Par obligation je fut obligée de revenir chez moi mon locataire étant décédé laissant sa veuve toute seule du moins je le croyais j appris qu il y avait sa sœur
J attendis quelques jours et enfin je m annonçais j avais garder un petit studio au cas où ses dames me reçurent malgres leurs âges elles étaient bien conservées étant en été ses dames étaient en nuisette malgres des bas on apercevait des traces mêmes des marques de coup sur leurs jambes et surtout les cuisses ayant côtoyais le couple il y a des années je savais qu ils n avaient pas beaucoup de tabou sur la pratique du sexe
La veuve Tout en buvant un vieux whiskie malgres le début A M il était seizes heures m expliqua que vu le décès de son mari elles se trouvée sans revenus ayant pris l habitude de se faire diriger par lui et c est lui qui décide de tout pour les trois après plusieurs whiskys sa sœur partit comme elle put à la cave en chercher une autre j en profiter pour lui demander si elle faisait toujours des partie fines comme au bon temps où on se voyaient sa réponse fut que hélas ils avaient moins d activités vu leurs âges et que depuis la mort de son époux elle n avait eu qu un coup de tel d un ami à son mari qui lui avait proposé de depuceler le petit fils d un ami lors d une partouze avec des petits jeunes j en profiter de lui demander si elle se gouinner avec sa sœur elle me repondit par la négative me disant que ce n était pas sa sœur mais sa belle sœur
J en profitee pour me mettre à l aisé suivant son conseil chez moi vous le savez c est très vite fait ne portant qu un serre taille et des bas et des escarpins talons hauts je vint l embrasser elle repondit à mon baiser par une pelle à vous décrocher les amidales c est dans cette position que nous surprit la belle sœur qui s étala sur le tapis plus par la cuite qu’elle tenait que par notre position
Elle l Aïda a se relever une fois installer sur la banquette je vains les embrasser toutes les deux et leur dit de faire de mêmes les obligeants a se gouinner on finit en partouze elle se goder avec les bouteilles qu on vidaient
Dans les jours qui suivirent je les fit profitees de quelques numéros de tel de mes connaissances je leur fit pas un cadeau car certain étaient vraiement des contacts dépravés puis je les oublies reprenant mon petit train-train d Ematine
Six mois plus tard je dut revenir l une fut internée l autre fut retrouvée pendue empalée sur un pal j appris qu elle en avait pas loin de cinquantes centimètres dans le cul au bout de deux ans d enquêtes on sut que c étaient lors d une séance SM je me doute avec qui; les gens les laissèrent une attachée à la laisse de son collier au lustre empalle sur sur une queue de billard debout sur deux tabouret de bar l autre était prostrée à ses pieds en état de démence dut beaucoup a l alcool et à son accroc au pratique du sexe (du reste leurs corps étaient zébrés de marques de haut en bas et en déménageant l appart je compris avec quoi elle se faisait battre je découvris une douzaine de queue de billard brisée )c est elle qui enleva les deux tabourets
Les emmerdes recommencèrent car des neveux et nièces voulaient recuperer l appartement et ce qu il y avait dedans croyant qu elles étaient proprios je put récupérer les vêtements et S V elles avaient du goût les salopes et je donnait le reste à Emmaüs
Je revint un jour au sauna ainsi qu au sex shopp où je reconnu un de mes anciens copains qui ne me reconnut pas sur le coup sa femme faisait l entraîneuse au sex shopp je vous le raconterais plus tard
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