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Les Vacances de Louna – 4

Les Vacances de Louna – 4



écrit par Mia Michael pour Stéphanie.

Mendier pour manger.

Je lui demande, « Parle encore… »
Elle rit doucement, « D’accord… Laissez-vous aller sur vos compagnes, pensez que vous êtes minces et molles… Lâchez prise… »
Il doit être près de minuit, les derniers clients viennent nous souhaiter cyniquement… une bonne nuit!!
On éteint les lumières de la terrasse, on est dans le noir!
Une fille en veut encore….elle lui dit, « Ta voix nous fait du bien. Dis ce qu’on doit faire pour pas devenir folle. »
La voix douce reprend… « Aucune de nous ne va devenir folle… Imaginez que votre esprit s’échappe de vous… Regardez… le mien flotte déjà au dessus du cylindre… Rejoignez-moi… »
Oh oui, je veux m’échapper, même si ce n’est qu’avec mon esprit…
Une fille lui demande, « Comment tu t’appelles? »
« Anindita et vous? »
On dit toutes nos prénoms… ça nous distraie un peu.
Une fille dit, « Continue, de parler s’il te plait, Anindita. »
« D’accord… pensez qu’on est libres… »
Une vois ronchonne, « Non, on est des prisonnières! »
« Nos corps oui, pas nos esprits… »
On est plusieurs à lui demander, « Continue… »
Alors de sa voix douce, elle nous décrit ce qui nous entoure dès qu’on sort du cylindre, les plantes, les animaux… le ciel… Elle dit que les choses vont s’arranger pour nous… « 
Même celle qui râlait se tait…
Elle nous aide à passer la nuit… en continuant à nous parler de forêt tropicale, de fleurs odorantes, d’animaux qui sont beaux et libres. De chasseurs qui tombent dans leurs propres pièges… Sa façon de parler me fait… rêver… Et, c’est bizarre, m’excite… Je ne la vois pas malheureusement, mais je l’imagine… Une peau ambrée, des longs cheveux noirs, des yeux immenses comme du velours noir… Et, aussi, j’imagine… sa chatte rose au milieu des poils noirs, son odeur de jasmin et de sueur… Et, aussi un bracelet de cuir autour de son poignets, ses pieds couverts de poussières… Sa voix me transporte dans un monde mi onirique mi érotique…
Et puis, elle chante… des chants Indiens… qui montent dans la nuit sombre et vont chatouiller les pieds de la lune… C’est bien la première fois que j’imagine les pieds de la lune!
Quand elle s’arrête, d’autres filles chantent… c’est beau… comme lorsque Joan Baez, chantait pour ses co-détenus dans sa cellule d’une prison en Alabama…
Ça nous fait… pleurer, mais d’émotion pas de tristesse.

Bon… euh… je pourrais parler longtemps d’elle. C’est un ange, elle conseille certaines positions à celles qui ont des crampes, rassurent celles qui font une crise d’angoisse…
Je lui dis, « Est ce qu’on a eu tort de vouloir s’enfuir? »
« Non! Celles qui sont restées vont devenir des esclaves domestiques. Nous pas. » « Et, c’est mieux? »
« C’est mieux pour s’échapper! »
Elle dit encore, « ce qui nous arrive, nous unit. On pourra toujours compter les unes sur les autres. Demain en sortant d’ici, on va toutes se regarder et on se reconnaîtra par la suite, si on nous sépare. »
Il y a des filles qui pleurent tellement elles sont émues par ces paroles… moi aussi… Pas beaucoup, parce qu’on commence à être déshydratées.
Le matin arrive… Les premiers clients s’installent autour de nous pour prendre leur petit déjeuner en nous regardant.
Ça me fait penser à un dessin ancien que j’ai vu par hasard. On voit des bourgeois gras et suant s’empiffrant, un soir de réveillon, tandis que des petits pauvres salivent en les regardent à travers la vitre. Ah oui, c’est vrai, c’était en 1900, les choses ont sûrement beaucoup changé, de nos jours!!!!
Une fille dit à Anindita, »Ces gens sont ignobles. »
Elle va sans doute leur trouver des excuses… Ah non, « Ceux-là, tu as raison, mais nous, on n’est pas comme eux. » Elle ajoute, « D’ailleurs leur bouffe est souillée par des bactéries, ils vont avoir une chiasse qui va durer huit jours… »
Une fille ajoute, « Et ils ne s’en remettront jamais. »
Une autre, « Et ils iront griller en enfer! »
« Inch Allah. », dit une troisième.
On rit… un peu…
On oublie… un peu… les crampes dans les jambes et le dos, les courbatures, l’odeur de pisse et de sueur. La soif et la faim…
Anindita nous parle encore…
Mais bon… j’arrête…
Les petits déjeuners s’échelonnent jusqu’à 11 h.
Ensuite, entre midi et 3 h, les clients viennent manger. Là, on a vraiment soif et faim…
Anintida dit doucement, « Ne les regardez pas ou si vous le faites, regardez attentivement ce qu’ils mangent, ça grouille de larves… »
Ça marche… un peu…
Enfin… en toute fin d’après midi, un gros type et une femme, tous les deux chinois s’approchent du cylindre. Ils sont accompagnés de servantes tunique blanche ultra courtes qui demandent très, très poliment aux clients de se lever pour déplacer leurs tables et pouvoir libérer un espace devant la porte du cylindre. Ensuite, elles installent une table et des bouteilles. C’EST POUR NOUS!!
La femme est grande et plutôt jolie. Elle porte une robe sans manche, fendue, jusqu’à la taille. Elle a un court fouet à sa ceinture…
Le gros garde a un fouet plus long.
De nombreux clients viennent assister à… notre libération?
La femme se met devant nous et dit, « Vous avez envie de sortir? »
On crie « oui, oui! », « S’il vous plait », « Pitié, oui! » Tout quoi.
L’homme ouvre la porte, la première fille tombe à moitié à l’extérieur…
« Ne poussez pas! », dit-il en montrant son fouet.
On sort péniblement, l’une après l’autre. Les clients prennent des photos.
On est nues, tremblantes, puantes, assoiffées, affamées, pleines de courbatures… Les gens… sont comme dans le vieux dessin.
L’homme est un loup pour l’homme… Non, ce n’est pas gentil pour les loups!!
L’homme nous regroupe devant la fille assise à une table.
Elle nous dit, « Vous voulez boire et manger? »
« OUIIIII!!! »
« OK, mais vous allez d’abord nettoyer vos saloperies! »
Des servantes apportent des seaux plein d’eau savonneuse et d’eau claire, des brosses et des torchons.
« On se relaie. », dit une fille. On entre à 5, on nettoie une partie et puis 5 autres entrent…
On se dépêche autant qu’on peut.
On est toutes d’accord, même de se mettre à genoux dans la pisse pour nettoyer avec des brosses et des torchons.
Je me rends compte que la femme examine attentivement notre comportement.
Quand on a fini, c’est propre ou presque. La femme vient voir, elle entre dans le cylindre d’un air dégoutté et vérifie le travail.
Ça doit lui convenir, car elle se rassied derrière la table.
Elle nous dit, « Vous pouvez avoir une bouteille d’eau et prenez-la sans vous bousculer. »
Je bois…pas trop vite… j’ai peur de vomir, j’ai lu ça…
Quand on a bu, la femme désigne deux filles au garde, il les amène devant elle.
Elle leur dit, « Vous n’avez pas nettoyé. »
C’est vrai, j’ai remarqué qu’elles se planquaient derrière les autres.
Les filles sont mal, là. Elle commence à dire, « Mais il y avait trop de… »
La chinoise leur coupe la parole, « Vous nettoierez le cylindre tous les jours pendant 8 jours. »
Tête des filles, d’autant plus qu’elles se prennent chacune un coup de fouet sur les fesses et le garde leur dit, « On dit merci. »
Elles gémissent, « Merci madame… »
Puis elle s’adresse à Anindita, « Toi tu as le plus nettoyé et tu as consolé tes compagnes cette nuit. »
Elle semble surprise, « Euh… oui, j’ai essayé, Madame. »
Elle lui dit, « Tu es douée! »
Puis, elle s’adresse à deux servantes, « Lavez-la, habillez-la, ensuite vous la conduirez chez le commandant. »
« Oui, Maîtresse. »
Anindita nous dit, « N’oubliez pas ce que je vous ai dit, on se retrouvera »
Ouch!! Elle se prend, un coup de fouet, à cause de son petit discours, mais elle ne crie pas.
Une fille demande très, très timidement, « On pourrait manger, un peu, Madame, s’il vous plait. »
La chinoise nous regarde pendues à ses lèvres, « Vous pouvez allez mendier auprès des clients… »
Oh???
Une des filles comprend tout de suite. Elle va se mettre devant une table, à genoux et tend la main en disant, « Pourrais-je avoir un peu de nourriture Monsieur, Madame… »
Moi aussi, je vais vite me mettre à genoux, devant une table d’une dizaine de jeunes gens et filles, en me disant, il y en aura bien un dans le lot qui me donnera quelque chose.
Une jeune fille prend un demi nem dans son assiette et me dit, « Tu dois l’att****r avec la bouche comme une petite chienne. »
« Oui, Mademoiselle. »
Elle dit sévèrement, « Une chienne ne parle pas! »
Alors, je fais la belle et je gémis, elle me lance le bout de nem que j’arrive à prendre dans la bouche. Mmmhhh… la meilleure chose du monde… Je fais à nouveau la belle en gémissant. Je reçois une autre une bouchée.
Un des jeunes dit, « Fais le tour de la table à genoux. »
Il y a un qui dit, « Qu’est ce qu’il pue, ce chien! »
Ça fait rire tout le monde… bêtement!
Du coin de l’oeil, je vois que les clients des autres tables font la même chose.
Ça doit être une des autres attractions sympathiques de l’hôtel!
Je continue à mendier en gémissant. Une fille crache la grosse bouchée qu’elle était en train de manger et me la tend dans sa paume ouverte. Je mange et c’est bon, même mâché par quelqu’un… Les autres me donnent des trucs mâchés aussi.
Ils mettent même l’un ou l’autre truc crade sur la bouchée… passons, ça c’est moins agréable… Bah au point où j’en suis, ventre affamé n’a pas d’oreille ou ventre affamé n’a pas de dégoût.
Je reçois même un peu de dessert…
Et puis on entend un coup de sifflet, le garde nous fait signe de revenir…
Je regarde la première fille qui m’a donné une bouchée. Elle me dit, « Vas-y, ils ne sont pas patient ici… »
On vient toutes se regrouper devant la chinoise.
Elle nous demande, « Tout le monde a mangé? »
Deux filles lève la main, « Pas beaucoup, Madame. »
Elle dit, « Venez ici. »
Elle dépose par terre un journal plié en quatre, l’ouvre et dit, « Vous pouvez manger mes restes… à genoux. »
Même à 4 pattes et sans les mains les filles mangent tout.
Elle reprend, « Vous allez dormir dans le hangar, Tao et moi, on est seuls pour vous surveiller. Donc il y a moyen pour vous de vous évader. Je vous signale qu’on vous a mis une puce, une technique mise au point au Mexique pour éviter les enlèvements. Qui sait… vous arriverez peut être à vous échapper… Essayez… Je dois juste ajouter que si vous êtes reprises la punition sera beaucoup plus désagréable. »
Elle se tourne vers le garde, « Qu’est ce que c’est pour le moment Tao? »
« Une électrode dans l’anus et une autre sur un téton… L’effet est surprenant, les filles se pissent dessus. »
Quelle horreur!
La femme demande, « Tout le monde a bien compris? »
« Oui Madame. »
On se dirige vers le hangar.
Quand on est dedans Tao referme la lourde porte.
On a mis un gros paquet de paille et des couvertures dessus pour qu’on puise y dormir. Quelques chinois sont assis dessus.
Je demanderais bien si on peut se laver, mais autant faire profil bas, très bas.
La femme nous demande, « Qui est lesbienne parmi vous? »
Une brune aux yeux noirs lève la main, « Moi, Madame. »
« Ok, vous venez avec moi. »
Pour peu qu’ils aient un peu de renseignements sur moi, ils le savent. Je lève la main, « … euh… moi, Madame… »

On est 2 sur 20, soit 10%… normal comme proportion. Je suppose qu’il y a quelques bis dans celles qui restent…
Elle s’adresse à Tao, « Je te laisse les autres pour jouer avec tes copains. Mais n’oubliez pas qu’elles ne sont pas passées à la visite médicale. Dans la bouche vous ne risquez pas grand chose. »
En regardant les amis du garde qui se lèchent les babines, je suis une fois de plus, ravie d’aimer les filles!

On suit la Chinoise vers le fond du hangar. Il y a plusieurs petites pièces.
On va d’abord dans une cuisine sommaire et assez sale, qui contient un évier, un réchaud, une table et deux chaises…
Elle s’assied… Nous on est debout devant elle, nues et un peu… puantes…
Elle dit, « Je m’appelle Tsin, mais pour vous ce sera Maîtresse. »
On dit presque ensemble, « Oui Maîtresse. »
Elle continue, « Présentez-vous. »
Je regarde la brune, elle commence, « Je m’appelle Reem, j’ai 22 ans, mes parents sont yéménites, mais on vit à Londres… »
Tsin se tourne vers moi, « Je m’appelle Louna, j’ai 18 ans et je vis à Paris, Madame. »
Elle nous dit, « Alors vous aimez les femmes. »
Toutes les deux on répond, « Oui, Madame. »
Elle prend son fouet…
Mais, on n’a rien fait!!
Elle nous dit, « Prouvez le moi… »
Je ne demande pas mieux, parce que Reem, c’est vraiment mon genre de beauté orientale… sauf qu’on vraiment pas… fraîches…
Je la regarde… Elle est beaucoup plus décidée que moi… Elle me prend contre elle et m’embrasse… oooohhh… même dans cette situation, ses lèvres douces, sa langue, ses dents qui se cognent un peu aux miennes et surtout sa salive, c’est si… intime, si troublant…
Et puis cette peau inconnue contre la mienne… j’adore….
Quand elle quitte ma bouche un fil de salive réunit nos lèvres encore un instant…
Elle demande à Tsin, « On peut parler Madame. »
« Oui. »
Elle me regarde et dit, « Ça t’a plu que je t’embrasse? »
« Oh oui…beaucoup, vous avez des lèvres si douces… »
« Bien, bien… », dit Tsin, « Je crois que vous aimez les filles… Vous allez me lécher a tour de rôle, la moins bonne sera punie! »
Aie!! J’ai peur que ce soit moi! J’ai 4 ans de moins que Reem et sûrement beaucoup moins d’expérience.
Tsin a une robe bleue en soie, un peu usée, décoré d’un immense dragon rouge et jaune. La robe monte assez haut sur le cou, mais laisse les bras nus et elle est fendue jusqu’à la taille. Bref, une robe de pute de Singapour.
Elle l’enlève. Elle de beaux seins lourds et de longues jambes pour une Chinoise, une toison pubienne en friche, elle sent, elle aussi, la transpiration…
Elle s’assied et pose un pied sur le coin de la table. Elle désigne sa chatte à Reem, qui se met à genoux et embrasse les grandes lèvres de la Chinoise comme elle vient d’embrasser les miennes.
Oh! Oui, elle sait y faire! Tsin a l’air d’avoir beaucoup de self control, mais je vois ses hanches qui commencent à bouger… Ses cuisses qui tressaillent…
Au lieu de se laisser aller, elle repousse la tête de Reem et me dit, « A toi… »
Je m’agenouille, je *dois* être bonne. Je suis nez à nez avec une chatte noire, un peu lavée par la salive de Reem.
J’embrasse cette chatte avec ardeur. Je lèche, je suce…
Je fais tournoyer ma langue autour du clito. Je glisse un doigt timidement vers son anus. Elle ne dit rien, alors je l’enfonce doucement…
Laure, ma chérie… d’avant …adore ça…
Mais Tsin n’a pas l’air emballée par ma technique…
« Arrête! », me dit-elle… « C’est pas assez bien, je vais te stimuler.
Elle prend son fouet et me dit, « Tend tes fesses, tu vas avoir 5 coups! »
Je gémis, « Pardon maîtresse, je n’ai pas beaucoup l’habitude de… »
« Tu en veux 10? »
« Noooon, Maitresse!! »
Je tends mes fesses et, « shlaaaa », « aaaiiiii!! » J’ai une ligne de feu qui me brûle les fesses.
Reem vient devant moi et me dit, « Tend bien tes fesses, Louna! »
« Ouiii…sniiiiif »
« shlaaaa! » « aaaiiiii!! Pardooon! »
« shlaaaa! » « aaaiiiii!! Je ferai mieuuuux »
« shlaaaa! » « aaaiiiii!! Pitiéééé
« shlaaaa! » « aaaiiiiiiiiii!!
Tsin me tend sa main en disant, « Tu dis merci et puis tu viens me lécher et si ce n’est pas mieux tu auras 10 coups de fouet cette fois-ci. »
J’embrasse sa main en la mouillant de mes larmes et je remercie humblement. Puis, je me laisse tomber à genoux et je plonge dans sa chatte, la langue en avant!
Je la lèche comme si … la vie de mes fesses en dépendait!! Oh que le fouet est un bon stimulant!! Je lèche avec ferveur, enthousiasme, tout ce qu’on veut…
« Pas mal », dit Tsin qui me caresse la tête…
Ouf!!
Elle dit à Reem, « Ce que quelques coups de fouet peuvent faire… »
« Oui, Maîtresse. En plus c’est excitant, ces marques sur son cul. »
« On va encore lui en donner. « , dit Tsin, « Je sens qu’elle perd le rythme. »
Non!!! Je perds pas le rythme!! Je lèche à toute allure, ma langue virevolte autour de son clito comme un colibri bourré d’ectasies dans une fleur d’hibiscus débordante de pollen.
Je pense, « Mais, jouis! Salope de chinoise!!! »
Aaah, ça y est! Je sens qu’elle se cambre tout en plaquant bien mon visage sur sa chatte… Elle a quelques contactions discrètes…
J’espère qu’elle va se calmer sur le fouet, maintenant!!
Oui, elle me repousse, s’étire en baillant et dit, « Je vais dormir… vous dormez ici, prenez des couvertures qui sont dans ce meuble. »
Elle va dans la chambre…
Reem dit, « Tant mieux que ça s’arrête, j’suis crevée. »
Je ne réponds rien
Je vais prendre des couvertures et me couche dessus.
Reem me dit, « Tu m’fais la gueule? »
Ça y est, je me mets à pleurer, « Tu… tu as dit… c’est joli ces marques de fouet… »
Elle soupire, « Mais c’est ce qu’elle a envie d’entendre, Il vaut mieux être bien avec elle… Mais bon, si tu veux bouder… libre à toi! Ah, oui, encore une chose, on n’est pas ensemble, hein? Ne te fais pas des idées, je suis une chasseuse! » Elle éteint la lumière.
Il y a juste un peu de clarté qui vient du hangar.
On entend des cris des filles d’à côtés au prise avec les copains du garde…
On est mieux ici, à part les coups de fouet… mais elles en reçoivent aussi, manifestement!
J’ai peur! Je dis Reem, « Juste pour cette nuit, je peux venir près de toi? »
« Tu ne boudes plus? »
« Non. Pardon. »
« Demande ça mieux! »
Et puis quoi, encore, elle me prend pour sa petite chienne ou quoi… ou je dis, « Je voudrais venir près de vous Maîtresse! »
« Voilà… la petite chienne a besoin d’une maîtresse, allez viens! »
C’est comme si elle avait pu lire dans mes pensées!
Je rampe jusqu’à elle…
Elle est couchée sur le coté, je me colle à son dos et à ses fesses, en disant, « Vous n’êtes pas fâchée, hein? »
« Quand je serai fâchée tu t’en apercevras. Dors. »
****************
Le lendemain on mange avec Tsin… Rapidement.
J’espérais qu’on puisse rester avec elle, malgré les coups de fouet, mais non, on doit rejoindre les autres filles. Elles ont aussi été corrigées pour la plupart. On les a d’ailleurs entendues crier.
On va à l’extérieur. Deux gardes nous regroupent et nous arrose avec des tuyaux d’arrosage! Ooooh! C’est froid!
Ensuite, ils distribuent des petits savons, des doses de shampoing et des brosses durs.
Des clients de l’hôtel sont là à attendre. Deux par deux, ils nous lavent… et soigneusement! Un jeune homme me lave les seins, surtout les bouts! Un gros type avance sa main pleine de savon … comme, je me recule en essayant de me dérober. Le type appelle le garde, celui-ci me montre son fouet. Message très bien reçu, je prends aussitôt la main du gars et je la mets sur ma chatte en lui disant, « Merci de me laver, Monsieur! »
Il me sourit, « Tu seras sage ou je dois utiliser la brosse? »
« Je serai sage, Monsieur. »
Alors, il me lave la chatte, mais bien!!
Il dit au jeune, « Lave-lui le trou du cul… »
« Ah, oui merci P’pa. »
Ah putain, c’est père et fils!
Ah ça lui plait! Il enfonce aussitôt, son doigt plein de savon dans mon anus! « Aaaiiiee!! Doucement! », je supplie, « Je n’ai jamais rien fait par là, Monsieur. »
Ça les fait rigoler tous les deux! Le père dit, « T’en fais pas ça ne durera pas! »
Le fils fait aller et venir, son doigt dans mon anus, en disant, « Une pucelle! Une pucelle! »
Malgré tout, je suis heureuse de me laver.
Un garde s’adresse aux clients qui nous ont lavés, « Merci, Messieurs, on va les rincer. Les médecins les attendent. »
Les médecins? J’ai peur des médecins… oui, bon, des médecins des hôpitaux, des piqûres…
Deux gardes nous arrosent à nouveau. Ouch! C’est froid, je pourrais rayer un carreau avec mes tétons!!

A suivre.

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HistoiresSexe

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