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L’épouse infidèle

L’épouse infidèle



– À poil, salope. Fallait pas me chercher.

– Mais chéri…

– Pas de mais, plus de chéri, tu te fous à poil et illico. T’as voulu me tromper avec ce mec et tu l’as fait, tu vas en subir les conséquences. T’es MA femme depuis cinq ans que je sache et donc t’as fait le serment de m’être fidèle.

– Je sais oui.

– C’est déjà bien que tu t’en souviennes. Mets-toi face à cette chaise et tu la boucles.

Alain est hors de lui, sa femme n’ose plus l’ouvrir. Pendant qu’il l’attache sur la chaise, elle ne cesse de le fixer. Elle sait qu’elle a fauté. Quand la corde enserre sa poitrine, elle peine à respirer. Il n’en a cure, il se met même à la gifler et sans aucune complaisance. Après l’avoir presque assommée, il s’assoit en face de sa femme infidèle. Il patiente jusqu’à ce qu’elle reprenne ses esprits.

– Bien, te voilà enfin avec moi. Ce soir, j’ai invité tes collègues. Les mecs vont te baiser et tu vas brouter les donzelles.

– Non, pas eux, je vais…

– Tu vas nous servir, tu vas nous faire jouir. Oh, à propos, ton patron t’a virée après avoir vu les photos. Il m’a aussi demandé à te baiser en primeur. Et tu sais quoi, j’ai accepté. Bien, je vais t’équiper comme une esclave, mon esclave. J’ai aussi vidé la chambre du fond pour en faire ta cellule. C’est là que tu vas vivre quand je n’aurai pas envie de toi. et si tu comptes sur un éventuel divorce, c’est peine perdue, je refuse. Du reste, il y aura un avocat pour te le signifier en bonne et due forme ce soir. Bon, là, je vais te mettre ces menottes et tu vas me nettoyer l’appartement.

– Si je refuse ?

– Ah, là, j’ai ça, cette jolie cravache. Tu veux peut-être y goûter pour te faire une petite idée ?

– Non ! AIIIIIIIIE

– Alors, tu me le nettoie cet appartement ?

– Ok, je vais le….AIIIIIIE.

– Comment tu me parles, espèce de pute ? À l’avenir, Maître ou Monsieur, c’est ce que je veux entendre par ta gueule de salope. Si tu dois me parler, ce sera uniquement que je te le permettrai, c’est assez clair ?

– Oui mon époux.

– Voilà qui est mieux. tu sais que t’es mignonne avec ces menottes ? Bon au boulot, que tout brille. Je sors faire deux ou trois achats pour notre petite sauterie. Ne t’avise pas de flemmarder, sinon c’est à coups de cravache que je te ferai nettoyer.

Alain s’en va sans même jeter un regard sur sa femme. Il se sent en pleine forme depuis qu’il a mis sa femme à sa botte.

Dans la première superette venue, il s’y engouffre et fait ses courses. Peu après, dans le coffre de sa voiture, alors qu’il charge, une voisine l’interpelle.

– Salut Alain, tu vas bien ?

– Parfaitement bien, et toi Martine ?

– On fait aller. Et ta femme, je ne l’ai pas vue au café, ce matin.

– Elle n’était pas bien, elle est restée à la maison.

– Oh, salue-la pour moi alors.

– Je n’y manquerai pas. oh, encore une chose, elle ne sortira plus toute seule à l’avenir, c’est mon esclave désormais.

– Pardon ?

– Bonjour chez vous !

Alain grimpe derrière son volant et s’en va en direction de son appartement. Là, il monte un premier voyage.

– QUOI, t’as rien fait ?

– Non, parce que je refuse d’être ta pute. De toute manière, t’as pas les couilles pour faire de moi ta bonne à tout…

Pan, sur le corps d’Isabelle, les coups de cravache pleuvent comme vache qui pisse. Isabelle n’a nulle part où se cacher, elle ne peut fuir, ses menottes l’en empêchent. Alain la fouette aussi fort qu’il peut sans ne plus se retenir.

– Pitié Alain, pitié.

– Pitié ? Tu rigoles j’espère. Moi, je prends mon pied, « chérie ».

– Pitié, je t’obéirai à l’avenir.

– C’est certain parce pour ce qui est de sortir, voire tes copines et casser du sucre sur mon dos, c’est terminé. Maintenant, fais-moi le ménage et au trot. Et pour toi, c’est Maître désormais !

– Bien Maître.

– Heu non, vas à la voiture, tu montes ce qui reste.

– Comme ça, Maître.

– Mets ça, ça suffira.

Il lui jette une espèce de robe tablier non sans l’avoir déchiré ici ou là. C’est au pas de course qu’Isabelle s’en va prendre le solde au sous-sol. Essoufflée, elle n’a pas le temps de se reposer qu’Alain lui jette un balai. Sans attendre, elle se met à son ménage.

– T’as deux heures, après, tu prépareras les petits fours.

Isabelle s’active, elle brique tout, du sol au plafond pendant que son époux se prélasse, une bière à la main, la regardant se démener en transpirant de partout. Parfois, quand elle passe près de lui, un très méchant coup de cravache s’abat sur sa croupe déjà bien bleue.

Enfin, sur un coup de tête, il se lève, s’approche d’elle par derrière, soulève ce qui lui sert de vêtement et la possède. Elle veut se retourner, lui sourire, mais une violente claque sur son postérieur déjà terriblement douloureux la remet à sa place. Appuyée sur une commode, elle ne peut que subir les assauts de son époux, le cocu. Il jouit relativement rapidement, c’est uniquement son plaisir qu’il recherche. Elle, sur l’ordre de son époux, elle reprend son ménage.

Bien plus tard, elle est enfin autorisée de prendre une douche, de s’épiler entièrement. Puis, il fait une inspection en règle du corps endolori, il ne prend pas de gant, traitant son épouse comme un vulgaire bas morceau de viande. Elle ne proteste plus, cela le satisfait.

– Bon, enfile ce peignoir, ils ne vont plus tarder à arriver.

– Mais…

Une gifle lui cloue son caquet, une larme coule sur sa joue. Il sourit de voir sa femme aussi peu encline à jubiler.

Un peu plus tard, les invités arrivent. C’est la coupable qui ouvre la porte, le peignoir ouvert. La honte se lit sur le visage de la fautive, surtout quand son patron arrive, masse sa poitrine, l’humiliation est même à son comble.

Dans le salon, pour accentuer cette humiliation, son mari lui arrache son unique vêtement. Nue, elle doit servir les invités, subissant attouchement, quolibets de toute sorte. Elle finit par fondre en larme, juste au moment où son époux enfonce son visage entre les cuisses de son ex-patron. Dans son vagin, une queue s’insinue, s’active vite, bien trop vite car l’homme jouit peu après. Un autre le remplace, puis encore un autre, tous la baisent. Son ancien patron jouit sur sa tête, le sperme coule sur visage, les cheveux de l’épouse infidèle. Et puis, quand cette grosse bite s’enfonce dans son cul, elle perd tout contrôle de son corps, elle hurle de plaisir, ce plaisir malsain qui la dévaste. Elle s’effondre sur le sol, inerte. Son mari la regarde, ne sachant comment se comporter vis-à-vis d’elle. Elle relève la tête, regarde son époux, sourit et vient lui baiser ses pieds avant de s’en prendre à cette queue qui ne lui suffisait plus. Elle le suce alors que cette grosse bite s’enfonce encore davantage dans son anus. Elle va jouir, elle le sent, elle le veut. Pourtant, elle se retient, attendant que son homme, son mec, son mari jouisse à son tour sur son visage. Au moment où tout arrive, elle retire le sexe de son mari de sa bouche pour le faire jouir sur son visage, ses seins. Dans son anus, le sperme de cet homme inonde son cul. Elle jouit, hurlant encore, allant même jusqu’à jurer servir fidèlement son époux en tout et insiste sur tout. Son corps sale, elle s’effondre encore, sa joue sur les pieds de son époux, qu’elle caresse d’une main.

Elle vient de trouver sa nouvelle raison de vivre, le plaisir dans une soumission sans partage.

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