En apprentissage 8 (suite)
Juin 1982
Le petit mot que je trouve dans mon vestiaire au studio photo est clair. Et bien qu’il ne soit pas signé, je sais qui l’a rédigé…
« Tu veux toujours être ma petite pute ? Alors débrouille toi pour être libre un vendredi soir pour qu’on continue ton initiation. Donne ta réponse à Max… »
Mon cœur s’emballe. Enfin des nouvelles de Christel…
Je file directement voir Max, occupé dans le laboratoire de développement photo. Après être passé par le sas qui permet de ne pas faire entrer de lumière, je me retrouve dans la quasi obscurité du labo dans lequel une simple lampe au sodium de couleur ocre nous éclaire. Max est penché sur ses cuves. Je viens secouer sous ses yeux le petit message en papier.
– J’ai un mot de Christel !
– Oui, je sais, comment crois tu qu’il est arrivé dans ton vestiaire ?? (Il rit)
– Euh… Oui, je suis bête ! Je vais m’organiser pour ce vendredi, sinon le suivant…
– Ok, tu me dis…
– C’est quoi le programme ?
– Tu le sauras bien assez tôt… (et il rit encore).
Le soir même, j annonce d’emblée à mes parents que je sors Vendredi soir, étant invité à l’anniversaire d’un copain qui organise une soirée. « Ça risque de finir tard… ».
Le vendredi soir arrive. Max et moi fermons le studio à 19 heures, et nous voila partis en voiture rejoindre Christel chez elle. Je suis très heureux de la retrouver et me jette dans ses bras dès qu’elle ouvre la porte.
– « Salut mon petit amour ! Elle me serre très fort contre elle en me caressant les cheveux. »
Max lui clisse un baiser en passant et va s’asseoir dans le salon.
Il y a des boissons sur la table basse et plusieurs verres laissant présager que nous ne serons pas que tous les trois. Nous avons d’ailleurs à peine le temps de nous installer dans le salon que la sonnette retentit… Christel se lève et va répondre à l’interphone…
Je demande à Max : Qui est ce ?
– Des amis qui vont passer la soirée avec nous… Très sympas…
J’entends la porte s’ouvrir et Christel accueillir ses invités dans le hall.
– Entrez, entrez…
Je découvre Fred et Carine. Fred est un bel homme black, athlétique, le cheveu ras et Carine une jolie blonde pas très grande, avec de beaux yeux bleus. Ils ont tout deux la trentaine. Immédiatement, je vois que Carine et Christel sont très complices. Christel complimente Carine sur sa tenue sexy en caressant son corps. Cette dernière l’enlace et l’embrasse goulûment.
Fred : « Oh les filles… On se calme… » (rires), puis se tournant vers moi en souriant… « Donc voici le fameux Hervé dont Christel n’arrête pas de nous parler… Je ne sais pas ce que tu as fais à Christel mais Hervé par ci, Hervé par là… » Rires…
On s’assoit tous et Max sert à boire. Je reste un peu en retrait des discussions car les deux couples échangent sur des amis en commun que je ne connais pas, mais toutes les discussions tournent autour de sorties libertines, en clubs ou dans des soirées privées.
Au bout d’un moment, Carine questionne Christel.
– Et ce soir, tu t’habilles comment ?
Je suis surpris par la question. Christel va se changer ? Il y a quelque chose de prévu ?
Christel : « Surprise ! (rire) Et la question n’est pas comment JE m’habille…. Mais plutôt comment Hervé et moi ON s’habille… »
Je dois ouvrir des yeux tout ronds car tout le monde éclate de rire en me regardant…
Fred : « Manifestement Hervé n’est pas au courant… »
Moi en riant : « Euhh non, pas vraiment… »
Christel : « Mon petit amour, il y avait quoi écrit sur le petit mot dans ton vestiaire ? »
– Euhhh…. Si tu veux toujours être… (je suis un peu gêné de le dire devant des inconnus…) ma petite …
– Ma petite quoi ?
– Pute…
– Alors c’est quoi ta réponse ?
– Oui…
– Oui quoi ?
– Je veux bien.
– Tu veux bien QUOI ?
– Je veux être ta petite pute…
– Ce soir on sa sortir dans une soirée, et tu seras ma pute toute la soirée, c’est bien compris ?
– Oui…
– Çà veut dire qu’à partir de maintenant tu m’obéis et tu fais tout ce que je te demande.
– Oui…
On vient de basculer très rapidement dans ce jeu que j’adore chaque fois un peu plus avec Christel. Mon cœur s’est déjà accéléré et mon sexe commence à durcir juste en prononçant les mots « je suis ta petite pute ».
– Et pour me montrer que tu as bien compris, pour commencer, pendant que je vais me changer, tu vas sucer Fred devant Max et Carine. Et quand je serais changée, je m’occuperais de toi et je te préparerai pour la soirée.
Je me lève et vais m’agenouiller devant Fred qui est assis dans le canapé à côté de Max. Fred me regarde en souriant, puis il écarte bien ses cuisses pour me laisser m’installer. Il commence à défaire sa ceinture et dégrafe son pantalon.
Je passe ma main sur la bosse que forme son sexe dans son slip et le caresse à travers l’étoffe. Je sens qu’il durcit sous ma main. Je suis tout de suite impressionné par la taille que je devine. Fred soulève ses fesses et descend son pantalon et son slip sur ses chevilles, libérant une queue magnifique. Il n’est pas encore complètement dur et pourtant elle est énorme. C’est la première fois que je me trouve face à une queue noire. C’est très excitant… Je commence à le branler lentement…
J’entends Christel dire « voilà comme je t’ai appris… Occupe toi bien de sa queue. Moi je vais me changer… »
Je m’installe confortablement et approche son très beau gland de ma bouche. J’en fais le tour avec ma langue. J’entends Fred soupirer de plaisir et sa queue devient encore plus dure entre mes mains. Je sens ses veines gonflées sous mes doigts. J’introduis son gland dans ma bouche… Mmmm cela faisait longtemps que je n’avais pas sucé… Quel régal… Et quelle queue… Je ressors le gland de ma bouche et descend avec ma langue tout le long de son sexe… Qu’elle est longue… Je masse et lèche ses bourses… Je suis très excité.
Je m’entends respirer très fort et je sens les battements de mon cœur dans ma poitrine. Carine s’est aussi rapprochée et regarde la queue de son homme disparaître dans ma bouche.
Carine à Fred : « Alors elle suce bien la petite pute de Christel ? »
Fred : « Mmmm oui, elle suce bien. Et elle a l’air d’aimer ça en plus… »
Max : « Oh oui elle aime ça… Hein petite pute… ? Tu aimes ça… »
Moi : Oui j aime ça…
Max : Dis le que tu aimes sucer des queues…
Moi : Oui, j’aime sucer… J aime sucer des queues…
Max : Mmmmm vas y mange bien cette belle bite.
Fred : Ouiii, mange moi bien… Ma bonne bite de black.
Je le suce goulûment en essayant parfois de l’introduire loin dans ma gorge, mais je dois me rendre à l’évidence, elle est trop longue… Mais quel délice. J aime cette queue noire. Je me surprends même à l’imaginer dans mon cul, ce qui m’excite encore plus et je redouble d’énergie… Je le suce de plus en plus fort et de plus en plus profond… Fred semble adorer car il gémit… Je viens aussi de m’apercevoir que de sa main gauche, il branle Max qui a aussi sorti sa queue…
Carine appelle Christel…
– Tu devrais venir voir… c’est très beau ce qui se passe ici…
– J’arrive, j’ai fini, je suis prête…
Christel entre dans la pièce. Je suis tenté de me retourner pour voir comment elle est habillée mais en même temps, sucer Fred est si bon que je préfère continuer. Je tends un bras pour l’aider à branler Max… J ai une queue dans la bouche, et une autre dans la main… J adore cette sensation.
J’entends Christel… « Mmmmm, oui suce la bien…. Bien profond… Plus profond que ça encore… Applique toi petite pute… Je veux que tu l’avales complètement… »
Je change de position pour être plus haut et tente d’aller plus profond… En même temps, Fred à posé sa main sur ma tête, et en douceur, m’accompagne dans mes va et vient, en m’invitant à chaque fois à descendre un peu plus… Son gland à chaque fois repousse un peu plus loin mes limites…
Christel : Voilà comme ça… C’est pas mal dis donc… Je t’avais dis Fred que c’était une bonne suceuse… Maintenant tu vas laisser cette queue à Max ou Carine et tu vas me suivre pour que je te prépare…
A regret, je dois me relever et abandonner cette queue dont j aurais quand même aimé recevoir le jus… Immédiatement, Max se penche sur Fred et engloutit son sexe…
Je me retourne et découvre Christel moulée dans une combinaison en cuir noire qui lui va comme une deuxième peau. Un décolleté ouvert jusqu’à la ceinture laisse entrevoir sa poitrine. Elle est perchée sur des talons très hauts. Elle m’impressionne… Je ne peux m empêcher de lâcher un Whaouu…
– Elle essaie de garder son sérieux dans son rôle de Maitresse mais ne peut masquer un sourire en me regardant et m’entendant réagir… Elle me fait un clin d’œil et se ressaisit immédiatement :
– Viens par ici petite pute ! Elle me fait entrer dans sa chambre et claque la porte.
– Déshabille toi !
Je commence à enlever ma chemisette. Elle s’approche de moi, le doigt sur ses lèvres mimant un « chuttt » et m’enlace tendrement. Je suis surpris vu que j’étais en « mode petite pute »… Elle m’embrasse tendrement. Sa langue est douce et chaude dans ma bouche. Puis elle chuchote à mon oreille…
– Tu m’as tellement manqué mon bébé… Tu peux pas savoir comme tu me manques…
– Puis elle colle son corps contre le mien et l’on s’embrasse longuement…
Je suis très troublé… Dans un mélange d’excitation physique (mon sexe est dur comme du marbre) mais aussi plein d’autres sentiments que je ne sais pas qualifier… Je me sens tellement bien avec elle. Nous restons comme ça quelques minutes, juste à nous embrasser, puis d’un coup, elle recule d’un pas, me dépose un petit kiss sur les lèvres et reprend son air sérieux.
– Alors tu te déshabilles ou quoi ? On va pas y passer la nuit !
On échange un sourire et je m’exécute avec grand plaisir…
Me voilà nu comme un ver devant elle, le sexe encore droit.
– Tiens, ta tenue est sur le lit… Enfile ça…
Elle a préparé sur le lit une perruque blonde, une paire de bas, un string, et un petit bustier.
Je commence par la perruque puis je m’empare du string et l’enfile. Mais ma queue raide m’empêche évidemment de l’ajuster…
– Il va falloir que tu te calmes si tu veux t’habiller…
– Oui, mais désolé, j’y peux rien, je suis super excité…
– Branle toi, fais toi jouir…
– Là comme ça ?
– Oui là comme ça…
Je suis debout, face à elle et commence à astiquer ma queue raide.
– Allez, on n’a pas que ça à faire !
Je me branle de plus en plus fort, mais curieusement, je n’arrive pas à me faire jouir.
Elle passe derrière moi, plaque son corps dans mon dos, et commence à me branler énergiquement. Je nous vois dans le miroir de la penderie. Par-dessus mon épaule, elle regarde aussi sa main dans le miroir…
Elle me branle fort… je sens le plaisir monter… Elle chuchote dans mon oreille… Allez, petite putain, donne moi ton jus… Pense à la queue de Fred qui va défoncer ton petit cul ce soir pendant que tu boufferas la chatte de sa femme…
L’image est immédiate dans mon esprit et je sens ma jouissance arriver… Je commence à soupirer et gémir… Elle ajoute « Et quand Fred t’aura bien baisé, tu videras les couilles de tous ceux que je te désignerai, petite pute ». L’effet est immédiat, je jouis très fort… Mon jus part loin sur la moquette de la chambre.
Elle récupère une lingette sur la commode, me la tend et me lance : « et maintenant tu t’habilles ! On devrait déjà être partis »
– Partis où ?
– Ce soir on t’emmène dans la « cave à Jo »…
– ???? La cave à ? Jo ? Qu’est ce que c’est que ça ?
– Tu vas découvrir un lieu secret de rendez vous de pas mal de libertins lyonnais.
– Mais je peux y entrer moi ?
– Justement, on ne va pas dans un club vu que tu n’as pas l’âge, mais là bas, ce n’est pas un problème, on connaît bien Jo et c’est privé.
– C’est qui Jo ?
– Un ami…
– Et il y aura qui ?
– On verra une fois là-bas. Mais rappelle toi, tu es ma petite pute et c’est moi qui te dit ce que tu fais et avec qui.
– Oui, je sais ok…
– Tu es superbe avec ces bas et ce string… Ça serait que de moi, je te basculerais maintenant sur le lit et te prendrais avec mon gode ceinture…
– Mmmmm
– Chuttt
– Maintenant, le bustier… tes escarpins… et la jupette. Je te prêterai un imper pour sortir. Mais avant on va passer par la salle de bain que je te maquille, et tu choisiras une autre perruque, en blonde tu ne fais pas assez pute !
– Ça me rappelle notre soirée au Bois de Boulogne…
– C’est un peu ça, sauf que ce soir tu seras une pute gratuite… Enfin pour commencer…
– ??? Comment ça ?
– Tu verras !
Nous retraversons l’appartement pour aller dans la salle de bain. En passant je jette un œil au salon. Max est en train de prendre Carine sur le canapé sous le regard de Fred… Mmmm Ils m’ont l’air tous bien chauds… Ça promet pour ce soir !
Christel me maquille. Je choisis une perruque châtain méchée. Je me trouve très sexy.
J adore. La magie opère… Je me sens fille… Je me sens pute… La pute de Christel…
Une heure plus tard.
Nous passons un petit portillon et entrons dans la petite cour d’un immeuble de la rue Feuillat dans le 3eme arrondissement de Lyon. Nous entrons dans l’immeuble et Max sonne à la porte du rez de chaussée. Après quelques secondes, un petit homme moustachu vient nous ouvrir… A notre vue, il devient tout sourire…
– Bonjour les amis…
– Bonsoir Jo !
Il nous fait entrer rapidement et referme la porte, puis fait une bise à Fred et Max, et un kiss sur les lèvres à Carine, Christel et moi. Il s’attarde sur moi…
– On ne se connaît pas nous…
Christel s’empresse de répondre avant que je ne puisse le faire.
– Je te présente Hervé la petite pute dont je t’ai parlé… (Cela me fait quand même bizarre d’être présenté comme ça!)
– Ha oui… Bienvenue chez Jo Hervé… (et baissant la voix) Bien sûr si on te demande, tu as 18 ans…
– Oui, en plus je les ai dans pas longt…
– Chutt ! Tu les as… Ok ?
– Oui.. Bien sûr.
– Ok, on est d’accord… Allez suivez moi les amis…
A cette époque, Jo est connu comme le loup blanc dans le Lyon libertin… Il organise dans sa cave des soirées privées auxquelles on ne peut accéder que si on est parrainé par une connaissance…
Nous entrons dans une grande pièce vide. Cela ne ressemble pas du tout à un appartement, mais plutôt à une salle de réunion (j apprendrais plus tard que nous sommes dans un local prêté par Jo à diverses associations locales pour tenir leurs réunions).
L’ambiance change totalement quand Jo ouvre une porte qui donne sur un étroit escalier en colimaçon. De la musique surgit de la pièce en contrebas… Je me souviendrai toujours de cet instant, c’était la première fois que j entendais le Music and Lights d’Imagination… Anecdotique, mais un vrai repère pour resituer l’époque…
Nous descendons l’étroit escalier et arrivons dans une vaste salle avec des jeux de lumières, des gens dansant sur une petite piste, dont beaucoup de femmes en tenues sexy (l’une d’entre elles est même seins nus). Des canapés et des poufs sont astucieusement répartis le long des murs. Sur l’un des canapés je remarque immédiatement une femme nue, les jambes largement écartées jouissant sous les coups de langues d’une autre femme juste vêtue d’une culotte. Dans un autre coin, une femme masturbe les deux hommes assis de chaque côté.
Max me fait aussi remarquer une « collègue » à moi… Un travesti déambule et danse le sexe à l’air, vêtu simplement d’un porte jarretelles et de bas. Il a un sifflet dans la bouche et met de l’ambiance sur la piste en sifflant au rythme de la musique. Il semble qu’ici chacun puisse faire ce qu’il veut, sans tabou, sans jugement. Il y a aussi un petit coin bar derrière lequel se trouve une grande blonde à la coupe Cléopâtre, se déhanchant au rythme de la musique. Max me dit qu’il s’agit également d’un jeune travesti… Je la trouve très belle.
Il doit y avoir une cinquantaine voire une soixantaine de personnes. De nombreux regards convergent vers nous. Mes quatre amis semblent être connus ici car nombre de gens leur font des signes de bienvenue en les voyant…
Nous nous faisons une place sur un canapé et rapprochons quelques poufs pour tous nous asseoir. Max et Fred vont chercher des boissons.
Chacun y va de sa petite explication ou anecdote pour que je comprenne bien ce qui se passe ici. Je comprends surtout que passée une certaine heure, la piste de danse sera recouverte de coussins ou matelas, que la musique sera plus douce et calme et que le lieu va basculer uniquement dans le plaisir des corps…
Et en effet, tout va assez vite. Chaque fois que je me retourne pour regarder la salle, je découvre que les gens sont de plus en plus dénudés, et que les attitudes sont de plus en plus chaudes.
La femme qui se faisait lécher sur le canapé est maintenant sur la piste de danse, debout jambes écartées et de toutes parts, des mains caressent son corps… Un jeune homme est à ses genoux et lèche son sexe…
Une femme d’une cinquantaine d’année au corps magnifique gainée de résilles est aussi à genoux et suce à tour de rôle deux hommes le pantalon sur les chevilles.
J’entends aussi des cris de jouissance qui viennent du fond de la salle mais je ne peux voir, ma vue étant gênée par les gens qui dansent.
Tout cela est vraiment très excitant.
Christel se penche vers moi…
– Va danser !
– Quoi ?
– Va danser !
– Tout seul ?
– Je te dis d’aller danser petite pute !
Je ne m’attendais pas à ça… Mon cœur se met à battre très fort.
– Va danser et montre leur à tous ce que c’est qu’un petit cul de pute !
Je me lèvre, ajuste ma jupette et mon bustier et vais me faire une place sur la piste. J’aime la musique qui passe et je n’ai pas de mal à me mettre dans l’ambiance. J’appréhende quand même un peu en voyant tous les regards qui se braquent immédiatement sur moi. Je regarde Christel et mes autres amis, comme pour me rassurer.
Rapidement je sens d’autres corps me frôler. Parfois une main s’attarder sur ma hanche, sur mes fesses… Je ferme les yeux, c’est troublant… Un corps vient se plaquer derrière moi et épouse le rythme de mon déhanchement. Mes yeux sont toujours fermés… Je sens de plus en plus de mains sur mon corps. La personne plaquée derrière moi glisse à mon oreille « Tu as un cul d’enfer… ». Une voix de femme… Ses mains se pressent sur mes hanches, mes cuisses, remontent ma jupette, laissant découvrir mon sexe emprisonné dans le petit string noir. Elle caresse mon ventre tout en se plaquant toujours plus fort dans mon dos. On ne fait plus qu’un.
D’autres mains me caressent les épaules, les bras… Je sens mon sexe durcir et tirer sur l’étoffe du string. J’ouvre les yeux à nouveau. Je ne peux plus voir Christel à cause des gens qui dansent devant moi, et dont la plupart sont tournés vers moi, les yeux rivés sur mon corps, et notamment sur ma queue qui a jaillit du string, et que ma partenaire de danse commence à branler en me chuchotant des mots dans l’oreille. « Hummm je t’excite heinnnn ?… Tu viens jouer avec moi ? ».
J’arrive à peine à répondre… Elle me pousse pour m’inviter à nous décaler sur le côté de la piste de danse. Je ne sais toujours pas qui elle est, à quoi elle ressemble… Elle me pousse sur un canapé sur lequel je m’installe à 4 pattes. Elle fait descendre ma jupette et me l’enlève. Sa main passe entre mes fesses écartées et par derrière, elle se ressaisit de ma queue… Je sens sa langue écarter mes fesses et titiller mon petit trou à peine masqué par le string… C’est délicieux, je pousse bien mes fesses en arrière… Un couple vient s’installer sur le canapé à côté de moi. Le mari invite sa femme à écarter ses cuisses gainées de bas, pour m’offrir sa chatte blonde… Je me penche et commence à la lécher pendant qu’il lui malaxe les seins.
Plusieurs minutes passent, puis je m’aperçois que l’ambiance a changé… Le rythme endiablé a laissé place à une musique douce et sensuelle. Autour de moi, plus personne ne danse. Les corps se dénudent partout. J’entends des râles et des gémissements venant de partout. Christel et Fred sont venus s’installer dans mon champ de vision. La longue queue noire de Fred va et vient entre les lèvres de ma Maîtresse qui me regarde en le suçant. Je la regarde aussi… Nous sommes en fusion tous les deux… Elle, avec une magnifique queue dans la bouche, et moi, à quatre pattes, me faisant branler et bouffer mon petit cul, tout en caressant et léchant une chatte bien écartée.
Carine vient rejoindre Christel et pendant quelques instants, elles sucent Fred ensemble. Pendant ce temps, des doigts inconnus ont entrepris de me doigter avec semble t-il du gel… C’est délicieux, je sens tour à tour des doigts, une, ou des langues…
Christel abandonne Carine et Fred et s’approche de moi, vêtue de sa combi en cuir…
– Alors ma petite pute… Tu aimes ce qui t’arrive ?
– Oh ouiii, j aime
– Mais tu en veux plus ? Hein ? Dis moi que tu en veux plus !
– J’en veux plus Christel…
– Tu veux qu on te baise ? Hein ? Tu veux des queues ?
– Oh oui
– Oh oui quoi ???
– Oh oui, je veux qu’on me baise !
– Parce que tu es ??
– Parce que je suis une pute ! Ta pute !
Et redressant la tête…
– Qui veut baiser ma petite pute ? Qui veut prendre son petit cul ouvert ?
Elle me prend par la main et me fait lever du canapé, m’obligeant à abandonner mes camarades de jeu… Elle m’emmène vers le centre de la piste de danse, où des matelas ont été disposés. Elle m’ôte mon string et me pousse sur un des matelas.
– Écarte bien ton cul, cambre toi… Mmmm, donne leur envie de le prendre ce petit cul…
Je suis alongé, offert… Je sens mon anus déjà dilaté… J’en ai envie. J’ai vraiment envie qu’on me baise.
Christel: » Mets toi sur le dos. C’est moi qui vais te baiser en premier. Je veux que tu me regardes dans les yeux quand je te prends… et ensuite tu donneras du plaisir à ceux qui le veulent. »
Je vois Max la rejoindre et lui tendre un harnais muni d’un gode.
– Lève tes jambes, écarte bien ! Fais moi voir ton trou…
Elle ajuste le harnais qu’elle a enfilé par-dessus sa combinaison en cuir. Elle s’agenouille, lubrifie le gode ainsi que mon cul…
Une vingtaine de personnes ont formé un cercle autour de nous, dont beaucoup se caressent entre eux en me regardant.
Je sens le contact du gode contre mon anus, et presque immédiatement, je le ressens dans mon ventre… Je pousse un râle de plaisir… Elle est entré d’un coup, j aime ça, elle le sait. Elle s’empare de mes chevilles qu’elle tient bien haut et écartées et commence à aller et venir dans mon cul en me fixant du regard… Que c est bon ! Christel me baise…
J aime ça. Pendant 10 bonnes minutes elle me défonce.
Sans qu’elle ne me demande rien, je me surprend à l’implorer de continuer… « Oh oui, baise moi, baise moi encore…. Plus fort… Ouiii Christel, baise moi !! »
Puis elle finit par se retirer pour laisser sa place à un homme d’une trentaine d’année, qui immédiatement, s’introduit en moi…
– Maintenant tous ceux qui le veulent peuvent te baiser, ou se faire sucer…
A peine a –t elle fini sa phrase que deux hommes s’agenouillent près de mon visage et me présentent leurs queues en se branlant… Je m’exécute et les suce. Une femme s’est aussi agenouillée et tente de branler mon sexe… C’est incroyable cette sensation, je suis en train de perdre tous repères… Des queues s’introduisent dans mon cul, dans ma bouche, des mains me caressent ou me tiennent de toutes parts… Je ne sais même plus qui me prend, qui je suce… Je suis incapable de dire si mon cul a déjà accueilli deux ou trois queues successives, cinq peut-être ? Au-delà de ma propre jouissance, j’entends des cris et râles de toutes parts… Et cela dure longtemps… Mais j aime tellement ce qui se passe…
Je change de position plusieurs fois… Puis soudain, je reconnais la longue queue noire de Fred. C’est lui qui s’allonge sur le dos. Je viens sur lui, et m’empale d’un seul coup… Wahouu… Sa queue me transperce le ventre. Depuis le début de la soirée, j avais envie qu’il soit en moi… J’ai avalé son sexe en entier dans mon cul et je me trémousse pour accentuer encore plus la sensation… Je le chevauche en continuant à branler les bites qu’on me présente… Je crie de plaisir, je n’en peux plus… Je sens ma propre queue qui tape sur le ventre de Fred à chaque soubresaut… Lui aussi semble à la limite du plaisir. Il me fait basculer sur le côté, je sens sa queue sortir de mon cul. Il me plaque la tête au sol avec sa main, et de l’autre commence à se branler au dessus de ma bouche. Il va me donner son jus… Oui je le veux. Je m aperçois que cinq à six hommes se sont aussi approchés et sont autour de moi en se branlant… Que c’est excitant… Ma queue qui s’était ramolli pendant que Fred me prenait est à nouveau tendue et prête à exploser… Je sens une bouche l’aspirer… C’est ma Christel… ma Maitresse… qui me suce… Elle veut que je jouisse pour elle…
Fred explose de jouissance sur mon visage… Je sens son jus chaud sur mes joues, mon front, dans ma bouche. Quel délice… Et très rapidement, je sens un peu partout sur mon corps, des jets chauds, au rythme de râles de jouissance… Ils sont au moins cinq ou six à jouir sur mon corps, peut-être davantage, je ne sais pas.
Christel: « Alors ma petite pute, tu sens leur jus de partout ? c’est tout ce que tu mérites ! «
Le grand travesti au sifflet, que j’avais remarqué en arrivant, s’agenouille et commence à branler son énorme queue sous mes yeux… Il va aussi se vider sur moi…
– Mmmm regarde celle-ci comme elle est belle… Avale là… Bois tout son jus, je ne veux pas en voir une goutte…
Il (elle) s’introduit dans ma bouche. Elle est énorme. Il ne faut que très peu de temps pour sentir la décharge de foutre au fond de ma gorge.
Au même moment, Christel se met à me branler vigoureusement et sans pouvoir résister, je jouis aussi dans un cris étouffé… Elle se jette sur mon sexe pour recueillir mon jus. Elle aime mon sperme, elle le dit souvent. Elle se redresse, approche son visage du mien et me chuchote:
– Mmmm , il t’a bien rempli la bouche, vas y petite pute. Avale tout… comme moi j’ai avalé le tien aussi… Je ne veux pas en voir une goutte…
Je déglutis le jus épais et chaud, jusqu’à la dernière goutte. Je m’applique à bien nettoyer son gland avec ma langue…
Christel se redresse, me laissant seul sur le matelas. Je suis éreinté. J ai du sperme partout sur le corps et sur le visage. Un couple vient s’asseoir à côté de moi.
– Whaou, dis donc tu aimes ça…
– Oui…
– Tu viens souvent chez Jo ?
– C’est la première fois.
La femme me caresse le visage en riant.
– Et bien ! Belle première fois ! (rire). Tu pénètres les hommes aussi ? Ou tu es juste passif ?
– Je n’ai encore jamais pénétré un homme mais ça viendra, j’en ai envie aussi.
– Oui, tu as le temps, tu es jeune… Très jeune… Tu as quel âge d’ailleurs ?
Je savais que tôt ou tard, la question arriverait. Je réponds avec aplomb…
– Dix huit… Bientôt dix neuf…
J’en ai trop dit… Le 18, ils l’avaient gobé… Le 19 sème le doute… Elle me regarde d’un air qui dit « je ne te crois pas une seconde »…
Christel vient à ma rescousse. Ils entament une discussion. Le couple aimerait revoir la « petite pute » parce que monsieur aimerait se faire prendre par un « très » jeune homme…
– « C’est possible ? »
Christel : « Tout est possible… »
Ils échangent leurs numéros de téléphone. Quelque chose me dit que je les recroiserai…
Christel me tend un sac dans lequel se trouvent mon jean, ma chemisette et mes baskets.
– Tiens va te changer aux toilettes. Il y a aussi des lingettes et du démaquillant dans le sac… Reviens nous en Hervé ! (elle sourit et me fait un clin d’œil)
Il est deux heures trente du matin quand Max et Christel me déposent devant chez moi.
– On y retournera dans la Cave à Jo ?
– Si tu as aimé, oui, on peut y retourner quand tu veux…
– J’ai aimé, les gens sont cools !
– De toutes façons, il y en a certains que tu vas revoir.
– Ah bon ? Pourquoi ?
– Parce que je leur ai dis que tu étais une jeune petite pute qui recevait à Lyon pour satisfaire tous les fantasmes…
– Tu leur as dit ça ???
– Oui, je te rappelle qu’on avait dit que quand j aurais mon appartement, la petite pute pourrait recevoir des clients qui aiment des très jeunes, comme toi…
– Oui, c’est vrai, on l’avait dit.
– Alors voilà, il y en avait au moins trois ou quatre là bas, des hommes seuls, qui m’ont demandé mon numéro de tel pour pouvoir venir te voir… Il y a aussi le couple de la fin, et une femme qui voudrait, mais en cachette de son mari. Aucun doute, tu as fait forte impression ! (Rire).
– Alors quand est-ce qu’on se revoit ?
– Très vite mon petit amour… Très vite… Même beaucoup plus vite que tu ne le penses…
A suivre…
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