Toutes mes rencontres ne sont pas filmées, car j’ai parfois affaire avec des timides. Il n’en reste pas moins que certaines me laissent des souvenirs extraordinaires, c’est le cas de celle que j’ai vécue hier.
Ce soumis me contacte suite à une de mes annonces sur un site SM. Il a réservé un airbnb dans le Vexin, une sorte de grande ferme. Il est convenu que je rentre directement dans la maison pour me faire belle tout en vynil, puis que je le rejoigne dans la grange adjacente ou il m’attend. L’échange téléphonique a été clair, il veut une expérience très hard, il aimerait garder des marques sur plusieurs jours, il aime le ballbusting et vraiment avoir mal, il a beaucoup d’expérience. J’avoue que tout ceci m’a fortement excitée !
je porte une de mes tenues sexy (voir ci dessous) :
Je sors de la maison et me rends dans la grange (j’adore me promener à l’air libre dans mes tenues sexy, sentir l’air frais sur mes fesses…), je pousse la porte, il est là, debout, nu, les chevilles attachées jambes écartées. Ses mains tiennent des cordes qu’il me suffit de crocheter à ses poignets, il a tout préparé. Mes talons résonnent sur le ciment du sol, l’ambiance est vraiment parfaite, tout ce que j’aime. Je finis de l’attacher solidement, il n’a vraiment aucune possibilité de s’échapper.
Je fais un petit tour de la grange, sur une table, il a exposé tout le matériel dont je vais pouvoir me servir. C’est impressionnant ! Plusieurs fouets de toutes tailles, des martinets, des godes divers et variés, des baillons, gag ring, pinces en tous genres, liens variés, roulettes crantées, récipients divers, entonnoirs, bref, je ne vais pas tout citer, je ne vais jamais pouvoir tout utiliser en une journée. Belle attention avec ce grand verre à pied, cette petite bouteille de champagne et ses bouteilles d’eau, quel plaisir d’être reçue de la sorte.
Je reviens vers lui, je prends en main ses couilles déjà bien serrées et rougies par un ball extender, je les écrase dans mes gants. La douleur le fait gémir.
– A compter de cette minute, considère que tu m’appartiens corps et âme. Je vais me défouler sur toi, me laisser aller à toutes mes envies les plus perverses, je vais te faire mal, très mal, quand je repartirai ce soir ton corps sera marqué de mes sévices. Tu n’oublieras sans doute jamais cette journée. Il est 10h, je vais t’utiliser jusqu’à 18h, quand j’en aurai fini avec toi tu ne seras qu’un déchet !
– Bien maîtresse, vous avez toute latitude, je vous l’ai dit je ne veux aucune pitié de votre part, à aucun moment, mon propre plaisir ne viendra que du fait que vous vous surpreniez vous-même du mal que vous êtes capable d’offrir.
Voilà un discours qui confirme ce qu’il m’avait dit, il est réellement mas0. D’ailleurs, quelques marques de brûlures de cigarettes près de ses tétons ne laissent aucun doute sur ses expériences passées. Certaines photos qu’il m’avait envoyées où on le voit empalé sur des godes géants, les couilles et tétons étirés par des pinces m’ont convaincue de ses attentes en termes de souffrance et d’humiliation.
Il est grand (1m90 environ), très gras, il doit peser dans les 140 kilos, son gros ventre pendouille. Avec son ball strecher en caoutchouc, ses couilles pendantes sont plus longues que sa queue, il est poilu de partout, le dos, les épaules. Malgré son surpoids évident, ses grosses cuisses sont musclées.
Je tourne autour de lui pour l’inspecter sous toutes les coutures, mes mains glissent sur lui, je le caresse partout, il sent bon, car il s’est parfumé, j’apprécie. Je caresse ses couilles, je l’embrasse dans le cou, je malaxe ses grosses fesses, je lèche ses tétons, je glisse ma langue dans sa bouche et il ne se fait pas prier pour me rouler une bonne pelle. J’adore être douce et sensuelle avant de faire mal…
J’approche une sorte de fauteuil, m’assoit face à lui, les jambes croisées, une de mes jambes balance, je mesure visuellement, ses couilles sont à la distance parfaite. Il a vu ma jambe se balancer, il sait sans doute ce qui va lui arriver.
– Comment trouves-tu ta maîtresse gros porc ?
– Magnifique Maitresse, vous êtes magnifiq… arrrrrrrrrrrrrrgh
Il n’a pas le temps de terminer sa phrase que je lui assène un très fort coup de pied dans les couilles.
– Comment ? Magnifique, tu penses peut-être que c’est suffisant comme compliment de la part d’un gros porc comme toi ? Je me lève, le gifle, je prends ses tétons et lui tord pour l’entendre crier à nouveau, je prends ses couilles meurtries à la main et je tire dessus, je marche sur ses pieds en lui écrasant les orteils, le gifle à nouveau à une quinzaine de reprises.
– Pardon Maitresse, je n’ai pas de mots pour évoquer votre beauté, votre cruauté vous rend si belle, je vous aime déjà Maitresse.
– Tu ne trouves pas de mots ? Je vais t’y aider !
Prenant appui sur le fauteuil face à lui, je lui assène à nouveau un violent coup de pied dans les couilles, il hurle, il se tortille. Puis un second, un troisième, un quatrième, il hurle à chaque coup. Heureusement que le plus proche voisin est au moins à un kilomètre.
– Qu’est-ce qu’on dit à sa Maitresse ?
– Merci Maitresse, vous êtes une déesse, merci de m’éduquer, je ne suis qu’une sous merde pour vous et vous avez accepté de vous déplacer pour une pauvre merde comme moi, jamais je ne vous remercierais assez Maitresse. J’ai mal Maitresse, merci, merci de prendre soin de moi comme ça.
– C’est en effet une rééducation totale qu’il te faut sale porc, je vais commencer ça.
Je retourne à la table, je mets un gant de nitrile noir, un peu de gel sur les doigts, je reviens derrière lui, le prend par son collier « cambre-toi ! « Sans ménagement, je lui mets directement trois doigts dans le cul, je l’entends gémir de plaisir et de douleur, voyant avec quelle facilité je suis rentré, je mets quatre doigts jusqu’aux dernières phalanges, je fouille profond, je ressors et rentre à nouveau une dizaine de fois. Ce mec doit tellement se faire dilater que tout passe tout seul, je tente donc le fist et effectivement, ma main s’insère entièrement jusqu’au poignet sans forcer. De l’autre main je prends ses couilles et tire dessus tandis que ma main se transforme en poing pour entrer et sortir de ce trou totalement dilaté. Je comprends mieux la taille des godes sur la table, il a une sacrée expérience de ce côté-là, jamais je n’ai fisté quelqu’un aussi vite !
– Dis-moi sale porc, pour être ouvert comme ça tu dois t’entraîner souvent à te défoncer le cul grosse pédale !
– Oui Maitresse, et je me suis dilaté avant votre arrivée pour votre plaisir.
Mais quel gros porc, je vais directement chercher le plus gros gode, ou plutôt un plug, il est énorme, pour ma part je ne suis même pas certaine d’arriver à le mettre au tiers (et pourtant je suis salope et j’adore ça). La base du cône est d’une taille monstrueuse, rien que la partie qui se resserre en dessous doit faire 6 bons centimètres.
Un peu de gel (quand même), et accroupie derrière ce gros cul de lope, je lubrifie bien la totalité pour lui mettre d’un coup, j’enfonce avec des rotations en forçant, j’ai à peine le temps de dire ouf que le plug est passé et je vois le trou béant se resserrer sur le fond du plug. Il a crié, mais c’est passé en une fois, je n’en reviens pas.
– Tu n’es vraiment qu’un trou grosse salope, je suis certaines que tu ne sens même plus les bites quand on te baise !
– C’est vrai Maitresse, il me faut plus que des bites, je ne suis qu’un trou pour qu’une belle maîtresse comme vous puisse s’amuser.
– Grosse salope, je vais te punir pour ça ! Te punir du plaisir que je viens de te donner en te pluggant !
Il est temps de tester ces si nombreux martinets et fouets à ma disposition. Mais avant cela… Ces jolies pinces japonaises me font de l’oeil depuis tout à l’heure, j’en prends 6, et m’avance vers ses gros tétons ( les miens sont proéminents et j’adore que l’on joue avec, mais les siens sont encore plus gros). Par réflexe, je commence à les tester sur mes propres tétons, mais j’arrête de suite, la douleur provoquée est intense, elles serrent à un point ! Pourtant je ne suis pas vraiment douillette de ce côté-là…
Je m’approche à nouveau face à lui, je l’enlace de mes bras, je lèche ses oreilles, je lui roule une nouvelle bonne pelle qu’il apprécie visiblement, je le lèche dans le cou, et lui susurre à l’oreille – Tu me donnes vraiment envie de te faire très mal, tu m’excites terriblement…
– Merci Maitresse, laissez-vous aller, regardez-moi souffrir pour vous, c’est un honneur pour moi.
Je prends alors bien soin avec la première pince de ne pincer que le bout du téton (c’est comme cela que cela fait le plus mal). Je n’enregistre qu’un petit rictus de sa part (moi j’aurais sans doute hurlé tant elles pincent fort). Deuxième tétons, puis les 4 autres pinces en tentant d’être toujours au plus près des tétons pour faire mal, et il supporte sans broncher, je suis déçue.
Je m’approche alors de lui, je l’embrasse tendrement, et au moment ou je le sens se laisser aller à apprécier ma langue, je saisis les pinces et leur fait faire quasiment un tour complet. J’obtiens enfin un cri, les pinces ne se sont pas détachées – regarde-moi !
Je m’écarte et je continue à tordre ses tétons, à secouer ses gros seins, à tortiller, tout en faisant attention à ce que les pinces ne se détachent pas, mais pour infliger la plus forte douleur que je peux.
J’entends enfin sa douleur..
– J’ai mal Maitresse, très mal
Je le gifle, – Regarde moi dans les yeux
Et je tords, j’appuie, je tire, je vois des larmes commencer à poindre de ses yeux.
– Oui ma lope, pleure pour moi, pleure, j’aime ça.
Et dès que ses yeux quittent mon regard, je le gifle – Regarde moi ! Regarde moi !
Il souffre enfin, il a vraiment mal, je décide de maintenir une pression douloureuse permanente pendant quelques minutes, je me recule et lui met un grand coup de pied dans les couilles, je reprends les pinces et tire et tords à nouveau, puis un coup de genou dans les couilles, puis des gifles – Regarde moi dans les yeux ! Je lui souris, je lui montre mon excitation en jouant de ma langue, je passe des pinces que je tords à ses couilles que j’étire, je ne m’arrête plus, il ne sait plus d’où va venir la douleur des secondes qui suivent, les gifles, la torture de ses tétons, le travail de ses couilles. Cette petite séance dure 5 bonnes minutes durant lesquelles je ne lui donne aucun répit. Ses larmes coulent maintenant, il gémit – Aïe, aïe, j’ai mal Maitresse, vraiment très mal, pitié.
Je continue jusqu’à ce que deux pinces finissent par se détacher tout en le giflant dès que son regard quitte le mien, il n’en peu plus, quel bonheur d’arriver enfin à ses limites.
Je le prends dans mes bras.
– Pleure ma salope, pleure, j’aime te voir et t’entendre pleurer. Tu as enfin eu mal ?
– Oui Maitresse, merci Maitresse, vous m’avez vraiment fait très mal, je vous aime Maitresse.
Mine de rien, ce petit jeu m’a fatiguée, debout perchée sur mes hauts talons. Je le laisse donc à son sort et je vais me servir un verre de champagne.
Je reviens m’asseoir dans le fauteuil face à lui, à déguster en le regardant.
– Passes-tu un bon moment avec ta Maitresse ma salope ?
– Oh oui Maitresse, vous au moins vous ne faites pas semblant, vous n’avez pas peur de faire mal, vous n’arrêter pas à la moindre douleur, je peux voir votre plaisir dans vos yeux, c’est tellement bon.
S’il savait. Les mas0s, les vrais, m’ont toujours fasciné. Autant je ne déteste pas quelques bonnes claques sur les fesses quand on me baise, autant je ne suis pas chochotte quand on joue avec mes tétons, mais aimer la douleur à ce point m’intriguera toujours.
Sur ce, moi qui avais beaucoup bu d’eau ce matin en prévision de cette rencontre, je sens que le champagne me fait venir une envie de pipi, c’est le moment de varier les plaisirs.
– Maintenant nous allons faire un petit tour ma salope
Je vais chercher la laisse, l’attache à son collier, je détache ses mains, lui demande de détacher ses chevilles et vais chercher un récipient plat en métal en forme de haricot et un fouet.
– Mets-toi à 4 pattes salope ! Je pose ce récipient sur ton dos, s’il tombe pendant la promenade, tu auras 10 coups de fouet à chaque fois !
– Bien Maitresse
Et nous voila partis, nous sortons de la grange, lui a 4 pattes au bout de la laisse. J’avais presque oublié l’énorme plug dans son cul, il se tortille. Nous voila dehors, sur les pavés, mes talons font un bruit très excitant. Les 4 pinces restantes balancent sous ses tétons. J’adore être dehors comme ça, je regrette vraiment qu’il n’ait pas accepté la vidéo, c’était sa seule limite.
– Allez avance ! Dis-je en mettant de petits coups de fouet afin de tester ma précision avec ce nouveau jouet.
– Tu as vraiment l’air d’un gros porc bien gras dans cette ferme, dommage qu’il n’y en ait pas de vrais, je t’aurais mis dans leur enclos.
Et à ce moment, le récipient qui commençait à prendre du gite finit par tomber.
– Qu’as-tu fait sale porc !
– Pardon maîtresse, veuillez m’excuser.
– Et depuis quand est-ce que des excuses suffisent ? Je t’avais prévenu ! Écarte bien tes jambes et tes bras à 4 pattes !
Alors qu’il se met en position, je tourne autour de lui, je fais claquer le fouet. Je compte y aller franchement vu sa résistance et je me demande comment il va réagir.
– Tu vas compter pour moi gros porc, j’ai dit dix coups. Tu es prêt pour ta punition, elle va être sévère !
– Oui Maitresse, c’est normal, je dois être puni
SHLAAAK – Un !
Ouch, sans y aller totalement comme une brute, j’ai tout le même appuyé le coup, et je constate en quelques secondes une belle marque qui risque de mettre la journée à s’estomper.
– Je vais te marquer au fouet salope, pour plusieurs jours !
– Oui Maitresse, c’est bien normal.
Bon, au moins il sait à quoi s’attendre, je reprends donc (et mon envie de pipi commence à devenir pressante).
SHLAAAAK – Deux ! Aïe
SHLAAAAK – Trois ! Aïe
Arrivé à 10, son gros cul poilu est bien strié, j’y suis allée de plus en plus fort et les 4 dernières marques risquent de tenir longtemps… Il a encaissé ces coups de fouet sans trop broncher, sa résistance et son goût pour la douleur continue de m’impressionner.
– Redresse-toi maintenant, à genoux, ouvre la bouche en grand en tirant bien la langue, et place le récipient sous ton menton. Il s’exécute. Mon envie de pipi est à son comble. Je me tiens face à lui, les jambes écartées, j’ai sorti ma queue, je l’ai décalottée, et ne tenant plus je me laisse aller.
– Je veux que tu en boives le maximum gros porc, plus le récipient sera plein plus tu recevras de coup de fouet !
Je me laisse alors complètement aller, je lui remplis la bouche, ma pisse dégouline sur son menton, il fait tous les efforts possibles pour ne pas en perdre une goutte, mais le débit est trop fort. Il a le visage trempé, il a bu ce qu’il pouvait, mais le récipient sous son visage est bien plein.
– A quatre pattes maintenant, devant ton écuelle, et tu me finis tout ! Tant qu’il en reste, je te fouette !
– Oui Maitresse, Merci Maitresse de me laisser finir votre champagne
Et le voici à sucer mon pipi à 4 pattes dans sa gamelle.
– Mieux que ça, gros porc ! Plus vite ! Et les coups de fouet tombent, sur son gros cul, sur ses cuisses, sur son dos. Il penche la gamelle d’une main pour boire plus, vite, de mon côté je le cingle, je l’insulte. Quand il arrive au bout ses cuisses et son cul sont totalement zébrés, certaines marques sont foncées, il va les garder longtemps.
– Merci Maitresse de m’éduquer comme vous le faites, je mérite toutes vos punitions, laissez vous aller totalement.
Si je comprends bien cette dernière phrase, malgré la douleur, il en redemande..
– On rentre sale porc ! A 4 pattes !
Et durant le chemin du retour, je continue les coups de fouet et les insultes. Nous retournons dans la grange.
– Allonge-toi, sur le dos ! Tu vas goûter à ma mouille.
Je choisis alors un gode à ma taille (le plus petit que je trouve en fait), je l’enduis de gel tout comme mon petit trou. J’ai toujours mouillée comme une salope quand je me gode, au point qu’à la première pénétration je dégouline de mouille, ce gros porc va devoir se délecter de tout ça.
Je me place au-dessus de sa bouche et je commence à me doigter, un doigt, très vite un deuxième, je commence à mouiller.
– Ouvre bien grand la bouche gros porc !
Je masturbe alors vigoureusement mon petit trou à deux doigts, et je sens que je dégouline.
– Ne gâche rien sale porc, sinon ma punition sera terrible !
Et je le vois prendre en bouche ce qui coule de mon petit trou. Je suis parfaitement propre, ma mouille est transparente et légèrement gélatineuse, et ce porc prend tout en bouche.
Je reste au-dessus de lui, je m’introduis maintenant le gode (hummm, quel bonheur, j’ai toujours adoré ça), je me branle bien avec le gode puis le ressort.
– Tiens, nettoie avec la langue !
Et ce porc se délecte, sa langue passe bien partout (il a de la chance j’utilise un gel à la fraise… ma mouille a donc un bon petit goût).
– Lèche-moi bien maintenant, écarte bien avec tes doigts et nettoie en profondeur.
Il s’y emploie à merveille, je frotte mon trou sur son visage, il est aux anges, j’en profite pour jouer avec les pinces qui sont restées accrochées à ses tétons, j’y vais fort, il se tortille de douleur, mais continue de me lécher, un vrai plaisir.
Je me relève. – Reste comme ça gros porc, et écarte bien les cuisses !
Je vais alors chercher un martinet, s’il aime la douleur il va être servi !
Je reviens, je m’assois à nouveau sur son visage, je tiens les pinces d’une main et de l’autre je commence à fouetter ses couilles au martinet.
Il crie à chaque coup, ça, ça fait mal, très mal, et plus je frappe, plus il me lèche, je sens sa langue tenter de pénétrer mon petit trou, Ses grosses couilles rouges sont enserrées et tendues grâce au ball strecher, les coups de martinet doivent faire affreusement mal…
Je me relève.
– Relève-toi sale porc, rattache tes chevilles ! Et je fais de même avec ses poignets.
– Tu es un bon esclave mas0, je suis vraiment très satisfaite de toi.
Je me fais une nouvelle petite pause champagne devant lui en titillant ses couilles et sa queue du bout des sandales.
Voilà plus de deux heures que les pinces restantes sont solidement accrochées à ses tétons, le retrait va être terriblement douloureux, je vais toutefois chercher une petite roulette dentée pour accentuer le « plaisir ».
Je me tiens à nouveau face à lui, je caresse son gros ventre adipeux (j’adore les gros pour ça, j’aime jouer avec leur bedaine), je le lèche à nouveau dans le cou, je l’embrasse à pleine bouche.
– Vous allez me faire mal Maitresse.
– Qu’est-ce qui te fait dire ça ?
– Vous êtes toujours tendre et sensuelle avant de me faire très mal.
– Tu as deviné, je vais te faire mal, et tu vas aimer cela n’est-ce pas ?
– Oui Maitresse, il y a tellement longtemps que je n’ai pas rencontré une personne aussi vicieuse que vous, si j’habitais dans la région je souhaiterais vous appartenir.
– C’est gentil mon gros porc, en attendant, prépare toi à souffrir, je vais te retirer les pinces.
Tous ceux qui ont porté des pinces longuement aux tétons savent que leur retrait provoque une douleur intense, et lui, en habitué qu’il est, il le sait.
– regarde moi bien dans les yeux, je veux te voir souffrir !
Je titille alors une dernière fois ses tétons avec les pinces pour les réveiller, et j’en retire une.
Son cri déchire l’espace, la souffrance est intense, je retire la 2e du premier tétons, rebelotte avec un grand cri de douleur. – Regarde moi ! Et alors que la douleur n’est pas retombée, je pince le tétons entre mes doigts et lui passe la roulette crantée en appuyant assez fort. Il pleure à nouveau, il tente même de se reculer pour m’échapper.
– Hummm, tu as vraiment mal quand je te fais ça ma grosse lope.
– Oh oui Maitresse, c’est presque insupportable, merci.
– Passons à l’autre alors.
Et le jeu recommence, il crie à chaque retrait, il pleure, il souffre… et me dit merci…
Je m’intéresse alors au paddle et à un autre martinet sur la table.
– Nous allons laisser tes tétons tranquilles quelques minutes… dis-je en en prenant un et en le tordant entre mes doigts pour lui arracher un nouveau cri de douleur. – Je vais finir de rougir des fesses de grosse truie.
Je me place alors derrière lui, et l’enfer commence pour son gros cul.
Je commence au paddle, 10 coups, assénés très fort, puis le martinet, 10 coups, tout aussi forts, puis le paddle à nouveau, puis le martinet à nouveau. Son cul rougi, le martinet laisse de nouvelles marques, je ne m’arrête plus, il se tortille, il tente d’éviter les coups.
– J’ai mal Maitresse, ça fait mal
– Je sais dis-je sans m’arrêter, c’est pour cela que tu m’a fait venir. Et je continue.
– Si tu me dis STOP, j’arrête, mais je m’en vais…
– Non Maitresse, ne partez pas, faites-moi mal, encore, encore.
Je prends alors un autre fouet, plus long, je prends le recul nécessaire et je reprends.
Ses fesses sont déjà extremement marquées et rouges, mais ce fouet viens y ajouter un nouveau type de marques, je zèbre maintenant l’arrière de ses cuisses, chaque coup laisse une marque entre le violet et le bordeaux, je lui en donne une cinquantaine de coups avant de stopper pour souffler moi-même.
Je repasse devant lui, il est blème, je le gifle 3 ou 4 fois et il reprend vigueur.
Je prends alors une cravache, m’assois devant lui, et c’est sa queue et ses couilles qui font maintenant les frais de mes caprices. Il tente de serrer les cuisses, mais ses liens l’en empêchent.
Je mets maintenant de bons coups de cravache sur sa queue, je la vois bleuir. Par expérience, je sais que ce n’est pas grave, c’est une partie du corps très irriguée. Il se tortille, je rigole en me moquant de lui et de sa petite bite incapable de baiser, et je frappe, je frappe.
Je m’arrête enfin, je me lève et le prends dans mes bras pour le câliner.
– Je vous aime Maitresse. Jamais je n’avais rencontré une Maitresse aussi vicieuse qui ose aller aussi loin, si j’habitais en France je ferais n’importe quoi pour avoir la chance de souffrir pour vous régulièrement.
Je le détache. – Mets-toi à genoux, et suce-moi !
Je le laisse reprendre doucement son souffle même si de temps à autre un coup de cravache tombe par-ci par-là. Je lui demande ensuite de retirer son plug. Il met 5 bonnes minutes, quand il y arrive enfin c’est un flot de mouille qui s’échappe de son trou.
– A 4 pattes !
Je prends alors une sorte de gant de vétérinaire sur la table. Il n’a pas besoin de gel, c’est évident. Je serre mon poing et entreprends de lui mettre, c’est sans problème que je mets tout mon avant-bras. Je le branle alors en enfonçant et ressortant mon poing comme une queue fourrerait une chatte sans ménagement.
La journée a passé comme cela à toute vitesse.
Le gros porc a eu droit à tout : écrasement de la queue et des couilles avec mes sandales, pisse dans la bouche plusieurs fois, obligation de me goder et de me faire jouir analement (il s’y est très bien pris), punitions diverses et variées comme le tour de la cour à genoux les mains sur la tête, toujours agrémenté de coups de martinets, talons dans le cul,étouffement, léchage de mes pieds plein de pisse, léchage de mes semelles, bave dans la bouche, pendaison par les couilles, etc.
Mon grand regret, c’est qu’il n’accepte pas la vidéo et de ne pas avoir eu un autre soumis comme cameraman ce jour-là, les films auraient sans doute été superbes, de par le cadre dans lequel nous étions, mais aussi du fait des pratiques assez extrêmes que ce soumis a voulu vivre.
Ce soumis vit en Nouvelle Calédonie et ne viens pas souvent en France malheureusement…
Mais il m’a promis de me recontacter à son prochain voyage, visiblement la journée lui a vraiment beaucoup plu. A ses dires je suis la meilleure maîtresse qu’il n’a jamais eue. Quand je suis reparti, tout son corps comportait les traces de mes sévices.
Je dois avouer que je commence à prendre réellement goût à dresser des mas0s hard comme lui. Dommage que je n’en croise pas plus souvent.
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