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Clarisse mère au foyer

Clarisse mère au foyer



Prélude :

« Si tu devais me donner juste une partie de ton corps ? »

« Sans hésiter, ma bouche ! Elle pourrait vous sucer dès votre réveil, être toujours là au moindre désir de mon Maître. Ne plus vivre que dans votre slip pour vous être qu’agréable à tout instant de votre vie, peu m’importe le pourquoi ou le comment si ce n’est que c’est pour votre seul plaisir, Monsieur mon Maître. »

Si ça ne vous émeut pas, je ne sais que dire de plus. Celle qui m’a donné cette réponse se repose toujours auprès de moi depuis bien des années et je l’aime comme au premier jour.

Clarisse, mère au foyer

Depuis que j’ai quitté ma vallée, plus de travail, la faillite de mon entreprise et mon divorce avec Lysiane après cette terrible fausse couche, j’ai atterri dans une petite ville très sympa. Il me faut reconnaitre qu’avec la fausse couche de Lysiane, je ne m’étais guère montré à la hauteur, submergé par la douleur peut-être et mon évident manque de tact aussi y est pour beaucoup. Ici, dans mon quartier, la solidarité n’est pas un vain mot galvaudé, elle existe. Je connais chacun des habitants de mon quartier, c’est un peu comme dans ma vallée, chacun connait tout le monde. C’est peut-être pour cela que je m’y plais autant. Tout près, s’il le faut, il y a même l’hôpital. Je suis toujours menuisier-charpentier. Je me prénomme toujours Alain et, à vrai dire, je ne m’en plains pas, c’est un prénom comme un autre. Quoique, depuis mon arrivée, je ne l’entends plus beaucoup. En effet, ici, on me surnomme affectueusement Yul, à cause de mon crâne comme une boule de billard. C’est en référence à l’acteur Yul Brynner. Voilà, quelques précisions pour vous situer. Maintenant, à savoir si cela à de l’importance ou pas, à vous de voir.

Si, il y encore quelque chose qui est important. Depuis quelques mois, cinq ou six, pas de plus, une jeune femme de 24 ans s’est installée dans l’appartement de quatre pièces en face de ma porte. Elle est arrivée avec deux petits, un garçon d’un peu plus de 2 ans et une petite, mignonne comme tout, d’une quinzaine de mois. Son arrivée, avec ses enfants, coïncide avec le départ de son compagnon avec une autre. Cette femme ne ressemble à aucune de mes deux épouses. Petite, elle ne dépasse que de peu le mètre cinquante. Elle possède une longue chevelure qui, pour un peu, nous empêchait de voir sa belle croupe. À la voir, on ne dirait pas qu’elle a enfanté par deux fois. Sa silhouette est magnifique, ni maigre, ni ronde, elle possède un je ne sais quoi qui m’attire chez elle, un charme qui me dévore les tripes depuis son arrivée. Cependant, après mes deux expériences désastreuses, je n’ai pas le gout à me remettre en ménage une troisièmes fois. Et puis, très vite, elle s’est mise au diapason du quartier, de notre petite ville. Non, elle me plait, elle m’attire sans que je ne puisse réellement dire pourquoi.

Le véritable début de notre histoire commence par un accident qui aurait pu virer au drame quand son fils de deux ans se blesse en se renversant une pleine casserole d’eau chaude. J’ai entendu le cri du gamin et celui de cette mère soudainement paniquée. J’ai presque défoncé sa porte du coup. Comme ancien pompier volontaire, j’ai vite compris et fais ce qu’il fallait sous une douche fraiche avant de l’emporter à la clinique dans mes bras. Elle est à peine à quelque mètre de chez moi. Clarisse, la mère, arriva peu après, encore paniquée, avec sa petite dernière dans les bras. Ce ne fut pas grave, l’eau était certes chaude, mais pas bouillante au point de bruler l’enfant plus gravement. Le petit bonhomme ne fut brulé qu’au premier degré et encore, très légèrement, comme un bon coup de soleil. Après quelques tubes de pommade et un antidouleur, il peut rentrer chez lui. Il y a un détail que j’oublie. En pénétrant chez ma voisine, elle était entièrement nue sortant de sa salle de bain et le corps encore mouillé. Je crois même l’avoir bousculée pour rafraichir l’enfant. Sur le moment, je n’ai pas percuté, il y avait une priorité autrement plus urgente.

Clarisse m’invite à un verre chez elle. En retirant son manteau, je me sens gêné de ce que je vois, elle était réellement sortie nue avec juste une serviette de bain encore humide enroulée sur son corps. Gênée, elle m’avoue être sortie de la douche en catastrophe au moment de l’incident. J’allais m’assoir quand, faisant un geste pour prendre une bière dans son réfrigérateur, sa serviette décide de se faire la malle. J’eus le réflexe de me de me lever et de baisser prestement pour la lui ramasser et la remettre sur autour de son corps quand Clarisse se retourne brusquement. Nous avons tous deux rougi alors que je l’entoure de sa serviette et la noue sous son aisselle à la manière d’un paréo. On reste ainsi un moment avant qu’elle ne pose ma bière et m’enlace tendrement pour tout aussi tendrement m’embrasser. S’il n’y avait pas eu les enfants, ce baiser aurait très vite dégénéré, aucun doute là-dessus.

Dans le salon, la petite, dans son parc, joue, le plus grand étendu sur le canapé, est calme, certainement très fatigué par son accident et l’antidouleur. On but ce verre face à face sur le balcon. Elle a enfilé une robe légère entre temps. Je reste encore, sur sa demande insistante et mon envie de rester près d’elle était forte. Je soupe même avec eux. Quand elle met ses petits au lit, je l’aide pour les soins de son fils. Là encore, en me redressant, je me retrouve devant son visage. Un petit bisou sur le bout de son nez, elle prend par la ma main après avoir couché son fils. Dans le salon, elle me pousse sur le canapé avant de laisser glisser sa robe le long de son corps.

« Je ne vous ai pas encore remercié comme il se doit face à un héros, mon héros ! » Qu’elle m’avoue avec une moue coquine.

Son corps, très soigné et glabre, se couche sur moi, son visage sur mon bas ventre. Elle remonte mon teeshirt et commence à embrasser mon ventre. Cela dégénère vite, ma ceinture est ouverte en moins de deux, mon pénis déjà dans sa bouche peu après. Nul doute qu’elle souffre d’un manque évident de sexe. Nous faisons l’amour une grande partie de la nuit. En me parlant, jamais elle ne me tutoie. Le vous est déférent, presque humble. Et ce n’est pas Alain qu’elle me disait, mais du Monsieur sur un ton bienveillant. J’ai beau avoir insisté pour Alain et le tutoiement, mais il n’y eut rien à faire. Enfin, je l’emporte dans son lit. Il me semble comprendre le pourquoi du vous et du monsieur en voyant ce splendide martinet fait main suspendu au-dessus de sa table de nuit.

En voulant me lever au matin, Clarisse se précipite pour me faire une fellation. Sa croupe bien relevée, sur le lit. Je ne sais pourquoi, voyant ce magnifique martinet qui pendouille, je lui administre un bonne claque de ma main sur ses fesses si joliment dodues. Elle continue à me sucer sans ne rien faire pour m’interdire de fesser sa croupe savoureuse. Je lui claque encore ses jolies fesses, elle pousse un doux gémissement de bonheur. La suivante fut plus forte encore, sa croupe remua. Ma main entre ses fesses, je poussais sur son anus. Elle ne fit rien encore pour me refuser ce dont j’avais envie. Elle ouvrit même le premier tiroir de sa table de nuit. Il y avait un tube de lubrifiant. Ce ne fut pas long avant que mon sexe soit bien au fond de son anus. Elle creusa ses reins en redressant son dos, appuyant ses frêles épaules contre ma poitrine. Tout en la sodomisant, je pouvais masser sa généreuse poitrine légèrement lourde mais, si terriblement ferme.

« Monsieur Alain, aimez-vous les femmes particulièrement dociles ? » Me demande-t-elle.

« Je n’en ai connu qu’une avant toi ! »

« Je peux être encore bien plus dociles, si Monsieur Alain l’exige. » qu’elle ajoute « Vous pourriez vous montrer plus exigeant avec moi, faire ce que bon vous semble. C’est une manière de vous remercier et puis… » Elle hésite un moment, un très long moment. « J’aime ça, être dominée de la tête aux pieds. J’aime me sentir prise en main, privée de toute liberté. »

Devant de tels aveux, l’envie de connaitre ses limites se fait jour dans ma tête. L’idée est si excitante que j’en jouis sauvagement dans le fond son cul. Je comprends vite quand elle me disait être docile et aimer le sexe brutal, sauvage. Elle se dégage de moi pour venir sucer mon chibre bien souillé de son cul. Il n’y a pas à dire, elle commence à me plaire énormément et de plus en plus. Pendant qu’elle me suce encore, je me suis mis à lui pincer ses seins, les étirer même, voir les tordre, mais sans exagérer. Son regard plonge dans le mien, il brille comme des millions d’étoile. Je jouis sur son visage, quand elle m’achève de ses douces mains, sa bouche grande ouverte, je lui en mis partout.

Et puis, il y a eu des pleurs. Elle enfile rapidement son peignoir, moi, mon pantalon et mon teeshirt, oubliant mon slip au passage. Elle lève ses enfants, je m’éclipse en lui faisant un signe de la main. Dans mon appartement, après une bonne douche, je n’ai pu résister à l’idée me branler en pensant fortement à cette femme si étrange, mais si aimante. Oh, si je vivais seul, il y avait bien une raison. Non pas que je sois un grand timide, loin sans faut, si un peu quand même. Mais c’est plus par gout de la solitude après le décès de ma première femme et ma séparation d’avec la seconde. Et mais surtout à cause d’une tante particulièrement détestable, surtout qu’elle a mon âge, la plus jeune sœur de mon père. Enfin, vous apprendrez à la connaitre plus tard.

Je suis sorti faire mon petit tour du samedi dans le quartier, boire mon café et éplucher les journaux. En rentrant, je la vois qui sort du petit magasin. Elle m’attend en me souriant, tenant son fils par la main, la poussette de la petite dernière dans l’autre. Le petit bonhomme me reconnait. Il vient me sauter au cou, m’embrassant de partout, le garnement. Le visage d’Clarisse est illuminé de bonheur. Je l’aide à rentrer, sous la poussette, ses courses et c’était plus que plein. Je tiens son fils par la main qu’il m’a donnée. Je commence gentiment à me faire à l’idée d’être un jour père, du coup.

« Si tu veux faire plus de commission, tu me demande, j’ai un grand break. On peut y mettre facilement ta poussette et pas mal de chose encore »

« C’est très gentil à vous, Monsieur Alain. Si j’ose, pourrions-nous nous rendre au centre commercial, cette après-midi, je dois prendre des couches pour ma fille et elles sont en action. » Elle ne devait pas avoir grand-chose pour vivre à l’en croire.

Il était à peine dix heures du matin, deux heures plus tard, nous étions dans ce centre commercial, à l’entrée de la ville. Cela tombe bien, j’ai à y faire, une bricole à acheter, rien de plus. Pendant qu’elle fait ses courses, j’embarque son bout de choux, un garçon très calme et très attachant. Très vite, entre ce gosse et moi, le courant passe merveilleusement bien. Il est heureux comme tout quand je le mets sur une de ces petites attractions qu’on trouve dans ces centres commerciaux. Il l’est doublement quand je lui att**** une belle peluche de dinosaure dans cet automate avec une petite grue. Clarisse nous rejoint, me tendant un petit sac noir avec la consigne de ne l’ouvrir que chez moi. Elle rougissait en me le tendant. On prend encore un verre et on rentre droit après. Son fils joue joyeusement à l’arrière avec sa nouvelle peluche.

« Merci pour lui. »

« Pas de quoi, il est adorable. Et puis, c’est la première fois qu’un gosse m’appelle tendrement Alain en m’embrassant. Tu as là un gosse absolument génial. »

« Dommage que son père ne soit pas aussi attentionné que vous, Monsieur ! »

Sa tristesse pouvait si lire dans ses yeux. Je pose ma main sur la sienne. Elle croise ses doigts avec les miens, serrant fortement, une petite larme à l’œil.

Dans mon appartement, j’ouvre ce sac et quelle n’est pas ma surprise en découvrant une paire de menotte avec une petite badine de cuir rouge. Il y a aussi un petite mot griffonné à la va-vite. En gros, un mot qui m’apprend que je ne dois jamais hésiter à m’en servir sur elle à chaque fois que j’en aurai envie. L’idée est diablement tentante d’aller la menotter sur le champ et lui faire connaitre le gout de sa badine.

Le lendemain, bref coup de sonnette. J’ouvre, personne, juste un sachet de papier sentant bon les croissants tièdes suspendu à la poignée de ma porte. Trois beaux croissants au beurre salé dans ce sac, ceux que je préfère, un déjeuner de roi en somme. Un mot encore, cette fois nettement plus explicite : « De la part de votre désormais dévouée et docile soumise. » L’écriture est, cette fois, particulièrement appliquée et le doute n’est plus permis.

Bien après l’heure du diner, je suis allé sonner chez elle. M’ouvrant la porte, elle baisse son regard. Je lui propose une balade avec ses enfants dans le bois voisin. J’ajoute qu’il me serait très agréable qu’elle ne porte rien de plus qu’une simple robe sans rien d’autre. Je la vois rougir en remuant sa tête affirmativement en se mordillant nerveusement ses lèvres. Une demi-heure plus tard, nous marchons en direction de ce bois.

« T’es-tu déjà promenée nue sous tes vêtements ? »

« Non, Monsieur, jamais, mais j’aime ça, soyez en certain ! »

« Moi aussi, c’est plus facile pour aimer un femme telle que toi ! »

« Désormais, je ne mettrais plus de culotte pour vous être agréable, Monsieur ! Ainsi, Monsieur Alain pourra baiser sa petite pute quand il le souhaitera. »

On se fixa un moment. Le garçon jouait, un peu plus loin devant nous, tel un preux chevalier avec un bâton en guise d’épée à occire quelques méchants dragons. J’en profite pour embrasser sa mère tendrement en glissant mes mains sous sa robe. Elle est délicieuse en se laissant faire. Sa chair est douce et fraiche au touché et je bande comme un âne en rut. Elle mouille en abondance ce qui me procure un plaisir sans limite. Elle me donne la preuve qu’elle aime ce qu’elle subit. Je lui fais lécher mes doigts, elle le fait avec une dévotion qui me fit définitivement fondre en prenant ma main dans les siennes. Je prends la direction d’une cabane de chasse que je connais bien. Plus nous avançons, plus je défais les boutons de sa robe. Bien plus docile que je ne me l’imagine, elle m’offre des perspectives de vie des plus intéressantes. Je profite de sa docilité pour la questionner sans qu’elle ne puisse me mentir. J’ai coupé une branche de noisetier pour agacer ses cuisses. Elle ne me ment pas, et j’ose croire que le mensonge ne fait pas partie de son mode de vie. Aussi, j’apprends le la cause de son divorce. Son vieux ne la touchait plus, buvait un peu trop en fin de semaine et la trompait outrageusement avec une de leurs voisines. S’il avait su quelle femme il avait auprès de lui, ce gros con, enfin… En fait, son besoin de se sentir obligée lui est venue après l’accouchement de sa fille, une envie de ne plus s’appartenir, d’être asservie, dominée, réduite à l’état d’objet sexuel. Elle n’est même pas incapable de me dire d’où lui venait ce profond désir soumission. J’ai la ferme intention de lui donner satisfaction et pas plus tard que dans la cabane de chasse.

Devant la cabane, son fils montre des signes évidents de fatigues. J’ouvre la cabane, installe ce petit gars dans un lit, sa sœur juste à côté. Je fais du café. Pour elle, je lui réserve un tabouret, la positionnant à genou dessus et nue, les mains sur sa tête. Elle se plie à toutes mes demandes sans aucune objection, un délice.

« Tu aimes ? »

« Beaucoup Monsieur ! »

« Tu en veux plus ? »

« Tout ce que Monsieur voudra m’imposer, j’aimerais, Monsieur peut en être certain ! »

« Je crois que je suis amoureux de la femme la plus extraordinaire et excitante qui soi. »

« Alors, sachez que mes sentiments m’unissent à vous, comme les vôtres à moi, Monsieur Alain. »

Je lui donne à boire son café en massant son corps merveilleux. Parfois, je fesse tendrement son corps à l’endroit qu’il me plait de fustiger, même ses joues. Elle ne déteste pas, loin sans faut. Je la prends sans autre, son sexe est ouvert et largement humide. Femme dévouée dont son mari n’avait pas su découvrir les avantages de ce corps. Je la fais jouir en lui disant que ce ne sera pas toujours le cas. Sa tête sur la table, elle pousse un long soupir en se mordant sa main au moment suprême.

On ne va pas plus loin, les enfants commencent déjà à se réveiller de leur sieste. Après un rapide nettoyage, on boucle la cabane et rentrons par un autre chemin. Dans le quartier, me voyant en compagnie de cette femme, on comprend vite que je suis accro. Sur une terrasse d’un bistrot, le bonhomme se prend une petite glace, ma docile, un soda. La petite ne pouvant encore commander sa boisson, elle contente de son biberon. Le soir, chez ma disciplinée voisine, je la sodomise longuement tout en fessant amoureusement sa croupe merveilleusement dodue.

Une journée de travail, ça passe vite quand on sait qu’une femme s’impatiente de ne pouvoir vous servir. Elle passait ses journées entre son appartement et le mien. Elle me faisait mon ménage, ma lessive et bien plus encore. Jamais mon appartement ne fut si propre qu’avec Clarisse.

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