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FLORENCE

FLORENCE



Florence est une femme qui se la joue timide et se dévoile pendant la baise. Tu l’invite à diner, elle n’ose pas parler, elle t’écoute comme si tu étais le messie en ayant du mal à te regarder dans les yeux. Mais si tu lui mets la main au cul ou lui tripotes les seins, elle se met à roucouler et dés que tu lui faufiles la main dans la culotte, elle devient une enragée de la bite. Et là elle te regarde droit dans les yeux, en suçant elle à les yeux dans les tiens et plus tu la fixe du regard en train de s’avaler la queue plus elle se met à sucer comme si ce n’était plus une vulgaire grosse chienne.

C’est une copine qui me l’avait présenté, Florence était seule depuis un moment, son mec l’avait plaqué car elle avait eu une aventure avec un autre mec, depuis presque un an elle n’avait pas eu de rapports sexuels et je dois dire qu’elle était en manque. Quand elles sont entrées au restaurant, j’ai de suite flashé sur ses grands yeux et la féminité qu’elle dégageait. Une longue chevelure blonde, un visage doux et une certaine élégance. Pendant le repas elle n’avait pas du aligné plus de 100 mots, mais en partant elle m’a juste dit si tu passes vers chez moi appelle moi et vient prendre le café. J’ai pris son numéro de téléphone et deux jours après je passais délibérément dans son quartier pour aller vérifier que cette invitation était bien d’ordre sexuel. J’avais téléphoné la veille et elle m’invitait à manger le soir, je me suis fait tout propre et tout beau et à 19h j’étais sur le pas de sa porte.

Elle avait travaillé sa tenue pour me recevoir. Si la première fois je n’avais pas pu bien voir ses formes sous sa jupe longue et sa veste, là je ne pouvais rien rater. Un caleçon noir ultra moulant qui dévoilait un cul de compétition, un peu large, rond et semblant être ferme. En haut un tee shirt moulant lui aussi qui prenait de la valeur avec ses beaux seins tout compressés dedans, pas un pet de ventre et toujours cette gracieuse élégance… On a pris un petit apéro, pastis pour tout les deux, elle se levait régulièrement pour gérer la cuisine et d’où je me tenais je pouvais contempler son cul à mon aise. En train de préparer son entré dos à moi à trois mètres de mes yeux de mateur, je détaillais son cul avec insistance, je suis sur qu’elle le savait et que cela l’excité. Le plus beau c’était quand elle se penchait pour regarder dans le four, là son cul m’explosait carrément à la gueule et dans ma tête je me voyais déjà en train de lui baisser son caleçon long et le lui bouffer tout cru.

Elle était bien plus bavarde et n’arrêtait pas de me poser des questions, les pastis ont défilés et l’ambiance et devenu plus érotique quand assise à coté de moi, pendant un silence, j’ai senti chez elle comme une envie de se faire embrasser. J’ai glissé ma main derrière sa nuque, j’ai approchais ma bouche de la sienne et on c’est roulé une pelle qui a fait frissonner ma queue. Là, complètement détendu et s’ans même lui laisser le temps d’apprécier la saveur de ma langue je posais mon autre main sur ses seins. A peine mes doigts ont caressés le tissus que sa tête est partie en arrière me laissant maitre de la situation. Ne jamais hésiter et ma devise, ma main c’est faufilé sous son tee shirt et je lui ai malaxé les seins tout en l’embrassant dans le cou, la garce était aux anges et sans même que je dise quoi que ce soit ses doigts ont ouvert ma braguette et quelques secondes plus tard elle me suçait la bite avec plus que de la passion, du vice. Cette pipe je m’en souviens très bien et rien que d’y repenser j’ai la gaule. Elle avait faim et cela devait faire longtemps qu’elle rêvait d’en chopper une pour la bouffer en mode salope… Je me suis bien calé dans le canapé et j’ai admirais Florence travailler. Qu’elle chienne d’un coup, elle jouait de la langue sur mon gland et puis m’avaler la queue d’un coup, bien profond, et elle m’aspirait bien fort tout en faisant quelques mouvements de vas et viens, puis retour à mon gland. C’était parfait.

Elle devait être dans une position inconfortable car elle se mit à quatre pattes sur le canapé ce qui m’offrit la possibilité de pouvoir lui caresser le cul. Et je doit dire qu’elle devait attendre ça depuis un bon moment par ce à peine mes doigts lui caressait la raie des fesses en s’approchant dangereusement de son entrejambe, qu’elle retira m’a queue de sa bouche pour pousser un long soupir de contentement.
J’avais affaire à une femelle en chaleur, elle posa sa tête sur mon ventre, ma bite dans sa bouche, attendant que je lui tripote la chatte ce que je fis de suite. A travers le tissus je frottais mes doigts sur ses grosses lèvres, Je sentais sa langue s’enrouler sur mon gland, elle devenait franchement humide. Je sentais de la salive couler sur mon ventre et le tissu devenir moite sous mes doigts. Le Salaud profiteur qui est en moi c’est mit en action. Je lui ai baissé son caleçon jusqu’aux genoux, j’ai malaxé son cul comme si je flattais le cul d’une jument, ça ne lui a pas déplu. Puis j’ai glissé mes doigts jusqu’à sa chatte et du bout de mon majeur, j’ai écarté ses grosses lèvres et trouvais l’entrée de sa chatte. Je le lui ai titillé un peu et comme c’était vraiment très humide et qu’elle semblait par ses mouvements de cul le vouloir, je lui ai enfoncé mon doigt bien profond. Elle était mouillée grave, mon doigt était dans une piscine de cyprine et Florence cela l’a rendu encore plus suceuse. Elle me caressait les couilles et avalait ma queue comme une star du X, si je l’avais aux premiers abords trouvé timide, je la découvrais libéré de toute inhibition et plus chienne que je l’aurais espéré.

Dans c’est cas la, soit on reste de marbre et on admire soit on prend les devant, c’est plutôt mon genre. J’ai enroulé ses cheveux dans ma main, bien serré pour bien la tenir, j’ai décollé sa joue de mon ventre, et doucement mais surement je faisais descendre et remonter sa bouche sur ma queue. Je crois bien qu’elle n’attendait que ça, elle a encore augmenté en envie de bestialité. Florence se dévoilait en pure soumise et j’allais en profiter.

Je commençais à plus qu’apprécier ce petit diner quand une odeur de brulé est arrivé jusqu’à mon nez, le repas était cramé… Elle se précipita pour sortir le plat du four et le poser sur le rebord de la fenêtre. La voir le caleçon à mis cuisses, courir avec son plat devant moi et revenir toute triste de son plat brulé m’a fait marrer, je lui ai dit que ce n’était pas grave et la plaçant debout devant moi en la tenant par les hanches, j’ai joué des mes doigts sur sa chatte, puis en lui enfonçant un doigt, mes yeux dans les siens, j’ai dit « je me contenterais de te bouffer la chatte, enlèves ton caleçon s’il te plait ». Elle ne c’est pas faite prié, adieu les ballerines, caleçon et culotte, virés aussitôt. J’ai collé ma bouche sur sa chatte et la lui ai bouffée en me pourléchant les babines. Elle s’en écartait les cuisses et tendait son pubis pour que j’y infiltre mieux ma langue, elle était comme folle et se frotté la chatte sur ma bouche, elle était en rut la Florence. Je la sentais partie pour être en mode « cochonne affamée ». De debout je suis passé à allongé, je me suis levé et je l’ai entrainé à quelques mètre pour la coucher sur la table. J’ai relevé ses cuisses, j’ai ramené une chaise sous mon cul et la tête entre ses cuisses, je me suis remis à lécher sa chatte, mais là j’avais toute la place et la vue pour me régaler. J’ai le souvenir de ses gémissements, de ses mains caressant mes cheveux, de ses petits « oui » qu’elle lâchait d’une voix plus rauque, à ma langue j’y rajouté mes doigts et ça a fini par la faire jouir. Je regardais son visage, sa bouche en cul de poule bien ouverte, ses yeux exorbités et les crispassions de ses muscles de son visage. Elle long et presque silencieux râle sortait de sa bouche, ses cuisses se sont mise à trembler et d’un coup ce son qui n’arrivait pas à sortir de sa bouche, brusquement, ce fit entendre, fort et long, puissant, libérateur.

Je ne lui ai pas laissé le temps de se reprendre, quand la viande est chaude il faut la manger s’en attendre. Je me suis levé et me suis placé à hauteur de sa tête, j’ai amené son visage prés du bord de la table et en tenant ma queue d’une main et sa nuque de l’autre, j’ai posé mon gland contre ses lèvres. Elle a ouvert la bouche en grand, la langue tirait, offrant à ma queue un vraie trou béant pour s’y enfoncer. Je lui ai baisé la bouche et ça devait vraiment lui plaire parce qu’elle c’est mise à se branler le clito en même temps. Je lui ai demandé « tu aimes te masturber ? » et la bouche pleine j’ai distingué comme un long « ouiiiiiii » qui sortait de sa gorge, J’avais à faire à une femme qui se lâchait et qui comptait bien profiter de l’amant qu’elle avait invité. Et t’en pis si elle me donnait l’impression d’être une salope, elle avait décidé que le plaisir devait passer avant sa réputation.

C’est le visage plein de salive et toute essoufflée que je me décidai de la prendre, elle devait attendre cela avec impatience. J’ai ramenais ses cuisses sur le bord de la table, et sans attendre je me suis enfoncé en elle. Je l’ai prise à bon coups de reins, sèchement et elle aimait ça, à chacun de mes coups de reins elle répondait par un « HAN » ce qui donna du « han han han han han han han han…. » Qui me comblait les oreilles. La table était longue mai s pas large, la nuque sur le rebord de la table, sa tête pendant dans le vide, elle se tenait par les cuisses et sa tête ballotait son mes coups de bite. Je n’ai pas était bien long à jouir, à mon tour les bruits rauque et les frémissements dans le bassin, j’ai déchargé tout mon foutre en elle et une fois remis je n’ai pas pu m’empêché de dire « quelle salope tu fais », la réponse fut clair, « oui », un oui presque timide, mais la tête toujours dans le vide, il était sorti d’elle s’en qu’elle y réfléchisse et sans même vouloir le retenir. Pour le vérifier, j’ai fait le tour de la table et lui ai collé ma queue qui ramollissait dans sa bouche et elle a nettoyé ma queue, sans laisser une goutte de foutre ou de son jus sur mon sexe. Ça c’était bien cool.

Pour reprendre nos esprits on a mangé un peu, l’entrée et le dessert et bu aussi. Elle avait une bonne descente et le pastis elle semblait aimer ça. A onze heures, après s’être beaucoup embrassé, câliné, caressé, on a remis le couvert. Au début je pensais qu’elle tenait l’alcool vu la vitesse ou elle s’envoyait les pastis, mais non, elle était complètement pompette et alors que je l’a prenait en levrette, profitant de la splendide vue que m’offrait son cul ainsi offert, elle eu des haut le cœur et d’un coup se leva pour aller vomir…. Fin du round.

Je la couchai dans sa chambre, elle s’endormi de suite. Comme j’étais moi aussi passablement saoul je décida que je dormirais là, en attendant je visita son appartement et comme je suis un vilain curieux, je fouilla un peu dans ses tiroirs…. Je commençai par la table de nuit, trois tiroirs, dans le premier, quelques bijoux pacotilles, dans le deuxième ce fut plus sympa comme découverte, deux godes vibrants et plein de capotes ainsi qu’un tube de gel intime.
Dans le troisième, belle surprise, un lot de revues porno plutôt hard, des magazines assez usagés qui me firent rapidement l’imaginer le soir dans son lit, jouant avec ses godes en reluquant les grosses bites forniquer à tout vas de jolies filles…

Je visitai ensuite sa penderie, un tiroir avec des chaussettes, des collants et des bas, un avec des soutiens gorge, et le dernier avec ses petites culottes. Pas mal de string, de trucs en dentelles, des culottes de coquines tout ça et deux portes jarretelles. Je remarquai sur la penderie quelques nuisettes affriolantes, Elle aimait faire plaisirs…

Il y avait une petite boite sur la dernière étagère, je l’ouvris et y découvris quelques photos polaroïd. Je les fis défiler, un mec à poil, surement son ex, et puis elle, en dessous coquins, dans son appart, mais aussi dans la nature faisant la belle de nuit, et puis des trucs plus hard, son cul magique en gros plan, et une belle série d’elle bite en bouche. Ça m’a excitait, j’ai reposé les photos dans la boite, fermé la penderie et me suis allongé à coté d’elle. Elle dormait profondément, et je me suis mis à lui caresser les fesses et bien sur j’ai un peu abusé en lui collant un doigt dans la chatte, mais j’ai surtout pris un de ses gode et comme la situation me le permettait je le lui ai enfoncé dans la chatte. Elle à gémit doucement, comme si elle baisait en rêve… J’ai joué un peu, c’était super excitant mais l’alcool a eu raison de moi, je préférai arrêter là mes saloperies et dormir.

Au matin, je me suis réveillé avant elle, je préparais le café quand elle se leva et passa en me faisant un sourire pour aller aux toilettes. Elle repassa devant moi et me dit « tu me rejoins ? » j’acquiesçai et quelques minutes après je lui portais le café au lit. On discuta et elle m’avoua avoir des pertes de souvenirs de la veille, elle avait un trou de mémoire, ne se rappelant que jusqu’à ce que l’on ait remis ça vers onze heure. Dans ma tête ça n’a fait qu’un tour pour devenir l’affreux coquin qui sommeille en moi. Je lui racontais un gros mensonge. Je lui racontai que nous avions était dans sa chambre et qu’elle avait sorti de son tiroir des revues porno et qu’elle m’avait demandé de les regarder avec elle et qu’elle avait sorti un gode pour se branler devant moi. Elle est devenue toute rouge, honteuse et gênée. J’ai juste souris et dit que ce n’était pas grave, qu’elle n’avait pas à avoir honte, que j’avais même trouvé ça sympa.
Mon mensonge était gros mais plausible, je sorti le gode du tiroir et le lui montra pour qu’elle puisse constater qu’il était plein de petite traces de cyprine séché. Elle a bu son café encore un peu gêné pendant que je lui racontais la suite de mon mensonge. « Tu te masturbais et puis aussi tu m’as sucé et alors qu’on allé remettre ça tu as eu la tête qui c’est mise à tourner et j’ai préféré que tu dormes. Voilà, tu sais tout ». Elle m’a dit qu’elle était désolée et qu’elle n’aurait pas du boire autant, je me suis allongé sur le lit et j’ai attrapé mon sexe dans ma main et j’ai commencé à le caresser, je décalottais mon gland, je la regardais me regarder, ses yeux ne lâchait pas ma queue, elle posa sa tasse et sa main se colla sur mes couilles, je crois qu’elle était comme fascinée par cette vue. Ses doigts faisait rouler mes boules, et elle se mordillait les lèvres. Elle ne mit pas longtemps à se mettre à me sucer et j’eu droit une nouvelle fois à une savante pipe qui me mit un barreau d’enfer. J’attrapai le gode et lui dit, « on reprend ou on en était hier » j’attrapai le gode le lui tendis et malgré une petit rire gêné elle se le mit dans la chatte. Résultat garantie, elle eu de suite le feu entre les cuisses et se masturba bien à fond tout en me suçant comme une reine. Je l’ai pris en suite, en missionnaire d’abord, puis en levrette, elle était complètement à ce qu’elle faisait et fini la timidité, elle serrait les draps entre ses doigts en me disant des « vas-y » explicites, je matais son petit anus qui palpitait et sans même demander d’autorisation je lui ai enfoncé un doigt dans le cul. Pas de refus de sa part, alors je suis passé à plus gros et c’est le gode que je lui ai enfoncé, il n’était pas gros, un truc d’environ trois centimètres et il est entré en elle sans problème, je l’ai laissé bien enfoncé et je me suis mis à lui limer la chatte tranquillement, moi le dimanche matin j’ai tout mon temps. Pour aimer ça elle aimait ça, elle m’envoyait son cul sur le pubis à grands coups et se mit même a att****r le gode pour se le faire coulisser dans l’anus. Putain de chienne, elle gémissait en faisant des gros « HAN » à chaque coup de queue. C’est elle qui m’a dit « mets la dans mon cul » tout en retirant le gode de son petit trou qui pour le coup resta bien ouvert, ne jamais dire non à une dames, je l’ai de suite sodomisé. Et je dois dire qu’elle appréciait ce genre de chose. La garce ça la fait jouir, deux fois d’affilé et puis ne pouvant plus me retenir, entre la sensation de son cul qui se serrait sur ma verge et la vue de Florence en train de jeter son cul sur ma queue, j’ai déchargé en me plantant bien à fond en elle.

On c’est levé, douche, un petit repas (pas cramé) et puis on a été faire une ballade dans la campagne. Il faisait beau et alors que nous contemplions une magnifique vue du haut d’une petite colline. Florence appuyée sur un petit muré, le cul tendu vers l’arrière me donna de nouveau des idées. Je baissai son caleçon et sa culotte et lui mis un doigt, puis deux dans la chatte. Elle me laissa faire et même en devint si excitée de la situation que le froc sur les chevilles elle me laissa la prendre sur le muret, Par contre je voulais une finition différente et aussi pour la tester… Je voulais qu’elle me fasse jouir à la bouche. J’ai demandé, elle a dit « coquin » et à genoux devant moi elle m’a vidé les couilles en me gratifiant d’une merveilleuse pipe sous le soleil avec chants des oiseaux et vue sur la plaine. J’ai jouis dans sa bouche, elle a tout gardé et une fois retiré ma queue de sa bouche elle m’a fixé dans les yeux, a entrouvert ses lèvres pour me montrer mon jus et d’un coup a tout avalé.

J’ai fréquenté Florence quelques temps, en fait elle était malgré le stupre qui l’habitait une chieuse romantique qui rêvait de grand amour sans se satisfaire des plaisirs de la vie. Elle est devenue soupçonneuse, jalouse, insupportable. Ca me saoulé et malgré que j’adoré la sauter et qu’elle c’était montrée être une merveille amante j’ai du mettre le holà et couper les ponts avec elle. Mais j’ai des souvenirs très clairs d’elle et souvent c’est des choses très sexe…

Marc

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