se levant, et maintenant elles se gouinaient allégrement. Dans le fouillis des draps Claire et Elisabeth se roulaient des pelles en se caressant mutuellement la chatte. Damien resta sans bouger à les observer, il avait un porno de lesbiennes live sous les yeux, un vrai bonheur au petit matin. Au bout d’un moment elles se mirent en soixante-neuf et se léchèrent la fente avec virtuosité et frénésie. En changeant de position elles avaient remarqué Damien et lui avaient adressé un sourire complice alors qu’il continuait à croquer sa pomme. Il observait le joli cul rond de Claire au-dessus du visage de sa mère, elle lui caressait les fesses et parfois il distinguait la langue maternelle émerger des chairs et des poils blonds poisseux. Il bandait rudement et décida qu’il était temps de participer à l’orgie matinale. Il s’approcha du postérieur de Claire et l’enfila, elle gémit de plaisir et alors qu’il la limait, il sentit la langue de sa mère lui lécher la tige à la jonction du sexe de sa prof. Puis elle lui lécha les couilles ce qui lui procura une nouvelle sensation délicieuse. Il se retira et présenta son chibre à la bouche d’Elisabeth qui l’engouffra aussitôt. Après une brève fellation il reprit possession du sexe de sa maîtresse. Ce petit jeu dura un moment jusqu’à ce que Damien décide de changer de position.
Claire se retourna alors vers lui et lui demanda : « -Damien mon amour, je voudrais te demander quelque chose. »
« -Oui, qu’est-ce que tu veux ? »
« -Voila, excuse mon effronterie, mais depuis que vous m’avez dit que vous couchiez ensemble, cette idée me trotte dans la tête, elle m’obsède. Je voudrais le voir, je voudrais te voir baiser ta mère. »
« -Ca t’excite notre relation i****tueuse ? »
« -Oui, beaucoup. J’ai très envie de vous voir faire l’amour. »
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