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Un gynéco particulier

Un gynéco particulier



En retard, comme d’habitude, je me rends à un rendez-vous mystérieux suite au SMS que j’ai reçu de Christian. Je rentre précipitamment dans l’ascenseur où se trouve déjà quelqu’un. C’est vrai que je suis en mode salope et le mec me reluque bizarrement. Mais mes pensées vont à se mystérieux rendez-vous et les idées coquines qui me traversent l’esprit me bouleversent déjà. Tout à coup, entre deux étages, le type appuie sur le bouton d’arrêt d’urgence. Je le regarde avec stupeur et avant que je n’ai le temps de réagir, il me plaque contre la parois et m’embrasse à pleine bouche en me pelotant les seins. Sa langue me force la bouche. Surprise par la rapidité de cette étreinte, au lieu de le repousser, je me laisse faire et nous langue se mêlent. Ses mains glissent vers mon entrejambe et comme à me palper le mont venus. Rapidement, il se met à me malaxer les fesses sans douceur. Cette étreinte sauvage me met dans tout mes états. Au lieu de crier et de flipper, j’y prends un malin plaisir et sens des fourmillements évocateurs dans mon bas ventre.Il se rend compte que je ne suis pas indifférente à son agression et je sens sa grosseur se frotter comme a****l contre ma cuisse nue. Comme une bonne petite femelle, je ne peux le laisser ainsi et d’initiative, j’ouvre sa braguette pour libérer son engin que je considère de taille très intéressante. Je glisse au sol et à genoux, je le prends dans ma bouche pour commencer à le sucer. Le type qui n’avait jusqu’à présent rien dit me lance, surpris de mon initiative :
« T’es une chaudasse toi ! Oui bouffe- la bite grosse pute ! »

Mais c’est mon cul qu’il veut et au bout de quelques minutes, il me relève par les cheveux, me retourne, trousse ma jupe et baisse mon string et me dit :
« Cambre-toi salope ! J’vais t’enculer comme une chienne ! »
Dans cette situation improbable où d’autre femme se seraient débattues, je lui lance excitée comme une puce :
« Oui ! Prends-moi fort ! Fais c’que tu veux d’moi ! ».
J’ai à peine le temps de finir ma phrase que le salaud pause son gland sur ma rosette. D’un coup de rein il me force le petit trou. Je pousse un cri de surprise et de douleur sous cette dilatation brutale. Le fumier n’a cure de mes cris et me pénètre jusqu’à la garde. Calé au fond de mes entrailles, il commence à me bourrer le cul comme un sauvage. La douleur heureusement fait enfin plasir au plaisir confus d’être enculée comme une salope par cet inconnu dans un ascenseur.
Il y va si fort que ses couilles claquent sur mes fesses. Dans cette confusion, un orgasme incongrue monte en moi et je sais que je ne vais pas tarder à jouir. De son côté le vicieux se met à gémir comme un porc et me remplit le fondement d’une dose impressionnante de foutre. Il ressort sans dire mot de mon cul dans un bruit de succion mouillé, en me donnant une franche claque au fesses. J’en ai plein le rectum et sans me laisser le temps de me rajuster, il remet en route l’ascenseur, pour sortir à l’étage suivant.
Heureusement pour moi, personne d’autre n’entre et quand j’arrive au quinzième étage, j’ai eu le temps de remettre un peu d’ordre dans ma tenue. Je sens le sperme qui coule de mon cul dans ma culotte. Mais je dois encore me rendre à ce fameux rendez-vous mystérieux.
Je relis le message.
« Sonne trois fois rapidement et deux fois longuement à la porte 155. »
Devant la porte, c’est d’une main tremblante que je sonne comme convenu.
Un homme en blouse blanche m’ouvre et me dit :
« Michèle je suppose ? »
Décontenancée par la tenue de cet homme, je bredouille :
« Heu… Oui Monsieur. »
Froidement il me répond :
« Docteur ! Je vous prie. Entrez ! Vous êtes très en retard et je n’aime pas ça ! »
Je ne comprends pas trop sur le coup ce qui se passe. Cet appartement est transformé en salle d’examen gynécologique. Je sursaute lorqu’il me dit :
« Mettez-vous nue ! »
Aussitôt je repense à l’épisode de l’ascenseur et je me dis que je ne vais pas pouvoir dissimuler ma sodomie récente à ce soit-disant médecin. Je me met nue devant lui et il m’ordonne de monter sur la table d’examen et de mettre mes pieds dans les étriers. C’est étrange d’être offerte à cet individu juste parce que Christian m’a laissé un SMS.
L’homme d’un air courroucé me lance :
« Mais ma parole ! Vous avez le cul dilaté et du sperme en sort ? Vous venez de vous faire enculer ? Je comprends mieux votre retard ! Vous n’êtes qu’une grosse chienne en chaleur ! Christian m’avait bien prévenu ! »
Tout en disant ça, il commence à fouiller ma chatte. Il va chercher un spéculum et me l’enfonce dans le vagin sans précaution. Puis il se met à me dilater à l’extrême avec l’outil. Je serre les dents pour ne pas lui faire le plaisir de mes cris. Je n’ose lui demander quoi que se soit et j’encaisse sans rien dire. Je mouille abondamment et il me dit :
« Je vois que vous aimez être dilatée Michèle. Vous êtes un vrai garage à bites. Ca tombe bien, j’aime ça aussi. Voyons jusqu’à quel point je peux vous dilater la chatte ! »

J’ai peur qu’il me déchire mais, très curieuse aussi, une sensation vraiment étrange et troublante m’envahit. Je suis dans un état d’excitation improbable, mêlant honte, humiliation, douleur et plaisir.. Bien dilatée, il m’enfile une lampe toche dans la chatte. Je geins de plaisir et quand il l’allume, il me dit en rigolant :
« Super ! C’est son et lumière avec vous ! »
Il ressort la lampe et enlève le spéculum pour le remplacer par sa main. Fistée par ce faux gynéco, je me met à gémir de plaisir. En même temps qu’il s’occupe de fouiller ma chatte, il m’enfonce plusieurs doigts dans le cul avec son gant en latex. Observant mes réactions, il fouille mes deux orifices comme un pervers. Il retire ses mains d’un coup me laissant un vide incroyable. Il sort d’un tiroir deux énorme gode et avant que mon cul et ma chatte reprennent une taille normale, il me les fourre profond en me disant :
« Ils sont pile poil à votre taille. On peut vous remplir comme une bouche de métro aux heures de pointe ! »
Les deux ollibos planté en moi sont si gros qu’ils se pressent l’un contre l’autre à travers mes parois intimes. Il sort alors son gros manche et me dit :
« Sucez-moi çà ! »
Il me l’enfonce à m’en étouffer. Non content de me mettre ainsi, il prend sa ceinture et me claque le ventre et les seins avec. Il me dit en substance :
« Ca c’est pour votre retard Michèle ! Tout se paye dans la vie ! »
Je n’arrive même pas à jouir. Mais lui ne s’en prive pas et se lâche au fond de ma gorge en grognant. J’en ai la tête qui tourne.

Il sort de ma bouche, enlève brutalement les deux gros gode dans un bruit de succion ridicule et me dit :
« La consultation est fini ! Pour pouvez repartir. »
Fébrile, je me rhabille et sors du cabinet, les jambes flageolante. En prenant l’ascenseur, je repense à l’autre type et espère ne pas le rencontrer avec ce que je viens de subir.

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