La vieille caressait sa chatte. Une chatte grise. Et douce. Ses poils en prenant de l’âge n’avaient pas perdu de leurs soyeux : ils n’étaient pas devenus gros et rêches mais étaient souples et doux aussi doux que quand elle avait commencé ses caresses, il y a longtemps. Et la vielle aimait passer sa main dedans, un pelage délicieux, une toison. Elle se souvenait de beaucoup des caresses qu’avait reçues sa chatte et qu’elle avait miaulé très fort au point que les voisins l’entendaient parfois. Elle aimait beaucoup les caresses avec deux ou trois doigts qui glissaient et montaient et redescendaient. La peau était si sensibles. Une main posée sur la chatte ne lui apportait pas de plaisir ou pas beaucoup, tandis que deux doigts qui doucement faisaient des petits ronds cela était très bon. Cela faisait une chaleur, une grande intensité, une jouissance.
La chatte était contente. Elle aimait les caresses. Elle était un peu salope.
La vielle en caressant sa chatte cet après-midi allongée sur un vaste canapé où, à cause de la chaleur, elle était à moitie à poil, avec les nichons, de gros nichons à l’air, se souvenait d’avoir baiser avec Alexandre sur ce canapé . Pourquoi se souvenir de lui cet après midi, alors qu’il y en avait tant d’autres ? En tout cas elle se rappelait qu’il avait donné du plaisir à la chatte et comment il l’avait fait. Et beaucoup de plaisir. Il avait vingt ans et elle était déjà assez vieille, 60 ans, l’âge de la grand mère d’Alexandre, mais sa vieille chatte grise aimait toujours à être caressée et elle recherchait la volupté.
Elle et Alexandre s’étaient rencontrés un peu bêtement, au pied de son immeuble, un jour où il faisait très chaud. Elle l’avait presque heurté en rentrant chez elle et il s’était excusé. « Mais ce n’est rien ». Elle avait une robe très légère et un décolleté bien ouvert : elle aimait montrer ses nibards et faire bander les mecs et aussi attirer les filles. Elle portait à la main un sac d’un fabriquant de sous-vêtements chics et un autre avec du jus de fruit.
Une vendeuse l’avait aidé à choisir un soutif et elle l’avait un peu touchée. Exprès ? Cela faisait plusieurs fois qu’elle allait acheter des soufits et chaque fois la vendeuse, Josiane une jeunette avec des grosses lèvres et un petit cul, s’était débrouillé pour la tripoter : elle mettait ses mains sous les bonnets en remontant ses gros nichons devant la glace et en lui disant «Peut-être ce serait mieux un peu plus haut ? « Cela l’excitait de se faire toucher comme cela. Elle respirait fort : « Oui, peut-être ? Essayons « . Et pour régler les bretelles, elle luis enlève le soutif, bonnet E ou F selon les marques, et ses seins tombent sur sa poitrine : magnifiques, lourds. Ses tétons sont durs car la fille l’a excitée. Elle les touche. Sa chatte suinte et elle répand son odeur dans la cabine d’essayage où Josiane s’affaire pour fixer les bretelles. Elles respirent fort toutes les deux. Et Josiane a fini. Se met derrière elle pour lui passer le soutif, ajuste les bonnets en la tripotant un peu en étant collé contre elle. Puis un pas en arrière et elle fixe l’attache dans le dos. Elle sent son souffle sur sa nuque et voudrait le sentir sur son con. Alors elle se retourne vers Josiane. Elle n’a pas reculé et elle la regarde dans les yeux et se passe la langue sur les lèvres. Elle, elle a envie de la branler, de la sucer, de mettre un god et de la baiser. Mais la patronne crie : » Josiane j’ai besoin de vous ». Dommage ce sera pour une autre fois. Frustration. Mais elle ne restait pas longtemps dans cet état et en cas de pénurie elle aimait se caresser.
Donc en rencontrant Alexandre elle est encore excitée par la vendeuse.
Et elle le reconnait « Vous êtes Alexandre le petit fils de Jacqueline. Qu’est-ce que tu as grandi ! Mais c’est vrai depuis le temps tu dois avoir 20 ans ? » « Oui » répond Alexandre. Ce jeune homme est donc le petit fils d’une voisine de son immeuble, Annette, qu’elle connaît bien depuis des années.
Du coup elle demande à Alexandre « Tu es venu voir ta grand mère ? » « Oui, vous savez je viens de temps en temps mais maintenant je suis étudiant à Aix ». Un peu de bavardage. Elle sent qu’elle a envie de baiser. Cette Josiane l’a excitée. Est-ce qu’Alexandre accepterait de l’aider à porter ses courses jusque chez elle ?
Il avait accepté et elle avait monté l’escalier devant lui en tortillant le cul. Elle savait que les jeunes mecs aiment bien les fesses qui remuent sous leur nez : ils imaginent qu’ils baisent en levrette en vous tapant sur le cul tout en vous plantant leur queue. Elle imaginait qu’il allait bander en voyant son gros derrière osciller sous son nez et bien sûr sa jupe était assez moulante. Et elle avait mouillé en pensant à l’envie qu’il devait avoir de la baiser. Et elle savait qu’elle avait un cul qui ressemblait à celui d’Annette.
Arrivée au quatrième elle cherche ses clefs dans son sac et regarde en même temps vers la braguette d’Alexandre : elle est gonflée par sa queue.
Ils rentrent dans l’appartement. Elle lui montre la cuisine pour poser les paniers et pendant qu’il le fait en lui tournant le dos, elle ouvre un bouton de son corsage : bonnet E et de la dentelle cela aide à se taper des mecs. Elle lui propose à boire car il fait chaud. Après elle fait dans le classique. Elle s’assied à côte de lui sur le canapé un peu en biais et respire fort : ses nichons se gonflent. La chatte est excitée. Son odeur monte. Elle sait qu’il sent le parfum de la chatte mouillée, la chatte qui veut une caresse, la chatte qui veut avoir du plaisir, la chatte qui veut ronronner, la chatte qui veut se faire aimer.
Alexandre regarde ses seins. Elle s’approche un peu en bougeant le cul et en écartant les cuisses. : elle n’est pas ridée car elle a quelques kilos bien placés.
Il n’a pas peur mais il hésite. Alors elle met sa main sur sa cuisse. La cuisse d’Alexandre réagit par un tremblement. Elle lui enlève le verre d’eau de la main et le pose sur la table base : son geste dévoile encore plus ses nichons. Elle ne dit toujours rien mais se passe la langue sur les lèvres et elle lui prend une main qu’elle met sur son genou. Immédiatement il monte sa main le long de la cuisse. Vers la chatte. La chatte soyeuse, ouverte, disponible. Elle mouille. Elle respire fort. Elle a une culotte mais un peu lâche et Alexandre pénètre d’un doigt puis de deux vers la chatte, frôles les poils puis entre doucement. Ce jeune n’est pas maladroit pense-t-elle. Elle respire fort, lui aussi. Elle monte sa main vers la queue : elle se voit la sucer. Mais elle va attendre. D’un coup elle se lève, remonte sa jupe et fait descendre sa culotte.
« J’ai envie de toi. Branle moi, mon chéri. Branle la chatte. »
Elle se souvient, elle a demandé cela : que ce jeune type, qui aurait pu être son petit fils la branle.
Et il l’a fait.
Elle s’assied sur le canapé et elle ouvre les cuisses bien larges. D’abord il a caressé son clitoris assez doucement en faisant des ronds. Puis il est descendu le long de la fente. Et il a mis un doigt. Il regarde son con avec son doigt qui rentre dedans. Un petit bruit de mouille.
« C’est bon mon chéri entre, entre dans mon con. T’es bon, Alexandre ».
Et il a mis son doigt en vrillant un peu. Un long doigt. Puis un autre : deux doigts dans la con. Ce qu’elle aime cela. Pour elle à la chatte grise, deux doigts dans le con. Elle déboutonne son corsage et elle l’enlève tandis que la main la branle. Elle fait glisser les bretelles du soutif et évidemment ses seins qui ont fait mouiller Josiane tout à l’heure descendent sur sa poitrine : ils sont pleins, ronds avec des tétons larges et marrons.
Elle mouille. Et elle a envie de lui toucher la queue. Elle met sa main sur sa braguette, tendue. La queue raide est derrière l’étoffe.
« Mon chéri je veux voir ta bite. «
Elle s’attaque à la ceinture puis à la fermeture éclair du pantalon. Il lui caresse toujours l’intérieur du con. Un slip : elle met la main dedans et elle rencontre la queue. Il n’est pas son petit fils. Ni son fils. Et maintenant il va et il vient dans son con. Elle sait qu’elle va le sucer. Elle aime sucer les queues. Des jeunes, des vieux, elle s’en fout. Mais une bonne queue dans la bouche c’est bon. Elle halète. Il va la faire jouir.
Et tout d’un coup il s’arrête de branler la chatte. Et il se lève et il enlève ses godasses puis son pantalon. Elle voit sa bite, une belle bite bien droite, bien raide, un zob qu’elle apprécie. Il sait qu’il va faire le bonheur de la chatte qui est déjà heureuse des deux doigts.
Mais il s’assied à nouveau sur le canapé et il recommence à la branler. Mais autrement. En fait il a de la technique ce petit gars : il lui a mis le pouce de la main droite dans le con et avec l’autre main il lui pince le bout du sein. Il s’y connaît le petit salaud.
« Continue, mon chéri, continue Alexandre, c’est bon, tu me branles bien, j’aime ça. Je mouille pour toi mon chéri »
Et il demande :
« tu veux un doigt dans le cul ? Tu veux ? «
« Oui, oui ton doigt dans mon cul, cochon, t’es un cochon. Branle moi mon chéri, branle moi le cul mon petit salaud. C’est bon. »
Et il le fait : le pouce dans le con et l’index dans le cul. Il sert ses deux doigts comme une pince et lui il sent la paroie du con et celle du cul. En fait il est enculeur, mais elle ne le sait pas encore qu’il aime mettre sa bite dans le trou du cul des femmes, et surtout des vieilles qui crient quand il les sodomise. Elle trouve cela bon ses deux doigts. Sa chatte grise va miauler
Et elle jouit en criant. Très fort. Elle a toujours aimé les doigts dans le cul et les bites aussi et quand elles se branlent elle aime bien se toucher la rondelle et parfois elle se met un doigt (elle n’aime pas trop les gods mais parfois quand même, deux à la fois : un plug anal et un vibro dans le con).
Elle halète. Elle aime cela. Elle crie. Se tait. Crie encore. Il a laissé ses doigts immobiles. Tout doucement elle met sa main sur son poignet et elle tire en arrière. Quand le doigt sort du cul cela fait un petit bruit « ploc »/ .
Elle lui dit :
« Baise moi, baise moi »
Elle se lève et dégrafe sa jupe qui tombe. Elle a une motte un peu gonflée et avec sa belle toison grise, douce. Elle se renverse sur le canapé les cuisses bien écartées et lui avance et il la plante. Bien à fond. Il met sa queue raide dans la chatte grise. Avec la mouille qu’elle a cela rentre sans problème. Elle a beaucoup baisé et elle a eu trois enfants mais son con n’est pas dilaté : élastique, souple. Peut-être parce qu’elle en prend soin ? En se faisant mettre et en se touchant. Tous les jours dans son bain et en s’essuyant devant la glace elle remet cela.
Mais maintenant elle est sur le dos avec un zob dans le con. Le canapé est très large et fait pour baiser. Lui est allongé sur elle et elle lui caresse les fesses. Elle a les pieds tirés vers les talons et elle est ouverte. Et il se redresse sur les bras. Assez musclé, des pectoraux, pas du tout de poils : un jeune. Il penche la tête : il veut regarder sa bite entrée dans la veille chatte grise. Il est heureux. Cette femme a un beau cul, des gros nichons et elle ressemble un peu à une amie de sa grand mère qu’il aime beaucoup. Il entre et sort. Il regarde ses nichons qui ballotent. Et elle les prend dans sa main et elle commence à les caresser. Il lui dit « t’es belle ». Et elle répond « tu me baises bien mon chéri, continue, baise moi, Alexandre ». Il y va. Accélère. Elle est contente qu’il n’est pas encore juté dans son con mais elle sait que cela ne va pas tarder. Alors elle se pince plus fort le bout de ses seins.
« Donne moi ton foutre », dit-elle.
Et il lui envoie avec des spasmes. Elle jouit encore. Et encore tandis qu’il s’affaisse sur elle. Sa bite va ramollir. Mais elle sait comment la faire durcir à nouveau. Car elle veut qu’il l’encule. Et puis elle sait que la caméra qui est planqué aura tout enregistré. Et qu’elle pourra se branler en la regardant.
Et c’est ce qu’elle fait maintenant quelques années après : la vieille caresse sa chatte grise en regardant un film où elle se fait baiser par un jeune, pas n’importe quel jeune Alexandre, le petit fils de son ami Annette.
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