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VU SUR LE NET: Maman lesbienne (3)

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J’étais pressée de rentrer à la maison et ne trainais pas après les cours. Maman n’était pas encore rentrée, j’en profitais pour préparer mes affaires pour le lendemain. Une fois cela terminé, il me revint à l’esprit l’image du gode que maman utilisait le premier soir.

J’allais dans sa chambre et fouillait un peu partout pour le retrouver. J’ouvris en premier le tiroir de sa table de nuit et tombais sur un mignon petit vibro blanc tout lisse. Il avait servi car je reconnu l’odeur de maman dessus. Derrière une pile de linge dans son armoire, quelle ne fut pas ma surprise de tomber sur toute une collection de gode de toutes tailles, allant du plug au gode ceinture en passant par double-dong. J’étais particulièrement impressionnée par la taille d’un gode couleur chair. Il devait faire 30 centimètres de long et 7 de diamètre. Je me demandais si maman arrivait vraiment à l’utiliser sur elle. J’étais clitoridienne mais j’appréciais la pénétration vaginale en même temps. J’étais cependant trop serrée pour envisager m’enfiler un tel engin bien que cela me fasse envie. Je remis le tout à sa place en me promettant d’en parler avec maman et les essayer avec elle.

J’avais préparé le repas et j’étais en train de mettre la table quand me vint l’idée d’agrémenter la décoration de la table. Je retournais dans la chambre pour prendre deux godes que je disposais sur la table en guise de bougies entre nous. Je souriais en pensant à la tête de maman quand elle verrait cela. Quand elle arriva, tout était prêt et je m’étais mise nue avec un ruban rouge dans les cheveux. Je lui sautai au cou en l’embrassant tendrement, ma langue s’insinuant dans sa bouche à la rencontre de sa langue. Notre baiser dura longtemps. J’entrepris de déshabiller maman en lui disant que nous dînerions nues. Sans aucune réticence, elle se laissa faire en souriant. Je la pris par la main et l’amenai à table. Elle rigola franchement quand elle vit les deux godes sur a table en me traitant de « coquine ». Je lui avouai mes découvertes dans son placard. Sans se vexer elle confessa qu’elle adorait être pénétrée ainsi.

Nous dînâmes amoureusement et en guise de dessert, je lui proposai d’essayer les godes sur la table. Nous nous allongeâmes dans le canapé du salon, enlacées, nous nous caressions. Je vibrais de sentir les mains de maman caresser ainsi mon ventre et mes seins. Je mouillais abondamment. J’avais trop envie d’elle et la supplia de me pénétrer avec un des godes. Elle me fit mettre à quatre pattes, continua à me caresser le clito en passant sa main en dessous et je sentis la pointe du gode à l’entrée de mon vagin. Je cambrai un peu les reins pour faciliter la pénétration. Lentement, elle introduisit le gode en me caressant le clito. Je m’offrais entièrement à elle, m’abandonnais complètement. J’étais folle, nous étions folles. Pouvais-je imaginer il y a quelques jours que je ressentirais un tel plaisir entre les mains de ma propre mère ? C’était si bon. Elle modifiait légèrement le rythme en fonction de mes gémissements. Je voulais jouir et lui dit d’aller plus vite et à fond. Les va-et-vient se firent plus intenses, ses doigts sur mon clito plus insistants. Je sentis l’orgasme monter et j’explosais dans un grand cri. Je m’écroulai la tête dans les bras au bord de l’évanouissement.
Au bout de quelques instants, je me relevai. Maman avait retiré le gode et le léchait avidement. Je vins me blottir contre elle, l’embrassa. Je lui dis :
-« à mon tour de te faire jouir ».

Elle s’allongea. Je mis la tête entre ses cuisses et commença à la lécher. Elle mouillait beaucoup plus que moi. J’étais un peu gênée par ses poils. J’avais un peu de poils assez soyeux que je coupais un peu de temps en temps. Je lui fis remarquer :
-« j’aimerais bien qu’on s’épile toutes les deux, ce serait beaucoup plus doux, tu ne trouves pas ? ».
Elle acquiesça. Je poursuivais avec application, passant ma langue entre ses petites lèvres et dégustant son clitoris qui durcissait. J’avais toujours aimé le goût de la mouille, mais le fait que ce soit la sienne décuplait mon envie. Je n’en perdais pas une goutte. Je pris le gode et le présenta à l’entrée de sa chatte. Elle était tellement excitée qu’à la première poussée il entra entièrement jusqu’au fond. Je comprenais mieux pourquoi elle avait d’aussi gros godes. Je continuais à la pénétrer en lui caressant le clito de l’autre main. Je voyais le gode disparaître dans sa chatte grande ouverte et trempée. Je retirai le gode et le remplaça par deux doigts en plaquant ma bouche sur son petit bouton d’amour. Mes doigts devinrent poisseux en deux allers-retours. Je sentais la paroi interne de son vagin palpiter sous mes doigts. Il y avait encore de la place, je mis un troisième doigt. Dans un gémissement elle me dit « mets tout ». Je relevai la tête. Elle avait les yeux fermés et savourait les caresses que je lui prodiguais. Je rajoutai le petit doigt aux autres. Sa chatte les avalait littéralement. Elle me conseilla :
– « mets ton pouce dans la paume de ta main et ferme ton poing quand tu es dedans ».

J’obéis en étant la plus douce possible pour ne pas lui faire mal. Elle avait relevé sa jambe droite sur le dossier du canapé. Je sentais les muscles de son vagin se dilater. Ma main était presque entièrement en elle. Je n’en revenais pas et j’étais terriblement excitée. A bout de quelques mouvements, mes doigts touchaient le fond de son vagin et je les repliais. En poussant un peu, je franchis complètement l’entrée, je fermai le poing et ma main se retrouva entièrement jusqu’au poignet. C’était chaud, doux et humide. J’étais enserrée et je n’osais plus bouger. D’une main, maman prit mon avant-bras pour m’indiquer qu’il fallait que j’imprime un mouvement de pénétration ainsi. Sans ouvrir mon poing, je commençais à la baiser ainsi. J’essayai d’être la plus douce possible, mais ses gémissements me faisaient comprendre le plaisir qu’elle ressentait. De mon autre main je lui branlais le clito. Sous ces caresses, elle ne tarda pas à ressentir un profond orgasme que je ressentis lorsque les muscles de son vagin enserrèrent ma main. Elle laissa échapper un long cri de plaisir. Pendant quelques secondes, tout son corps fut secoué de soubresauts. Lorsque je sentis l’étreinte se relâcher, je retirai doucement ma main. Tout le canapé était trempé de la mouille de maman sous ses fesses. Nous tombâmes dans les bras l’une de l’autre. Nous nous embrassâmes passionnément en nous câlinant comme deux amoureuses. Je ne pus m’empêcher de lui dire « je t’aime » ce qui fit apparaître quelques larmes de bonheur dans les yeux de maman.

A suivre…

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HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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