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Betty, salope à Rebeu

Betty, salope à Rebeu



Betty est une salope et elle aime ça. Elle le revendique, même. Elle aime prendre les devants, et choquer les hommes en les devançant dans leurs désirs. Elle sait qu’elle est belle, elle sent qu’elle plaît et elle en joue. Combien de fois a t’elle été draguée, dans un bar, en broîte ou au travail, les hommes lui faisait leur baratin, parlait, jacassait, essayait d’être drôle (alors qu’ils n’étaient que lourds et pathétiques). Elle, pendant ce temps, pensait uniquement à ce qui pourrait l’exciter chez lui, sa belle gueule, son corps musclé (ou pas, car elle aimait tout chez les hommes), elle imaginait leur queue, la manière qu’elle aimerait se faire baiser. Au moment où ils s’y attendaient le moins, elle les prenait par la main, leur demandait de la suivre, s’isolait avec eux dans un coin tranquille (toilettes, porche, salle de réunion inoccupée, etc…), s’agenouillait devant eux, ouvrait leur braguette, sortait leur tige et l’enfournait entre ses lèvres toujours impeccablement vernissée. Une fois qu’elle l’avait en bouche, elle le laissait faire ce qu’il avait envie, aimant aller à l’inconnu dans ses relations impromptues…

Un des derniers exploits de Betty avait été de se taper le jeune vendeur de l’épicerie en bas de chez elle. Elle était rentrée un peu bourrée d’un pot d’anniversaire d’une copine de boulot. Elles avaient prévues de se retrouver en broîte, mais avant, Betty voulait repasser chez elle se changer. Elle voulait se mettre en mode « chaudasse », car elle était en période de « chauffe », comme elle disait, c’est-à-dire qu’il fallait absolument qu’elle ramène un mec à la maison pour passer une bonne nuit. En passant devant l’épicerie, elle pensa qu’elle n’avait rien à boire chez elle et voulut acheter une bouteille de champagne. Mais elle n’avait pas assez de monnaie pour payer la bouteille. Bien sûr, elle aurait pû faire une carte bleue, mais quand elle vit le vendeur, elle sût immédiatement qu’elle n’irait pas en broîte chercher un mec. elle lui dit:
– Oh, je suis désolée, mais je n’ai pas assez d’argent pour payer
– Faites une carte, Mademoiselle, lui répondit-il.
– J’ai peur de ne pas me rappeler de mon code et de bloquer ma carte. Soyez gentil, je reviendrai demain pour vous payer.
Il avait la glotte qui jouait au yo-yo.
– Mademoiselle, je sais bien que vous n’êtes pas une menteuse, ni une arnaqueuse, mais je ne peux pas, vous comprenez
Elle lui faisait son plus beau sourire de garce.
– Allez, quoi, sois cool! Comment t’appelles-tu?
– Karim.
– Allez Karim, sois cool! Si tu veux, moi aussi, je peux être cool avec toi. J’aimerai beaucoup être très gentille avec toi, tu vois ce que je veux dire?
Il n’y avait personne dans l’épicerie, il la prît par le bras et l’emmena dans l’arrière-boutique. Elle s’accroupit devant lui, la bouche à la hauteur de sa braguette. Il se déboutonna, fouilla à l’intérieur de son pantalon et de son caleçon. Il avait du mal à sortir sa bite car elle l’avait chauffé et il bandait comme un cerf. Quand il sortit enfin son engin, Betty eut un mouvement de recul car il extirpait de son froc une bite d’un gros calibre.
– Waouw, ne put-elle s’empêcher de’admirer. Ben, mon salop, t’as été gâté, toi!
– Dépêches-toi de me sucer, je suis tout seul ce soir et il n’y a personne d’autre pour tenir la caisse.
Elle comprit sa requête et mit tout en oeuvre pour le satisfaire au plus vite, car elle comprenait qu’il était stressé. Elle lui tailla la meilleure pipe possible en essayant d’être la plus efficace possible.Malgré son stress (il n’arrêtait pas de jeter des coups d’oeil dans la boutique), il ne pût s’empêcher d’apprécier la fellation qu’elle lui prodiguait. C’était tellement bon qu’il ne tarda pas à gémir:
– Putain, c’est bon, ce que tu me fais. Tu suces super-bien, salope. Vas-y, continues, tu vas me faire jouir!
Elle continua sa caresse encore quelques temps, puis le désemboucha et lui demanda:
– Tu veux me baiser?
– Non, j’ai pas le temps, continues, je vais jouir.
Elle continua, et, quelques secondes plus tard, il se mit à gémir de plus en plus fort, jusqu’à crier
– AAAAAHHHHH!
Il lui maintint la tête à deux mains et lui envoya la purée jusque dans le fond de sa gorge. Elle avala consciencieusement sa semence, lui lécha le bout du gland circoncis pour le nettoyer, ne pas lui causer le désagrément de « la dernière goutte », ignorant s’il était marié ou avec une copine.
Il la regarda avec tendresse, et lui dit, maladroitement:
– Excuses-moi pour le « j’ai pas le temps », mais j’avais peur qu’un client se pointe pendant que tu me pompais. Vraiment, c’était génial, tu suces comme une reine, et j’ai très envie de te baiser, pour voir si le reste est à la hauteur.
– OK, lui dit-elle, moi aussi j’ai aimé te sucer, et vu le gabarit de ta bite, j’ai très envie que tu me baises. Je te laisses mon numéro? Tu m’appelles quand tu as un moment de libre?
– Pas de problème, ma chérie, je te rappelle dés ce week-end.

Ils se revirent dès le dimanche. Comme il ne travaillait pas avant la nuit, Karim monta chez Betty et la baisa tout en douceur, ils s’embrassèrent longuement, et elle se dit qu’elle était tombé sur un amant exceptionnel, doté d’un sexe puissant et lourd et sachant parfaitement s’en servir. Elle avait joui à de nombreuses reprises dans l’après-midi et elle s’endormit devant la télé. Ils se virent une autre fois dans la semaine. Karim avait les yeux injectés de sang, exorbités et il savonnait en parlant. Sans doute avait-il bu, en tout cas, cette fois-là, il se comporta en soudard avec elle, l’insultant, la baisant par la bouche, la prenant en force, sans prendre en compte son plaisir à elle. Il la retourna, lui cracha dans la raie culière et força le passage de son anus.
– Ouais, salope, j’en étais sûr que t’aimais ça, te faire enculer.
Il lui claqua les fesses violemment.
– Bouges ton cul, salope! Viens chercher la bite, viens la chercher, putain!
Après l’avoir ramonée longuement, il lui éjacula en plein visage en l’injuriant copieusement. Elle ne reconnaissait pas son amant attentionné du dimanche, mais, malgré les douleurs anales qu’il lui avait infligéees, elle avait adoré ce traitement rude et la posture de soumise docile qu’il lui avait imposée. Elle souffrait dans son corps, mais elle savait, elle qui aimait diriger la manoeuvre, qu’elle avait trouvé son maître. Alors qu’il partait en titubant, elle lui implora:
– Tu reviendras me voir, hein?
– Je sais pas quand, on verra.
Et il partit.

Pendant une dizaine de jours, elle n’eut pas de nouvelles, et ça la chagrinait. Elle comprit qu’elle l’avait dans la peau, son beau Rebeu. N’y tenant plus, elle décida, un beau soir, en rentrant du boulot, de passer à l’épicerie. Elle s’était habillée en robe, petits talons, super maquillage, ses cheveux noirs relevés en chignon, une vraie petite pouf de compétition, pensait-elle. Quand elle pénétra dans l’épicerie, la boutique était remplie de clients. Elle vît Karim et lui sourit. Il quitta sa caisse, vint la voir. Il s’excusa de ne pas l’avoir appelée, mais « pas le temps, bla-bla-bla, plein de trucs à faire, bla-bla-bla ». Elle lui dit qu’elle voulait le voir. Il lui répondit que, là, tout de suite, ce n’était pas possible, vu le nombre de clients. Il lui fit une proposition:
– Laisses moi une liste de tes courses, tu les recevras dans une petite demi-heure chez toi, ça te va?
Il lui chuchota à l’oreille:
– Je te promets une belle surprise.
– D’accord.

Elle remonta chez elle, surexcitée. Le temps de prendre une douche, au moment où elle sortait de la salle de bains, coup de sonnette. Elle enfila un peignoir, noua une seviette autour de sa tête, et partit, pieds nus, ouvrir la porte. Pour une surprise, elle eut une surprise. Pas de Karim sur le pallier. mais un autre Rebeu, en débardeur qui avait été blanc, mais jauni par la sueur, grand, avec un gros bide, poilu, avec une grosse moustache. Il tenait un cageot dans les bras, où il y avait les commissions demandées par Betty, plus une bouteille de champagne.
– Bonjour, vous êtes Mademoiselle Betty?
– Oui.
– C’est mon neveu Karim qui m’envoies pour vous livrer les commissions. Il ne peux pas venir parce qu’il y a trop de monde à l’épicerie, alors il m’a demandé de vous faire la livraison. Il a rajouté une bouteille de champagne. Il m’a aussi dit qu’il faut que vous le rappeliez dés que vous aurez reçu les courses. Vous devez le rappeler depuis mon téléphone portable.
Betty était héberluée. Il composa le numéro de l’épicerie et lui tendit l’appareil.
-Salut, Betty, c’est Karim. Tu as bien été livrée par mon oncle Salim, à ce que j’entends?
– Oui.
– Bien. Je t’avais promis une surprise, tu l’as près de toi. Il ne tient qu’à toi de la découvrir.
– C’est-à-dire?
– J’ai cru remarquer que tu aimais beaucoup les bonnes grosses queues de Rebeu, vrai ou faux?
– C’est vrai, avoua t’elle.
– Alors je veux que tu vampes mon oncle, que tu le chauffes comme tu sais si bien le faire. Et là, tu découvriras les délices de l’Orient, ricana t’il. Mon oncle a une… « particularité physique » qui devrait t’interpeller. Je veux que tu couches avec lui, et que tu le fasses avec plaisir, aussi bien le tien que le sien. Moi, je passerai te voir cette nuit, je viendrais peut-être avec un copain pour te niquer à deux, ma pute. t’as compris ce que je t’ai dit?
– Oui, oui, j’ai bien compris.
Elle raccrocha et tendit le téléphone à l’oncle Salim. Elle le regarda. Il ne semblait être dans la confidence.
– Ca vous dirait de boire une coupe de champagne avec moi?
– Oui, bien sûr.
– D’accord, les flûtes sont dans le bar, je vous laisse servir, moi, je vais me changer en attendant.
Elle quitta la pièce. Salim prit deux fkûtes dans le bar, déboucha la bouteille et versa dans les verres, en faisant attention de ne pas en renverser.
Lorsqu’elle revint, Salim faillit tout renverser, verres, bouteille et table basse, tant la vision qu’il eut le chanstiqua. Elle portait une chemise en satin rose complètement déboutonnée, qui laissait apparaitre sa poitrine volumineuse, un tanga assorti, de satin rose, et des mûles roses à talons, avec un petit plumeau rose sur le dessus. Elle avait enlevé sa serviette sur la tête, et ses cheveux noirs encore ruisselants lui donnait un aspect sauvage irrésistible.
– Ouf, c’est mieux comme ça, non?
Salim ne comprenait pas ce qui se passait. Elle s’assit en tailleur dans le fauteuil faisant face au sien.
– On trinque?
Salim ne disait toujours rien.
– A la tienne, Salim!
– T’es une pute? lui demanda t’il, tout d’un coup.
– Je ne pense pas, mais Karim me prend pour sa pute, ça, c’est sûr!
– Karim? Qu’est-ce qu’il vient faire là-dedans, lui?
Elle lui raconta le coup de fil. Il en fût abasourdi.
– J’y crois pas, mon neveu se prend pour un maquereau, et en plus, il veut m’embrigader dans ces conneries! Ca ne va pas se passer comme ça, je vais le remettre dans le droit chemin, ce morveux.
Elle lui coupa la parole:
– C’est vrai ce qu’il m’a dit sur votre « particularité physique »?
Salim ne savait plus où se mettre:
– Oui… non… je sais pas… c’est pas à moi de dire ça…. et puis c’est génant
– Oncle Salim, je suis là, offerte à vous, je suis prête à me donner à vous, j’ai très envie de vérifier si votre réputation n’est pas usurpée, et, en plus, j’ai une idée pour bien faire chier Karim. Vous n’avez pas envie de moi?
Salim se leva, plaqua ses mains sur son pantalon pour bien montrer la bosse qui déformait sa braguette.
– Oh putain si, j’ai envie, regardes dans l’état que tu m’as mis!
Betty se leva à son tour, s’approcha de l’oncle Salim, mit ses bras autour de son cou et l’embrassa fougueusement. Il sentait la sueur, mais ça la rendait encore plus folle de désir. Cet homme de 50 ans, voire plus, gros, poilu, sentant la sueur, la faisait mouiller comme une folle et plus encore depuis qu’il avait plaqué ses mains sur son pantalon, lui laissant deviner un sexe hors norme. Elle le reniflait comme une chienne, le léchait dans le cou, lui enlevait son débardeur pour lécher son torse couvert de longs poils noirs. Elle caressait son ventre pendant qu’il lui prenait les joues à deux mains et lui rentrait sa langue dans sa bouche. Il enleva ses mains pour dégrafer son pantalon, qu’il laissa tomber sur ses chevilles. Ce fut Betty qui s’occupa du slip, elle le caressait à travers l’étoffe, pendant que lui continuait à la galocher, lui léchant le visage, ce qui le rendait encore plus dingue. Elle remonta ses mains pour lui caresser sesjoues ****uses, et c’est alors qu’elle sentît un coup au ventre; il venait de faire tomber son slip sur les chevilles et son énorme sexe venait de frapper Betty au ventre. Elle baissa les yeux et murmura:
– Oh mon Dieu!
Jamais elle n’avait vu un phénomène de cet ampleur. Dans sa vie de salope assumée, elle avait déjà croisée des grosses queues, mais »ça », c’était une première pour elle. Ce n’était pas tant la longueur qui l’impressionnait, mais sa largeur, ainsi que sa dureté. La queue était pleine de veines gonflées à bloc, courbée vers le haut, avec un gland pointu. Elle s’agenouilla, le prit avec une main, mais elle n’arrivait pas, et de loin, à l’emprisonner complètement. Sa deuxième main se joignit à la partie, et elle le masturba à deux mains. Elle réussit à entonner le gland, mais peu après, sa bouche n’arrivait pas à s’ouvrir plus grand pour recueillir l’instrument. Là-haut, l’oncle Salim grognait comme un ours, il lui prit la tête à deux mains et força pour essayer d’en faire rentrer un peu plus dans sa bouche. Betty crût qu’elle allait se faire casser la mâchoire par cette pine géante. Elle prit alors conscience que ce qui allait suivre risquait d’être très douloureux pour elle. Elle l’emmena dans la chambre, où elle disposait de tout son attirail de sextoys, de menottes et de lubrifiants. Elle oignit sa chatte copieusement, puis réalisa qu’elle n’avait pas de préservatifs adaptés à la taille du sexe de son amant, elle le lubrifia donc directement. Il prit mille précautions pour me pas la blesser, et l’opération se passa relativement bien, mais c’est quand il commença le va-et-vient qu’elle la sentit passer. A chaque entrée, elle semblait se faire défoncer le ventre, à chaque retrait, il lui semblait qu’on lui arrachait son intérieur. Il n’y avaiy pas de gémissements, mais des cris, des hurlements, parfois, de douleur et de jouissance mélés, car, oui, elle jouissait. Elle le chevaucha, et la position sembla mieux lui convenir, mais s’il se mettait à bouger, elle sentait qu’on lui fouaillait l’intérieur, et ses cris redoublaient. Ils tentèrent la levrette, maiselle dût s’avouer vaincu au bout de quelques secondes. elle lui demanda de s’allonger sur le dos, et le caressa avec ses mains, avec sa langue, jusqu’à l’explosion finale où il se montra, là aussi, très généreux. Ils restèrent l’un contre l’autre serrés de longues minutes.Elle lui dit qu’elle n’avait jamais connue une telle expérience et lui demanda s’il désirait la revoir. Il lui dit qu’ils n’avaient aucun avenir ensemble, elle le savait, mais en attendant, elle voulait profiter le plus possible de ce chibre fantastique.

Quand Karim monta la voir avec son pote, elle ouvrit la porte à poil. Karim sourit, son pote resta bouche bée. Mais elle lui dit:
– Oh Karim, mon chéri, je suis désolée, j’ai oublié de te prévenir, mais j’ai mon amant qui est là, ce soir. Tu le reconnais? C’est lui, là, à poil, dans mon fauteuil. T’as vuun peu, la bite qu’il a. Tu as eu tort de me le présenter, maintenant, j’ai tellemnt mal au cul que je ne pourrais rien faire pour toi.
Elle lui claqua la porte au nez, puis la rouvrit et lui dit:
-Et merci pour le champagne!

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