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Regardez, Madame

Regardez, Madame



Vous nous avez invités, Madame, votre fille Mélanie et moi, à prendre le thé dans le salon de votre appartement.
Fort bien. Nous avons accepté, et sommes venus à l’heure dite en apportant des fleurs et des douceurs sucrées. Le vent fou du dimanche après-midi printanier achève de bouleverser les cœurs de tous les amants du monde.
Vous nous avez invités, Madame. Libre à vous de faire connaissance avec votre gendre.
Je m’assois dans un fauteuil de velours aux larges accoudoirs. Vous prenez place sur le canapé. Nous nous faisons face. Dans un grand miroir situé au-dessus de votre tête, nous pouvons nous mirer de la tête aux pieds.
Mélanie, belle étudiante mince et brune, a dix-huit ans. J’en ai quarante-huit. Qu’importe ? Voyez-vous, elle m’aime d’un amour total, de sorte qu’elle est prête à tout accepter. Pour ma part, je la désire seulement. Mais d’un désir immense. Et nous avons le goût de la provocation. Nous allons vous choquer. Complices, nous sommes venus avec cette intention.
Depuis combien de temps n’avez-vous pas vu votre fille entièrement nue ? Certes, elle est très pudique, et à la plage, jamais elle n’a porté de maillot de bain trop moulant. Cependant, voyez, elle s’assied sur mes jambes, vêtue seulement d’un corsage et d’une jupe. Elle pose ses pieds charmants sur mes genoux, alors que les siens sont repliés. De votre place, vous pouvez déjà voir sa culotte.
La conversation commence. Elle est insipide, comme souvent entre gendre et belle-mère. Oui, il faut beau. Nous n’avons rien à partager. Sauf votre fille, Madame. Votre fille chérie, la chair de votre chair. Elle m’adore. Elle est prête à tout accepter de moi. Heureusement, car j’ai l’intention de me comporter d’une manière obscène et de l’impliquer dans mes obscénités d’une manière extrême.
Entre deux gorgées de votre thé horrible pour lequel je me sens obligé d’affirmer qu’il est bon, mes mains commencent à se faire baladeuses sous le corsage de Mélanie. Déjà les deux boutons du haut sont défaits, vous laissant entrevoir la partie supérieure sa jolie poitrine. Mélanie ne proteste pas. Oh non ! Elle m’aime trop. Car je suis un satyre. Ses parfums sont sur moi et les miens sur elle. Aucune raison au monde ne pourrait nous séparer.
Votre fille, comme toutes les filles, possède des seins merveilleux sous le toucher de mes doigts avides. Ces doux oiseaux sont libres, car non, elle ne porte pas se soutien-gorge. Ses tétons se raidissent sous la caresse. Les boutons du corsage sautent un à un. La voici torse nu, notre sirène ! Elle ronronne comme une chatte et bascule sa tête en arrière, posée sur mon épaule.
J’aperçois déjà vos yeux ronds que provoque notre indécence. Mais vous n’avez encore rien vu.
Ma main se fraie un passage sous la jupe. Que les cuisses sont blanches ! Vous ne trouvez pas ? Mélanie retire elle-même ses chaussettes, car elle a trop chaud. Ses petits pieds charmants réclament le massage. Pourquoi pas ? Prenons donc le temps de nous aimer.
Vous ne dites plus rien, Madame ? Oui, à votre grand dam, votre fille commence à copuler sous vos yeux ! Elle est la jeunesse que vous avez perdue. Ne soyez pas jalouse. Mes doigts s’aventurent sous l’élastique de la culotte. Saviez-vous que Mélanie ne s’épile ni ne rase son beau pubis brun ? Ce serait dommage de gommer ce festival d’odeurs femelles ! Mais vous n’allez pas tarder à le découvrir.
Une main chatouille le clitoris, l’autre continue à masser un pied. Pour Mélanie, le bonheur parfait. Malgré sa pudeur bafouée. Sachez, Madame, que rien, absolument rien ne vous sera épargné de ce spectacle dévergondé que vous trouvez odieux. N’est-ce pas ? Vous restez muette de stupeur.
La vulve est un délicat instrument de musique, le plus subtil d’entre tous, et je prétends savoir en jouer en virtuose, de par mon expérience. Je n’en connais pas d’autre. Entendez donc notre symphonie en rut majeur, ou bien en raie majeur.
Le majeur, justement. Sous la culotte, le mien se glisse entre les fesses, s’y fraie un passage, puis se fourre délicatement dans le petit trou anal. Il y prend sa place. Ne craignez pas, Madame, que je fasse mal à votre fille chérie. Mon doigt est copieusement lubrifié de salive. La sienne. Elle m’a humecté avec sa langue. D’ailleurs, nous avons coutume de procéder ainsi.
Mélanie pousse un petit cri de surprise. Oui, je fouille l’endroit le plus intime de son corps. Sous votre regard. Sans un mot, mon autre main l’incite à se branler elle-même le petit con. Ignoreriez-vous que son habitude est de se masturber ? Provocante, elle soupire d’aise et elle lèche ses babines. Le crucifix accroché au mur nous regarde sévèrement. Le satyre et la pècheresse. Non, ne fuyez pas, Madame. Pas de lâcheté entre nous. Il vous faut boire cette coupe jusqu’à la lie.
Le souffle de Mélanie se fait rapide. Sa température rectale augmente, je le sens sur ma peau emprisonnée dans sa gaine anale. La rosette est souple sous mon trifouillement. Phalange après phalange, mon doigt explore l’abysse rectal.
Soudain, elle se raidit. Premier orgasme. Oui, Madame, vous venez de voir jouir votre fille. Admirez la transformation des traits de son visage. On dirait qu’elle vient de toucher le soleil. Son acmé est déjà proche de l’extase, mais ce n’est encore qu’un début.
Nous vous voyons rougir, scandalisée. Mais vous n’avez rien vu. Attendez la suite.
Les cuisses écartées laissent deviner la vulve herbue sous le carré de coton qui, déjà très humide, commence à gêner mon exploration de ce corps merveilleux. Il va falloir y remédier.
Je lui retire sa culotte. Celle-ci est sale : elle n’a pas changé depuis trois jours, malgré ses menstruations. Le tissu est constellé de traces brunes. Une véritable galaxie de délicieux miasmes féminins. Savez-vous pourquoi ? Parce que je le lui ai demandé ! Mes fantasmes, et ils sont nombreux, ont corrompu son innocence.
Voici que Mélanie est complètement nue, toujours assise sur mes jambes. Je l’invite à écarter ses cuisses afin de vous puissiez l’admirer à votre tour, tandis que notre image se reflète dans le miroir. J’écarte même ses grandes lèvres entre deux doigts afin que cette splendeur florale soit visible en totalité.
Le saviez-vous ? Votre fille unique est pucelle. Admirez donc son hymen, tant que celui-ci est encore présent. Voyez-vous, non seulement j’ai bien l’intention de la déflorer aujourd’hui même, mais je vais procéder sous vos yeux écarquillés.
Mais avant, je vais la pénétrer par l’orifice interdit. Ce sera un défi de me retenir d’y répandre ma semence. Il me suffit d’ouvrir ma braguette. Je ne cherche pas particulièrement à vous exhiber mon membre viril – je ne suis pas venu pour cela – mais, au cas où cela vous intéresse, vous pouvez en entrevoir l’aperçu.
Oui, dans l’intimité de sa chambre d’étudiante, nous pratiquons l’acte sexuel par la porte de Sodome. Régulièrement. Profondément. Câlinement. Au Moyen-âge, nous aurions pu être brulés vifs pour ce crime d’accouplement contre la nature. Mélanie est délicieusement étroite. Il me faut m’y reprendre à plusieurs fois pour défoncer cette entrée. Elle pousse de petits cris de douleur. Mais elle ne proteste pas, car elle sait que bientôt, le plaisir succèdera au tourment.
Vous êtes bouche bée devant votre fille enculée par moi-même, son amant vieux de trente ans de plus qu’elle. Il me faut une grande maîtrise de mes sensations pour ne pas éjaculer au fond de ce troufignon si charmant et si serré qu’il m’emprisonne.
Maintenant, je m’apprête à déflorer Mélanie, votre fille chérie. Ce sera un grand moment dans sa vie.
Accepteriez-vous de prendre quelques photos avec votre téléphone, afin d’immortaliser l’événement ? Ces images seront très bien dans le grand album familial, à côté de son baptême et de sa première communion en robe toute blanche.
Puis, pour la préparer, pourriez-vous lui sucer la chatte ? Comment cela, le geste est tabou ? Tant pis, je vais donc seul ouvrir la porte de son jardin à la grâce a fleuri dans le secret de sa culotte d’adolescente.
Il faut pour cela qu’elle retire son tampon. Oui, c’est le premier jour de ses règles, qui sont abondantes. Elle saigne beaucoup. Désolé pour votre fauteuil de velours. Voulez-vous une infusion ? Ce sera toujours meilleur que votre thé abominable.
Un mouvement de hanche de la part de ma chère amoureuse, et la voilà aussi transpercée que les mains et les pieds du Christ le jour de la Passion. On peut dire qu’elle s’est dépucelée elle-même sur mon braquemart. Merveille ! Qu’elle est étroite ! Qu’elle est adroite à utiliser ses muscles pelviens pour mieux m’ensorceler ! Que son conduit vaginal est torride ! Ce trou est le soleil noir de la félicité. Personne ne peut être plus heureux que moi à ce moment-là, et je pense que ce bonheur est partagé. Voyez comme mon gland déforme son petit ventre blanc en une bosse ravissante.
Je vais bientôt me répandre en elle, voire exploser dans une gerbe de foutre. C’est si bon que je me dis que je vais peut-être mourir d’épectase. Savez-vous ce qu’est l’épectase ? Cela se produit lorsque le cœur lâche pendant l’acte sexuel.
Mélanie ne prend aucune contraception. Malgré ses menstruations qui se mêlent au sang virginal, il est possible que nous concevions un enfant aujourd’hui ; auquel cas, je lui suggèrerai, si elle le veut bien, d’avorter afin de ne pas compromettre ses études. Non, ne vous évanouissez pas tout de suite, Madame. Nous n’avons pas fini de bousculer vos principes trop bien établis.
Ma semence a giclé dans son ventre, mais nous ne sommes pas au bout de ce moment de folie. Je me sens si excité que je vais être en mesure de remettre le couvert. Pour elle, mais aussi pour vous. Elle fouille dans son sac à main et en extrait un long gode-ceinture.
À ce moment, vous découvrez à quel point votre fille est devenue totalement dépravée, à cause de moi qui lui ai soufflé cette idée. Elle souhaite vous pénétrer, non pas banalement, mais analement, tandis que je ferais pour vous d’une manière vaginale. Allons, déshabillez-vous. Vous possédez encore de grands charmes.
Je vois que vous hésitez. D’un côté, la volupté coupable, taboue, scandaleuse. De l’autre, le crucifix et la vieille morale. Le péché de chair. Décidez-vous.
Décision prise, d’un geste, vous ôtez votre longue robe noire. C’est un bon choix. Mélanie lubrifie copieusement son gode qu’elle fixe autour de ses hanches. Elle sait s’en servir : elle s’est entraînée sur moi. Vous n’allez pas me dire que vous n’avez jamais été sodomisée ? Il n’est jamais trop tard pour essayer ! Vous verrez : votre fille est une catin très douce. Elle m’a souvent empalé sous son jouet coquin de plastique. Une fois que je suis embroché, ses coups de boutoir sur ma prostate m’ont permis d’entrevoir le Paradis.
Mettez-vous à quatre pattes sur le canapé, les jambes bien écartées. Votre minou est magnifique. Préparez-vous à la double pénétration.
Hop ! Vous voici farcie comme une oie à Noël, jusqu’au fond de vos entrailles encore fécondes – d’ailleurs, peut-être vais-je vous féconder, vous aussi.
C’est à ce moment-là que votre époux rentre du travail. De surprise, il en laisse tomber son attaché-case. Puis, revenu de sa stupeur, il ouvre sa braguette et fourre sa bite soudainement tendue entre vos lèvres qui viennent de s’ouvrir afin de crier votre plaisir. Il y laisse bientôt fuir son nectar de mâle. Merci pour lui de tout avaler. Je crois que nous allons bien nous entendre, entre beau-père et gendre.
C’est beau, une famille unie à l’ombre de la croix.

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