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Jeanine et sa fille II

Jeanine et sa fille II



Le mercredi suivant, je me rendis en vélo chez Bernard et Jeanine, ils habitaient à 3 km du centre ville en bordure d’agglomération en haut d’une colline. Leur maison et leur piscine jouxtait les serres que Bernard exploitait. Je portais le même vieux survet blanc que lors de notre expédition à Pralognian la Vanoise et un vieux tee shirt Nike. Jeanine m’attendait dans les serres froides des azalées. Elle était vêtue de noir un leggins fin coupe corsaire qui montrait ces chevilles épaisses, et un body noir en coton complétait sa tenue. je lui sourit, en pensant qu’elle avait fait un effort pour moi, voyant le mascara de ses yeux et ses cheveux brillants lavés et coiffés du matin.

« Où est Bernard » demandais-je

« Il fait la sieste, il était à 3h ce matin au marché gare de Lyon » Me répondit t’elle.

« Viens on va à la rempoteuse »

La rempoteuse était une machine qui remplissait les godets ou les pots de terreau que nous devions placer dans des caissettes en plastique. cette machine tenait une cadence rapide dans un bruit un peu assourdissant.

Durant deux heures nous tînmes le rythme voyant Jeanine transpirer, s’activer, s’accroupir, j’avais une vue sensuelle et imprenable sur son cul. Je la soupçonnais d’ailleurs d’en rajouter pour me chauffer. Souvent elle me frôlait, frottait ses gros seins contre moi, se penchait juste devant moi dans une sorte de danse très a****le de séduction.

Elle prétexta mon aide dans la chaufferie pour m’y attirer. La chaufferie était dans une petite serre dont les vitres étaient peintes en blanc si bien que de l’extérieur, on ne pouvait voir ce qui se passait à l’intérieur. L’atmosphère était lourde et chaude et l’odeur de fioul limite écœurante. Jeanine referma la porte derrière moi et me planqua contre la cuve à fioul en m’embrassant.

Sa langue chaude directe dans ma bouche, elle embrassait mal Jeanine comme les filles de 14 ans qui mettent la langue pour la première fois, Je mis mes mains sur ses seins mon genou entre ses cuisses bien décidé à poursuivre l’exploration de l’intimité de Jeanine.

 » Tu m’as excitée comme jamais la semaine dernière tu sais, j’ai pensé à toi tous ces jours » me dit t’elle.

« Je pense à toi depuis longtemps » lui dis je

« Je sais j’ai vu » me dit telle en faisant allusion à sa culotte maculée de mon sperme.

Tout en l’embrassant je caressais ses seins lourds à travers le body en coton noir en descendit à mis cuisse son leggins passa ma ma main sur son entrecuisse, elle se frotta et se cabra d’un doigt j’ôtais les 3 pressions du bas de son body. En glissant ma main je fus surpris, plus de grosse touffe de poils, Jeanine s’était épilée et tondue, un joli triangle soyeux et dense habillait son pubis. Je décalottais son clitoris, et explora sa vulve, ses lèvres étaient épaisses et luisantes. Elle avait une grosse chatte Jeanine, ce qui n’était pas sans m’exciter, jusqu’à présent je n’avais rencontré que des petites chattes serrées des filles de mon age. « Nine » comme on l’appelait avait une grosse chatte de mère de famille de 40 ans qui mouillait abondamment. Je glissais un doigt en elle, puis deux, tant elle était toute ouverte, je la doigtais en l’embrassant, elle baissa mon pantalon de survêtement avec le boxer, soupesa mes couilles et commença à me branler doucement.

« Je n’ai connu qu’un homme Bernard » me dit elle sur le ton de la confidence tandis que je doigtais sa vulve ouverte et mouillée.

« Tu as presque l’age de « Lique » me dit elle

« Mais j’en m’en fou c’est trop bon »

Je remontais ma main sur son clito lui appliquant des mouvements circulaire, elle ne tarda pas à jouir en me mordant l’épaule pour refréner un râle sourd et serra mon sexe très fort dans un spasme.

« Je jouis, je jouis » répéta-t-elle d’une voix devenu grave.

Ses esprits recouvrés, elle s’accroupie m’offrant une jolie vue sur sa chatte béante et chaude d’un orgasme fort. Elle pris ma queue dans sa bouche et commença à me sucer. On ne m’avait jamais sucer comme ça, elle prenait un plaisir non dissimulé à me sucer dans la chaufferie en plein après midi la chatte à l’air. Elle suçait divinement bien doucement avec sensualité, pompait en me regardant les yeux blancs, alternant les coups de langue sur mon gland. D’un coup une chaleur envahi mon bas ventre et j’éjaculais dans sa bouche sans pouvoir me retenir ni la prévenir. je crachais mon sperme dans sa bouche en lui maintenant machinalement la tête, elle voulu se retirer mais l’étreinte de sa tête était trop forte. Je me vidais en elle dans un râle fort et un tremblement. Dans un silence, le temps sembla se suspendre, tout se figea, Jeanine avec ma queue dans sa bouche mes mains sur sa tête. Je perçu le mouvement de sa gorge, elle venait d’avaler tout mon jus. Elle me regarda mi-interrogative mi-surprise, se leva et m’embrassa.

-« C’est la première fois qu’un homme jouit dans ma bouche et que je bois du sperme » me dit elle.

« Tu aurais pu me prévenir quand même ? »

« J’ai pas pu tu m’a fait jouir comme jamais » lui dis je

-« Je sais pas ce qui m’est arrivé, pardon. »

-« Ne t’excuse pas c’était très bon, j’ai adoré ton jus chaud dans ma bouche et ton sperme est très bon. je pensais pas aimer le sperme pour tout te dire. »

Elle se mis à genou voyant encore quelques gouttes de sperme perler sur mon gland, elle m’aspira doucement jusqu’à la dernière goutte.

Nous nous quittâmes dans une dernière étreinte Jeanine me glissa à l’oreille que vendredi soir Bernard allait au basket avec « Lique » et les garçons et que elle serait seule de 18h à 21h

A suivre

« Toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite » 😉

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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