Pour illustrer quelque peu les propos de mon texte sur les fois où « ça me prend », laissez-moi vous raconter celle d’avec le plombier et son apprentis, lors de travaux chez moi, toute la plomberie était à refaire et j’avais posé des jours de congé pour être présent, sans arrières pensées en ce qui concerne mes envies passagères de m’en prendre une vraie dans les fesses, les travaux à réaliser étaient importants et je n’avais pas l’esprit à ça, du moins, l’envie ne m’avait pas effleuré, ce n’est qu’en voyant la forme de la verge du chef plombier sous son bleu de travail que cela m’est venu…
Cela ne m’a pas travaillé de suite mais une fois seul le soir et le lendemain au réveil, j’ai commencé à ressentir cette petite démangeaison palpitante au niveau de l’anus qui fait qu’à chaque fois, je finis par me stimuler d’un doigt ou deux pendant une masturbation puis att****r un jouet en latex pour me visiter plus largement et profondément le rectum, si mon épouse est dispo, je lui fais comprendre pendant la fellation que ça me démange de ce côté-là et elle me soulage volontiers, mais à cette époque, elle était partie chez sa mère pour la durée des travaux et j’étais en mode manuel…
Au matin avant leur arrivée, je pensais avoir apaisé mon envie de saillie réelle, avec mon ami latex que j’avais longuement activé dans mon anus la veille mais de suite, une fois sur place, voyant les formes moulées sous les braguettes, mon vieux démon sodomite sonnait vicieusement à la porte plissée de mon conduis rectal, me faisant d’abord évaluer discrètement d’un regard furtif, la différence de taille entre celle du patron et celle de l’appentis, sachant par habitude et précaution que je préfèrerai la moins grosse, sans pour autant en choisir une trop petite, mon anus en frétilla, signal qu’il réclamait à être visité par l’un ou l’autre des plombiers, voir les deux…
Chassez l’envie anale, elle revient au galop, la queue du chef plombier semblait courte mais mafflue, alors que celle de son arpette qui paraissait plus fine, lui pendait le long de la cuisse, de suite et par gourmandise, je me suis dis que celle du jeune serai utile pour me préparer à l’entrée de celle du patron, quitte à me faire ramoner le cul, autant goutter aux deux par ordre de taille, je procède ainsi avec mes godes, jamais le gros en premier, et puis, il faut savoir faire plaisir à tous le monde, les jeunes doivent être encouragés et pouvoir s’affirmer en se faisant un cul de quinqua.
Mais bon, je me faisais sans doute des illusions, après tout, rien ne laissait entendre que l’un d’entre eux, ou les deux, soient portés sur la chose sodomite, je m’étais quand même fais un lavement pour être propre et accueillant au cas où ça se fasse mais j’attendais plutôt un signe de leur part, le patron était un blagueur aimable, un bout en train, et c’est de lui que sont venues les premières allusions sur le sexe, avisant que je regardais plusieurs fois avec insistance, le postérieur rond et moulé de l’apprentis se courbant sous l’évier de la cuisine, son patron me glisse discrètement à l’oreille en me tapotant les fesses…
– Mignon le Jeunot, Hein…? Joli petit cul, Hein…? me demande-t-il avec un regard complaisant.
– Heu… Oui… Il est bien fait… Dis-je gêné de m’être fais surprendre.
– Hahaha… Mais pas touche…! C’est réservé à mézigue… me prévient-il avec un œil noir.
– Ho…!? Vous le…? Comment dire…? Heu…?
– Oui… Je m’en occupe… Je le forme… Il apprend bien… Obéissant en plus…
– Mais heu…? Il a l’âge de…? Heu…comment dire…? Demandais-je hésitant, n’osant pas dire les mots de sexe.
– De me faire des choses…? De goutter à mon truc…? Bin oui… Majeur… et tout et tout… me répond-t-il en se passant la langue sur les lèvres.
Tout en discutant à voix basse, nous sortons de la cuisine pour aller vers la salle de bain où je dois lui montrer les travaux à réaliser, une fois sur place, il me fait remarquer la bosse qui déforme ma braguette et, tout en me caressant les fesses, me demande si c’est l’apprentis qui me fait cet effet, je bredouille que « peut être »… » je ne sais pas », je m’aperçois qu’il bande aussi sous son bleu de travail et lui demande si c’est moi qui lui fait cet effet, il me répond qu’il pourrait me laisser jouer avec l’apprentis mais que je dois le mériter, comme je lui demande de quelle façon, il ouvre son bleu et le baisse pour afficher un slip kangourou blanc au devant déformé par son érection…
Je comprends de suite ce qu’il désire, m’assoie devant lui sur un tabouret de bain et lui baisse la culotte, son engin se redresse d’un coup vers mon visage, enflé, veineux, pas très long mais large, j’en approche ma bouche en le saisissant d’une main tandis que de l’autre je lui masse les testicules, son prépuce sent légèrement le pipi mais cela ne m’arrête pas et après quelque suçotages de son bout de peau, je le décalotte des lèvres et commence à le sucer, il soupire d’aise et me dit que je fais ça bien, comme je ne sais pas s’il veut que je le finisse comme ça ou s’il veut me la mettre, je me hasarde à lui passer des doigts dans la raie pour lui tripoter la rondelle, il se laisse faire…
Cela m’encourage à vouloir le connaître mieux, après tout, peut-être est-il comme moi, alors je me salive les doigts et après un massage circulaire de ses plis annaux qui lui détendent l’anus, je lui rentre doucement mon index dans le cul, il s’ouvre à mon doigt sans protester, je pense même qu’il pousse pour se faire fourrer, je continue de lui pomper le dard et mon doigt semble maintenant insuffisant, j’ajoute mon majeur à l’enculade digitale, le plombier me gémit un « oui…comme ça… », alors je lui élargis le sphincter par de profonds vas et viens, il ne tarde pas à pousser des grognements annonciateurs accompagnés de spasmes du bassin, je me recule juste quand il décharge…
Le jet de foutre m’éclabousse une joue, je m’essuie de la manche et vais me laver les doigts, le plombier se refringue et c’est là que j’aperçois l’arpette dans l’entrebâillement de la porte en train de se masser le paquet, son patron le voit aussi, le traite de petit voyeur vicieux et lui fait signe d’approcher en lui demandant s’il a tout vu…
– Le Monsieur m’a fait ça très bien… Aussi bien que toi… Tu as vus…?
– Heu… Oui Patron… Il vous a fait le doigt derrière aussi… Répond le jeune timidement.
– Oui… Deux… Et ça t’as donné envie…? Tu veux qu’il te suce aussi…? Ou préfères-tu autre chose…?
– Je ne sais pas Patron… C’est comme vous voulez Patron… Répond l’arpette sur le ton de l’obéissance.
– Et le Monsieur…? Il veut quoi…? S’en prendre une dans le derrière ou se faire un petit cul serré…? me demande-t-il.
– Et bien ça dépend de sa formation… Personnellement, j’aime bien les deux…
– Pas de problème… Il est formé à tout… Allez p’tit… Soit gentil avec le Monsieur et vas chercher la pommade qui glisse dans la broîte à outils…
Le patron me passe ses doigts dans la raie et en m’effleurant le petit trou, me fait comprendre qu’il m’autorise à jouer avec son apprentis parce que je l’ai bien sucé, mais aussi que c’est « donnant… donnant », il souhaite me faire goutter à son engin plus tard, je lui dis que pour moi ça tombe bien, je préfère me prendre celle du jeune, plus fine, avant la sienne et puis, comme ils sont là pour plusieurs jours, on pourra varier les combinaisons, son arpette revient avec la pommade, le plombier nous laisse pour aller bosser un peu, après tout, il est venu chez moi pour s’occuper de toute la tuyauterie, pas seulement pour fourrer la mienne et tremper la sienne…
Le jeune revient avec la pommade en me disant que son patron lui a dit d’être gentil avec moi et de suite, il me baisse pantalon et boxer pour me prendre en bouche en me lubrifiant la rondelle de ses doigts, il est efficace autant dans sa fellation que pour me préparer l’anus et de suite je ressent cette délicieuse envie d’être sodomisé, je lui dis de sortir sa queue, il ouvre son bleu de travail, l’enlève et baisse son slip, son engin est comme je l’ai imaginé, long et fin, par contre son gland est plus développé que le reste, une sorte de champignon dur et violacé, le genre de chose que l’on sent passer et qui vous ramone le conduis comme il faut, je le suce un instant en lui pommadant le sphincter…
L’appentis comprend mon intention et se penche en avant, mains sur le rebord de la baignoire, m’offrant son petit cul à prendre en me demandant d’aller doucement, je le rassure sur mes bonnes manières en lui promettant qu’il pourra me saillir à son tour après son enculade, il cambre alors sa croupe en offrande et je pose mon gland sur son œillet vaseliné, il est serré le bougre, sa rondelle résiste un instant à la pénétration, je lui dis de pousser, il le fait, son orifice s’ouvre doucement vers ma queue que je presse contre ses plis glissants, le barrage cède d’un coup et le suppositoire de chair s’enfonce en lui, il a un hoquet de surprise puis un râle plaintif, je continue de l’enfiler…
Après une progression lente et précautionneuse de ma verge dans son rectum, je reviens en arrière et l’enfonce de nouveau, après quelques vas et viens, la chose glisse de mieux en mieux, je lui demande si ça va, il me répond que oui mais qu’elle est grosse, je le ramone un peu plus vite, ressort entièrement ma queue et la lui replante dans le cul, il soupire et miaule, il a l’air d’aimer cette façon d’enculer, je le lui refais plusieurs fois puis me retire de son rectum, il est temps qu’il me fasse le cul avant que je ne décharge par mégarde dans le sien, ma bite est propre, je lui demande s’il se fait des lavements, il me répond que s’est son patron qui lui en fait, je prend sa place en lui tendant mes fesses…
Je lui offre mon trou comme un gourmand impatient, il m’écarte les fesses pour poser sa bite contre mon anus, son gland force un peu mon entrée mais dès que je pousse sur mon sphincter, l’engin m’envahit d’une traite, je sent toute sa longueur progresser en moi comme un serpent et de suite le jeune gars se met à me baiser avec fougue, il me tient aux hanches et me pine comme un sac de viande, son « champignon » me ramone le rectum agréablement, je lui demande plusieurs fois de sortir de mes fesses et de me la remettre, j’aime ça, il s’exécute et me défonce la petite porte, je me branle d’une main et sent que je vais jouir, l’arpette me décharge dans le cul et moi sur le carrelage..
Quelle bonne matinée, je suis élargis au point de pouvoir recevoir le patron dans mon cul, il a récupéré et est de nouveau dispo, sa queue remplace celle de l’apprenti, elle me déchire le trou de balle au passage et je me prends une deuxième secouée, le plombier m’a enculé d’un coup de rein, profitant du sperme qui s’écoule de mes fesses, il me besogne plus longuement et plus vivement que son jeune qui me regarde me faire tringler en férocité, la queue m’élargie l’anus et le conduis rectale, l’homme grogne de plaisir à chaque enfilade, il finit par prendre son pied et me lâcher sa purée dans le cul, je ne sent plus les bords de ma rondelle tant en est distendue, le plombier me remercie…
Vont s’en suivre trois jours sodomites, chacun cédant aux désirs de l’autre ou imposant les siens, tour à tour, je vais enculer le patron et l’appentis, qui ne manquerons pas une occasion pour se faire sucer par moi et réciproquement, sans compter que je m’habitue à la bite large du plombier et réclame de me faire saillir plusieurs fois, nous nous faisons les lavements ensemble, par jeu et pour une propreté correcte, heureusement, la semaine et les travaux se terminent, j’ai moins envie qu’au début et veux mettre mon anus au repos, s’en est terminé de ma crise d’envie sodomite, j’ai une amante, une pisseuse, qui m’a téléphonée pour un rencard dans la nature…
FIN…
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