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Une infirmière compatissante

Une infirmière compatissante



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Je suis une toute jeune infirmière de 23 ans, brune cheveux mi long, on me dit mignonne, 1m70 pour 52 kg, et une poitrine assez généreuse de 95 D.
J’exerce mon métier depuis Octobre, dernier et je le fais avec passion.
Je suis en charge d’un client qui a eu un accident de moto, je me rends donc à son domicile ou il réside seul, pour lui changer les pansements de ses mains deux fois par jour. Tant et si bien que nous avons vite sympathisé ayant le même âge et les mêmes centre d’intérêt.
Un matin, je me rendis à son domicile, et pendant que je lui prodiguais mes soins, nous discutions de tout et de rien, quand j’ai emmené la conversation sur un point qui me taraudait depuis quelques jours, car je sais que pour les hommes, le sexe est presque vital et tous les hommes que je connais, s’il ne font pas l’amour, se masturbe. Hors dans l’état de David, je ne voyais pas comment il arrive à le faire, et son accident ayant eu lieu, il y a plus de 15 jours, je m’interrogeais donc sur le comment il pouvait faire.
Il me dit qu’il n’y arrivais pas, les premiers jours choqué de son accident, cela ne lui as pas manqué, mais une fois le chocs passé, cela le travail de plus en plus, il m’as avoué qu’il avait bien tenté de se frotter, mais sans succès. Il avait pris un air si triste en évoquant cela que je fus prise de pitié pour lui. Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, sans doute l’effet de prendre soin de lui, et de le voir si triste, bref, je ne le regardais plus comme une infirmière doit logiquement regarder son patient, mais comme une femme, et il faut dire qu’il m’apparaissait à présent très beau, et attirant.
Si bien que je me dépêchai de finir ses soins, et pris congé assez vite, et totalement troublé.
Toute la journée je n’ai cessé de penser à lui, et à son air si triste, cela tournait et retournait dans ma tête tant et si bien que le soir venu, je devais à nouveau me rendre chez lui pour ses pansements, mais avant je fis un saut par chez moi, pour me changer. Je pris soin de mettre une mini-jupe très courte, et des bas clip que ma mini avait peine à recouvrir. Je sonnai à sa porte, mon cœur battait la chamade, et j’avais peine à respirer. Après avoir entendu sa voix qui m’invitait à entrer, je pénétrai à l’intérieur, en prenant soin de refermer la porte à clé derrière moi. Je ne voulais pas être surprise par sa mère qui lui rendait souvent visite pendant mes soins.
Je me rendis auprès de lui le salua gaiement, puis prodigua mes soins, en parlant de tout et de rien.
Il me demanda si je sortais ce soir, je lui répondis que non, et lui demanda pourquoi il me posait cette question. Parce que tu ne portes pas les mêmes vêtements que ce matin et cette petite jupe te va à ravir, c’est pourquoi je me demandais si tu avais une sortie de prévu. Là je me lançai. Non, j’ai fini ma tournée, et je suis rentré chez moi pour me changer pour te faire plaisir afin que tu puisses mater, en disant cela je relevai un peu ma jupe pour lui montrer que je portais des bas.
Il écarquilla les yeux et sa respiration se faisait à présent plus rapide. Oui, j’adore te regarder ainsi vêtue, mais je ne peux même pas me branler en pensant à toi.
Maintenant que j’étais partit autant aller jusqu’au bout de mon idée, donc je posai la main sur sa queue qui bandait déjà, rien que d’avoir vu la lisière de mes bas, ce qui flattait mon ego, et je lui dit, je sais c’est pour ça que je vais te soulager en le faisant pour toi. J’avais soigneusement éviter son regard en prononçant ses mots. Je ne laissai, ni réfléchir, ni répondre, je tirais sur son bas de pyjama, et sortit un très bel engin d’une très bonne taille. Mon autre main s’empara de sa queue et commença un mouvement de va et vient de haut en bas. Il avait les yeux rivé sur mes seins, je soulevai donc mon haut et le coinça sur le haut de mes seins, afin qu’il ait tous le loisir de les regarder. J’étais très déçu, car il n’a vraiment pas fallu très longtemps avant qu’il vienne dans ma main, l’inondant de sa semence, semence qui au passage était très abondante, pas étonnant vu l’abstinence forcé qu’il a subit.
Il m’avoua être très déçu aussi car il n’en avait pas profité vu que cela était beaucoup trop rapide. Je le rassurai en lui disant que le lendemain se serait plus long
J’allais dans la salle d’eau pour me nettoyer les mains, le salua, en lui donnant rendez-vous pour le lendemain.

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